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Etre accompagné dans la pratique du candaulisme

Etre accompagné dans la pratique du candaulisme

Category:Accompagnateur,candaulisme,escort boy Tags : 

Etre accompagné dans la pratique du candaulisme, voilà ce que Monsieur et Madame souhaitaient. Madame se lécha les lèvres en appréciant la façon dont le regard des deux hommes s’assombrit et que leur respiration devint irrégulière. Cela avait toujours été ainsi, chaud, entêtant et prêt à toute éventualité. Ses tétons se durcirent et son ventre vacilla lorsqu’elle imagina ce qui suivrait. Avec deux hommes, elle ne savait jamais qui ferait le premier pas et ouvrirait la voie.

Son mari et son escort boy avaient toujours été dominateurs au lit, mais pas comme les autres hommes le pensaient. Ils savaient ce qu’elle voulait et ils le lui donnaient… après l’avoir taquiné une ou deux fois. Ce qu’elle ignorait, c’était quel homme ferait le premier pas.

Son mari et son escort boy se jetèrent un coup d’œil, comme s’ils avaient une conversation silencieuse, décidant avec un peu d’espoir ce dont elle venait juste de penser. Son mari acquiesça et Madame prit une inspiration quand son escort boy s’avança de deux pas vers elle, posant les mains autour de sa tête, enroulant ses longs cheveux autour de son poignet, trois fois.

Elle haleta lorsqu’il tira, laissant sa tête retomber en arrière pour qu’elle puisse le regarder fixement, désirant plus.

— Tu es à moi, chuchota-t-il.

Il écrasa ensuite sa bouche contre la sienne. Elle gémit quand ses lèvres se pressèrent sur les siennes, la mordillant. Elle s’ouvrit pour lui, sa langue se mêlant avec la sienne. Il avait bon goût, sa saveur se mélangeant avec la sienne. Il tira à nouveau sur ses cheveux, le brusque picotement se dirigeant brusquement vers le jardin secret de la femme.

— Ne m’oublie pas, déclara son mari d’une voix rauque.

Son escort boy arracha ses lèvres à celles de la femme, tira à nouveau sur ses cheveux, l’obligeant cette fois-ci à regarder son mari. Le contrôle de son escort boy sur son baiser avec son mari lui donna envie de jouir sur le champ. Elle aimait quand ils se comportaient comme des mâles alphas avec elle.

Deux hommes au service du plaisir d'une femme

Deux hommes au service du plaisir d’une femme

Son mari prit son visage en coupe, puis baissa lentement la tête. Son baiser était doux, tentant, là où son escort boy n’était que feu et chaleur. C’était tellement différent. Elle ferma les yeux, goûtant sa douceur sombre lorsqu’elle se balança contre lui et son escort boy en même temps. Leurs corps étaient si près du sien et l’un de l’autre, rendant la chose plus facile.

Son escort boy l’attira et approcha sa bouche de celle de Madame. Elle lécha ses lèvres et mordilla, appréciant que le goût des deux hommes se mélange sur sa langue. Cette combinaison entêtante lui rappelait à quel point cela lui avait manqué, qu’elle mourait d’envie de revivre ça.

Les deux hommes se tournèrent pour l’embrasser, leurs mains parcourant son dos, saisissant ses fesses. Elle se perdit dans le moment, ignorant combien de temps s’était écoulé avant qu’ils s’éloignent et se tournent l’un vers l’autre.

L’escort boy effleura ses tétons et elle haleta, la sensation de ce contact bref la berçant. Madame était tellement excitée et savait qu’ils devraient faire bien plus avant qu’elle ne soit satisfaite.

Jean posa les mains sur ses seins, collant la paume sur ces renflements en se pinçant les tétons. Elle se lécha les lèvres et baissa les yeux vers l’érection de son escort boy qui tendait son pantalon, puis elle vit la même chose chez son mari. Elle avait envie de goûter ses deux hommes dédiés à son plaisir.

Son mari lui ordonna:

— À genoux, chérie.

Il tendit la main et elle y posa la sienne lorsqu’elle s’agenouilla devant lui. Le souffle de Madame s’accéléra lorsqu’elle défit la ceinture de son escort boy et descendit son pantalon. Si certaines femmes détestaient ça, elle, elle adorait faire des fellations. Elle aimait avoir le pouvoir, même si son escort boy et son mari donnaient d’habitude le ton. C’était elle qui leur procurait du plaisir, et rien qu’y penser la faisait vraiment mouiller.

Puisque lorsqu’elle en aurait fini avec eux, ils lui rendraient la pareille de la meilleure façon possible. Aussi vite que possible, elle baissa suffisamment son boxer pour pouvoir saisir son membre. Il remplissait sa main, chaud et dur qu’il était, prêt pour sa bouche. Ne voulant pas laisser son deuxième amant de côté, elle déposa un baiser sur la virilité de son escort boy avant de défaire le pantalon de son mari.

Un trio dédié au plaisir de Madame

Un trio dédié au plaisir de Madame

Son escort boy tira sur ses cheveux, les prenant dans son poing comme avant, tandis que son mari la tenait par l’épaule. Elle baissa le pantalon de ce dernier et lécha l’extrémité, tout en enroulant sa main à la base de l’érection de son mari.

Elle avait une grande dextérité et savait leur procurer du plaisir à tous les deux en même temps. Avec un dernier clin d’œil en direction de ses amants, elle se mit au travail, léchant la longueur de son escort boy avant de faire la même chose pour son mari. Les deux hommes gémirent et elle sourit avant de sucer le gland de son mari, laissant sa langue effleurer le sillon. Il se cambra dans sa bouche et elle posa une main sur sa hanche pour le maintenir en place. Elle s’éloigna légèrement pour lever les yeux vers lui.

— Laisse-moi vous goûter tous les deux avant de me prendre la bouche.
— J’aime ta bouche obscène quand tu joues le rôle de ma belle salope, déclara son mari.

Les yeux de la femme roulèrent dans leurs orbites. Elle recommença à s’affairer et lécha une goutte de liquide pré-séminal au bout du membre de son escort boy avant de faire la même chose pour son mari. Elle tenait chacun de leurs queues dans une main et s’agrippait fermement à eux, faisant rouler ses poignets lorsqu’elle tira vers le haut pour glisser sur leurs longueurs.

La verge de son escort boy était légèrement plus longue et atteignait le bon endroit en elle et la faisait loucher lorsqu’il la prenait brutalement. Celui de son mari était plus épais et l’étirait d’une façon sexy chaque fois qu’il la pénétrait.

Son mari posa une main sur sa joue et sourit.

— Laisse-moi te regarder prendre Jean, ma chérie. Ensuite, tu pourras t’occuper de moi. J’adore que tu lui suces ses boules quand tu lui fais une fellation.

Elle retint un gémissement dans sa gorge, puis acquiesça avant de se retourner vers Jean. Parce qu’elle savait que son mari et son escort boy adoraient ça, elle releva la verge de ce dernier contre son ventre et suçota ses testicules.

Madame en fit rouler un sur sa langue, puis s’attaqua à l’autre de la même façon. Elle pouvait sentir la sucette de son escort boy qui palpitait quand elle suçait, et répéta donc le processus. Lorsqu’elle ne put en supporter davantage, et qu’elle eut la sensation que son escort boy ressentait la même chose, elle commença à sucer son érection dans un long mouvement.

L’exclamation de désir et de surprise de son amant était une douce mélodie à ses oreilles. Elle recula, impatiente de continuer une fois qu’elle aurait retrouvé son souffle.

Elle sentit son escort boy la prendre dans ses bras et la poser sur le canapé en L avec les coussins moelleux, parfaits pour que deux personnes se blottissent confortablement.

Ils se dénudèrent rapidement tous les trois et après avoir enfilé un préservatif, son escort boy s’enfonça en elle, millimètre par millimètre, la faisant agoniser et gémir. Il la comblait sous les yeux de son mari consentant.

Son mari s’était déplacé pour se placer sur le canapé, à côté d’elle, sa virilité devant les lèvres de Madame. Elle ouvrit la bouche pour lui et se laissa aller. Les deux hommes la baisaient brusquement, son escort boy dans sa chatte, son mari dans sa bouche. Les mains de son mari étaient emmêlées dans ses cheveux, tandis que son escort boy s’agrippait à ses hanches.

Liberttinage de couples consentants

Liberttinage de couples consentants

Son escort boy faisait des va-et-vient réguliers, incessants, et pourtant exquis. Puis il s’enfonça brusquement en elle une fois de plus et cria son nom. Madame relâcha le sexe de son mari, et embrassa son escort boy qui remplissait le préservatif. Jean redonna des coups de reins, son pouce frottant le clitoris de Madame quand elle jouit, son gémissement étouffé par la bouche de son mari.

Ce dernier se retira et son corps continua de trembler quand son mari se glissa en elle. Elle laissa sa tête retomber sur le canapé tandis que son escort boy s’en allait pour se débarrasser du préservatif.

Son mari avait dû en enfiler un, lui aussi, quand elle avait été en train de jouir, puisqu’elle vit que sa verge était protégée lorsqu’il recula. Les doigts de son mari s’enfonçaient dans sa taille quand il donna des coups de reins en elle et leurs regards se rivèrent l’un sur l’autre.
Son escort boy revint dans la pièce et s’assit à côté d’elle, parcourant son corps de ses mains. Il posa les paumes sur ses seins, avant de les suçoter, puis il baissa la main pour jouer avec son clitoris quand son mari faisait l’amour à sa femme.

Elle ferma les yeux, perdue dans les mouvements et les sensations jusqu’à ce qu’elle plane à nouveau sur la vague de l’orgasme qui s’écrasait. Cette fois, ce fut son mari qui jouit dans le préservatif.

Son mari se retira, s’éloignant pour se débarrasser du préservatif tandis que son escort boy et Madame s’allongèrent sur le canapé.

— Ça m’avait manqué, vous m’avez manqué cher Jean dit-elle.

Elle sourit et se blottit contre lui. Son mari réapparut et saisit une couverture sur le dossier du canapé. Son escort boy attira Madame sur lui quand son mari s’allongea près d’eux. Elle roula sur le ventre pour enlacer ses deux amants, ses membres lourds et son corps satisfait.

❤️  ❤️  ❤️

L’idée d’une expérience de sexe à trois est un plaisir pour couples qui cherchent à Etre accompagné dans la pratique du candaulisme. Beaucoup d’hommes ont envie d’offrir leur épouse par amour à un autre homme pour pouvoir la regarder prendre du plaisir devant leurs yeux ébahis .

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Triolisme avec un escort boy pour le plaisir du couple

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Jean

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triolisme avec un escort boy à paris

Découvrez de nouveaux plaisirs sour les yeux de votre mari

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Découvrez de nouveaux plaisirs sour les yeux de votre mari, Son mari prit une bouteille de vodka dans le bar et la tendit à sa femme. Cette dernière hésita :

– Je ne tiens pas trop l’alcool. Et puis, je préférerais un verre.

– Allez, rien qu’un peu, histoire de te détendre, insista son mari.

Elle le regarda. Son regard était décidément lubrique et son attitude explicite. Elle savait ce qu’il avait derrière la tête. Elle savait qu’il avait invité un ami dans un but précis.

À la façon dont l’ami de son pari la reluquait, elle devinait sans difficulté qu’il avait envie de la baiser. Elle ne comprenait pas ce qui se passait en elle, mais elle en avait envie aussi. Elle avait envie que pour la première fois de sa vie ce soit sale et humiliant.

Après avoir hésité, elle but une gorgée au goulot. L’alcool lui piqua la gorge.

– C’est bien, ma chérie, souffla son mari en se rapprochant d’elle.

De deux doigts, il leva le bas de la bouteille pour qu’elle boive une autre gorgée. sa femme sentit une douce chaleur se répandre dans son corps. Elle avait des papillons dans le ventre.

– Tu veux me saouler ?

– Je veux juste que tu sois relax.

Elle avait appuyé ses fesses contre le bord de la table et Jean vint à côté d’elle, tout près. D’une main, il lui caressa les cheveux, défit avec douceur l’élastique qui retenait ses mèches blondes en queue-de-cheval.

une femme s'offre devant son mari

une femme s’offre devant son mari

– Tu es une très belle femme, tu sais.

– Merci, souffla la dame.

Ses cheveux se répandirent sur ses épaules. C’était l’approche la plus directe et la plus sans gêne qu’elle avait connue. Il ne s’expliquait pas, ne cachait pas ses intentions comme s’il était sûr qu’elle allait se laisser faire. Et c’est d’ailleurs ce qui se passait. Elle ne se reconnaissait pas elle-même. Son esprit commençait à s’embrouiller sous l’effet de l’alcool et de l’excitation.

La main de l’ami de son mari passa de ses cheveux à sa cuisse. Il remonta sa jupe de quelques centimètres.

– J’aime beaucoup tes seins, dit-il, la main toujours sur la cuisse de la femme. Tu fais quelle taille ?

La dame déglutit.

– 90c.

– C’est bien ça, juste ce qu’il faut, susurra le gentleman en lui malaxant les seins à travers son chemisier. Tu me les montres, ma belle ?

En tremblant, elle déboutonna son chemisier et l’ouvrit, dévoilant un soutien-gorge en dentelles noires. Son mari se passa la langue sur les lèvres en la regardant remonter le soutien-gorge pas dessus ses seins.

Jean se remit à les malaxer l’un après l’autre et la dame gémit. Ses pointes étaient incroyablement dures. Le gentleman les fit rouler entre ses doigts. La femme voulut l’attirer à lui pour l’embrasser mais Jean repoussa avec douceur et fermeté ses bras le long de son corps.

– Non, laisse-toi faire, ordonna-t-il.

La dame obéit. Elle n’avait pas l’habitude qu’on la traite ainsi mais ça la chavirait de se transformer en poupée docile le temps d’une soirée pour le plus grand plaisir de son mari mais aussi le sien. Elle n’avait jamais fait ça de sa vie et ça commençait à la rendre folle de le faire devant son mari.

Jean avait repris ses seins dans ses mains et jouait avec, les soupesant l’un après l’autre comme s’ils étaient de la marchandise. Il gardait les yeux fixés sur eux et sa femme vit la bosse énorme qui déformait son pantalon.

– Maintenant fais voir ton cul, dit-t-il entre ses dents d’un ton brûlant.

Frémissante, la femme se tourna, posa les mains à plat sur le table. Son mari s’approcha et souleva sa jupe et la roula autour de sa taille, révélant son minuscule string noir ainsi que sa croupe ronde et ferme aux yeux de son ami Jean.

Jean lui mit une claque sur les fesses qui la fit sursauter et pousser un petit cri. Il ne lui avait pas fait mal, son cri était un cri de surprise et d’humiliation. Elle se mordit les lèvres car elle n’avait jamais autant mouillé d’anticipation. Le mauvais traitement de cet homme inconnu aiguisait son désir, ses rêves inavoués de soumission et d’abandon.

Elle resta penchée, les mains sur la table, tête baissée, les fesses offertes et les seins sortis du soutien-gorge tandis qu’il promenait ses mains sur son corps.

Jean l’explora et la regarda en toute tranquillité, prenant son temps, comme on évalue un objet dont on va se servir afin d’assouvir ses envies. Il lui pinça un mamelon, lui remit une claque sur les fesses, une autre sur les seins puis baissa son string.

 

Les yeux fermés, la dame lâcha un long gémissement quand l’homme glissa enfin une main entre ses cuisses. Elle était au-delà de la honte, absorbée par son excitation.

– Tu mouilles à fond, commenta-t-il. Tu as envie ?

Jean saisit son pubis, puis frotta sa main contre sa fente trempée, d’avant en arrière, répandant son humidité entre ses cuisses et ses fesses. La femme ondula et tendit sa croupe en arrière, se cambrant le plus possible.

L’homme colla son pantalon contre elle et à travers le tissu, elle put sentir la dureté de son partenaire. Avec un frémissement, elle l’entendit défaire sa braguette. Il lui attrapa les cheveux, tira sa tête en arrière avec brutalité.

– Je vais bien te fourrer devant ton mari, ma belle salope.

Jean mit ensuite ses doigts dans sa bouche, l’obligeant à les lécher avant de recommencer à titiller les tétons de la femme. Sans retenue, il lui enfonça ses doigts dans la chatte et se mit à bouger en elle tout en caressant son clitoris du pouce.

La dame sentit une vague de plaisir l’envahir. Cette domination bestiale exercée sur elle lui faisait perdre tous repères et toutes limites. En cet instant elle n’avait plus aucune dignité, elle voulait juste que cet homme inconnu la baise et la fasse jouir comme une chienne lubrique devant son mari.

Jean cessa de la doigter pour enfiler un préservatif sur son énorme queue dressée. Il agrippa à nouveau la chevelure de la jeune femme pour lui faire voir l’emballage déchiré avant de le jeter sur la table sous son nez.

– Écarte les cuisses, commanda-t-il en ouvrant ses jambes du genou.

Les fesses en l’air, elle se laissa coucher sur la table, la joue contre l’emballage du préservatif et miaula quand la queue de son amant taquina l’entrée de son jardin secret.

Jean s’insinua en elle avec une progression extrêmement lente qui permit à la dame de sentir combien sa queue de mâle en rut était longue et large, et combien il la remplissait.

Jean passa une main sous son ventre, recommença à lui agacer le clitoris tout en effectuant de lents va-et-vient. Les yeux mi-clos, plaquée contre la surface froide de la table, elle le vit regarder sa grosse bite lui rentrer dedans. Cette vision salissante la mena sans qu’elle sache pourquoi au bord de l’orgasme. Elle haleta de plus en plus fort, emportée, touchant presque la jouissance.

Son mari les regardait avec envie.

La dame ouvrit les yeux et tenta de se redresser mais Jean plaqua une main contre sa nuque et s’allongea sur elle, sa queue toujours entre ses jambes.

– Ton mari va s’éclater avec nous.

Jean pressa un peu plus fort son clitoris, déclenchant une nouvelle montée de plaisir. Il lui lécha le cou et lui mordilla l’oreille avant de se relever.

Madame aime se donner à son escort boy devant son mari candauliste

Madame aime se donner à son escort boy devant son mari candauliste

Son mari s’approcha, un sourire coquin aux lèvres. Il était grand et tout aussi bien bâti que Jean. Se faire baiser par un quasi inconnu était déjà un fantasme inavouable mais elle n’aurait jamais imaginé donner du plaisir à deux hommes en même temps !

Pourtant elle n’eut pas la force de se redresser. Comme elle ne réagissait pas, Jean recommença à empoigner ses hanches et à aller et venir dans sa chatte.

Sans se départir de son sourire, son mari effleura ses lèvres du doigt puis posa une main sur ses fesses. La femme était mortifiée, au comble de l’humiliation. Ni l’un ni l’autre ne lui avait demandé la permission et elle devinait qu’ils avaient tout orchestré. L’idée de s’être laissé manipuler et de servir leurs envies tel un jouet la mettait en colère et en même temps l’excitait au plus haut point. Ils allaient la rabaisser et la malmener jusqu’au bout et elle ne parvenait pas à lutter. C’était trop bon.

– Elle a le cul bien ferme, dit Jean à son mari.

– Et elle glisse bien, tu vas voir, ajouta ce dernier en continuant à bourrer sa femme.

Malgré elle, la femme recommença à gémir. Tandis que Jean continuait à la baiser, son mari commença à lui caresser les fesses, le dos et la nuque tout en la regardant se faire prendre. De sa main libre, il défit la ceinture de son pantalon et ouvrit sa braguette, révélant sa grosse queue déjà dure.

– Je vais te la mettre quand il aura fini, annonça son mari.

La dame sentit l’orgasme monter. Elle s’abandonna complètement aux coups de reins de plus en plus violents de son amant et toucha le seuil de la jouissance quand deux doigts enfoncés dans son cul la firent redescendre un peu.

Tout en commençant à se branler, son mari bougea ses doigts dans son anus avec un sourire vicieux. Il ne l’avait jamais touché là auparavant. C’était sa toute première fois. La surprise la fit haleter de plus belle. Elle se sentait terriblement humiliée par cette intrusion, honteuse de se laisser faire et d’aimer ça. Découvrez de nouveaux plaisirs sour les yeux de votre mari.

Les doigts de son mari bougèrent lentement tandis que la bite de Jean la pilonnait à un rythme soutenu. Le contraste lui fit tourner la tête et elle ferma les yeux pour accueillir le plaisir qui grondait à nouveau. Mais avant qu’elle n’ait pu jouir, son partenaire se retira d’elle, ôta son préservatif et éjacula sur ses fesses dans un râle.

Tremblante, elle se laisse faire quand les mains de son mari prirent le relais. Il lui fit enlever son string jusque-là baissé à mi-cuisse, puis sa jupe. Les yeux rivés au sol, n’osant regarder aucun des deux hommes, elle obéit quand son mari lui intima de retirer sa jupe et de s’en servir pour s’essuyer.

Il saisit le bout de tissu souillé puis le posa sur la table à côté d’elle quand elle eut fini. Il lui déclara d’une voix froide qu’elle allait encore en avoir besoin. Après quoi, il la souleva sous les aisselles et l’aida à s’asseoir sur la table, les cuisses grandes ouvertes.

Ainsi exposée et offerte, elle garda fermement les yeux baissés quand les deux hommes lui tripotèrent sans vergogne les seins et la chatte. Elle évitait leur regard et ne voyait que leurs mains sur sa peau de satin. Ils la doigtèrent l’un après l’autre, puis en même temps. Deux doigts dans le cul, deux doigts dans la chatte ; échangèrent en riant, en s’excitant mutuellement.

Les doigts de son mari lui fouillèrent les deux entrées simultanément tandis que la main de Jean lui claquait et lui pinçait la poitrine.

Maintenant si dur qu’il se sentait sur le point d’exploser, son mari déchira à son tour l’emballage d’un préservatif, l’enfila sur sa grosse queue puis saisit sa femme par les cuisses. Il la positionna à sa guise, ramena son bassin tout au bord du bureau et la pénétra. Comme Jean plus tôt, il observa sa verge aller et venir dans la petite chatte rose de la femme. On voyait bien les rondeurs de ses lèvres intimes car elle était parfaitement lisse en dehors de quelques poils blonds sur le pubis.

– Humm, elle est bonne, putain. Tu l’as bien ouverte, ça va tout seul, dit-il à Jean tout en faisant rebondir ses couilles contre les fesses de sa femme.

Il la tint par la taille pour bien lui rentrer sa bite à fond et les seins de la femme ballottèrent en rythme. Il sortit sa langue pour lui lécher les pointes à chaque fois qu’il s’enfonçait en elle.

– Regarde-moi ça comme elle aime la bite, souffla Jean en regardant ses seins et la chatte de la femme en train de servir au plaisir de son mari.

La femme atteignit enfin l’orgasme sous l’œil des deux hommes. Les commentaires dégradants, la bestialité des ébats la poussaient au-delà de ses limites, de sa maîtrise habituelle. Elle découvrait la jouissance absolue, la liberté dans le fait d’être transformé en objet sexuel. Elle n’avait plus aucun effort à fournir, elle se contentait de se soumettre, de s’abandonner au désir de l’autre.

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Ce n'est pas tromper si votre mari vous regarder avec un escort boy qu'il a choisi pour vous

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Jean

☎ +33755186013
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candaulisme avec un escort boy

Admirer sa compagne avec un autre homme

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Monsieur voulait admirer sa compagne avec un autre homme. Monsieur ferma la porte derrière lui puis il s’installa à côté de sa femme sur la banquette. Après avoir chuchoté un mot à l’oreille de Madame qui se contenta d’un positif de la tête, Jean rejoignit Madame et lui présenta sa main. 

Monsieur voulait offrir sa femme à un escort boy

Monsieur voulait offrir sa femme à un escort boy

– Veux-tu m’accompagner jusqu’à ce lit ? demanda-t-il avec un petit sourire charmeur.

Après avoir regardé son mari qui lui donna son accord, Madame se mordit la lèvre inférieure. Elle prit la main de l’escort boy et se leva. Jean la plaqua aussitôt contre lui et lui embrassa fougueusement les lèvres..

Les baisers de Jean était très agréable. Mais, elle avait encore plus envie de se comporter comme une grosse cochonne qu’elle avait envie d’être devant son mari.

Jean caressa alors ses joues avant de descendre ses mains vers son décolleté plongeant. Il passa ses pouces entre la raie des seins puis descendit jusqu’à ce que les deux globes laiteux jaillissent de leur prison de dentelles. 

Au centre des larges mamelons bruns, les tétons pointaient vers Jean et démontraient à quel point Madame avait envie de lui. Elle poussa un long gémissement quand la bouche du gentleman suça ses deux pointes de chair goulûment, comme un bébé affamé.

Monsieur aimait admirer sa compagne avec un autre homme et surtout quand elle se comportait comme une allumeuse devant lui. Cela provoquait chez lui des érections spectaculaires qu’il ne manquerait pas de faire goûter à sa femme en fin de soirée, une fois que l’escort boy serait parti.

Mais cela eut un effet immédiat et il sentit le gland de sa virilité le picoter, le démanger. Les bruits de succion que faisait la bouche de Jean sur les mamelons de sa femme étaient aussi déroutants qu’excitants. Madame se laissait faire, gémissait en lui caressant d’une main les cheveux. 

Partager sa femme avec un escort boy

Partager sa femme avec un escort boy

Monsieur sentit une nouvelle décharge électrique traverser sa verge quand Jean la poussa sur le lit. Dans sa chute, Madame poussa un petit cri aigu puis rigola. Elle était assise au bord du lit. Jean s’agenouilla, se baissa jusqu’aux chevilles qu’il embrassa tendrement. 

Madame poussa encore des petits cris ravis, car on ne lui avait jamais embrassé les chevilles. Elle caressait les cheveux dee Jean, dévorait chacun de ses gestes, chacune de ses caresses. Jean se redressa en remontant sa robe jusqu’aux genoux. Face à cette femme qu’il sentait toute frémissante, il suça encore ses tétons. 

Madame bombait le torse pour que ses seins cognent contre le visage de Jean afin de ressentir la moindre caresse. Sa petite chatte était trempée, mouiller pour un autre homme et elle n’en éprouvait pas la moindre culpabilité.

– Allonge-toi, demanda gentiment Jean.

– Comme ça ? piailla Madame toute joyeuse.

Elle se pencha doucement en arrière, ses yeux dardant ceux de son bel amant. Sa chevelure lumineuse toucha le matelas en premier puis son dos. Jean demanda alors :

– Soulève tes cuisses ma belle.

La femme de Monsieur rougit en pensant à ce qui allait se passer. Prise dans un tourbillon de sens encensés par l’interdit et par la présence de son mari, elle souleva ses cuisses et sentit sa robe glisser jusqu’à ses hanches. 

Sous le regard écarquillé et lubrique de Monsieur, Jean saisit la culotte en dentelle transparente de son épouse et la fit glisser le long des cuisses laiteuses et satinées. Les lèvres gonflées et humides du vagin se dévoilèrent aux deux hommes. Monsieur pensa encore un instant que sa femme allait fermer les cuisses, allait cacher son intimité, mais au contraire, elle les écarta et les monta jusqu’aux oreilles, offrant ainsi son vagin trempé, ses poils pubiens mouillés, à son amant devant son coquin de mari.

Un moment de divertissement avec un escort boy

Un moment de divertissement avec un escort boy

Madame poussa un râle de plaisir quand elle vit le visage de l’escort boy disparaître entre ses cuisses écartées et sentit sa langue la fouiller. Son mari était tellement excité de pouvoir admirer sa compagne avec un autre homme.

– Oh oui, c’est bon Jean, continue, miaula-t-elle malgré la présence de Monsieur qu’elle semblait avoir totalement oublié.

Jean lui suça sa petite cerise, ses lèvres intimes, puis introduisit trois doigts dans son jardin secret trempé et fit de rapides aller-retour pour la rendre esclave de ses désirs, de sa volonté de la traiter en petite chienne obéissante et folle de luxure.

Assailli de sentiments contradictoires, Monsieur n’en pouvait plus. Emporté par la scène, il se leva, déboutonna son pantalon qu’il laissa tomber sur ses chevilles et, hésita encore à se toucher malgré sa formidable érection. 

Jean était littéralement en train de bouffer la chatte à sa femme et cela lui donnait un plaisir monstrueux. Son mari était hypnotisé par la scène. Madame poussait des petits cris, haletait comme une petite chienne essoufflée, avait déjà joui deux fois sous la langue habile de l’escort boy. Les yeux fermés, elle sentit une main lui prendre le poignet.

– Viens, dit Jean, tu vas montrer à ton mari ce dont tu es capable. Il va pouvoir admirer sa compagne avec un autre homme.

Il la redressa puis se mit de profil de façon à ce que son mari ne rate aucun détail de la scène.

– Vas-y, montre lui ce que secrètement tu rêves de faire à tous les types que tu croises dans la rue.

Essoufflée de s’être aussi bien fait lêcher, envahie de vagues de plaisir et toujours aussi excitée, Madame papillonnait des yeux, avait du mal à les ouvrir, naviguait à mille lieues de là, dans un pays où des dizaines d’hommes la satisferaient jour et nuit.

Sans regarder une seule seconde son mari qui hésitait toujours à se masturber, elle caressa la bosse du pantalon de l’escort boy et griffa toute la longueur du sexe moulé par le tissu serré. Elle approcha ses lèvres et embrassa le moulage de sa bite avant d’ouvrir la bouche et de la mordre délicatement, sensuellement, avec immoralité, avec l’envie d’aller plus loin.

Elle recula son visage rougi par les émotions et descendit doucement la braguette. La bosse du caleçon de l’escort boy sortit aussitôt, comme si elle étouffait. Madame retira le bouton et descendit le pantalon jusqu’à ses chevilles. Les muscles saillants des cuisses augmentèrent plus encore son excitation et elle les massa avant de croquer doucement la chair dure comme du bois de son partenaire. 

Tout en les embrassant, elle posa ses mains de chaque côté du caleçon, glissa ses doigts à l’intérieur et tira vers le bas. Trop serré dans le sous-vêtement, le sexe de l’escort boy jaillit devant son visage et lui effleurant le front. Elle crut qu’elle allait avoir un nouvel orgasme rien qu’en matant cette queue étrangère dont les dimensions correspondaient à celle de son godemichet, à celle de ses fantasmes les plus fous.

Madame ne résista pas une seconde de plus et embrassa le gland de l’escort boy, le lécha sur toute la périphérie, suça le jus transparent qui sortait de l’urètre, le glissa entre ses lèvres et avança la tête pour s’empaler dessus, pour le sentir vivre bien au fond de sa gorge. Jean gémit de plaisir et commença à donner de petits coups de bassin.

Sa femme se faisait prendre par la bouche devant lui et elle se laissait faire. Monsieur aimait admirer sa compagne avec un autre homme. 

Prendre du plaisir avec son escort boy devant son mari consentant

Prendre du plaisir avec son escort boy devant son mari consentant

N’en pouvant plus, sentant sa virilité le picoter sur chaque millimètre carré, Monsieur l’empoigna et commença à se masturber avec force. Voir cette scène était à la fois terrible pour son honneur de mâle, mais aussi d’une intensité oubliée depuis sa première année de sexe avec Madame. Et il n’avait envie que d’une seule chose : qu’elle se fasse prendre comme une putain, car il était sur de jouir comme un fou en la voyant s’offrir à un autre.

Jean attrapa une grosse touffe des beaux cheveux bouclés de Madame pour immobiliser sa tête et lui offrit un panel de sa vigueur en frappant plus fort son gland contre le fond de sa gorge.  Aux bruits de ventouse se mêlaient les gémissements de sa femelle.

– T’aime ça hein te faire pénétrer par ma grosse sucette, grogna Jean.

– Hummmm, répondit sommairement Madame dont les pupilles se dilataient de plaisir. 

Les yeux mi-clos, Monsieur sentait qu’il allait jouir, mais au moment de grâce, il sentit une main serrer son avant-bras. Il sursauta et croisa le regard lubrique de sa femme. Ses beaux seins en forme de poire et aux larges tétons d’ébène pointaient vers lui. Sans jupe ni culotte, elle était dans son plus simple appareil. 

L’éclairage tamisé de la pièce rendait sa peau luisante et veloutée. Elle avait donc arrêté de sucer l’escort boy et s’approchait maintenant de lui attiré par sa virilité tendue.

Toujours en souriant Madame avança une main vers son membre prêt à exploser. Il frémit quand la main aux ongles vernis de rouge emprisonna sa verge de ses longs doigts fins.

– Tu veux que je te suce ? dit enfin Madame d’une voix aux tonalités félines. 

Tout sourire, Madame s’agenouilla à ses pieds et tint sa promesse en ouvrant grand la bouche pour avaler la queue et les couilles de Monsieur. Pendant ce temps l’escort boy ne perdit pas de temps et enfonça sa grosse tige au fond de la dame.

Jean enfonça sa virilité en elle violemment alors que son corps tanguait d’avant en arrière en suçant son mari. Il entama un mouvement de va-et-vient de plus en plus rapide. Soudain, Madame jouit violemment, un cri au bord de ses lèvres ; et dans un râle, elle lâcha prise dans les bras de l’escort boy.

Au même instant, Monsieur poussa un rugissement en jouissant dans la bouche de sa femme. Cela fit sourire Jean. L’escort boy sentait la douce chaleur du fourreau baveux de Madame autour de ses couilles, de sa barre de fer et se laissa complètement aller en giclant dans le préservatif, les yeux fermés et en hurlant de plaisir.

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Avez-vous envie d’admirer sa compagne avec un autre homme ? Beaucoup de couples rêvent de certaines situations érotiques sans pouvoir les vivre. Vous êtes tous en droit de profiter de la compagnie d’un gentleman qui traitera votre compagne comme une lady et ne jugera pas votre envie de sexe et de plaisir sans lendemain pour vivre un fantasme.

Un gentleman qui vous transportera dans la magie d’une soirée hors du temps en toute discrétion et en toute sécurité. Vous oublierez tous vos soucis et pourrez lâcher prise lors d’une expérience de divertissement unique dans un respect mutuel avec protection.

Candaulisme, triolisme, échangisme tout est possible. Au plaisir de vous séduire, de vous faire rire, de divertir votre couple. contactez moi et je vous dirai tout ce que vous brûlez de savoir.

Au plaisir de faire votre connaissance.
Jean

☎ +33755186013
@ man.jean@yahoo.fr
https://escortboy.org/fr/rendez-vous/

 


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Offrir un escort boy à sa femme

Offrir un escort boy à sa femme

Category:candaulisme,escort boy,triolisme Tags : 

Alors que le dîner touchait à sa fin et que Monsieur allait offrir en cadeau un escort boy à sa femme dans ce restaurant chic parisien. Madame se jeta sur les lèvres du gentleman, les embrassa fougueusement en lui posant le plat de la main droite sur la braguette. Madame sentit la grosseur du large bâton de l’escort boy entre ses doigts palpant la matière. 

Madame sentit la grosseur du large bâton de l'escort boy

Madame sentit la grosseur du large bâton de l’escort boy

Son mari sentit un coup de poignard lui traverser le bide. Comment osait-elle l’embrasser devant lui aussi vite ? Elle savait qu’il aimait ça ! Cette main qui triturait la bosse de son jean sans aucune gêne ! Cette sensation donnait à monsieur de vifs picotements dans sa verge. 

Son mari appréciait que sa femme se comporte en dévergondée, puisque c’était un jeu. Il la laissa faire, les laissa s’embrasser à pleine bouche, la laissa se faire peloter les seins à travers sa veste. Il eut envie de se masturber, mais le lieu était mal choisi.

– On ne peut pas faire ça ici, leur dit-il tandis que les amants s’ébattaient dans des caresses fougueuses et de plus en plus osées.

Madame avait tellement envie de cette queue étrangère, de cette bite qu’elle matait en douce dans le restaurant, qu’elle s’agenouilla et baissa nerveusement la braguette. Son mari se raidit devant cet agissement aussi impatient qu’imprévu. Encore une fois, Madame semblait oublier sa présence. Heureusement Jean, qui sentait son mari tendu, calma les ardeurs de la dame.

 – Je connais un coin plus tranquille si vous voulez.

– Évidemment ! dit Son mari.

– D’accord, souffla Madame après avoir embrassé la bosse du jean. Où va-t-on ?

– Ce n’est pas loin d’ici..

Ils embarquèrent dans le 4×4 de monsieur le mari. Madame monta à l’avant et pendant le trajet, caressa la cuisse de son mari pour le rassurer. Elle s’en voulait d’avoir embrassé le beau gentleman sur les lèvres, de lui avoir touché la bosse comme une femelle affamée de sexe, mais depuis le temps qu’elle attendait ça, depuis le temps qu’elle fantasmait sur cette queue si tentante, qu’il avait été trop dur de résister, même devant son mari. Mais monsieur n’avait pas l’air de lui en vouloir ou tout du moins, ne le montrait pas.

 – C’est ici, montra Jean du doigt, après cinq minutes de voiture.

– Quoi ce parking ? s’exclama son mari, étonné d’en quitter un pour en retrouver un autre.          

– Oui, c’est le seul de Paris où tu es sûr d’être tranquille. Les flics n’y passent jamais.

– Si tu le dis, maugréa le conducteur.

Il fit le tour d’une station essence désaffectée, grillagée sur toute la périphérie, hormis un écart entre deux barrières dans lequel le 4×4 s’engagea. Quelques secondes plus tard, ils se retrouvaient derrière le bâtiment, à l’abri des regards et de la rue principale. Un lampadaire éclairait l’arrière de l’ancienne station ainsi qu’une parcelle boisée.  

Madame et son escort boy sur la banquette arrière

Madame et son escort boy sur la banquette arrière

Dès que son mari serra le frein à main, Madame descendit de voiture et ouvrit la porte arrière. L’escort boy  s’apprêtait à descendre, mais la jeune femme plaqua ses mains sur son torse et le força à s’allonger sur la banquette arrière. Aussitôt elle descendit sa braguette et poussa un petit rire sauvage à cause de l’absence de boxer. Elle passa la main à l’intérieur du jean et, frissonna quand ses doigts entourèrent le membre chaud. 

D’un petit coup de poignet, elle le sortit et contempla en se mordant la lèvre l’énorme sexe en érection. Son mari avait bougé le rétroviseur intérieur et la regardait sans rien dire. Leur regard se croisa ; ils se sourirent timidement, puis monsieur cligna des yeux en hochant la tête.

Sans quitter son mari des yeux, Madame ouvrit ses lèvres pulpeuses, sortit le bout de sa langue et titilla le gros gland violacé du gentleman, toujours en regardant Son mari. Ce dernier sentit ses poils se dresser sur ses avant-bras, mais aussi ceux de son sexe coincé dans son caleçon. Il ravala sa salive quand Madame ouvrit la bouche et avala progressivement le gland, puis le manche. Ensuite, il perdit le contact de ses yeux ; des bruits de succion inondèrent l’habitacle, les gémissements d’un autre homme les accompagnèrent.

– Vas-y, suce-moi, lui dit Jean.

L’escort boy pour couples exigeants lui attrapa sa chevelure et la tira un peu, sans trop lui faire mal. Son mari ne réagit pas, se demanda à nouveau jusqu’où sa femme se laissera faire.

– Ton mari est au courant que tu te tapes le premier type que tu croises ?

Madame poussait des grognements en suçant sa queue, cette queue gourmande, affriolante, irrésistible, malgré les sacrements du mariage qu’elle offensait de manière crue, sans détour, avec franchise et consentement mutuel. 

Madame sentait son côté diaboliquement salope prendre possession d’elle

Madame sentait son côté diaboliquement salope prendre possession d’elle

Madame sentait la démone prendre possession d’elle, elle voulait jouir, avoir des orgasmes à répétition avec n’importe qui et pour rien au monde elle ne renierait plus sa nature de femelle excitée par tout ce qui était gros, grand et dur. Comme celle de Jean. 

Son mari laissait faire, il aimait offrir un escort boy à sa femme, toutes ses barrières étaient tombées et il adorait voir sa jeune femme être traitée comme une salope. En un mois, elle avait déjà sucé deux types, deux queues inconnues s’étaient introduites dans sa bouche. Ne tenant plus, Son mari défit sa ceinture, déboutonna son jean, descendit sa braguette, son caleçon et commença à se branler, le regard planté sur la pipe qu’offrait sa femme au gentleman. À chaque insulte de Jean, Madame poussait comme un grognement de plaisir.

–  Tu aimes ça, hein, sucer une queue bien dure, t’en avais marre de la queue molle de ton mari.

« Quand même pas » pensa son mari. Madame sortit la bite de sa bouche, s’essuya les lèvres baveuses, et regarda son mari dans le rétroviseur :

 – Oui, j’aime tellement les queues inconnues et celle de mon mari est si vieille, osa-t-elle les yeux dans les yeux.

Cette remarque faillit faire éjaculer son mari sur le volant, mais un mouvement troubla son attention, une ombre derrière Madame. Elle sentit des mains se poser sur ses fesses. Elle sursauta et tourna la tête tout en continuant à masturber la queue qu’elle tenait fermement dans la main droite. Elle arrêta son mouvement, regarda de nouveau son mari qui s’était immobilisé pour offrir un escort boy à sa femme. 

L’heure H du jour J était là. Son mari pouvait encore tout arrêter, repartir à la maison, et s’ennuyer jusqu’à la fin de sa vie, peut-être perdre sa femme. C’était à Madame de décider, uniquement à elle de poursuivre ou non l’aventure. Quoi qu’elle fasse, son mari la suivrait, mais il espérait que sa femme se comporte en véritable salope. Et jusqu’où irait-elle ?

Un petit sourire, un haussement d’épaules et Madame sombra de nouveau dans le plaisir que lui procurait la queue du gentleman dans sa bouche. 

Elle frissonna quand les deux mains de Jean la retournèrent et lui pelotèrent les fesses, les caressèrent à travers la jupe, descendirent plus bas, saisirent le vêtement et le remontèrent jusqu’aux hanches. L’espace d’une seconde, son mari entraperçut le visage du gentleman avant que celui-ci ne disparaisse au niveau du postérieur de sa femme. Au-dessus de sa croupe, L’escort boy  fouillait son cul.

Madame se cambra, la tête en arrière, ses cheveux lissant son dos et tombant de chaque côté de ses épaules. Elle se mordit la lèvre pour ne pas gémir plus fort sous les coups de langue habile de Jean. Cette femme mariée aimait ressentir au plus profond d’elle le plaisir de l’interdit devant son mari, jouir, avoir de monstrueux orgasmes.

Cette femme mariée aimait ressentir au plus profond d'elle le plaisir de l’interdit devant son mari

Cette femme mariée aimait ressentir au plus profond d’elle le plaisir de l’interdit devant son mari

Son mari entendit des bruits de langue, des clapotis de chair. Sa femme n’avait pas de culotte. Il frémit en pensant qu’elle se faisait faire, qu’elle se faisait lécher la chatte et le cul par cet homme, confirmant ainsi toutes ses plus grandes craintes et la libido débordante de son épouse. 

Pourtant il ne bougeait pas, écoutait un autre homme explorer ses intimités autrefois réservées à lui seul. À l’entendre soupirer, gémir, dandiner son cul comme si elle voulait que cette langue s’enfonce plus profondément en elle, cela révélait la perversion extrême de sa femme, car si elle avait voulu, elle aurait pu arrêter cette surprise concoctée par son mari qui aimait offrir un escort boy à sa femme.

Madame à quatre pattes, la jupe relevée sur les hanches. Jean s’agenouilla derrière elle, posa une main sur sa fente trempée et y introduisit deux doigts. Madame sentit un courant d’électricité lui secouer le corps. Elle fit des arrondis avec son bassin, sa croupe offerte au gentleman.

Jean lui caressait adroitement sa petite chatte trempée. Puis elle chercha le regard de son mari dans le rétroviseur et ne vit qu’un bout de lui entre les sièges. Assis sur le siège conducteur, Son mari s’était penché et regardait la scène à travers la vitre côté passager. Sans pouvoir décrire ce qu’il ressentait, il regardait les doigts de Jean masturber la chatte de sa femme, mais aussi son anus étoilé avec le pouce. Le frétillement du bassin de Madame lui indiquait que ce genre de caresse était hautement apprécié.

Jean lui fit un petit clin d’œil à travers la vitre puis empoigna sa queue d’une main pour enfiler un préservatif et la présenta au bord des lèvres trempées de Madame à quatre pattes. Jean leva les bras en l’air, un geste que son mari ne comprit pas de suite. Il déglutit quand il vit sa femme donnait un violent coup de reins en arrière pour s’empaler sur le membre dur du gentleman. Un cri de plaisir inonda l’arrière-cour de la station essence. Son mari était cocu mais content.

Voilà, c’était fait, Son mari avait jeté sa femme dans la gueule du loup et elle y avait plongé avec délice et sauvagerie. Sa femme le trompait avec un homme, c’était fait. Jean se désintéressa de son mari et baisa sa femme comme elle le méritait, comme une grosse salope affamée de queue. L’escort boy  lui prit les hanches et défonça sa petite chatte gourmande de bites pendant que son propriétaire officiel se branlait dans la voiture. L’escort boy la baisait tellement fort que Madame poussait des petits cris que les passants de la rue devant la station essence pouvaient très bien entendre.

L'escort boy la baisait tellement fort que Madame poussait des petits cris

L’escort boy la baisait tellement fort que Madame poussait des petits cris

Sentir cette queue étrangère dans son conduit intime, cette queue si souvent fantasmée mena rapidement Madame à l’orgasme. La chaleur de son sexe explosa dans son corps et Madame en eut le souffle coupé, ses mains se raidirent. Elle poussa un long râle quand l’élixir chaud se déversa dans la capote, l’inondant d’un plaisir supplémentaire, aussi sauvage qu’irrespectueux.

Alors qu’elle reprenait lentement ses esprits, se demandant qui elle était, où elle était et ce qu’elle venait de faire, l’homme de joie la souleva puissamment par les épaules, la forçant à quitter cette bite chaude qui lui tapissait divinement l’intérieur. Essoufflée et affaiblie par l’intensité de l’orgasme qui avait amolli ses membres, les rendant tremblotants, elle se laissa manipuler comme une marionnette pour remonter dans la voiture. 

Monsieur reprit le volant et déposa Jean à une station de métro porte Maillot. Madame et Monsieur venaient de vivre une expérience de candaulisme avec un gentleman escort boy. Monsieur était si heureux d’avoir pu offrir un escort boy à sa femme et Madame avait aimé cela.

❤️❤️❤️

Quel mari n’a jamais eu le fantasme d’offrir un escort boy à sa femme ? Beaucoup de femmes ont envie de vivre des histoires comme celle-ci avec un gentleman devant leur mari. Vous avez le droit de profiter de la compagnie d’un homme qui s’occupera de vous et ne vous jugera pas d’avoir envie d’un moment coquin sans lendemain.

Respirez le voyage du plaisir intemporel et l’ère du jeu érotique sans fin. Entrez dans mon monde et ouvrez vos cuisses et sentez l’humidité envahir votre entrejambe grace à la fantaisie d’une expérience de plaisir sans conséquences avec un homme respectueux mais viril.

Profitez de votre voyage de plaisir comme aucun autre. Noyez vos sens dans la séduction, même pour une courte période; soyez dans le moment aussi longtemps que vous le souhaitez, en souhaitant que cela ne se termine pas. Vous pouvez réaliser vos fantasmes avec la séance de massage érotique sensuel anti-âge pendant que vous laissez votre stress à l’extérieur.

Quelque soit votre âge, votre origine, votre couleur de peau, votre physique, je suis là pour toutes les femmes, Amant secret pour couples libertins pour vous transporter dans la magie d’une soirée hors du temps en toute discrétion et en toute sécurité. Vous oublierez tous vos soucis et pourrez lâcher prise lors d’une expérience de divertissement unique dans un respect mutuel avec protection.

Offrir un escort boy à sa femme est le moyen le plus simple et le moins risqué de vivre votre fantasme libertin en toute sécurité. Juste pour le plaisir de se faire plaisir.

Vivre votre fantasme libertin en toute sécurité

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Jean

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quatuor erotique avec deux escorts

Quatuor avec deux hommes et deux femmes

Category:Accompagnateur,Experience Tags : 

L’atmosphère était détendue à table pour un quatuor avec deux hommes et deux femmes. L’escort boy avait présenté une collègue escort comme son épouse. Le couple semblait l’avoir cru. Jean avait une quarantaine d’années, il était plutôt bien fait de sa personne et, de toute évidence, aimait s’habiller. Son regard était troublant. Ses yeux noirs, très perçants, avaient déshabillé Madame dès qu’il lui avait serré la main. Un quatuor avec deux hommes et deux femmes pour une soirée libertine.

Sa compagne arborait une robe fourreau très sexy qui s’arrêtait à mi-cuisses. Les formes rebondies de ses fesses donnaient envie aux hommes de la prendre par les hanches et de le pénétrer sauvagement. Elle avait un visage charmant et doux, aux traits typiquement français. Ses yeux bleus brillaient d’une vive intelligence.

Pour sa part, Madame avait sorti le grand jeu en optant pour une robe longue fendue très haut et révélant ses bas. Un décolleté profond et évasé, qui disait clairement que ses seins n’avaient besoin d’aucun soutien, complétait à ravir ses armes de séduction. L’escort boy, cependant, ne paraissait pas faire attention à elle, et discutait avec Monsieur.

Libertinage à quatre

Libertinage à quatre

Le repas était sublime et les vins français somptueux. Installés à une table ronde, les deux couples se faisaient face ; Madame avait donc l’amie de Jean à sa gauche et Monsieur à sa droite.

Soudain, elle sentit un pied se poser sur le sien. Étant donné la configuration, elle en conclut qu’il ne pouvait s’agir que de celui de l’amie de Jean. Ce pied se fit très vite insistant, caressant son mollet. Madame frissonna. l’amie de Jean était donc bisexuelle… Elle ôta son escarpin discrètement et lui rendit ses caresses.

Entre le plat et les fromages qui se faisaient attendre, l’amie de Jean se leva. Elle quitta la table et se dirigea vers les toilettes. Quelques minutes plus tard, Madame en fit autant. Quand Madame la rejoignit, l’amie de Jean se tenait devant le miroir, sa pochette ouverte et posée à côté d’elle, sur le marbre du lavabo. Elle se remaquillait. Madame approcha lentement, tout en souriant à son reflet.

Madame se recoiffa du bout des doigts, même si sa coupe, qui tenait parfaitement, n’avait besoin d’aucune retouche. l’amie de Jean se tourna vers elle. Madame lui décocha un sourire engageant. Madame lui dit qu’elle aimait les femmes autant que les hommes et que avec Monsieur, ils formaient un couple très libre. l’amie de Jean laissa fuser un petit rire. Elle était intelligente et comprenait vite. Une bonne chose… Madame se tourna vers elle et lui caressa un sein longuement, de façon appuyée.

Le regard de l’amie de Jean s’était troublé et elle ne fit rien pour échapper à la main qui l’effleurait, puis remontait vers son visage, caressant ses lèvres. Madame l’attira soudain contre elle et l’enlaça. Sa main gauche descendit sur sa croupe, puis empauma ses fesses qu’elle massa.

Ne soyez pas timide

Ne soyez pas timide

Elle glissa la main sous sa robe. l’amie de Jean ne portait aucun sous-vêtement. Madame lui griffa alors la peau dans un savant dosage de douceur et de sauvagerie, prenant en même temps possession de sa bouche. l’amie de Jean céda immédiatement et répondit même si vite, que Madame en fut surprise. La belle femme la plaqua contre le lavabo, puis sa langue explora sa bouche, tandis que sa main emprisonnait l’un de ses seins avec une bestialité très excitante.

Madame glissa sa main entre elles et alla droit au but en la posant sur son sexe, qu’elle caressa à travers sa robe. Les narines palpitantes, l’amie de Jean ferma les yeux, tandis que Madame poursuivait sa caresse. Elles entendirent du bruit et s’éloignèrent rapidement l’une de l’autre. Une femme entra et parut surprise de les trouver là, à ne rien faire. Rapidement, elles quittèrent les lieux et retournèrent dans la salle.

Le diner se termina et ils décidèrent de finir la soir dans la suite du couple. Madame commanda du champagne et ouvrit la bouteille de champagne avec discrétion et remplit les quatre coupes. Elle leur en tendit chacun une, puis prit place sur le sofa, s’allongeant sur le côté.

Puis , elle posa sa coupe sur le tapis et se leva pour rejoindre l’amie de Jean, assise dans un fauteuil. Elle s’agenouilla et l’embrassa avec beaucoup plus de ferveur qu’à son arrivée. Simultanément, elle fit glisser sa robe fourreau, révélant ses seins.

Elle sentit le souffle de l’amie de Jean s’accélérer et la repoussa au fond du fauteuil. Puis elle lui releva lentement les jambes, de sorte qu’elles prennent appui sur les accoudoirs. La robe fourreau ne résista pas et l’on entendit nettement la déchirure des coutures. Madame la repoussa sur le ventre de l’amie de Jean et vit enfin son sexe, une jolie fente entièrement épilée et déjà humide.

Soyez de mutuels voyeurs

Soyez de mutuels voyeurs

L’amie de Jean lui saisit la tête et bascula les hanches vers elle. Madame commença alors un cunnilingus très doux. l’amie de Jean avait un léger goût de miel relevé d’une note d’amertume pas désagréable du tout. S’aidant de son pouce pour lui masturber le clitoris, elle lui lécha longuement le sexe, accélérant peu à peu ses mouvements.

La houle qui agitait son ventre et les tremblements de ses cuisses annonçaient l’extase. l’amie de Jean la tenait fermement par la nuque ; elle avait écarté les jambes autant qu’elle le pouvait, et se trouvait à présent dans une position proche du grand écart. Elle jouit brusquement, dans un feulement de bête, ses mains griffant les épaules de Madame. Un quatuor avec deux hommes et deux femmes qui vivaient un fantasme extraordinaire.

Les yeux clos, pantelante, tout son corps frissonnait. Madame ne lui laissa aucun répit ; elle repoussa ses cuisses vers le haut, et lui offrit un anulingus endiablé. l’amie de Jean cria bientôt son désir déjà renouvelé. Madame savait comment faire pour percer le mystère de ce trou étoilé, ce lieu secret si bien gardé par toutes les femmes qui refusaient de connaître les plaisirs qu’il pouvait réserver.

Ce n’était pas le cas de l’amie de Jean, qui écarta elle-même ses fesses pour faciliter la pénétration de sa langue. Puis Madame revint à son sexe, qu’elle découvrit beaucoup plus mouillé que la première fois. l’amie de Jean eut un nouvel orgasme ; un troisième suivit rapidement.

Madame sentit soudain des mains l’attraper et comprit que Monsieur entrait dans leurs jeux. Il n’avait pu résister bien longtemps. Parfait ! songea-t-elle. Il la tira doucement en arrière, la mit à quatre pattes, puis la pénétra.

Un quatuor endiablé pour un plaisir de groupe

Un quatuor endiablé pour un plaisir de groupe

Il était bien monté et son sexe entra très loin en elle, l’envahissant totalement. Ses mains serraient fermement ses hanches et il donnait des coups de reins de plus en plus profonds. Madame ferma les yeux, oubliant l’amie de Jean qui se rappela à son souvenir de la meilleure façon. Elle se glissa sous elle et compléta l’assaut de son mari en la léchant. Aucun doute, ce n’était pas la première fois qu’ils le faisaient à trois !

Tout à coup, l’escort boy se joint à eux et la pénétra avec ses doigts qui devinrent des milliers, autant de plumes ou d’aiguilles délicieusement agaçantes. l’amie de Jean commença à crier. De son autre main, Jean s’empara de son sein qu’il massa avec la même agilité, puis il commit l’irréparable : il lui pinça fortement le téton. Le tsunami prit de l’ampleur et l’amie de Jean ne put y résister. Elle jouit en hurlant son plaisir, des étoiles devant les yeux, et tout son corps fut parcouru d’ondes fulgurantes, qui la laissèrent sans voix. Un quatuor avec deux hommes et deux femmes jouissant ensemble.

C’était la première fois que cela lui arrivait. Elle sentait son plaisir couler abondamment sur l’intérieur de ses cuisses. Les yeux clos, frissonnante, émerveillée, elle mit du temps à s’en remettre. Jean suçait ses doigts et la contemplait, ravi.

Pendant ce temps là, Madame oublia tout et son désir devint impérieux. Monsieur lui pilonnait les fesses, tandis que la langue de l’amie de Jean jouait avec son clitoris. Son orgasme fut un véritable cataclysme et elle cria sa jouissance sans retenue. Quels amants merveilleux !

Elle sentit Monsieur durcir un peu plus. Il allait jouir. Elle se dégagea et, après s’être retournée, le prit dans sa bouche. Elle n’eut pas longtemps à attendre. Il laissa échapper un grognement, et jouit rapidement, abondamment.

Ils étaient tous les quatre en sueur. Madame se rendit compte que sa robe était en piteux état. Tant pis ! Elle se releva et aida l’amie de Jean à faire de même. Elle remplit les quatre coupes et ils burent d’un trait, après avoir trinqué. Quelle expérience magnifique avec ce couple d’escort se dirent Monsieur et Madame.

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Madame, Monsieur, si cette histoire vous a plu et que vous avez envie de la vivre avec un couple d’escort respectueux, et charmant, une envie d’échanger votre femme en toute sécurité avec un gentleman et l’amie de Jean, de vivre une expérience de quatre à la portée de tous avec un accompagnateur ayant de l’expérience et qui saura vous guider en douceur dans ce moment de libertinage intense, contactez moi.

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Madame, jouissez deux fois plus dans les bras de deux hommes entièrement dédiés à votre plaisir et découvrez votre bisexualité avec une femme expérimentée.

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Au plaisir de faire votre connaissance. Jean

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PS: connaissez vous la position 1691 ?

Les deux femmes sont en position de 69, l’une sur l’autre, ou sur le flanc. Chacun des deux hommes se place entre les cuisses de sa partenaire, et fait donc face au visage de l’autrefemme . Cette femme  peut ainsi le guider vers les orifices de sa partenaire, ou encore sucer ou doigter tout ce qui passe à sa portée. Ainsi, chaque femme  dirige les opérations pour l’autre couple, tout en “subissant” les désirs de l’autre par l’intermédiaire de son propre partenaire.

mélangisme 1691

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Echangisme avec un couple escort

Category:candaulisme,Couple,echangisme,escort boy Tags : 

Echangisme avec un couple escort

L’échangisme est une pratique sexuelle adopté par les libertins qui consiste pour deux couples à échanger temporairement son partenaire, pendant les différentes phases du rapport, en vue d’une relation socio-sexuelle.

Toutefois des nuances sont parfois apportées s’il y a permutation et pénétration en dehors du partenaire « régulier » (échangisme dit « vrai »), des attouchements à quatre (voir mélangisme) ou une relation à proximité de voyeurisme et/ou exhibitionnisme sans contact physique, aussi connu sous le terme « côte-à-côtisme ».

Bien qu’il se confonde souvent avec la sexualité de groupe, l’échangisme au sens strict ne représente qu’une fraction des pratiques sexuelles en groupe.

Il est courant de spécifier les distances relatives d’une relation échangiste par des nombres :

  • « 2 + 2 » signifie une séparation physique des couples avec permutation des partenaires,
  • « 4 » spécifie une proximité permanente de tous les participants,
  • « 3 + 1 » l’isolement d’un individu au centre ou en observateur en tant que candauliste.

***

Le couple finissait tous les deux de se préparer pour leur soirée et Monsieur contempla Madame avec un regard attendri. Quelques instants auparavant, il l’avait vue enfiler un porte-jarretelles, un string et des bas noirs puis une robe de soie rouge ultra courte s’arrêtant au bord des fesses. Madame était tout simplement éblouissante.

Comme d’habitude, songea-t-il. Depuis qu’ils étaient mariés, Monsieur allait de surprise en émerveillement et la trouvait encore plus belle qu’au premier jour de leur rencontre, douze ans plus tôt. À son âge, Madame était superbe. C’était une femme qui avait envie de vivre avec son mari des expériences de libertinage, mais ils étaient débutant dans le domaine.

C’est elle qui lui avait eu l’idée d’organiser une soirée échangiste chez eux avec un couple d’escort et son mari avait complètement adhéré à cette idée, au début sans doute par curiosité puis beaucoup plus par amour ensuite.

Madame effleura sa robe ajustée comme une seconde peau, qui révélait de façon très indiscrète ses rondeurs plantureuses, puis se caressa légèrement les seins, libres sous la mince étoffe, tout en examinant son reflet dans le miroir.

Monsieur effleura son décolleté du bout des doigts avant de l’attirer contre lui. Elle n’imagineait même pas ce qu’il  pourrait lui faire subir !

Tout en riant, Madame se dégagea de son étreinte pour fuir son désir déjà très perceptible et reprit place devant le miroir pour se mettre du mascara.

En essayant de faire retomber l’érection que cette petite scène avait fait naître, Monsieur passa son pantalon, sans aucun autre sous-vêtement, puis il enfila une chemise très ajustée, qu’il boutonna à peine, laissant entrevoir son torse. 

Leurs invités sonnèrent à la porte et Madame alla leur ouvrir suivit par son mari. Puis Madame s’effaça pour les laisser entrer et ne put s’empêcher d’admirer le couple qui venait d’arriver. Caroline était magnifique. De ses longs cheveux blonds retenus par un chignon au désordre savamment organisé jusqu’à sa tenue, tout en elle était riche de belles promesses. Son regard pétillant, confirmait d’ailleurs le langage sensuel de son corps. À peine voilés par un cache-cœur noir en tissu léger, ses seins étaient libres de toute contrainte. Sa minijupe de la même couleur laissait entrevoir le haut de ses bas et apprécier le galbe parfait de ses jambes, chaussées d’escarpins à hauts talons. Mais ce qui frappait le plus chez elle, c’était cet érotisme alléchant qui transpirait de tout son être, exacerbé par une prodigieuse féminité.

Jean avait joué la simplicité dans l’élégance. Une chemise bleu marine aux doublures surpiquées de blanc, un pantalon de toile blanche et des chaussures de cuir classiques. À croire qu’ils s’étaient donné le mot avec Monsieur, nota Madame, amusée.

Ils s’installèrent dans le salon où les lumières étaient tamisées, et où une musique de jazz s’élevait doucement. Dès que Monsieur leur eut servi une coupe de champagne, la discussion commença par quelques banalités sur comment les vacances s’étaient passés et les deux femmes comparèrent leurs bronzages respectifs..

Le dîner s’était déroulé tranquillement. Avec Monsieur, ils avaient multiplié les anecdotes croustillantes qui avaient reçu les réactions espérées de leurs invités puis, à la fin du repas, elle avait décidé de faire bouger les choses. En apportant le fromage, elle avait servi son mari tout en restant volontairement de l’autre côté de la table, entre Caroline et Jean. De sorte qu’ils ne pouvaient plus rien ignorer de sa féminité, dévoilée par sa robe trop courte remontant haut sur ses fesses quand elle se penchait.

Caroline repoussa d’une main le tissu de sa robe légère au-dessus des reins puis, un peu tremblante, fit glisser son autre main sur la peau douce des fesses de Madame.

Jean, plus timide et après un regard à sa femme, s’aventura à caresser l’intérieur de la cuisse de Madame, déclenchant en elle un petit frisson, puis il remonta jusqu’en haut, mais sans entreprendre quoi que ce soit de plus.

En appui sur ses bras, follement excitée par la sensation de sa robe retroussée sur ses fesses, Madame demanda à Jean de la caresser s’il en avait envie.

Puis elle se pencha encore et embrassa Monsieur au-dessus de la table, très amoureuse. Elle sentit alors une main glisser sur son sexe et un doigt s’insinuer en elle. Un doigt de femme, devina-t-elle avec un nouveau frisson tandis que Caroline allait et venait en elle, avec une dextérité surprenante.

Puis elle s’écarta, à regret, des mains si habiles de Caroline. Malgré le plaisir qu’elle avait ressenti, et l’envie qu’elle avait d’aller plus loin, elle ne voulait pas aller trop vite. Et puis, il fallait bien l’avouer, se forcer à y aller très progressivement et à gérer sa propre frustration l’excitait terriblement.

Monsieur regarda sa femme disparaître dans la cuisine, suivie de très près par Caroline. La soirée s’annonçait sous les meilleurs auspices.

Monsieur n’en revenait toujours pas du spectacle auquel il venait d’assister. Il venait de découvrir que sa femme était bien plus audacieuse que lui et cela lui faisait beaucoup effet !

Pendant ce temps là, Caroline en profita pour poser ses mains sur Madame et effleurer ses seins qu’il lui tardait de découvrir. Elle ne s’était pas trompée. Ils étaient magnifiques, fermes et veloutés à la fois. Tout en les massant délicatement, elle fit rouler ses mamelons entre ses doigts.

Avec un soupir, Madame se pressa plus étroitement contre Caroline, manifestement sensible à l’hommage rendu à ses seins.

Puis elle ferma les yeux, alanguie, et s’abandonna aux mains de Caroline qui virevoltaient sur sa poitrine, son ventre, sans réel contact, comme un papillon hésitant qui ne savait pas encore où il allait se poser. Caroline pressa ses lèvres sur sa nuque pour des baisers très doux, tandis que ses mains revenaient à ses seins, s’y posant avec la légèreté d’une plume.

Madame se laissa aller en arrière et Caroline sentit ses mains se poser sur ses fesses, comme si Madame voulait fusionner leurs deux corps. Comme pour mieux offrir son buste à ces caresses qui, déjà, semblaient lui faire perdre la tête… Gagnée par un désir affolant, Caroline découvrit les deux globes de Madame qui se dressaient devant elle, ronds, crémeux, délicieux. Un vrai appel au plaisir…

Avec un sourire, Caroline reprit la divine exploration des seins de Madame, et celle-ci referma les yeux, tout son corps commençant à réagir, roulant et ondulant. Puis elle saisit les mains de Madame qu’elle pressa contre son corps enfiévré de désir.

Et ce fut Madame qui s’empara cette fois de sa bouche, lui offrant un baiser bien plus torride où leurs langues s’entremêlèrent avec ferveur et sensualité. Caroline continua son exploration, calmement et toujours avec beaucoup de tendresse. Quand ses doigts se glissèrent entre son ventre et sa jupe, Madame sursauta et se cambra pour mieux s’offrir. Caroline en profita pour poursuivre sa délicieuse torture, et, faisant courir ses doigts sur la peau frissonnante, elle passa une main sous le string en dentelle de Madame, et commença à la caresser, d’abord tout doucement. C’était divin. Ses doigts glissaient sur le sexe trempé de Madame, et, à chaque passage, ils lui tiraient des gémissements de plaisir.

C’était fou, songea Caroline. Elle avait rarement vu une femme novice réagir avec cette intensité… et cela l’excitait. Le cœur battant, elle accéléra le rythme de ses caresses.

Et, enfin, comme terrassée par les ondes du désir qui se concentraient en elle, Madame secoua la tête dans tous les sens en gémissant, et Caroline sentit tous ses muscles se tendre contre elle. C’était le moment. Alors, sans cesser de caresser le clitoris de Madame, elle glissa un doigt en elle, et ce fut comme une révélation. Se mordant les lèvres, Madame se contracta violemment, avant de pousser un long cri tandis que la jouissance explosait en elle.

Pantelante, il lui fallut plusieurs minutes pour reprendre pied avec la réalité. Caroline  en profita pour l’embrasser légèrement.

Dans les yeux de Madame luisait encore son extase et Caroline y découvrit aussi l’exultation d’avoir franchi ce grand pas. Avoir concrétisé un fantasme en le vivant.

Quand Monsieur vit la mine réjouie et le sourire épanoui de Madame, il sut immédiatement à quel genre d’activité culinaire les deux femmes s’étaient livrées en cuisine. Madame installa les coupes sur la petite table du salon et rapporta une autre bouteille de champagne. 

Caroline et Madame s’installèrent sur le canapé, et ils se mirent à déguster leur dessert. L’atmosphère était électrique, et la tension palpable. Madame avait osé franchir le pas et son visage rayonnait, même s’il était aisé de deviner, en croisant son regard, qu’elle attendait plus. Bien plus…

Avec un air de défi, Caroline posa sa jambe sur l’une des cuisses de Madame, leur livrant une vue délicieuse sur son intimité. Madame rentra dans son jeu et se mit à la caresser gentiment, d’une main légère mais manifestement efficace. Monsieur sentit son excitation monter encore d’un cran. Comme il le pensait, Caroline était vraiment ouverte à aux érotiques. 

Puis il vit Madame étaler un mince filet de chantilly sur la cuisse de Caroline, se pencher et, d’une façon très érotique, entreprendre d’avaler cette gourmandise sucrée d’une langue agile. Elle avait l’air de se régaler, mais celle qui semblait le plus goûter ce petit jeu, c’était Caroline. Dès que la langue de Madame avait touché sa peau nue, son regard s’était enflammé. Alors, comme si la pudeur l’avait enfin quittée, Caroline plongea son doigt dans l’une des coupes débordant de chantilly, et l’étala voluptueusement sur son ventre. Puis, mue par un élan soudain, elle retroussa sa jupe et déposa une autre dose de crème sur son mont de Vénus. 

Sans la quitter des yeux, Caroline s’allongea à moitié en face d’elle, provocante, une jambe relevée sur le dossier, l’autre pendant vers le sol, alanguie et offerte. Devant ce spectacle, Madame sentit son désir s’enflammer, et elle se pencha vers Caroline. C’était peu de dire que ce dessert la tentait… mais elle allait prendre son temps pour le déguster. D’une main experte, elle commença par de simples caresses, en prenant bien soin d’éviter ce qu’attendait impatiemment Caroline. Elle allait faire durer le plaisir…

Un rapide coup d’œil vers les hommes la rassura : ils n’en perdaient pas une miette. Pourtant, quand Caroline se mit à ôter son cache-cœur et se retrouva presque nue devant elle, n’ayant plus que sa jupe retroussée et s’offrant à elle dans une posture quasi animale, Madame ne put s’empêcher d’être surprise. Agréablement surprise. Vraiment, Caroline n’avait peur de rien, et ça lui plaisait. Elle aimait cette audace, au moins autant qu’elle aimait le physique de Caroline.

Et, en se penchant de nouveau vers elle, elle posa les lèvres sur les siennes. Un baiser langoureux, intense, qui fit encore grimper d’un cran la tension de la pièce. Simultanément, elle caressa les seins de Caroline avec virtuosité, puis son corps tout entier, laissant ses mains glisser sur la peau si douce et qui réagissait si bien à ses caresses. Puis, d’un mouvement langoureux, elle descendit vers le ventre de Caroline, pour déguster la chantilly. À coups de langue, elle se mit à l’étaler, la laper, sans pour autant lâcher son emprise sur les seins sublimes de Caroline. Cette dernière ferma les yeux, ne s’exprimant plus qu’en soupirs et en râles de plaisir. Frissonnante, elle chuchotait des mots incompréhensibles et, sous l’emprise d’un désir allant crescendo, ondulait de tout son corps. Puis, agitée d’un spasme plus violent encore, elle tendit son bassin vers Madame, s’offrant, impudique, submergée par une envie que rien ne semblait pouvoir apaiser.

Madame s’approcha peu à peu de son sexe ainsi exposé, brûlant et humide à la fois, et se mit à le débarrasser de sa crème sucrée à petits coups de langue, en s’attardant sur les endroits qu’elle savait les plus sensibles. Elle adorait cette sensation. Elle adorait sentir le sexe de Caroline s’ouvrir pour elle, vibrer sous ses coups de langue, obéir à ses caresses. Elle suspendit un instant le mouvement de sa langue, et savoura le gémissement de protestation qui s’éleva aussitôt. Puis, tout doucement, elle reposa ses lèvres sur le sexe de Caroline, et se mit à titiller son clitoris du bout de la langue, l’avalant, le mordillant, semblant encore découvrir de la chantilly ici et là, avant d’y revenir plus sûrement pour s’en saisir et le torturer de ses lèvres douces. Caroline, le souffle court, émettait de petits cris, qui devinrent des gémissements au fur et à mesure que le plaisir montait.

Quand l’orgasme s’empara d’elle, Caroline le vécut comme une libération totale de son plaisir, un tremblement de terre au plus intime de ses entrailles et elle eut le sentiment que son sexe explosait en une myriade d’éclairs multicolores dont les ondes brûlantes se répandirent dans tout son corps. C’était comme si sa vie s’était concentrée en un seul point, là où, au moment ultime, Madame avait su la faire décoller d’une dernière caresse folle avec ses lèvres.

Tendue comme un arc, elle ne poussa qu’un long gémissement de bonheur avant de retomber, vaincue et alanguie, tous ses sens apaisés et à la limite de l’inconscience. Elle regarda sa maîtresse avec admiration, et se mit à lui caresser les cheveux avec tendresse. Nulle parole ne vint troubler ce moment et elles se contemplèrent avec une nouvelle complicité acquise au plus fort de leurs ébats. Madame lui sourit, embrassa une dernière fois et avec douceur son clitoris avant de se tourner vers leurs hommes.

Elle proposa à Jean de les rejoindre. Caroline la regarda s’éloigner et s’asseoir face aux hommes dans une pose totalement impudique. En tournant la tête, elle eut un frisson en voyant Jean se déshabiller prestement, libérant une érection triomphante et venir les rejoindre, entièrement nu. Il lui offrit un baiser et s’installa aux genoux de Madame, à même le tapis. Caroline était subjuguée par cette vision érotique. Son partenaire était doué, elle le savait, et voir sa bouche s’emparer du sexe de Madame avec délectation, forçant avec ses mains l’écartement de ses cuisses, lui donnait envie d’être à sa place. Follement envie.

Fixant Madame, comme si cela allait pouvoir lui donner accès à ses sensations, elle put découvrir dans ses yeux mi-clos un désir grandissant alors que ses seins se soulevaient à un rythme de plus en plus rapide. Quand elle commença à gémir et secouer la tête, Caroline ne put s’empêcher de glisser une main entre ses propres cuisses. Elle était trempée. Pas étonnant, compte tenu du spectacle auquel elle assistait…

Devant ses yeux, la lutte était à l’avantage de Jean mais Madame se dégagea, le releva en l’embrassant puis le prit dans sa bouche. Voir le sexe de Jean disparaître ainsi entre ses lèvres était insoutenable, et Caroline avait l’impression de l’avaler elle-même. Puis Madame le força à s’asseoir avant de le rejoindre. Il enfila rapidement un préservatif. La voir enfourcher son homme et le guider d’une main pour mieux s’empaler sur lui la fit littéralement trembler de tout son être. Ils donnaient l’impression d’être seuls au monde et le visage de son mari reflétait un plaisir intense, certainement accru par sa présence silencieuse à ses côtés. Il posa les mains sur les hanches de Madame qui se laissa glisser sur sa virilité avec un long cri de bonheur.

Caroline commença à se caresser tout en les contemplant, partageant leur plaisir par la vue et en explorant son propre désir grâce à ses doigts agiles. Les pensées les plus folles s’entrechoquaient dans son esprit, et, quand Madame se releva pour mieux s’enfoncer sur le sexe de Jean, Caroline intensifia sa caresse et dut fermer les yeux, le souffle très court. Quand elle les rouvrit, elle vit Madame s’agiter sur son mari, roulant du bassin dans un mouvement circulaire de grande amplitude. Jean fermait les yeux, le visage levé vers le plafond, les veines de son cou saillantes et ses mâchoires serrées témoignant de son effort à se retenir. Madame cessa brusquement pour se redresser et s’empaler de nouveau, de tout son poids, ce qui fit geindre Jean, agrippé à ses seins magnifiques. Caroline se régalait du spectacle torride quand Monsieur se manifesta :

En tournant la tête, elle le découvrit nu, debout devant elle. Il se pencha et prit possession de sa bouche avec un baiser enflammé qui la laissa essoufflée. Ses mains couraient sur tout son corps quand il l’embrassa de nouveau. C’était une expérience fantastique. Monsieur l’avait toujours fait fantasmer. Un homme séduisant et gentil mais par-dessus tout le fantasme interdit, le tabou logique de toute femme qui aimerait céder sans jamais le faire. Il était là, penché sur elle, prenant ses seins à pleines mains, alors elle s’enhardit et se saisit de son sexe dont elle découvrit avec délice l’érection grandissante.

Comme il explorait son sexe d’un doigt très doué et poussait son avantage en faisant rouler un téton entre pouce et index, elle lui murmura qu’elle avait envie de lui.

Il sourit et se redressa. L’invitation était claire, et elle prit entre ses lèvres ce sexe dont elle avait si souvent rêvé, sans jamais quitter ses yeux du regard. Elle voulait y voir le plaisir, lui faire crier grâce et sentir son désir prendre forme en sa bouche. Ce qu’il fit pour son plus grand bonheur. Ravie de sentir cette chair délicate et virile palpiter contre son palais, Caroline se livra à une fellation orgasmique pour elle et s’étonna de l’intensité du plaisir qu’elle ressentait. C’était là le petit plus de l’échangisme qui faisait cette grande différence : braver l’interdit, passer outre les convenances et savourer un acte normalement impossible. En même temps, apprécier de voir Jean en faire autant de son côté avec Madame poussait sa passion au paroxysme.

Avec un gémissement, elle accéléra ses mouvements de va-et-vient, resserrant son étreinte pour le provoquer et le projeter au-delà du point de non-retour. Mais Monsieur était un amant diaboliquement résistant et rien n’y fit malgré tout son savoir-faire. À un moment, il lui tint la tête par les cheveux et l’éloigna.

Caroline était une magicienne avec sa bouche, Mais Monsieur voulait la prendre à genoux comme une soumise.

Ses paroles furent délicieusement écoutées et elle s’empressa d’obéir, ravie de partager son plaisir avec cet homme qui s’avérait un amant fougueux et infatigable, sachant prendre l’initiative. Elle se retourna tout en le regardant par-dessus son épaule puis jeta un œil de côté en entendant des cris d’extase. Madame montait et descendait à un rythme affolant, s’empalant sur le sexe de Jean qui la guidait en tenant ses hanches. Caroline se mordit la lèvre de désir et tendit encore plus sa croupe vers Monsieur qui venait de saisir sa taille entre ses mains. Monsieur enfila lui aussi un préservatif. Et elle sentit le sexe bandé de Monsieur la pénétrer.

Enfin ! Soumise à son amant, incapable de détacher ses yeux des ébats de Madame et Jean, Caroline se sentit emportée par un tourbillon de sensations nouvelles et sauvages. Sa chair prenait le dessus sur son esprit et elle devint un animal impétueux, difficile à maîtriser et n’attendant plus qu’une chose : jouir.

Sentir ce sexe qui durcissait toujours et de plus en plus au fond d’elle était la plus délicieuse des tortures, et elle oublia tout et s’abandonna à Monsieur qui, de son côté, devait aimer la posséder. Ses gémissements achevèrent d’exciter son imagination, comme si elle possédait une caméra extérieure lui permettant de visualiser leur position et leurs corps en fusion parfaite. Alors, ivre de plaisir, comblée par ce sexe triomphant qui semblait la remplir tout entière, elle se laissa aller à la jouissance, une fois, deux fois, sans plus retenir ses cris. Des flashes de lumière crépitèrent dans sa tête, un cyclone si dévastateur s’empara de sa chair qu’il lui sembla qu’elle allait perdre connaissance, et les ondes interminables de ses orgasmes la propulsèrent vers des cieux inconnus, dans une ultime explosion.

À la même seconde, Madame eut un orgasme alors que Monsieur jouissait enfin, à croire que même en faisant l’amour avec des partenaires différents, lui et sa femme ne pouvaient s’empêcher d’atteindre une extase simultanée pour ne pas dire commune. C’était fou et inimaginable !

Apaisés, les quatre amants restèrent un long moment à échanger des caresses et des baisers, puis Madame et Monsieur se rejoignirent pour se câliner, ravis de cette première fois plutôt étonnante pour des novices et convaincante à leurs yeux. Peu après, le maître de maison proposa du champagne, suggestion chaleureusement accueillie par tous car les émotions donnaient soif, surtout celles-ci. Madame resta assise entre Jean et Caroline alors que Monsieur reprenait sa place sur son fauteuil, face à eux.

***

Si vous voulez vivre votre fantasme en toute sécurité, faites appel à Jean et Caroline, un couple escort qui saura vous apporter tous les ingrédients nécéssaires à une soirée de divertissement entre adultes consentants.

Au plaisir de faire votre connaissance.

Jean & Caroline.

TEL/SMS/WHATSAPP: +33(0)755186013

Mail: man.jean@yahoo.fr

Site: https://escortboy.org

 


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