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49 jours de confinement sans plaisir

Category:escort boy,escort service,Experience Tags : 

Madame n’était pas obsédée sexuelle ; mais après 49 jours de confinement sans plaisir, Elle n’avait pas envie de faire l’amour, elle avait envie de se faire baiser. La perspective de chercher un homme ne l’emballait pas et elle savait qu’un escort boy serait à la hauteur de ses espérance en terme de sexe sauvage. 

Jean était un homme séduisant, et elle une femme libre. Tant qu’elle avait vécu avec son mari, elle s’était montrée fidèle, en dépit de nombreuses sollicitations, mais son compagnon étant parti, elle n’avait plus de comptes à rendre. Et la meilleur solution pour prendre du plaisir, vu la conjoncture délicate, c’était sans conteste Jean, l’escort boy pour femmes exigeantes.

Cela lui donna le courage de prendre rendez-vous pour le 11 mai 2020, le premier jour de la fin du confinement en France. Madame se prépara pour cet évènement, un bain moussant, elle prit le temps de soigner son maquillage, de soigner sa coiffure, de se parfumer aux endroits stratégiques. 

Elle voulait que cet évènement soit le meilleur de toute sa vie, et pour cela, elle avait décidé de polir ses armes féminines. Elle pensa ôter son soutien-gorge, mais choisit de le garder, à tout hasard : si l’occasion se présentait, le mâle devrait concrétiser sa victoire sur la femelle. 

Lorsque  l’escort boy se présenta chez elle. Elle se leva, déboutonna fébrilement son corsage. Son cœur battait la chamade, sa respiration s’oppressait. Jean, ne la quitta pas des yeux. Elle ôta son corsage en le faisant glisser le long de ses bras. Elle passa ses mains dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge, qu’elle laissa choir, dévoilant des seins d’une beauté arrogante. Puis s’attaquant à la fermeture de sa jupe, elle se tourna sur le côté ce qui offrit à son escort boy une vue de sa poitrine sous un angle différent et se débarrassa du vêtement. Elle se redressa en string.

Elle ôta son corsage en le faisant glisser le long de ses bras

Elle ôta son corsage en le faisant glisser le long de ses bras

— Vous voulez que j’enlève tout, monsieur l’escort boy ?

— Evidemment !

Son visage était en feu, une chaleur envahissait son ventre ; ses mains tremblaient en abaissant le dernier paravent de sa pudeur. Nue, vaincue, elle se figea au garde-à-vous, le corps droit, les bras le long du corps, la poitrine haute.

— Ecartez les cuisses…

Elle les desserra ; Jean avait le regard braqué sur la fine toison du pubis, l’amorce de la fente soyeuse.

— Vous mouillez, Madame, n’est-ce pas ?

Horriblement gênée, elle fit oui du menton, puis baissa la tête afin de cacher sa honte. Jean s’approcha pour venir près d’elle. Madame ne recula pas quand il lui posa les mains sur les seins, les palpa, les soupesa, mais elle frissonnait ; ses tétons durcissaient au contact des doigts qui les effleuraient. Il les tordit, les étira en comprimant ses seins pour en apprécier la fermeté ; il les pinça jusqu’à la faire grimacer, puis geindre.

— Croisez vos mains sur la tête !

Elle obéit ; dans le mouvement, sa somptueuse poitrine se souleva. Jean la caressa en épousant ses rondeurs, empaumant ses volumes. Son regard allait des seins fermes, doux au toucher, aux yeux dans lesquels il lisait de l’émotion et de la docilité.

— Vous avez de beaux seins, Madame. Vous aimez que je vous caresse ?

— Oui, monsieur…

— Vous voulez que je continue…

— Oui, monsieur…

— Ecartez davantage les jambes !

Elle s’exécuta, définitivement domptée.

Jean fit glisser ses mains le long des flancs de sa partenaire, les ramena sur son petit ventre rond. Il passa ses doigts dans les poils frisés de la toison, puis entre les cuisses moites, effleurant la fente, le petit bourgeon du clitoris, le rebord des lèvres jardin secretales. Il titilla les reliefs trempés des nymphes. Madame se tendit, laissa échapper un soupir, assura son équilibre en écartant davantage les pieds au sol.

Elle n’y tenait plus, se fatiguait, s’agaçait de devoir garder les mains croisées sur le crâne. Elle aurait voulu enlacer l’homme qui la jaugeait sans vergogne, se jeter dans ses bras, se donner à lui sans plus attendre.

— Calmez-vous, madame, fit-il doucement, nous avons tout notre temps…

— Pardon, monsieur l’escort boy, mais ce que vous me faites… ça m’excite… trop !

— Je le vois bien, mais je vous veux très… docile, Madame !

Elle attendait avec impatience qu’il introduise ses doigts dans son jardin secret brûlant. Elle crut qu’il allait le faire, quand il ordonna sans élever la voix :

— Retournez-vous…

Elle fit volte-face en lâchant un soupir de frustration. Il ausculta son dos, sa colonne vertébrale, ses omoplates, de nouveau ses flancs, puis s’attarda longuement sur ses larges fesses musclées. Elle cambrait les reins, la croupe, tendait les fesses vers lui. Elle frétilla quand il introduisit ses doigts dans le creux de sa raie, tâtant les abords de la rosette anale…

Alors, le professionnel du plaisir féminin prit dans sa main un sein palpitant, puis pointa le majeur de l’autre main après l’avoir enduit de ce gel lubrifiant sur le côté obscur de sa partenaire.

— Oh ! gémit-elle en se tortillant.

— Ne bougez pas ! Ne vous crispez pas !

— Pardon monsieur l’escort boy…

Avec une lenteur calculée, forçant l’étroitesse des sphincters, il lui enfonça le doigt dans l’orifice. Comme Madame serrait les fesses, il lui administra une claque retentissante. Surprise, elle s’ouvrit de nouveau, accepta en geignant faiblement l’intromission qui caressait son intimité rectale.

— Vous ne goûtez pas la sodomie ? se moqua-t-il en la limant.

— Je n’y suis pas habituée, mais après 49 jours de confinement sans plaisir, je veux tout essayer. avoua-t-elle.

— J’ai l’intention de vous faire goûter au joie du côté obscur du plaisir malgré vos réticences, Madame la libertine. Quand on est une belle libertine, on doit tout essayer.

— Oh monsieur l’escort boy, je ne voulais pas vous provoquer…

— Je me suis trompé alors,dit-il, vous voulez que je m’en aille ?

Il avait son doigt fiché dans son anus, et il ne le retirait pas.

— Non monsieur l’escort boy…

— Baissez les bras, penchez-vous en avant. Posez les mains sur vos genoux !

— Appelez moi Monsieur Jean, maintenant que nous sommes plus intimes.

— Oui monsieur Jean…

Il la tenait toujours par un sein, qu’il ne cessait de peloter. Retirant son majeur, il lui enfonça son pouce dans le côté obscur : le petit trou s’ouvrait, se dilatait. En même temps, le professionnel du plaisir féminin fouillait le jardin secret détrempé.

— Aahh ! fit-elle en s’agitant, oh monsieur Jean, monsieur Jean !

Il accéléra les mouvements de ses doigts, pressa sa main contre la vulve. Pliant son pouce comme un crochet dans son rectum, il la pénétrait délicatement.

— Oh, monsieur Jean, vous allez me faire… jouir, c’est trop bon !

Elle gémissait sans pouvoir se contrôler, son corps tremblait, ses sens s’emballaient, la tête lui tournait. Elle poussa un cri rauque, explosa en se convulsant.

— Oh ! haleta-t-elle, la respiration affolée, c’est fou ! Ah oui, encore !

Elle se trémoussait frénétiquement dans sa posture indécente. son escort boy la tenait fermement, pinçant plus sévèrement le téton du sein qu’il malaxait, faisant coulisser ses doigts dans ses orifices en fusion. Il la lâcha d’un coup ; elle s’effondra sur les genoux, le corps plié en deux, secouée de tremblement extatiques.

Elle demeurait prostrée au sol, hébétée. Son délire charnel avait été d’une intensité inouïe. Elle continua à râler faiblement, jusqu’à ce qu’elle recouvre son souffle et ses esprits. Elle se redressa sur les genoux, le regard vitreux, les lèvres entrouvertes, le visage marqué par la violence de l’orgasme. Portant la main à son mamelon, celui qu’il avait pincé très fort, elle le massa.

La toisant de toute sa hauteur, Jean esquissa un sourire narquois.

— Tu ne sais même pas remercier, petite libertine ? dit-il.

— Si, pardon… Je vous remercie, monsieur Jean…

Elle voulut se relever, mais il l’arrêta d’un geste de la main.

— Non, tu es bien comme cela, à genoux à mes pieds. C’est dans cette posture de soumission que je te veux quand tu es devant moi, compris ?

— Oui monsieur Jean… Bien, monsieur Jean.

Elle aurait dû se rebiffer, mais elle ne protesta même pas mollement. Ce gentleman, qui venait de la faire jouir de façon démentielle, la subjuguait surtout après 49 jours de confinement sans plaisir. Elle était sous sa coupe comme elle ne l’avait jamais été avec aucun autre. Elle découvrait avec effarement qu’elle était troublée par sa manière autoritaire de la traiter.

— Maintenant, tu vas me sucer. Je suis curieux de voir ce que tu es capable de faire avec ta bouche.

Elle ne savait comment lui résister. Alors, elle avança sur les genoux pour se rapprocher de la braguette qu’il abaissait tranquillement, extirpant de son pantalon et de son slip une longue verge à moitié tendue, qu’il agita sous son nez. Madame la saisit délicatement, la prit dans sa bouche, en l’aspirant très fort. Serrant les lèvres autour du gland, elle entama ses mouvements de succion.

Elle sentait le sexe durcir, gonfler dans sa bouche

Elle sentait le sexe durcir, gonfler dans sa bouche

Les effets de sa fellation administrée avec conviction furent rapides. Elle sentait le sexe durcir, gonfler dans sa bouche, appréciant sa saveur, sa consistance prometteuse, son volume aussi. La virilité du gentleman la remplissait bien, et sa longueur qui dépassait la moyenne de ce qu’elle avait déjà connu. Dès que la verge fut dressée au maximum, elle sortit sa langue, lécha copieusement toute la surface, du gland aux couilles, qu’elle lapa comme une gourmande.

— Tu suces vraiment bien, commenta-t-il en la saisissant par les cheveux comme pour la contraindre davantage.

Madame avait toujours aimé sucer les belles sucettes ; elle trouvait celle de son escort boy tout particulièrement à son goût. Il était rare qu’elle se refuse à gâter un partenaire, même de passage, de cette manière. Elle ne se forçait donc pas, bien qu’il s’agît de la première pipe qu’elle taillait sur ordre. Mais elle avait un excuse: 49 jours de confinement sans plaisir.

Elle découvrait que son escort boy avait du répondant : il se laissait honorer plus longtemps que la plupart des autres, sans pour autant perdre sa maîtrise de soi. Et elle jugeait plus prudent de ne prendre aucune initiative. C’est lui qui la releva en tirant sur ses cheveux ; il la fit grimper à quatre pattes sur son bureau. Soumise dans sa posture bestiale, Madame écarta ses cuisses, tendit sa croupe resplendissante. Elle offrait sa grosse chatte luisante de mouille, dont les lèvres palpitaient encore.

Le gentleman enfila un préservatif et l’embrocha en levrette avec une lenteur qui raviva les sens exaltés de la femme. Elle se cabra en vidant l’air de ses poumons. Jean la tenait toujours d’une main ferme par les cheveux, et de l’autre il lui caressait les fesses, en propriétaire. Madame, gémissant de contentement, accompagnait ses va-et-vient en elle d’ondulations voluptueuses du bassin. Son impatience était enfin récompensée, sa frustration initiale comblée. Il la baisait bien, la remplissait entièrement, chaque mouvement de sa part faisait naître dans ses entrailles des ondes de jouissance.

— Oh oui, monsieur, soupirait-elle, vous me possédez… merveilleusement !

Une sévère claque sur la fesse lui arracha un cri de surprise.

— Je ne t’ai pas demandé de commenter. Je te baise comme je veux !

— Pardon, monsieur Jean…

Il tira sur ses cheveux, lui renversa la nuque en arrière, l’obligeant à cambrer davantage le dos et les reins. La douleur lui faisait monter les larmes aux yeux. Elle poussait des gémissements de souffrance de plus en plus sonores, mais elle était bien obligée de s’avouer que les manières brutales de son escort boy la ravissaient. Comment résister à un amant qui vous baisait si bien et vous faisait jouir si fort ?

Ainsi qu’elle s’y attendait, Jean se montrait d’une endurance peu commune : il savait la mener au bord d’un nouvel orgasme, puis changer de rythme pour le retarder, ou même le contrarier. Cela allait du retrait brutal de son jardin secret à des pincements très vifs des tétons, ou à une amorce de fessée. La jeune femme subissait un tourbillon de sensations contradictoires. Elle râlait, soufflait, gémissait, se convulsait, coincée au bas-ventre par la queue puissante et à la nuque par la main refermée dans ses cheveux.

Elle râlait, soufflait, gémissait, se convulsait, coincée au bas-ventre par la queue puissante et à la nuque par la main refermée dans ses cheveux

Elle râlait, soufflait, gémissait, se convulsait, coincée au bas-ventre par la queue puissante et à la nuque par la main refermée dans ses cheveux

Jean faisait d’elle ce qu’il voulait : il l’embrasait ou la refroidissait, et il la maintenait sous pression en la besognant en levrette. De temps à autre, tout en continuant à la limer à sa guise, il tâtait son orifice anal, y fourrait son doigt, lui faisant craindre qu’il allait l’enculer de force. Madame n’avait jamais été véritablement sodomisée ; elle le lui avait avoué au cours de l’examen humiliant qu’il lui avait fait subir. Le calibre de la queue lui paraissait trop important pour qu’elle puisse le supporter sans d’affreuses souffrances.

Il la fit jouir au moment où il le décida. Sous l’effet de la pression sans cesse maintenue aux limites de l’explosion et de la durée exceptionnelle du coït, Madame connut l’orgasme le plus démentiel qu’elle ait jamais eu. Sa jouissance extatique se prolongea de longues minutes, durant lesquelles elle cria en s’ébrouant sur la queue profondément fichée dans son jardin secret devenu fontaine.

Le professionnel du plaisir féminin se retira lentement, la virilité toujours aussi raide, il enlava sa capote. Il claqua dans ses doigts en la tirant une nouvelle fois par les cheveux. Madame comprit, se remit à genoux, reprit la verge dans sa bouche, la suça avec toute la ferveur de la reconnaissance. Son regard était flou de plaisir, tout embué de larmes de bonheur et de douleur. Elle avait les fesses rougies, très chaudes, les bouts de sein tuméfiés, mais son extase ne s’apaisait toujours pas. Devoir sucer son escort boy dans la posture de soumise qu’il lui imposait intensifiait son excitation.

— Avale tout, petite libertine ! exigea-t-il en se répandant dans sa bouche.

Elle l’avait déjà fait, mais découvrait que c’était encore plus jouissif sur ordre et sans discussion. Elle se régala de son élixir épais, très abondant, qu’elle avala aussi lentement qu’elle put. Puis elle le lécha consciencieusement, lui fit sa petite toilette intime et lui rendit une verge rendue propre par sa salive de femme comblée après 49 jours de confinement sans plaisir.

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Un gentleman au service des femmes

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