Envie de prendre du plaisir sans lendemain
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Ce soir, devant l’hôtel, son escort la regardait de cette manière qu’elle aimait tant. Il l’a regardait comme un homme regarde une femme avec qui il a envie de faire l’amour.
Son sourire avait quelque chose d’ensorcelant, de tentateur. C’était un sourire secret, adulte, le genre de sourire qui donnait aux femmes l’envie d’aller plus loin.
Arrivée dans la chambre, son escort boy brandit une bouteille de vin rouge italien et attrapa le tire-bouchon et la déboucha. Ses doigts chauds touchèrent ceux, glacés, de sa partenaire lorsqu’il lui tendit le verre de vin. Son regard demeurait rivé au sien.
Et une expression naquit à nouveau sur son visage, ce sourire qu’il lui avait adressé devant l’hôtel un peu plus tôt. Madame sentit son ventre se serrer et ses tétons se durcir. Elle se demanda si Jean le verrait à travers son fin soutien-gorge et son chemiser en soie.
Jean lui prit son poignet et se pencha vers elle. Ce n’était pas discuter qu’il voulait. Elle le savait, et lui aussi. Le cœur de sa compagne battait si fort qu’elle craignait qu’il ne l’entende.
Le gentleman se rapprocha d’elle à la manière d’un prédateur et l’emprisonna entre lui en plaquant les mains sur ses hanches.
Cet homme s’approcha encore davantage, et son bassin frôla celui de la dame. Elle sentit alors l’arête dure de son sexe et perdit la raison pour de bon.
Son accompagnateur se pencha et pressa les lèvres sur son cou, ses cheveux caressant la joue de la femme. Elle prit une profonde inspiration et savoura son odeur en songeant qu’elle n’avait jamais été si proche de lui. Il sentait le savon et tout ce qu’elle avait rêvé qu’il sentirait.
Elle tenta d’avaler sa salive à nouveau, mais sa bouche s’était asséchée. Sa bouche, seulement : sous la ceinture, elle était trempée, prête à le laisser se glisser en elle pour lui donner ce qu’elle désirait depuis cinq longues années. Son sexe palpitait d’impatience, sa poitrine était chaude et gonflée. Son clitoris la picotait, et, si Jean se frottait contre elle ne serait-ce qu’une seconde, elle savait qu’elle pourrait jouir rien qu’en imaginant combien ce serait bon avec lui. Elle avait envie de prendre du plaisir sans lendemain.
Jean pressa ses hanches contre les siennes, et elle fondit. Elle leva les bras pour enfouir ses mains dans ses cheveux . Tirant sur sa chevelure, elle lui releva la tête ; le désir ardent qu’elle lut dans ses yeux était égal au sien.
Un instant plus tard, l’escort boy posait sa bouche sur la sienne, allumant le feu qu’elle tentait d’étouffer depuis tant d’années. Il explosa lorsque Jean glissa sa langue entre ses dents.
Elle avait rêvé de ses lèvres, de sa saveur. Il avait le goût du plaisir, et de la promesse d’une nuit torride. Il lécha la lèvre inférieure de sa dame, la mordilla. Les doigts de la femme se perdaient dans la douce épaisseur de ses cheveux ; c’était tout ce qui lui restait de doux, tandis qu’il lui dévorait la bouche. Elle savait qu’il n’y aurait rien de facile, avec lui. Il n’était que dureté et douleur, et elle adorait ça. Il lui fourra sa langue dans la bouche, la mêla à la sienne et suça avidement, faisant monter les larmes aux yeux de Madame.
Elle laissa échapper un râle saccadé. Jean la souleva par les hanches et la posa sur le lit. S’installant entre ses jambes, il empoigna ses fesses pour presser le centre de son désir contre lui. Il tira son chemisier hors de sa jupe et le fit passer au-dessus de sa tête d’un seul mouvement brusque.
Il fit descendre sa main sur son cou et entre ses seins. Elle se pencha en arrière pour le regarder poser sa main sur le bonnet de son soutien-gorge.
Il releva les yeux vers elle, puis les reporta sur son soutien-gorge qu’il écarta, révélant un téton dur et dressé.
Elle retint son souffle lorsqu’il l’enserra de ses lèvres. Dès l’instant où elle sentit sa bouche tiède sucer son téton, elle hoqueta et passa à nouveau les mains dans ses cheveux. Elle n’arrivait pas à y croire. Tous les fantasmes les plus chauds qu’elle avait emmagasinés sur cet escort boy devenaient réalité.
Elle n’avait jamais imaginé que ses rêves puissent se réaliser. Elle était sans doute un peu ivre, ce soir, et elle savait qu’il l’était aussi ; tout cela ne se reproduirait probablement pas. Aussi, elle s’efforçait de graver chaque instant dans sa mémoire afin de ne jamais l’oublier. La traction de ses lèvres sur son téton tendu, la vue de sa tête sombre contre son sein pâle, son odeur qu’elle aspirait profondément et, tout simplement, ce qu’elle éprouvait : le sentiment de se consumer entièrement pour lui.
Être prise par lui était au cœur de tous ses fantasmes. Elle savait à quel point ce serait bon. Elle avait tellement envie de prendre du plaisir sans lendemain.
Et elle ne lui dirait jamais, jamais, ce que cela signifiait pour elle. Elle devait conserver une certaine retenue, ne pas lui laisser deviner le pouvoir qu’il détenait sur elle.
A cet instant, elle s’abandonnait à une langoureuse extase. Elle reprendrait le contrôle plus tard. Pour le moment, elle le cédait volontiers à ce gentleman pour femmes exigeantes. Il écarta le second bonnet et se consacra à son autre téton, tout en caressant de ses doigts celui qu’il avait mouillé de sa bouche. Et lorsqu’il releva la tête, les yeux à présent emplis d’une noirceur qui la fit fondre comme neige au soleil, elle agita le drapeau blanc, vaincue.
Il fit remonter sa jupe au-dessus de ses hanches et posa la paume de sa main sur le sexe de la belle, en lui souriant comme elle avait toujours voulu qu’il le fasse : de ce sourire secret qu’il réservait aux autres femmes.
Il fit glisser sa paume contre son sexe, et elle hoqueta. Un éclair de plaisir la parcourut alors qu’il l’excitait de ses doigts. Il s’arrêta.
Il suivit des doigts l’ourlet de sa culotte, et elle eut l’impression que, s’il s’approchait encore de son clitoris, elle jouirait aussitôt.
Des élancements agitaient son sexe, et son esprit était plein d’images de la tête de Jean entre ses jambes, de sa langue la parcourant doucement jusqu’à la faire hurler de plaisir.
Il haussa les épaules en triturant le tissu satiné de sa culotte. C’était un contact léger, à peine un murmure contre son sexe. Assez pour qu’elle sente quelque chose, et cependant… trop peu.
Elle plongea ses yeux dans les siens. Il agrippa les lanières délicates qui recouvraient ses hanches et les déchira. Elle sursauta ; il sourit, puis écarta les restes de sa culotte. Les fesses nues, elle frissonna.
Il passa une main sous ses fesses et la souleva, puis plaqua sa bouche sur son jardin secret. Elle se redressa pour le regarder lécher lentement son clitoris, puis faire descendre sa langue entre ses lèvres et l’enfoncer en elle.
Cela faisait si longtemps qu’un homme ne l’avait pas touchée… Elle ne l’avait pas permis, pour de nombreuses raisons. Le sexe compliquait les choses, et elle n’en retirait pas souvent grand-chose d’intéressant.
Ses pensées s’évanouirent, laissant place aux seules sensations. Elle savoura la magie du moment, se délectant de le sentir sucer son clitoris, faire courir sa langue de haut en bas sur son sexe et la lécher jusqu’à la faire haleter.
Il saisit ses poignets et les immobilisa, enfonçant ses doigts dans sa chair. La douleur ne faisait qu’intensifier les sensations qu’il lui procurait, la poussant jusqu’à l’extrême limite de sa volonté. Elle avait vraiment envie de prendre du plaisir sans lendemain.
Et, pleine de confusion, elle sut qu’elle ne pourrait pas se retenir. Elle le regrettait, car ce plaisir était le plus doux qu’elle ait jamais connu. C’était magique, et cela n’arriverait qu’une fois. Mais la vague déchaînée de l’orgasme refusait d’attendre ; elle se souleva, cria et jouit, dans une onde de choc qui fit vibrer toutes ses terminaisons nerveuses d’une extase insoutenable. Jean resserra sa prise sur elle en lapant tout ce qu’elle avait à donner.
Les muscles de Madame frissonnèrent, et Jean l’aida à se redresser, le visage mouillé d’elle. Elle leva une main tremblante et, du pouce, lui essuya le menton. Il saisit son doigt au vol et le suça, le regard toujours noir de désir inassouvi. Il lui tendit ensuite son verre de vin, et elle en prit quelques longues gorgées afin d’étancher la soif qui lui brûlait la gorge…, mais sa soif de lui, en revanche, demeurait intacte.
Elle craignait que cette soif-là ne s’apaise pas de sitôt. Il la prit dans ses bras. Elle ne portait plus que sa jupe et son soutien-gorge à demi retiré. Lui était toujours habillé des pieds à la tête, son membre dur gonflant visiblement son pantalon noir.
Excitation ou désir pur, elle ignorait ce qui la faisait frissonner. Il fut sur elle en un instant, retira son soutien-gorge et le jeta au sol. Il empoigna sa jupe, et elle sentit la force de ses mains tirant sur la fermeture Éclair.
Il s’arrêta et recula, un rictus triomphant sur le visage, tandis qu’elle baissait la fermeture et laissait tomber sa jupe à terre.
Il déboutonna sa chemise, l’ôta et l’envoya rejoindre la jupe. Il défit ensuite le bouton de son pantalon et ouvrit la braguette. Il retira ses chaussures et descendit son pantalon ainsi que son boxer. Sa virilité jaillit, et Madame se passa la langue sur les lèvres, désirant soudain sentir son sexe entre ses mains et dans sa bouche.
Jean était magnifique, plus qu’elle n’aurait pu l’imaginer. Lorsqu’il l’attira brusquement entre ses bras, la dame n’aurait échangé sa place pour rien au monde.
Le souffle de la femme se bloqua dans sa gorge lorsque son gentleman la serra contre lui, puis la retourna, plaquant le dos de la jeune femme contre son torse.
Son cœur tambourinait dans sa poitrine, son corps était en feu, envahi par un désir d’une force telle qu’elle était près de la mettre à genoux.
Son souffle tiède se répandait sur son cou, la faisant frissonner. Il tendit la main vers ses cheveux, en retira la barrette et les épingles soigneusement placées qui les retenaient, puis y enfouit ses doigts pour les étaler sur ses épaules.
Son gentleman lui passa les mains sur les épaules, puis sur les bras, avant de remonter. La chair de poule lui picota la peau, mais elle n’avait pas froid. Son corps était brûlant, à l’intérieur : elle avait l’impression d’être en feu.
Elle pivota et vit le désir rougeoyer dans ses yeux comme une fournaise. Personne ne l’avait jamais regardée comme Jean en ce moment, comme s’il était si affamé d’elle qu’il ne pouvait attendre de la posséder.
C’était brut, primaire, et elle en frémissait d’impatience.
Il lui frôla la joue du revers de la main, en un geste d’une tendresse telle que ses jambes faillirent se dérober sous elle. Il posa sa paume sur son cou, la laissa glisser le long de sa clavicule jusqu’à ses seins, puis en prit un dans sa main.
Il fit tourner son pouce et son index autour de son téton, et cette sensation se répercuta jusqu’à son sexe, la remplissant de désir. Elle lui agrippa les bras. Elle tenait à peine sur ses jambes et se sentait près de tomber. Mais son escort boy passa un bras dans son dos pour la soutenir, puis il porta les lèvres à son sein pour sucer son téton.
Elle enfonça les doigts dans ses cheveux, désirant de plus en plus, au contact de sa bouche et de ses dents sur son corps, le toucher. Il lécha et suça la peau de son sein.
Lorsqu’il s’écarta, elle avait le souffle court et se sentait presque ivre de désir.
Son gentleman la souleva et la porta jusqu’à l’étendre au bord du lit gigantesque, laissant ses jambes pendre à l’extérieur. Il sortit un préservatif du tiroir, le mit et se pencha sur elle.
Elle attendit, le sexe trempé d’excitation. Il plaça son sexe entre ses lèvres intimes et glissa en elle.
Elle s’attendait à ce qu’il l’utilise, qu’il la pénètre brutalement. Elle n’avait pas imaginé une telle tendresse de sa part, et c’était presque plus qu’elle n’en pouvait supporter.
Il posa les mains de chaque côté du corps de sa belle et prit son temps jusqu’à s’enfoncer complètement en elle, puis il resta immobile, attendant qu’elle s’adapte à sa présence. Cela faisait si longtemps qu’elle n’avait pas accueilli un homme en elle, qu’elle n’avait pas senti une telle chaleur, une telle épaisseur à l’intérieur de son corps.
Son compagnon ferma brièvement les yeux, et elle vit la tension plisser son front lorsque son sexe frémit et se resserra sur son membre. Elle passa les mains sur ses avant-bras musclés et sentit la légère transpiration qui s’y était formée.
Puis il se mit à bouger lentement, doucement, se retirant partiellement avant de replonger. Madame leva les jambes et posa les pieds à plat sur le lit, se soulevant pour l’attirer en elle plus profondément.
Il se dressa pour contempler son sexe tandis qu’il la prenait. Sa façon de la regarder transperçait le voile dissimulant tout ce qu’elle tentait si désespérément de lui cacher.
Son amant sourit, observant l’endroit où leurs deux corps se rejoignaient. L’escort boy plongeait en elle et lui disait qu’elle lui appartenait.
Elle était si près de jouir qu’elle dut serrer les dents et se retenir pour faire durer son plaisir. Le regarder la pénétrer était magique. Un fantasme devenu réalité. Et qu’il ait pris ainsi possession d’elle…, elle n’aurait jamais pu l’imaginer.
Son mâle se pressa contre elle, l’écrasa, et les larmes montèrent aux yeux de la belle dame. Elle était si près. Si près qu’elle mourait d’envie de relâcher la tension, mais elle attendit.
L’escort boy lui agrippa les hanches et la laboura, fort, faisant rouler son bassin contre sa chair.
L’orgasme explosa en elle, libérant d’un coup toute l’énergie accumulée. Elle cria. Jean accompagna la crispation soudaine de son sexe à coups de reins puissants, puis se plaqua sur elle et gronda, jouissant lui-même tandis qu’elle s’emballait et perdait totalement le contrôle. Il se serra contre elle et l’embrassa tandis que l’orgasme de Madame continuait, semblant ne jamais devoir se terminer. Il n’arrêta de bouger en elle que lorsque cette jouissance volcanique se fut muée en de douces pulsations.
Son gentleman se retira, la laissa seule un instant, puis revint et la retourna sur le ventre pour lui caresser les fesses. Il déposa un baiser sur chacune d’elles avant de faire descendre ses mains le long de ses jambes.
Il grimpa sur le lit et s’agenouilla devant elle. Il lui ordonna de se mettre à quatre pattes. Elle aimait sa force et son autorité au lit.
Elle contrôlait tout le reste de sa vie. C’était amusant de le laisser commander, ici ; cela l’excitait, la faisait frémir d’impatience.
Jean lui demanda de le sucer pour le faire durcir à nouveau. Elle se passa la langue sur les lèvres, puis prit sa queue dans sa main et l’enserra de sa bouche. Le sexe de la femme palpitait encore de l’avoir eu en elle, tremblait encore de son orgasme. Elle fit tourner sa langue autour de son membre, puis l’attira dans sa bouche en le suçant.
Son escort boy posa la main à l’arrière de sa tête et fit plonger sa queue plus profondément dans sa bouche.
Elle lécha toute la longueur de son membre, puis se mit à bouger la tête de haut en bas. Jean se pencha de côté pour attraper ses poignets.
Son escort boy lui tirait les bras, les maintenait derrière son dos afin de l’obliger à n’utiliser que sa bouche. Et elle ne pensait qu’au moment où son membre fantastique pénétrerait son sexe, pour la baiser jusqu’à ce qu’elle jouisse à nouveau. Elle désirait cet orgasme, ne rêvait que de le sentir la labourer une fois encore. Il s’empara de ses seins, faisant rouler ses tétons entre ses doigts serrés. Cette légère douleur la fit le sucer plus fort.
Il s’enfonça plus profondément, et elle prit toute sa longueur dans sa bouche. Il semblait savoir exactement jusqu’où elle était capable d’aller, car il se retirait, faisant glisser son membre contre sa langue, avant de replonger profondément en elle.
Jean fit sortir son membre de sa bouche et le souleva pour lui donner accès à ses bourses. Elle sortit la langue pour les lécher, regrettant de ne pas pouvoir les prendre dans sa bouche, à cause de la posture dans laquelle il la maintenait. Et, tout du long, il continua d’exciter et de pincer ses tétons, et la douleur était merveilleuse.
Cela lui avait manqué, un homme pour la toucher, la lécher, la baiser. Le sexe lui avait tellement manqué. Jean était un putain de maître en la matière.
Elle balaya ses testicules de la langue, donna des petits coups, le lapa, l’excita.
Son gentleman laissa retomber les bras de la belle et la redressa à genoux, puis l’attira à lui. Ses lèvres rencontrèrent les siennes en un baiser brûlant qui envoya des fourmillements dans ses mamelons, tandis que Jean enfonçait sa langue dans sa bouche pour prendre possession d’elle.
Jean l’allongea mettant son ventre sur un oreiller en lui écartant les jambes, et il mit un préservatif, puis s’agenouilla entre ses cuisses. Elle sentit son corps la frôler, puis il fut en elle, et, tout comme auparavant, son sexe frémit. Elle empoigna les draps lorsqu’il se mit à bouger lentement en elle, se retirant doucement pour mieux glisser à nouveau à l’intérieur.
Il écarta les cheveux de la belle pour embrasser et mordiller sa nuque. Elle serra les draps entre ses poings et se retint, sachant qu’elle pouvait jouir immédiatement. Le sucer avait fait grimper la tension, et elle était prête, surexcitée. Son clitoris frottait contre le lit, décuplant ses sensations, la hissant vers le sommet.
Son amant se redressa et la prit par les hanches, la pénétrant plus fort, plus vite. Jean plongea en elle d’un coup puissant qui la fit s’enfoncer dans le matelas. Son point sensible fut pressé contre l’oreiller, et elle se sentit si proche de l’orgasme qu’elle dut lutter pour y résister. Elle voulait que son escort boy jouisse avec elle.
La poigne de celui-ci se resserra sur ses hanches, tandis que ses coups de reins se faisaient de plus en plus impatients.
Elle était terrassée de sensations, sur le point de déchirer les draps si elle ne jouissait pas rapidement. Il passa une main sous elle et trouva son clitoris, puis massa le nœud gonflé de plaisir.
Lorsqu’il s’enfonça à nouveau, elle explosa, enfouissant son visage contre l’édredon en criant d’extase. Jean plaqua son corps contre ses fesses, se balança d’avant en arrière et jouit en frissonnant.
Lorsqu’elle retomba enfin, il était là pour écarter ses cheveux de son visage. Il la fit rouler sur le côté et se débarrassa de l’oreiller. Puis il la quitta juste le temps de leur ramener à chacun un verre. Ensuite, il la prit dans ses bras et l’attira contre son torse, caressant son dos et ses épaules.
Le silence était total. Ni l’un ni l’autre ne prononça une parole. Jean éteignit les lumières et tira les couvertures sur eux.
Cette soirée tout entière avait été une révélation. Elle en était encore un peu bouleversée. Son escort boy lui avait donné tous les plaisirs qu’elle espérait, et cela avait été magique, plus qu’elle n’aurait jamais osé en demander.
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Toutes les femmes ont des fantasmes. En tant que gentleman escort boy pour femmes exigeantes, je vous offre la sécurité de mon professionnalisme et mon expérience qui vous permettra d’être sure que votre fantasme sera réussi et vous permettra de vous lâcher complètement.
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Au plaisir de faire votre connaissance. Jean
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