Champagne au bar de l’hôtel

Champagne au bar de l’hôtel

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Madame commanda un verre de champagne au bar de l’hôtel. Elle était une représentante, parcourant la France pour vendre des cosmétiques. Elle était bien payée pour ça, mais elle trouvait cette industrie franchement peu éthique.

Cette femme était fatiguée. Il était 23 heures, et elle avait roulé toute la journée. Mince et de taille moyenne, c’était une femme mariée de 56 ans aux longs cheveux châtain clair, à la peau pale et aux yeux d’un bleu profond. Elle était élégante dans son tailleur de bourgeoise.

Elle avala une gorgée de champagne et regarda autour d’elle. Il y avait quelques hommes et femmes d’affaires dans le bar plongé dans la pénombre et l’ambiance était calme et reposante.

Madame n’était pas une grande buveuse, mais elle adorait s’installer au comptoir des hôtels qu’elle fréquentait pour commander un verre de vin tout en lisant un magazine. C’était son seul moment de détente après ses journées éreintantes sur les routes de campagne.

En vérité, sa vie l’ennuyait. Madame avait toujours été une gentille fille très sérieuse. Au lycée et à la fac, elle avait toujours eu de bonnes notes, et elle ne se souvenait pas d’avoir connu de crise d’adolescence. Ses parents la citaient souvent en exemple lorsque ses frères et soeurs rentraient après le couvre-feu ou couchaient avec des gens peu recommandables.

Elle aurait souhaité que sa vie soit plus excitante. Parfois, elle rêvait même de succomber à un coup de folie et de se comporter de façon scandaleuse.

Mais elle n’avait pas le courage de le faire…

Soudain, un gentleman inconnu s’assit sur le tabouret à côté du sien. Elle n’osa pas regarder son visage, mais elle sentit sa délicieuse eau de toilette italienne et entendit sa voix grave et sensuelle lorsqu’il commanda une margarita.

Madame fit semblant d’être absorbée par la lecture de son magazine, mais la présence de cet accompagnateur masculin à seulement quelques centimètres d’elle la rendait fébrile. Elle se demandait pourquoi il avait décidé de s’asseoir si près d’elle.

N’y tenant plus, elle lui jeta un coup d’oeil rapide tandis qu’il goûtait à son cocktail.

L’homme portait un costume gris élégant et une belle cravate bleu marine. Grand et mince, il avait la peau mate, des cheveux poivres et sels courts et coiffés en arrière et des traits à la fois doux et très masculins. Elle remarqua qu’il avait une légère cicatrice sous le menton qui lui donnait encore plus de charme.

« Tout à fait mon genre », se dit-elle.

Elle rougissait maintenant, car cet homme escort élégant était vraiment très séduisant.

Il lui jeta un coup d’oeil lui aussi, et elle détourna rapidement la tête.

– Bonsoir, dit-il avec sa voix grave et virile.

Elle le regarda en essayant de dissimuler sa surprise, mais son coeur battait fort dans sa poitrine.

– Bonsoir.

– Je m’appelle Jean, et vous ?

– Elle murmura son prénom de façon inaudible.

– Qu’est-ce que vous buvez ?

– Oh, juste un verre de champagne.

– J’adore ça, répondit-il. Vous fréquentez souvent cet hôtel?

Madame trouva se question étrange.

– Non, c’est la première fois que je viens ici.

Il la dévisagea, plongeant ses yeux noirs perçants dans les siens tout en lui souriant. Madame se sentit rougir de plus belle.

– On monte dans ma chambre ? dit-il de but en blanc.

En entendant cette requête, la jeune femme faillit tomber de son tabouret.

– Pardon ?

Il ne s’était pas départi de son sourire, mais il la regardait avec autorité maintenant.

– Où on monte dans ta chambre?

Sidérée par sa question, Madame le regarda sans savoir quoi répondre. Elle se demanda qui il la prenait.

– D’accord, allons-y, répondit-elle. En montrant sa clé.
– Suivez moi Monsieur le gentleman, on va chez moi

Elle n’arrivait pas à croire qu’elle venait d’accepter cette proposition indécente. C’était comme si une autre personne avait parlé à sa place.

Mais non, c’était bien elle qui allait emmener cet inconnu dans sa chambre. Elle en avait marre d’être une gentille fille sérieuse. Elle voulait pimenter sa vie. Elle voulait faire quelque chose d’interdit.

Ils prirent leurs verres, et Jean suivit la dame dans l’ascenseur. Ils s’arrêtèrent au dernier étage.

La chambre était correcte, et une petite terrasse offrait une vue imprenable sur la tour Eiffel. Elle passa un coup de fil au room service et commanda une bouteille de champagne

– Installez-vous, fit-elle. Le champagne vous convient ?

– Oui, merci ma chère.

Quelques minutes plus tards, une femme de service apportant le champagne et leur servit 2 coupes.

– Tenez, dit-elle en lui tendant sa coupe. Santé!

Ils trinquèrent, et Madame avala une gorgée du délicieux champagne.

– D’où venez-vous ? demanda-t-elle en essayant de paraître sûre d’elle.

– Je suis de Paris, et je travaille dans le coaching. Et vous, d’où venez-vous ?

– Je viens de Marseille.

– Aaah, je connais Marseille. C’est une très jolie ville. J’ai visité le château d’if.

Il déposa sa coupe de champagne sur une table basse et s’assit sur le lit. Soudain, son sourire s’effaça, et il la regarda à nouveau avec cette autorité que Madame trouvait excitante.

– Enlève ton chemisier, maintenant.

Madame fut plus étonnée de sa façon soudaine de la tutoyer que de sa requête en elle-même. Elle hésita, comme si ses paroles l’avaient paralysée.

L’homme appuya son dos contre la tête du lit et l’observa attentivement.

– Enlève ton chemisier.

Madame était censée protester. Elle était censée dire à cet homme qu’elle n’était pas une fille facile ni une catin. Elle était censée lui demander pour qui il se prenait. Elle venait d’une famille bourgeoise, et personne n’était censé lui parler aussi familièrement.

Mais elle n’en fit rien.

Lentement, Madame déboutonna son chemisier noir, laissant apparaître son soutien-gorge blanc en dentelle.

Le gentleman croisa les jambes et fixa sa poitrine avec un sourire tandis qu’elle retirait son chemisier. Elle sentait une douce chaleur dans son sexe, à présent.

– Retire ton soutien-gorge. Je veux voir tes seins.

Sans le quitter des yeux, elle fit glisser les bretelles de son soutien-gorge le long de ses épaules menues, révélant ses jolis seins ronds à la peau laiteuse et aux tétons roses durcis par l’excitation.

– Bien, fit l’homme. Caresse-les.

Elle s’exécuta sans rien dire, malaxant sensuellement sa tendre poitrine offerte à la vue de l’inconnu tout en frissonnant.

Fébrile, elle remarqua la bosse dans son pantalon, et sa façon de se lécher les lèvres en l’observant.

– Maintenant, retire ton tailleur et mets-toi toute nue. Garde seulement tes talons aiguilles.

Intimidée, elle se leva pour retirer son tailleur et son string. Elle ne pouvait toujours pas croire ce qu’elle était en train de faire.

L’homme n’en manquait pas une miette.

Nue mis à part ses escarpins, elle se rassit sur le canapé et croisa les jambes dans un dernier élan de pudeur. Le gentleman sourit de façon appréciative en admirant les courbes de son corps de bourgeoise.

– Très bien. Maintenant, écarte les cuisses maintenant, et touche-toi pour moi.

Elle hésita un instant, puis écarta lentement ses cuisses, révélant sa jolie toison brune. Elle mouillait comme jamais maintenant, et mourrait d’envie de se masturber pour lui.

Doucement, elle se mit à caresser sa jolie petite chatte, faisant glisser ses doigts sur les lèvres de sa vulve et sur son clitoris excité. Elle ferma les yeux et gémit doucement.

– Très bien, Très bien. Continue comme ça.

Elle continuait à se caresser doucement, se demandant ce que sa famille et ses amis penseraient s’ils la voyaient se comporter ainsi. Sa nudité la faisait se sentir si fragile, et si vulnérable. Elle trouvait cela incroyablement excitant.

Madame sentait qu’elle allait jouir sous peu. Mais c’était trop tôt. Elle voulait d’abord le sentir en elle.

– Est-ce que… fit-elle.

– Oui ?

– Est-ce que… nous pourrions faire l’amour ?

Il rit doucement.

– Je n’ai pas fini de m’amuser avec toi.

Il sortit de sa veste trois foulards.

– Allonge-toi sur le lit, ordonna-t-il.

Elle se leva et se dirigea vers le lit, ses escarpins exagérant l’ondulation merveilleuse de ses hanches. Lorsqu’elle s’allongea, le gentleman attacha ses poignets aux barres du lit avec les foulards puis noua le troisième sur ses yeux.

Elle ne voyait plus rien.

Elle l’entendit chercher quelque chose puis revenir près d’elle.

Soudain, elle sentit un liquide glacé couler le long de ses seins, jusqu’à sa vulve. Elle frissonna en poussant un petit cri. Elle reconnut l’odeur du Champagne au bar de l’hôtel sur sa peau.

– Je vais te goûter, maintenant, dit l’homme.

Elle frémit en sentant sa langue chaude et humide sur ses seins. Il léchait avidement le champagne, dégustant sa jolie poitrine comme un met succulent. Puis il suça ses tétons durs comme de la pierre tout en enroulant sa langue dessus.

– Huum, tu es délicieuse.

Madame gémit à nouveau lorsqu’elle sentit la langue du gentleman glisser sur son ventre puis s’arrêter juste au-dessus de son pubis.

– Vous aimez me torturer, fit-elle. Pitié, léchez-moi.

Au lieu de faire ce qu’elle lui demandait, le gentleman se mit à déposer de légers baisers sur son sexe pour mieux la titiller.

– Oooh, je vous en prie, monsieur, léchez ma chatte!

Il rit doucement.

– Tu aimes le sexe, n’est-ce pas ?

– J’adore, répondit-elle, surtout avec des inconnus.

– Supplie-moi de te lécher.

– Pitié, monsieur, léchez ma chatte.

– Appelle-moi maître.

– Pitié, maître, léchez ma chatte.

– Très bien.

Elle sentit sa langue brûlante glisser sur sa vulve comme une délivrance, et des ondes de plaisir incommensurable ravagèrent son corps désirable.

Elle se raidit, ivre de jouissance.

– Mmmmmmm, j’adore votre langue !

– Et moi, j’adore ta petite chatte de petite bourgeoise cochonne.

Madame n’avait jamais été léchée par un homme de toute sa vie, et lorsque le gentleman se mit à suçoter son clitoris, elle crût défaillir.

Et puis soudain, il arrêta de la lécher, pile au moment où elle allait exploser.

– Pitié, maître, baisez-moi comme une petite salope.

Elle l’entendit se relever puis ouvrir sa fermeture éclair. Elle ne pouvait plus attendre. Il enfila un préservatif.

Soudain, elle sentit son sexe en érection pénétrer son intimité trempée et frémissante. Elle n’avait pas fait l’amour depuis des mois, et la légère douleur qu’elle ressentit lorsqu’il entra dans sa chatte étroite l’excita encore plus.

Elle cria de plaisir.

– Très bien, fit-il. Tu es une bonne fille.

Il se mit à aller et venir en elle tout en enroulant sa langue chaude autour de la sienne. Attachée au lit et plongée dans l’obscurité par le foulard, elle était totalement à sa merci ; il pouvait faire ce qu’il voulait d’elle. Elle lui était totalement offerte, elle était sa chose, son objet sexuel.

– J’adore les petites chattes de blanche comme la tienne, dit-il en l’embrassant dans le cou.

– Et moi j’adore votre grosse queue, maître. Est-ce que je peux jouir maintenant?

– Oui, tu as le droit de jouir.

Madame se raidit à nouveau, puis elle laissa libre cours à l’orgasme le plus intense qu’elle ait jamais connu de sa vie. Elle hurla tandis que son vagin se contractait dans des spasmes de plaisir. Etre prise comme une pute d’un soir la faisait jouir comme elle n’avait jamais jouit.

Elle sentit le gentleman exploser dans sa tendre petite chatte, et se lécha les lèvres en sentant sa sève la remplir.

– Si… si… fit-il dans son oreille.

Il savoura sa petite chatte jusqu’à la dernière seconde, puis se retira doucement et déposa un tendre baiser sur ses lèvres.

– C’était délicieux, dit-il en détachant les foulards.

Elle pouvait le voir à nouveau, souriant et satisfait de leur séance de baise. Il alla chercher ses vêtements et l’aida à se rhabiller, comme un gentleman.

– Voici ma carte, dit-il. J’espère qu’on se reverra.

Elle regarda le bout de carton. Il s’appelait Jean Man, et était Escort Boy à Paris.

Madame était très satisfaite et heureuse d’avoir commandé l’expérience Champagne au bar de l’hôtel avec cet escort boy pour se dévergonder un peu et sortir de sa vie de femme mariée sérieuse mais délaisée et de vivre enfin ses fantasmes en toute sécurité et avec la protection d’un gentleman.

Madame se dit qu’elle reviendrait très certainement dans cet hôtel. Finalement, sa vie de représentante pouvait s’avérer intéressante, à l’occasion.

  

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