Ecris moi ou appelle moi pour me dire ce que tu veux ?

Ecris moi ou appelle moi pour me dire ce que tu veux ?

— Ecris moi ou appelle moi pour me dire ce que tu veux ?

Son escort boy s’approcha et son bassin frôla celui de Madame. Elle sentit alors l’arête dure de sa virilité et perdit la raison pour de bon. Jean se pencha et pressa les lèvres sur son cou, ses cheveux caressant la joue de la dame. Elle prit une profonde inspiration et savoura son odeur en songeant qu’elle n’avait jamais été si proche de lui. Il sentait l’eau de cologne de qualité et tout ce qu’elle avait rêvé qu’il sentirait. Elle agrippa le bar de son appartement, si fort que ses doigts lui firent mal.

Elle tenta d’avaler sa salive à nouveau, mais sa bouche s’était asséchée. Sa bouche, seulement : sous la ceinture, elle était trempée, prête à le laisser se glisser en elle pour lui donner ce qu’elle désirait depuis cinq longues années. Son sexe palpitait d’impatience, sa poitrine était chaude et gonflée. Son clitoris la picotait, et, si son escort boy se frottait contre elle ne serait-ce qu’une seconde, elle savait qu’elle pourrait jouir rien qu’en imaginant combien ce serait bon avec lui.

Son escort boy s’approcha et son bassin frôla celui de Madame

— Jean ! gémit-elle.

— Ecris moi ou appelle moi pour me dire ce que tu veux ?

— Touche-moi,, murmura-t-il en faisant courir sa langue sur son cou. Mets tes mains sur moi et dis-moi que c’est ce que tu veux.

Ce gentleman allait la faire mourir de plaisir. Jean pressa ses hanches contre les siennes, et elle fondit. Elle leva les bras pour enfouir ses mains dans les cheveux de son escort boy. Tirant sur sa chevelure, elle lui releva la tête ; le désir ardent qu’elle lut dans ses yeux était égal au sien.

Un instant plus tard, il posait sa bouche sur la sienne, allumant le feu qu’elle tentait d’étouffer depuis tant d’années. Il explosa lorsque son escort boy glissa sa langue entre ses dents.

Elle avait rêvé de ses lèvres, de sa saveur. Il avait le goût du champagne, et de la promesse d’une nuit torride. Il lécha la lèvre inférieure de Madame, la mordilla. Il lui glissa sa langue dans la bouche, la mêla à la sienne et suça avidement, faisant monter les larmes aux yeux de Madame.

Elle laissa échapper un râle saccadé. Son escort boy la souleva par les hanches et la posa sur le bar. S’installant entre ses jambes, il empoigna ses fesses pour presser le centre de son désir contre lui. Il tira son chemisier hors de sa jupe et le fit passer au-dessus de sa tête d’un seul mouvement brusque.

Il fit descendre sa main sur son cou et entre ses seins. Madame se pencha en arrière pour le regarder poser sa main sur le bonnet de son soutien-gorge.

— Sexy, dit-il.

Il releva les yeux vers elle, puis les reporta sur son soutien-gorge qu’il écarta, révélant un téton dur et dressé.

— Et très joli téton…

Elle retint son souffle lorsqu’il l’enserra de ses lèvres. Dès l’instant où elle sentit sa bouche tiède sucer son téton, elle hoqueta et passa à nouveau les mains dans ses cheveux. Elle n’arrivait pas à y croire. Tous les fantasmes les plus chauds qu’elle avait emmagasinés sur ce gentleman devenaient réalité.

Elle n’avait jamais imaginé que ses rêves puissent se réaliser. Elle était sans doute un peu ivre, ce soir, ; tout cela ne se reproduirait peut-être pas. Aussi, elle s’efforçait de graver chaque instant dans sa mémoire afin de ne jamais l’oublier. La traction de ses lèvres sur son téton tendu, la vue de sa tête contre son sein pâle, son odeur qu’elle aspirait profondément et, tout simplement, ce qu’elle éprouvait : le sentiment de se consumer entièrement pour lui.

Être prise par lui était au cœur de tous ses fantasmes. Elle savait à quel point ce serait bon.

— Ecris moi ou appelle moi pour me dire ce que tu veux ?

Son escort boy écarta le second bonnet et se consacra à son autre téton

Son escort boy écarta le second bonnet et se consacra à son autre téton, tout en caressant de ses doigts celui qu’il avait mouillé de sa bouche. Et lorsqu’il releva la tête, les yeux à présent emplis d’une noirceur qui la fit fondre comme neige au soleil, elle agita le drapeau blanc, vaincue.

Jean fit remonter sa jupe au-dessus de ses hanches et posa la paume de sa main sur le sexe de Madame, en lui souriant comme elle avait toujours rêvé qu’il le fasse : de ce sourire secret qu’il réservait aux autres femmes..

Il fit glisser sa paume contre son sexe, et elle gémit. Un éclair de plaisir la parcourut alors qu’il l’excitait de ses doigts. Le gentleman  suivit des doigts l’ourlet de sa culotte, et elle eut l’impression que, s’il s’approchait encore de son clitoris, elle jouirait aussitôt.

— Tu veux que je te lèche, non ? Tu veux que je te fasse jouir ?

— Ecris moi ou appelle moi pour me dire ce que tu veux ?

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