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kamasutra

Kamasutra

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Kamasutra, d’origine indienne est le livre mythique des passionnés des beaux livres… mais surtout des passionnés de l’Amour.

Certaines positions du Kamasutra sont devenues célèbres, on ne les présente plus : le fameux missionnaire, la position d’Andromaque, l’union du lotus, le 69, les petites cuillères… Mais le Kamasutra c’est aussi une réserve de positions originales et / ou acrobatiques. Que vous soyez en mode active ou passive, vous trouverez votre bonheur avec un escort boy expert dans ce domaine!

Comment atteindre l’orgasme ? Il existe de multiples façons, il suffit de trouver la vôtre. Le Kamasutra avec votre escort boy peut vous y aider !

Tout en lui parlant, le gentleman défit un des boutons qui fermaient sa jupe et déposa un baiser sur cette zone si sensible, juste au-dessous de l’oreille. Elle serra les dents. Elle ne voulait pas désirer si fort ce qui se passait, surtout pas. Elle devait se contrôler et rester concentrée. Elle allait avoir ce qu’il voulait et ensuite l’escort boy pourra partir. Le seul problème, c’était qu’elle ne se rappelait plus ce qu’elle voulait.

L’escort boy lui enleva complètement la jupe avant d’effleurer, à peine, du bout des doigts, son clitoris. Oh, oui ! Elle s’en souvenait, maintenant. C’était ça qu’elle voulait. Nue en dehors des cuissardes, elle s’offrit à l’attaque subtile des baisers dont il couvrait son cou et ses épaules en même temps qu’il frôlait ses seins de façon affolante. La retenue dont il faisait preuve était la torture la plus raffinée à faire subir à une femme en manque de sexe depuis deux mois. Il avait un don particulier pour s’occuper d’une femme.

L’escort boy se plaqua contre elle, tout feu, tout désir. Elle lâcha un soupir éperdu. Bravo, Jean, songea-t-elle, déroutée. Elle n’avait pas imaginé que le contact avec la peau nue de Jean allait lui procurer autant de plaisir.

Il posa ses mains sur ses côtes, les fit glisser avec une lenteur affolante vers sa taille et ses hanches, le long de ses cuisses, puis, en remontant, il glissa une main entre ses jambes et introduisit deux doigts en elle. Elle était si excitée que son corps les accueillit sans aucune résistance.

Il mordit son cou assez fort pour qu’elle tressaille. Il l’amena vers un lit couvert de couvertures dans des tons bordeaux et rubis. Il plaça un oreiller au centre du lit et l’y poussa, de sorte qu’elle se trouve à plat ventre sur le matelas, les hanches soulevées par le coussin. Il était mignon, Jean, si sûr de lui, songea-t-elle. Et craquant.

Jean lui passa un bras sous le ventre et lui fit soulever les hanches. Mmm. Il venait de placer un vibromasseur contre son clitoris et des ondes de plaisir commençaient à se déployer dans son ventre. Elle entendit le bruit caractéristique d’une enveloppe en plastique qu’on déchire. Le corps de Jean devint plus lourd sur elle, il la pénétra. Elle était si exposée et si excitée qu’elle ne put contenir un gémissement en sentant son sexe entrer en elle, millimètre par millimètre.

Il donna un coup de reins bien senti. Elle contint un cri et se pressa davantage contre lui, son corps s’impatientait.

En même temps qu’il parsemait ses épaules de baisers, Jean bougeait lentement en elle, se retirant presque en entier pour revenir avec encore plus de force. Elle ne pouvait plus dissimuler sa respiration agitée, que déchiraient malgré elle des gémissements de plus en plus sonores. Le rythme constant, diabolique, des mouvements de Jean la maintenaient au bord de l’orgasme sans pour autant la pousser au-delà du point de non-retour. Elle avait beau s’agiter, il gardait le contrôle.

Elle hissa les hanches, portée par la cadence sublime et animale de leur étreinte. Dieu, que ça lui avait manqué ! Non pas seulement la pénétration et le plaisir physique, mais aussi le poids d’un homme et, surtout, le sentiment si réconfortant et flatteur d’être dominée, d’être utilisée.

Jean enroba ses seins et les serras sans pitié en même temps qu’il augmentait la puissance de ses poussées. Leur violence était telle qu’elle aurait hurlé de douleur si l’effet du jouet sur son clitoris n’avait pas attisé encore et encore son désir. Elle dut renoncer à feindre l’indifférence, son corps affamé avait pris le dessus et sa respiration n’était plus qu’une suite de râles désespérés.

Les grognements de Jean brûlaient contre sa peau, elle gémit. Il la pénétra avec une brutalité redoublée. Le plaisir et la douleur se télescopaient, l’un devenait l’autre et l’autre l’un. Finalement, lorsqu’il enfonça les dents au creux de son cou, elle jouit, la tête enfouie dans les oreillers qui ne parvinrent pas à étouffer ses cris. Elle entendit, mêlé à sa propre voix, le rugissement jouissif de Jean, qui, avec une dernière poussée terrassante, s’effondra sur elle.


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