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Echangisme avec un couple escort

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Echangisme avec un couple escort

L’échangisme est une pratique sexuelle adopté par les libertins qui consiste pour deux couples à échanger temporairement son partenaire, pendant les différentes phases du rapport, en vue d’une relation socio-sexuelle.

Toutefois des nuances sont parfois apportées s’il y a permutation et pénétration en dehors du partenaire « régulier » (échangisme dit « vrai »), des attouchements à quatre (voir mélangisme) ou une relation à proximité de voyeurisme et/ou exhibitionnisme sans contact physique, aussi connu sous le terme « côte-à-côtisme ».

Bien qu’il se confonde souvent avec la sexualité de groupe, l’échangisme au sens strict ne représente qu’une fraction des pratiques sexuelles en groupe.

Il est courant de spécifier les distances relatives d’une relation échangiste par des nombres :

  • « 2 + 2 » signifie une séparation physique des couples avec permutation des partenaires,
  • « 4 » spécifie une proximité permanente de tous les participants,
  • « 3 + 1 » l’isolement d’un individu au centre ou en observateur en tant que candauliste.

***

Le couple finissait tous les deux de se préparer pour leur soirée et Monsieur contempla Madame avec un regard attendri. Quelques instants auparavant, il l’avait vue enfiler un porte-jarretelles, un string et des bas noirs puis une robe de soie rouge ultra courte s’arrêtant au bord des fesses. Madame était tout simplement éblouissante.

Comme d’habitude, songea-t-il. Depuis qu’ils étaient mariés, Monsieur allait de surprise en émerveillement et la trouvait encore plus belle qu’au premier jour de leur rencontre, douze ans plus tôt. À son âge, Madame était superbe. C’était une femme qui avait envie de vivre avec son mari des expériences de libertinage, mais ils étaient débutant dans le domaine.

C’est elle qui lui avait eu l’idée d’organiser une soirée échangiste chez eux avec un couple d’escort et son mari avait complètement adhéré à cette idée, au début sans doute par curiosité puis beaucoup plus par amour ensuite.

Madame effleura sa robe ajustée comme une seconde peau, qui révélait de façon très indiscrète ses rondeurs plantureuses, puis se caressa légèrement les seins, libres sous la mince étoffe, tout en examinant son reflet dans le miroir.

Monsieur effleura son décolleté du bout des doigts avant de l’attirer contre lui. Elle n’imagineait même pas ce qu’il  pourrait lui faire subir !

Tout en riant, Madame se dégagea de son étreinte pour fuir son désir déjà très perceptible et reprit place devant le miroir pour se mettre du mascara.

En essayant de faire retomber l’érection que cette petite scène avait fait naître, Monsieur passa son pantalon, sans aucun autre sous-vêtement, puis il enfila une chemise très ajustée, qu’il boutonna à peine, laissant entrevoir son torse. 

Leurs invités sonnèrent à la porte et Madame alla leur ouvrir suivit par son mari. Puis Madame s’effaça pour les laisser entrer et ne put s’empêcher d’admirer le couple qui venait d’arriver. Caroline était magnifique. De ses longs cheveux blonds retenus par un chignon au désordre savamment organisé jusqu’à sa tenue, tout en elle était riche de belles promesses. Son regard pétillant, confirmait d’ailleurs le langage sensuel de son corps. À peine voilés par un cache-cœur noir en tissu léger, ses seins étaient libres de toute contrainte. Sa minijupe de la même couleur laissait entrevoir le haut de ses bas et apprécier le galbe parfait de ses jambes, chaussées d’escarpins à hauts talons. Mais ce qui frappait le plus chez elle, c’était cet érotisme alléchant qui transpirait de tout son être, exacerbé par une prodigieuse féminité.

Jean avait joué la simplicité dans l’élégance. Une chemise bleu marine aux doublures surpiquées de blanc, un pantalon de toile blanche et des chaussures de cuir classiques. À croire qu’ils s’étaient donné le mot avec Monsieur, nota Madame, amusée.

Ils s’installèrent dans le salon où les lumières étaient tamisées, et où une musique de jazz s’élevait doucement. Dès que Monsieur leur eut servi une coupe de champagne, la discussion commença par quelques banalités sur comment les vacances s’étaient passés et les deux femmes comparèrent leurs bronzages respectifs..

Le dîner s’était déroulé tranquillement. Avec Monsieur, ils avaient multiplié les anecdotes croustillantes qui avaient reçu les réactions espérées de leurs invités puis, à la fin du repas, elle avait décidé de faire bouger les choses. En apportant le fromage, elle avait servi son mari tout en restant volontairement de l’autre côté de la table, entre Caroline et Jean. De sorte qu’ils ne pouvaient plus rien ignorer de sa féminité, dévoilée par sa robe trop courte remontant haut sur ses fesses quand elle se penchait.

Caroline repoussa d’une main le tissu de sa robe légère au-dessus des reins puis, un peu tremblante, fit glisser son autre main sur la peau douce des fesses de Madame.

Jean, plus timide et après un regard à sa femme, s’aventura à caresser l’intérieur de la cuisse de Madame, déclenchant en elle un petit frisson, puis il remonta jusqu’en haut, mais sans entreprendre quoi que ce soit de plus.

En appui sur ses bras, follement excitée par la sensation de sa robe retroussée sur ses fesses, Madame demanda à Jean de la caresser s’il en avait envie.

Puis elle se pencha encore et embrassa Monsieur au-dessus de la table, très amoureuse. Elle sentit alors une main glisser sur son sexe et un doigt s’insinuer en elle. Un doigt de femme, devina-t-elle avec un nouveau frisson tandis que Caroline allait et venait en elle, avec une dextérité surprenante.

Puis elle s’écarta, à regret, des mains si habiles de Caroline. Malgré le plaisir qu’elle avait ressenti, et l’envie qu’elle avait d’aller plus loin, elle ne voulait pas aller trop vite. Et puis, il fallait bien l’avouer, se forcer à y aller très progressivement et à gérer sa propre frustration l’excitait terriblement.

Monsieur regarda sa femme disparaître dans la cuisine, suivie de très près par Caroline. La soirée s’annonçait sous les meilleurs auspices.

Monsieur n’en revenait toujours pas du spectacle auquel il venait d’assister. Il venait de découvrir que sa femme était bien plus audacieuse que lui et cela lui faisait beaucoup effet !

Pendant ce temps là, Caroline en profita pour poser ses mains sur Madame et effleurer ses seins qu’il lui tardait de découvrir. Elle ne s’était pas trompée. Ils étaient magnifiques, fermes et veloutés à la fois. Tout en les massant délicatement, elle fit rouler ses mamelons entre ses doigts.

Avec un soupir, Madame se pressa plus étroitement contre Caroline, manifestement sensible à l’hommage rendu à ses seins.

Puis elle ferma les yeux, alanguie, et s’abandonna aux mains de Caroline qui virevoltaient sur sa poitrine, son ventre, sans réel contact, comme un papillon hésitant qui ne savait pas encore où il allait se poser. Caroline pressa ses lèvres sur sa nuque pour des baisers très doux, tandis que ses mains revenaient à ses seins, s’y posant avec la légèreté d’une plume.

Madame se laissa aller en arrière et Caroline sentit ses mains se poser sur ses fesses, comme si Madame voulait fusionner leurs deux corps. Comme pour mieux offrir son buste à ces caresses qui, déjà, semblaient lui faire perdre la tête… Gagnée par un désir affolant, Caroline découvrit les deux globes de Madame qui se dressaient devant elle, ronds, crémeux, délicieux. Un vrai appel au plaisir…

Avec un sourire, Caroline reprit la divine exploration des seins de Madame, et celle-ci referma les yeux, tout son corps commençant à réagir, roulant et ondulant. Puis elle saisit les mains de Madame qu’elle pressa contre son corps enfiévré de désir.

Et ce fut Madame qui s’empara cette fois de sa bouche, lui offrant un baiser bien plus torride où leurs langues s’entremêlèrent avec ferveur et sensualité. Caroline continua son exploration, calmement et toujours avec beaucoup de tendresse. Quand ses doigts se glissèrent entre son ventre et sa jupe, Madame sursauta et se cambra pour mieux s’offrir. Caroline en profita pour poursuivre sa délicieuse torture, et, faisant courir ses doigts sur la peau frissonnante, elle passa une main sous le string en dentelle de Madame, et commença à la caresser, d’abord tout doucement. C’était divin. Ses doigts glissaient sur le sexe trempé de Madame, et, à chaque passage, ils lui tiraient des gémissements de plaisir.

C’était fou, songea Caroline. Elle avait rarement vu une femme novice réagir avec cette intensité… et cela l’excitait. Le cœur battant, elle accéléra le rythme de ses caresses.

Et, enfin, comme terrassée par les ondes du désir qui se concentraient en elle, Madame secoua la tête dans tous les sens en gémissant, et Caroline sentit tous ses muscles se tendre contre elle. C’était le moment. Alors, sans cesser de caresser le clitoris de Madame, elle glissa un doigt en elle, et ce fut comme une révélation. Se mordant les lèvres, Madame se contracta violemment, avant de pousser un long cri tandis que la jouissance explosait en elle.

Pantelante, il lui fallut plusieurs minutes pour reprendre pied avec la réalité. Caroline  en profita pour l’embrasser légèrement.

Dans les yeux de Madame luisait encore son extase et Caroline y découvrit aussi l’exultation d’avoir franchi ce grand pas. Avoir concrétisé un fantasme en le vivant.

Quand Monsieur vit la mine réjouie et le sourire épanoui de Madame, il sut immédiatement à quel genre d’activité culinaire les deux femmes s’étaient livrées en cuisine. Madame installa les coupes sur la petite table du salon et rapporta une autre bouteille de champagne. 

Caroline et Madame s’installèrent sur le canapé, et ils se mirent à déguster leur dessert. L’atmosphère était électrique, et la tension palpable. Madame avait osé franchir le pas et son visage rayonnait, même s’il était aisé de deviner, en croisant son regard, qu’elle attendait plus. Bien plus…

Avec un air de défi, Caroline posa sa jambe sur l’une des cuisses de Madame, leur livrant une vue délicieuse sur son intimité. Madame rentra dans son jeu et se mit à la caresser gentiment, d’une main légère mais manifestement efficace. Monsieur sentit son excitation monter encore d’un cran. Comme il le pensait, Caroline était vraiment ouverte à aux érotiques. 

Puis il vit Madame étaler un mince filet de chantilly sur la cuisse de Caroline, se pencher et, d’une façon très érotique, entreprendre d’avaler cette gourmandise sucrée d’une langue agile. Elle avait l’air de se régaler, mais celle qui semblait le plus goûter ce petit jeu, c’était Caroline. Dès que la langue de Madame avait touché sa peau nue, son regard s’était enflammé. Alors, comme si la pudeur l’avait enfin quittée, Caroline plongea son doigt dans l’une des coupes débordant de chantilly, et l’étala voluptueusement sur son ventre. Puis, mue par un élan soudain, elle retroussa sa jupe et déposa une autre dose de crème sur son mont de Vénus. 

Sans la quitter des yeux, Caroline s’allongea à moitié en face d’elle, provocante, une jambe relevée sur le dossier, l’autre pendant vers le sol, alanguie et offerte. Devant ce spectacle, Madame sentit son désir s’enflammer, et elle se pencha vers Caroline. C’était peu de dire que ce dessert la tentait… mais elle allait prendre son temps pour le déguster. D’une main experte, elle commença par de simples caresses, en prenant bien soin d’éviter ce qu’attendait impatiemment Caroline. Elle allait faire durer le plaisir…

Un rapide coup d’œil vers les hommes la rassura : ils n’en perdaient pas une miette. Pourtant, quand Caroline se mit à ôter son cache-cœur et se retrouva presque nue devant elle, n’ayant plus que sa jupe retroussée et s’offrant à elle dans une posture quasi animale, Madame ne put s’empêcher d’être surprise. Agréablement surprise. Vraiment, Caroline n’avait peur de rien, et ça lui plaisait. Elle aimait cette audace, au moins autant qu’elle aimait le physique de Caroline.

Et, en se penchant de nouveau vers elle, elle posa les lèvres sur les siennes. Un baiser langoureux, intense, qui fit encore grimper d’un cran la tension de la pièce. Simultanément, elle caressa les seins de Caroline avec virtuosité, puis son corps tout entier, laissant ses mains glisser sur la peau si douce et qui réagissait si bien à ses caresses. Puis, d’un mouvement langoureux, elle descendit vers le ventre de Caroline, pour déguster la chantilly. À coups de langue, elle se mit à l’étaler, la laper, sans pour autant lâcher son emprise sur les seins sublimes de Caroline. Cette dernière ferma les yeux, ne s’exprimant plus qu’en soupirs et en râles de plaisir. Frissonnante, elle chuchotait des mots incompréhensibles et, sous l’emprise d’un désir allant crescendo, ondulait de tout son corps. Puis, agitée d’un spasme plus violent encore, elle tendit son bassin vers Madame, s’offrant, impudique, submergée par une envie que rien ne semblait pouvoir apaiser.

Madame s’approcha peu à peu de son sexe ainsi exposé, brûlant et humide à la fois, et se mit à le débarrasser de sa crème sucrée à petits coups de langue, en s’attardant sur les endroits qu’elle savait les plus sensibles. Elle adorait cette sensation. Elle adorait sentir le sexe de Caroline s’ouvrir pour elle, vibrer sous ses coups de langue, obéir à ses caresses. Elle suspendit un instant le mouvement de sa langue, et savoura le gémissement de protestation qui s’éleva aussitôt. Puis, tout doucement, elle reposa ses lèvres sur le sexe de Caroline, et se mit à titiller son clitoris du bout de la langue, l’avalant, le mordillant, semblant encore découvrir de la chantilly ici et là, avant d’y revenir plus sûrement pour s’en saisir et le torturer de ses lèvres douces. Caroline, le souffle court, émettait de petits cris, qui devinrent des gémissements au fur et à mesure que le plaisir montait.

Quand l’orgasme s’empara d’elle, Caroline le vécut comme une libération totale de son plaisir, un tremblement de terre au plus intime de ses entrailles et elle eut le sentiment que son sexe explosait en une myriade d’éclairs multicolores dont les ondes brûlantes se répandirent dans tout son corps. C’était comme si sa vie s’était concentrée en un seul point, là où, au moment ultime, Madame avait su la faire décoller d’une dernière caresse folle avec ses lèvres.

Tendue comme un arc, elle ne poussa qu’un long gémissement de bonheur avant de retomber, vaincue et alanguie, tous ses sens apaisés et à la limite de l’inconscience. Elle regarda sa maîtresse avec admiration, et se mit à lui caresser les cheveux avec tendresse. Nulle parole ne vint troubler ce moment et elles se contemplèrent avec une nouvelle complicité acquise au plus fort de leurs ébats. Madame lui sourit, embrassa une dernière fois et avec douceur son clitoris avant de se tourner vers leurs hommes.

Elle proposa à Jean de les rejoindre. Caroline la regarda s’éloigner et s’asseoir face aux hommes dans une pose totalement impudique. En tournant la tête, elle eut un frisson en voyant Jean se déshabiller prestement, libérant une érection triomphante et venir les rejoindre, entièrement nu. Il lui offrit un baiser et s’installa aux genoux de Madame, à même le tapis. Caroline était subjuguée par cette vision érotique. Son partenaire était doué, elle le savait, et voir sa bouche s’emparer du sexe de Madame avec délectation, forçant avec ses mains l’écartement de ses cuisses, lui donnait envie d’être à sa place. Follement envie.

Fixant Madame, comme si cela allait pouvoir lui donner accès à ses sensations, elle put découvrir dans ses yeux mi-clos un désir grandissant alors que ses seins se soulevaient à un rythme de plus en plus rapide. Quand elle commença à gémir et secouer la tête, Caroline ne put s’empêcher de glisser une main entre ses propres cuisses. Elle était trempée. Pas étonnant, compte tenu du spectacle auquel elle assistait…

Devant ses yeux, la lutte était à l’avantage de Jean mais Madame se dégagea, le releva en l’embrassant puis le prit dans sa bouche. Voir le sexe de Jean disparaître ainsi entre ses lèvres était insoutenable, et Caroline avait l’impression de l’avaler elle-même. Puis Madame le força à s’asseoir avant de le rejoindre. Il enfila rapidement un préservatif. La voir enfourcher son homme et le guider d’une main pour mieux s’empaler sur lui la fit littéralement trembler de tout son être. Ils donnaient l’impression d’être seuls au monde et le visage de son mari reflétait un plaisir intense, certainement accru par sa présence silencieuse à ses côtés. Il posa les mains sur les hanches de Madame qui se laissa glisser sur sa virilité avec un long cri de bonheur.

Caroline commença à se caresser tout en les contemplant, partageant leur plaisir par la vue et en explorant son propre désir grâce à ses doigts agiles. Les pensées les plus folles s’entrechoquaient dans son esprit, et, quand Madame se releva pour mieux s’enfoncer sur le sexe de Jean, Caroline intensifia sa caresse et dut fermer les yeux, le souffle très court. Quand elle les rouvrit, elle vit Madame s’agiter sur son mari, roulant du bassin dans un mouvement circulaire de grande amplitude. Jean fermait les yeux, le visage levé vers le plafond, les veines de son cou saillantes et ses mâchoires serrées témoignant de son effort à se retenir. Madame cessa brusquement pour se redresser et s’empaler de nouveau, de tout son poids, ce qui fit geindre Jean, agrippé à ses seins magnifiques. Caroline se régalait du spectacle torride quand Monsieur se manifesta :

En tournant la tête, elle le découvrit nu, debout devant elle. Il se pencha et prit possession de sa bouche avec un baiser enflammé qui la laissa essoufflée. Ses mains couraient sur tout son corps quand il l’embrassa de nouveau. C’était une expérience fantastique. Monsieur l’avait toujours fait fantasmer. Un homme séduisant et gentil mais par-dessus tout le fantasme interdit, le tabou logique de toute femme qui aimerait céder sans jamais le faire. Il était là, penché sur elle, prenant ses seins à pleines mains, alors elle s’enhardit et se saisit de son sexe dont elle découvrit avec délice l’érection grandissante.

Comme il explorait son sexe d’un doigt très doué et poussait son avantage en faisant rouler un téton entre pouce et index, elle lui murmura qu’elle avait envie de lui.

Il sourit et se redressa. L’invitation était claire, et elle prit entre ses lèvres ce sexe dont elle avait si souvent rêvé, sans jamais quitter ses yeux du regard. Elle voulait y voir le plaisir, lui faire crier grâce et sentir son désir prendre forme en sa bouche. Ce qu’il fit pour son plus grand bonheur. Ravie de sentir cette chair délicate et virile palpiter contre son palais, Caroline se livra à une fellation orgasmique pour elle et s’étonna de l’intensité du plaisir qu’elle ressentait. C’était là le petit plus de l’échangisme qui faisait cette grande différence : braver l’interdit, passer outre les convenances et savourer un acte normalement impossible. En même temps, apprécier de voir Jean en faire autant de son côté avec Madame poussait sa passion au paroxysme.

Avec un gémissement, elle accéléra ses mouvements de va-et-vient, resserrant son étreinte pour le provoquer et le projeter au-delà du point de non-retour. Mais Monsieur était un amant diaboliquement résistant et rien n’y fit malgré tout son savoir-faire. À un moment, il lui tint la tête par les cheveux et l’éloigna.

Caroline était une magicienne avec sa bouche, Mais Monsieur voulait la prendre à genoux comme une soumise.

Ses paroles furent délicieusement écoutées et elle s’empressa d’obéir, ravie de partager son plaisir avec cet homme qui s’avérait un amant fougueux et infatigable, sachant prendre l’initiative. Elle se retourna tout en le regardant par-dessus son épaule puis jeta un œil de côté en entendant des cris d’extase. Madame montait et descendait à un rythme affolant, s’empalant sur le sexe de Jean qui la guidait en tenant ses hanches. Caroline se mordit la lèvre de désir et tendit encore plus sa croupe vers Monsieur qui venait de saisir sa taille entre ses mains. Monsieur enfila lui aussi un préservatif. Et elle sentit le sexe bandé de Monsieur la pénétrer.

Enfin ! Soumise à son amant, incapable de détacher ses yeux des ébats de Madame et Jean, Caroline se sentit emportée par un tourbillon de sensations nouvelles et sauvages. Sa chair prenait le dessus sur son esprit et elle devint un animal impétueux, difficile à maîtriser et n’attendant plus qu’une chose : jouir.

Sentir ce sexe qui durcissait toujours et de plus en plus au fond d’elle était la plus délicieuse des tortures, et elle oublia tout et s’abandonna à Monsieur qui, de son côté, devait aimer la posséder. Ses gémissements achevèrent d’exciter son imagination, comme si elle possédait une caméra extérieure lui permettant de visualiser leur position et leurs corps en fusion parfaite. Alors, ivre de plaisir, comblée par ce sexe triomphant qui semblait la remplir tout entière, elle se laissa aller à la jouissance, une fois, deux fois, sans plus retenir ses cris. Des flashes de lumière crépitèrent dans sa tête, un cyclone si dévastateur s’empara de sa chair qu’il lui sembla qu’elle allait perdre connaissance, et les ondes interminables de ses orgasmes la propulsèrent vers des cieux inconnus, dans une ultime explosion.

À la même seconde, Madame eut un orgasme alors que Monsieur jouissait enfin, à croire que même en faisant l’amour avec des partenaires différents, lui et sa femme ne pouvaient s’empêcher d’atteindre une extase simultanée pour ne pas dire commune. C’était fou et inimaginable !

Apaisés, les quatre amants restèrent un long moment à échanger des caresses et des baisers, puis Madame et Monsieur se rejoignirent pour se câliner, ravis de cette première fois plutôt étonnante pour des novices et convaincante à leurs yeux. Peu après, le maître de maison proposa du champagne, suggestion chaleureusement accueillie par tous car les émotions donnaient soif, surtout celles-ci. Madame resta assise entre Jean et Caroline alors que Monsieur reprenait sa place sur son fauteuil, face à eux.

***

Si vous voulez vivre votre fantasme en toute sécurité, faites appel à Jean et Caroline, un couple escort qui saura vous apporter tous les ingrédients nécéssaires à une soirée de divertissement entre adultes consentants.

Au plaisir de faire votre connaissance.

Jean & Caroline.

TEL/SMS/WHATSAPP: +33(0)755186013

Mail: man.jean@yahoo.fr

Site: https://escortboy.org

 


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