Sa compagne avait tout d’une princesse.
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La lumière de la bougie sur la table de chevet éclairait les pétales de roses étalés sur le lit. Par la porte ouverte qui donnait sur la terrasse de leur chambre d’hôtel entrait une légère brise qui faisait bouger les rideaux. Madame et son gentleman était dehors, à regarder les étoiles en dégustant une coupe de Champagne Louis Roederer.
Sa compagne avait tout d’une princesse. C’était le moment. Le moment de s’embrasser d’un baiser passionné, à cet instant précis la Tour Eiffel s’illumina.
La dame lui prit les mains pour l’entraîner dans la chambre. Elle enleva ses talons hauts Louboutin puis enleva sa robe Gucci, Elle n’avait maintenant que son soutien gorge et sa culotte Chantal Thomass.
Elle leva ensuite les mains jusqu’au col de Jean et déboutonna sa chemise pour lui enlever. Elle caressa son torse ainsi dénudé en respirant son parfum italien qui s’échappait par chaque pore de sa peau.
Enfin, ils se prirent les mains et collèrent leur deux corps. Pieds contre pieds, poitrine contre poitrine, bassin contre bassin et lèvres contre lèvres. Ils s’embrassèrent sans bouger. Ils s’embrassèrent pour sentir l’autre contre soi.
Elle releva sensuellement ses cheveux, lançant un regard coquin au lit et se jeta à son cou pour qu’il la prenne dans ses bras. Les muscles de Jean se contractèrent et il la leva sans difficulté. Son escort boy la posa sur le dos et s’allongea à coté d’elle puis l’embrassa tendrement.
Jean était un amant extrèmement doué. Son escort boy savait faire durer les caresses juste le temps qu’il fallait et savait adapter leur intensité. La dame admirait une telle application de sa part.
Le bout de ses doigts savaient comment effleurer son corps, et faire monter progressivement le plaisir de la dame. Lentement, il remonta depuis la paume de sa main jusqu’à son épaule puis son cou. Son escort boy passa la main dans ses cheveux pour lui caresser doucement la tête.
Son escort boy lui demanda de se coucher sur le ventre. La dame obéit et il embrassa ses épaules, puis son cou en descendant le long de son dos et de ses jambes jusqu’à atteindre les orteils. Son escort boy lui massa les pieds et les mollets, doucement, comme le ferait un masseur professionnel.
Son escort boy lui embrassa les cuisses et, comme cela donnait des frissons à sa partenaire, il lui massa les fesses puis il remonta le long de sa colonne vertébrale pour l’embrasser. Jean était assis à califourchon sur elle et son membre en érection reposait sur son dos.
Toujours avec douceur, Jean colla sa virilité contre l’entre-jambes de la dame et frotta doucement. Il appuyait délicatement son corps contre le sien et quand son gland rencontra son clitoris, ils vibrèrent de plaisir. La dame, serra les jambes en gémissant.
Elle se dégagea comme elle put et se retourna pour lui faire face. Ils s’embrassèrent à la fois passionnément et sauvagement. Jean la prit par les poignets pour calmer un peu ses ardeurs. Ses mains fortes, ses bras et son torse musclés ainsi que son petit sourire la rendaient folle. Elle hocha la tête, soumise, et le laissa mener le jeu.
Son escort boy lui caressa les hanches et embrassa son ventre. Ses doigts suivirent les courbes de ses seins qu’il embrassa aussi. La première caresse fut subtile, chaude et agréable. La deuxième la fit trembler.
Jean lui massa ensuite la poitrine, ajustant la pression sur ses tétons jusqu’à ce qu’elle gémisse. La passion des deux partenaires brisait le silence nocturne de rires et de gémissements. La dame respira de plus en plus fort et de plus en plus vite. Elle s’abandonna au plaisir comme seule une femme dans les bras de Jean pouvait le faire.
Pour calmer l’euphorie de sa compagne et comme pour préserver le silence de la nuit, Jean s’empara de sa bouche en y déposant une série de baisers qui la laissèrent dans un état second, à mi chemin entre l’éveil et le rêve.
Son escort boy redescendit ensuite ses mains jusqu’à ses jambes écartées et lui massa les cuisses sans se presser. La dame élégante et éduquée, la maitresse exemplaire, l’amie parfaite, cette femme mariée devenait un peu plus sauvage à chaque caresse, une tigresse indomptable qui serrait les dents et perdait tout contrôle dans les bras de son escort boy.
Quand la langue de Jean arriva jusqu’à son intimité et caressa son jardin secret pour la première fois, la dame saisit sa tête à deux mains pour y coller son bassin. Le premier orgasme lui parcouru le corps à la vitesse de la lumière.
Sans l’écraser, il se coucha sur elle en lui effleurant le visage. Il la laissa reprendre son souffle pendant qu’il embrassait et soufflait doucement sur son front et son cou, humides de sueur.
Son escort boy peigna doucement ses cheveux avec les doigts et lui embrassa la joue rougie par l’effort et la passion. Jean savait ce qu’il lui restait à faire. Ce n’était qu’une courte trêve, un instant de calme, quelques minutes pour laisser au corps le temps de se remettre de cet orgasme. Jean savait qu’elle en avait besoin et attendit donc le moment propice.
Elle enroula ses jambes autour de lui et ils se regardèrent. Ils continuèrent à mordiller et chatouiller différentes parties de leurs corps jusqu’à ce que la dame sente l’extrémité virile de Jean à l’entrée de sa grotte torride qui l’attendait, qui lui demandait l’accès.
Ils se regardèrent en silence et quand Jean enfila un préservatif et bougea le bassin, les deux premiers centimètres de son membre franchirent le portail de son intimité.
Son escort boy continua et inséra doucement son gland. Ainsi, il se retira et la pénétra plusieurs fois de suite aussi délicatement qu’il le pouvait. Son désir lui priait d’accélérer le mouvement mais il attendit que ce soit la dame qui en fasse la demande. Cela ne tarda pas. Jean la sentit ouvrir progressivement les jambes tout en l’attirant toujours un peu plus contre elle.
Après cette petite mise en bouche, il inséra son membre entier en elle. Puis il se retira et recommença, encore et encore. Ils unissaient et éloignaient successivement leur bassin dans un mouvement de va-et-vient, sans jamais se fatiguer. Comme une machine programmée pour répéter le même mouvement.
Les sommiers des lits d’hôtel ne sont pas faits pour de telles activités. Soumis à rude épreuve, ils grinçaient et couinaient. L’été non plus n’est pas la saison la plus appropriée pour un rapport aussi torride. La peau brillante et humide, la bouche ouverte et le coeur qui s’emballe s’invitent dans le lit des amants pendant les nuits d’été.
Son escort boy embrassa son cou, ses joues, sa bouche et décrivit des mouvements circulaires avec son bassin. Jean alternait entre ces mouvements là et des va-et-vient en elle ce qui décuplait par mille les stimulations. Sa fente puis le bourgeon durci, le pistil puis sa grotte. Ils étaient tour à tour inondés de plaisir.
La dame agrippa fortement les draps à tel point qu’elle déchira presque le tissu. Jean avait la volonté de lui procurer le maximum de plaisir. Jean la vit fermer les yeux, inspirer profondément et serrer les mâchoires à chaque pénétration.
Chaque coup de bassin était suivi d’une stimulation de son pistil alors qu’il frottait son bassin contre le sien. Mais bientôt, ce petit jeu laissa place à une nouvelle pénétration, puis deux, puis trois, quatre cinq. Ce n’était plus le temps des petites caresses, il se retirait et la pénétrait successivement au rythme de ses gémissements.
Jean ne sut pas vraiment quand le deuxième orgasme de la dame commença, ou quand il se termina. L’expression de son plaisir paraissait interminable.
Son escort boy garda le même rythme, mais seulement quand il sentit que les muscles de sa grotte secrète se détendaient, il ferma les yeux, et, tout en s’unissant à la dame avec un baiser passionné, il jouit à son tour, tremblant de la tête au pied alors que le plaisir l’inondait.