Relation Extra Conjugale – Escort Boy #1 de la rencontre infidèle – à Paris

Relation Extra Conjugale – Escort Boy #1 de la rencontre infidèle – à Paris

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Relation Extra Conjugale – Escort Boy #1 de la rencontre infidèle – à Paris. En ouvrant la porte de la chambre de son hôtel, le regard de Madame traverse alors la pièce et se plante sur une forme allongée sur son lit, juste en face d’elle. Elle fixe la forme, à cinq ou six mètres d’elle, et dans la pénombre, elle a du mal à en distinguer la nature. Elle se concentre, laisse à ses yeux le temps de s’habituer.

Soudain elle se redresse, comme sous l’effet d’une décharge électrique, retenant de justesse le verre qui manque de lui glisser des doigts. Elle cligne des yeux, persuadée d’avoir mal vu, tend le cou, comme si les quelques centimètres gagnés peuvent changer quelque chose à ce qu’elle a cru apercevoir.

Mais non, elle ne s’est pas trompée. Sur la chaise longue en face d’elle, un homme est étendu. Lui aussi la regarde. Il est complètement nu.

Elle le fixe encore. Madame ressent une furieuse et soudaine envie de se faire prendre dans tous les sens par ce bel inconnu.

Tandis qu’elle s’approche de lui, cramponnée à son petit sac à main, elle ne peut empêcher ses yeux de baisser d’un cran et de fixer, telle une proie hypnotisée, le membre charnu appuyé sur les cuisses croisées.

Elle est tout près de lui maintenant. Il déplace ses jambes et lui fait signe de s’asseoir près de lui. Elle s’exécute. Il sourit, se penche vers elle et approche sa paume de sa bouche et y dépose un baiser.

Elle sourit, d’un sourire flatté, déroutée par ce baisemain de gentleman. Il lui sourit aussi, guide sa main vers son entrejambe et la pose sur sa virilité. Madame, estomaquée, sent la chair molle et chaude sous sa paume. Il garde sa grande main plaquée contre la sienne un moment puis, comme assuré qu’elle l’y laissera, finit par la lâcher.

La musique est douce. Madame regarde sa main. Elle a serré par réflexe ses doigts autour du sexe qui dépasse de sa paume, même au repos. Il ne bande pas du tout. Elle, tout au contraire, a mouillé sa culotte presque instantanément. Sans y réfléchir, elle caresse lentement le sexe.

Il est doux. Elle ne se rappelait pas à quel point la peau à cet endroit est délicate. Elle remarque que l’ensemble est totalement imberbe. Est-ce pour cela que ce sexe lui semble si gros ? À moins qu’il n’ait déjà grossi sous l’effet de ses caresses.

Il s’approche, passe une main sous sa robe et, tout en déposant de chastes baisers dans sa nuque, entreprend de la masturber. C’est bien inutile : elle mouille tant et si bien que sa culotte est totalement trempée.

Elle passe ses mains sur les épaules. Cela fait si longtemps qu’elle n’a pas touché un homme ! Elle voudrait laisser glisser ses mains vers son entrejambe et toucher encore ce sexe fascinant et si prometteur. Elle voudrait le regarder, mais n’ose pas, bien trop honteuse, déjà, de son propre état d’excitation. Que doit-il penser ? Il ne lui a encore presque rien fait et déjà… Mais il faut dire qu’elle a tellement faim ! Il faut qu’il la soulage ; il faut qu’il la débarrasse de ce désir qui la gangrène.

Sa tête est maintenant nichée contre son cou. Il dépose des baisers sur ses trapèzes, lèche sa peau, mordille parfois le lobe de son oreille. Chaque nouvelle sensation est comme une délicieuse pointe d’électricité qui recouvre son corps et la fait grimper encore davantage les marches du plaisir.

Il sent bon, un parfum italien de cologne, bien sûr, mais assez subtil. Quelques grognements s’échappent de sa gorge et confèrent à l’ensemble une animalité raffinée que Madame se surprend à adorer.

Sans relever la tête, il glisse un doigt dans son intimité brûlante, puis deux. Elle fléchit les genoux, écarte les cuisses et, comme ça ne suffit pas, lève une jambe. Plus, elle veut plus.

Plus profond, plus fort. L’homme a réveillé la bête sexuelle qui sommeillait en elle et maintenant, ses sens totalement affûtés, son désir au comble du paroxysme, elle pourrait presque l’attacher au lit pour jouir de lui, encore et encore.

À cet instant précis, elle oublie tous ses soucis. Il embrasse maintenant son décolleté et mordille ses seins au travers de sa robe. Elle gémit. Elle pourrait crier d’ailleurs que personne ne l’entendrait.

Il place ses mains sur ses hanches et, d’un geste précis, la fait pivoter sur elle-même. Elle se retrouve à quatre pattes. Sa tête touche presque le mur, alors, pour être certaine de ne pas avoir de mauvaise surprise, elle se tourne dans le sens de la longueur, sans vraiment croire à ce qu’elle est en train de faire.

Puis elle attend. L’homme la regarde un instant. Tout ce qu’elle veut, c’est se faire prendre, comme une chienne en chaleur, comme une salope, comme une lubrique en manque, comme ce qu’on voudra, mais se faire prendre, sentir son corps empli par le sexe d’un homme qui s’imbriquera en elle le temps qu’il faudra pour qu’elle en jouisse jusqu’à n’en plus pouvoir.

L’homme, cependant, ne semble pas décidé à la satisfaire de cette façon. Au lieu de se mettre derrière elle comme elle l’aurait imaginé, il vient placer sa queue tendue devant sa bouche. Elle qui voulait l’observer, elle est servie… Elle voit le gland luisant dont l’œil de cyclope laisse échapper une substance translucide.

Elle ouvre la bouche et effleure du bout de la langue la peau rose tendue à l’extrême. Le gentleman approche davantage sa queue de son visage, ouvre-t-elle plus grand la bouche et le laisse-t-elle l’y introduire aussi loin que possible, accompagnant son entrée en scène d’un gémissement de plaisir.

La fellation est longue et goulue. Elle ne bouge pas, c’est lui qui s’active. Sa propre salive lui coule le long des joues et du cou ; il ne lui laisse pas même le temps de déglutir. C’est bon, mais il lui manque quelque chose, là, derrière.

Sans prévenir, il se retire et se déplace vers ses fesses tendues. Enfin ! Le sexe oral, c’est bien, mais elle a craint un instant qu’il ne finisse dans sa bouche.

Il soulève sa robe, écarte le tissu de sa culotte, lèche longuement son anus, puis descend vers son sexe. Madame est à l’agonie. Elle sent le visage de l’homme se faufiler entre ses cuisses pour lécher son clitoris.

Elle écarte les genoux pour mieux s’offrir, se cambre, le laisse fouiller avec sa langue. Il fait ça si bien. D’ailleurs, elle voudrait qu’il ne s’arrête plus. Elle n’avait pas senti la langue d’un homme entre ses cuisses depuis si longtemps qu’elle avait presque oublié l’extase que cela procure.

Elle ferme les yeux. La musique fait vibrer son corps. Elle sent l’homme lui attraper les fesses, pour y introduire un doigt. Elle serait bien incapable de dire lequel ; tout ce qu’elle sait, c’est que cette pénétration interdite provoque une décharge de plaisir en elle.

Une vraie salope, pense-t-elle. L’homme se redresse, enfile un préservatif, écarte avec sa main libre les lèvres gonflées d’excitation de la jeune femme et, sans ôter le doigt de son anus, la pénètre avec douceur, et reste planté en elle jusqu’à la garde, sans bouger.

Elle jouit si fort qu’elle crie sans aucune retenue. Il commence à bouger. Doucement. Elle sent chaque centimètre de sa queue pénétrer son vagin ; elle relève la tête et ferme les yeux pour mieux se concentrer sur ce qu’elle ressent.

Il a toujours un doigt dans son cul et s’agite en elle avec un savoir-faire insoupçonné. Jamais de sa vie on ne l’avait fait jouir à ce point.

Le temps s’arrête, la musique se tait. Il n’y a plus qu’elle et cet homme-objet qu’elle a eu la bonne idée d’inviter dans sa chambre.

Adieu Madame l’intellectuelle, voici Madame la chienne qui se fait prendre en levrette. Elle ne savait même pas que ça existait. L’homme continue de s’échiner en elle. Son large doigt lui aussi s’agite dans son petit trou et cette double pénétration provoque chez Madame un sentiment de plénitude totale, comme si plus aucun espace vide ne subsistait dans son corps. Après une dernière poussée puissante, l’homme se retire finalement, ôte son doigt, enlève son préservatif et jouit sur ses reins, inondant la raie de ses fesses de son elixir brulant.

  

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Jean

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