Rendez-vous de soumission
Category:bdsm,bondage,escort boyPour son rendez-vous de soumission, Madame avait choisi un hôtel parisien qui louait des chambres à l’heure pour des « pauses amoureuses ». C’était la première fois qu’elle pénétrait dans ce type d’établissement, et elle jeta un regard curieux autour d’elle en entrant dans le vestibule.
Elle s’était à moitié attendu à découvrir un endroit drapé de tentures rouges et saturé de parfums capiteux. Mais, en lieu et place de la maison close du XIXe siècle qu’elle imaginait, elle trouva une réception moderne, spacieuse et lumineuse. Le cadre avait beau être fonctionnel et ressembler à l’entrée de n’importe quel hôtel, Madame sentit croître son excitation.
Malgré la pluie glacée qui, depuis la veille, s’abattait en continu sur les rues parisiennes, la perspective de revoir son escort boy la mettait dans un état d’agitation fiévreuse. Elle avait été profondément troublée pendant les deux jours qui avaient suivi leur échange téléphonique. Elle avait fait des rêves érotiques d’un réalisme déconcertant, qui l’avaient réveillé en sursaut, en nage, la sexe humide.
Elle avait eu beau se toucher plusieurs fois en pensant ce gentleman pour femmes exigeantes aux yeux bruns, rien n’avait pu assouvir son désir. Elle voulait la voir. Le toucher. Qu’il la prenne comme une vraie femme lors d’un rendez-vous de soumission.
Madame se dirigea vers le comptoir, derrière lequel se tenait un employé à la tenue irréprochable, costume sombre et lunettes à monture noire, vivante image de l’efficacité discrète.
— Bonsoir, Madame. Que puis-je pour vous ?
— J’ai fait la réservation numéro 196769.
— Absolument, confirma le réceptionniste en compulsant un fichier informatique. Pour quatre heures.
— Mon ami devrait arriver, vous lui donnerez une autre clé pour qu’il puisse monter directement.
— Très bien Madame.
Madame régla en liquide et s’empara de la clé magnétique que lui tendait le jeune homme en le remerciant. Elle emprunta ensuite l’ascenseur au fond du hall et appuya sur le bouton du dernier étage. Elle se contempla dans le miroir, histoire de vérifier que tout était sous contrôle : elle était rentré chez elle pour se doucher et se changer, et elle avait troqué son son tailleur de journée pour un autre beaucoup plus sexy et de soirée.
Elle détestait les looks négligés, qui étaient, lui semblait-elle, le fondement de la mode féminine moderne. Elle considérait qu’il était de son devoir de femme chef d’entreprise de présenter une apparence impeccable.
Elle emprunta le long couloir au sol recouvert d’une épaisse moquette en se demandant brièvement quelles histoires abritaient les chambres qu’elle dépassait.
Combien de couples illégitimes étaient à l’instant même en train de s’adonner furieusement aux plaisirs de la chair ? Combien d’amants attendaient leur maîtresse ? Combien de femmes attendaient leur maître pour un rendez-vous de soumission.
À cette pensée, Elle atteignit la dernière chambre au bout du couloir et introduisit la clé magnétique dans le petit boîtier qui servait de serrure. La porte s’ouvrit avec un petit « clic ». Elle la poussa, soudain incertaine. Elle pénétra dans la chambre.
La pièce était relativement exiguë : le lit king size semblait prendre toute la place, flanqué de part et d’autre de deux tables de nuit blanches, surmontées par des appliques. Seule l’une des deux était allumée, projetant une lueur ronde et clairement circonscrite sur la tête de lit. Le reste de la pièce était plongé dans la pénombre. Madame plissa les yeux pour s’accoutumer à la semi-obscurité.
Puis on frappa à la porte, c’était lui. Le gentleman escort boy pour dames. Il ouvrit la porte.
— Bonsoir Madame, dit-il de cette voix grave qui l’excitait terriblement.
— Bonsoir Maître Jean, dit-elle.
Le voir là, devant elle, en chair et en os, après avoir passé six jours à fantasmer sur lui, aiguisa son désir d’une manière presque douloureuse. Elle avait envie qu’il se jete sur elle et qu’il la prenne brutalement contre la fenêtre devant laquelle elle se tenait, tout en ressentant le besoin paradoxal qu’il prenne son temps avec elle, qu’il fasse durer les choses lors de rendez-vous de soumission.
Jean était habillée en costume bleu foncé, avec un chemise blanche, et de magnifique chaussures noires. Et, son regard Intense qui bouleversait les femmes qui le rencontraient. Le gentleman avait apporté du champagne pour Madame et quelques fruits rouges.
Ils se dévisagèrent en silence. L’escort boy ne savait pas à quoi pensait la jeune femme, mais il avait l’impression que la tension sexuelle qui s’était établie entre eux lors de leurs nombreux échanges Whatsapp planait de nouveau, intacte.
— Voici les règles, dit-il soudain.
— Je veux que lors de nos séances, tu arrives avant moi, que tu te déshabilles et que tu m’attendes nue. Pas question de te couvrir avec quoi que ce soit.
Madame lui jeta un regard indéchiffrable puis baissa les yeux.
— Oui, monsieur.
L’escort boy tressaillit. Elle avait acquiescé et employé le terme de « monsieur » avec un naturel désarmant, sans aucune trace de moquerie. Madame avait demandé à son escort boy d’être sa soumise.
— Déshabille-toi, ordonna-t-il sans bouger.
Elle ôta le haut de son tailleur sans lever les yeux vers lui. Puis, les paupières toujours baissées, elle se pencha pour délacer ses chaussures. Sa jupe suivit, puis son chemisier. Madame ne portait pas de sous-vêtements. Elle se tenait devant le rideau, bien droite, entièrement nue, le regard baissé.
Madame dégageait quelque chose de profondément magnétique qui l’attirait inexorablement. Il combla l’espace qui les séparait, sans la toucher. Il sentait le sang pulser dans son sexe raidi ; il bandait depuis qu’il avait poussé la porte de la chambre.
L’escort boy laissa son regard errer sur ce corps offert. Madame ne bougeait pas, le souffle régulier, la peau légèrement hérissée par la chair de poule. Son regard se déplaça le long du buste de la jeune femme : elle avait le ventre plat et ferme de celle qui passe beaucoup de temps à faire du sport. À en juger par ses abdominaux et ses cuisses musclées, c’était une joggeuse. Il posa les yeux sur son sexe, épilé mais pas trop.
Jean aimait partir à la découverte de l’intimité d’une femme. Cela faisait partie de l’attrait qu’il éprouvait pour les mystères féminins.
— Penche-toi, ordonna-t-il en reculant un peu.
Elle obéit sans protester, étirant son dos nerveux dont les muscles fins roulaient sous sa peau pâle. Elle ressemblait à un félin à l’affût ; malgré son immobilité, elle avait l’air sur le qui-vive. Elle ne bougeait pas, comme si elle attendait qu’il décide quoi faire d’elle.
Il la contourna, toujours sans la toucher, et contempla ses fesses fermes et rondes et ses jambes fuselées. À cause de la position qu’il lui avait fait prendre, son cul s’offrait sans pudeur, les fesses légèrement écartées. Se sentir ainsi offerte redoubla l’excitation de la dame. Il posa la main sur sa fesse droite, et la jeune femme tressaillit légèrement, comme si elle redoutait qu’il ne la touche tout en n’espérant que ça.
Jean fit courir sa main le long de la courbe de sa chair, elle fut envahi par un violent émoi : cette caresse la rendait folle de désir. Il porta la main à son cou et dénoua sa cravate..
— Penche-toi, ordonna-t-il. Mains derrière le dos.
Il savait que la position était difficile à tenir : les bras en arrière, elle n’avait aucun support et devait s’en remettre à son sens de l’équilibre pour rester immobile. Elle s’exécuta cependant et écarta un peu les pieds pour ne pas basculer en avant, répartissant son poids de manière égale entre ses deux jambes.
L’escort boy saisit ses poignets d’une main ferme. Il les attacha ensemble avec sa cravate en faisant en sorte que les bras de la femme soient bien tendus. Elle tenta de tourner un peu son bras vers l’intérieur, comme si elle voulait tester son attache.
— Ne bouge pas.
La jeune femme se cambra légèrement et s’étira afin de conserver son immobilité. L’escort boy plaça son pied chaussé contre le pied nu de Madame et, d’une poussée, la contraignit à écarter davantage les jambes. Elle manqua de basculer en avant, et il la retint d’une main ferme par ses poignets liés. Il maintint sa prise quelques secondes, le temps qu’elle puisse ajuster sa position, puis il la relâcha.
Il fit un pas en arrière et se déplaça sur le côté pour la contempler. Elle avait fermé les yeux, et sa respiration était calme et régulière. Il avait l’impression qu’elle commençait à se détendre. Il se replaça derrière elle. La vision de son cul pâle et tendu acheva de le pousser sur la voie à l’orée de laquelle il se tenait. Sans plus réfléchir, le gentleman leva la main et l’abattit brutalement sur la fesse droite de la femme. le rendez-vous de soumission commençait.
Il eut l’impression que le claquement provoqué par l’impact emplissait tout l’espace. Sous la force du coup, Madame fit un petit mouvement en avant, mais se rétablit immédiatement.
Elle ne protesta pas. Ne gémit pas. L’escort boy attendit quelques instants avant de caresser légèrement sa peau à l’endroit où sa main avait laissé une marque rouge.
Puis il leva la main et l’abattit de nouveau, pas tout à fait au même endroit. La caresse qui suivit fut plus longue.
Il saisit les poignets entravés de la jeune femme de la main gauche et abattit une troisième fois la main, plus violemment cette fois. Madame gémit. Cette fois-ci, il glissa un doigt entre ses fesses, dont il suivit la fente jusqu’à sa chatte. Elle était mouillée, cette fessée n’avait fait qu’accroître l’excitation de Madame.
C’est alors qu’il leva les yeux. Concentré sur la femme, il n’avait guère prêté attention au décor qui les entourait. Un miroir sur pied était posé contre le mur de droite, face au lit. L’escort boy et Madame s’y reflétaient de profil. Le contraste formé entre la femme maigre et nue, les poignets liées, penchée, les fesses offertes, et lui qui la dominait de toute sa taille, entièrement habillé, était saisissant.
Loin de l’arrêter, l’image qu’il aperçut dans le miroir l’excita davantage. Sans lâcher la femme, il la fessa de nouveau, si fort cette fois qu’un petit cri lui échappa. Il attendit quelques secondes puis introduisit un doigt dans sa chatte. Elle gémit. Elle faisait de son mieux pour garder les jambes tendues et le dos droit, mais elle avait de plus en plus de mal à rester dans cette position inconfortable.
L’escort boy tira doucement sur sa cravate, et la jeune femme se redressa, le dos contre son torse. Elle garda les jambes écartées et se tint bien droite. Il comprit qu’elle ne se laisserait pas aller tant qu’il ne lui en donnerait pas l’ordre. Maître Jean dénoua sa cravate, vérifia qu’elle n’était pas trop ankylosée en lui frottant un peu les bras, puis, sans bouger, se servit de nouveau de sa cravate pour l’utiliser comme un bandeau qu’il attacha sur les yeux de la femme. Il s’assura qu’il était bien en place puis recula un peu.
— Assieds-toi sur le lit, ordonna-t-il d’une voix rauque.
Madame hésita. Le lit se tenait à moins d’un mètre sur leur gauche, mais le bandeau la plongeait dans l’obscurité. Elle fit un pas de côté puis un autre, et, lorsque son genou entra en contact avec le sommier, elle s’assit sur le bord du matelas, bien droite.
— Écarte les jambes.
Quand elle obéit, Maître Jean dégrafa sa ceinture. Si Madame reconnut le bruit caractéristique de la boucle que l’on défait, elle n’en laissa rien paraître. Elle se tenait parfaitement immobile, le dos droit, les jambes écartées, les pieds reposant sur leur pointe, comme une danseuse sur le point de se livrer à une figure. L’escort boy ôta ses chaussures et sa veste, puis se plaça derrière elle sur le lit. Il lui lia les poignets avec sa ceinture, vérifia que le cuir ne lui entamait pas la chair, puis, saisissant ses cheveux courts, il tira brutalement sa tête en arrière et posa les lèvres à la base de son cou. Elle appréciait son rendez-vous de soumission.
Sa peau était souple et tiède, et son parfum enivrant. Il déposa un sillage de baisers brûlants le long de son cou tout en la maintenant fermement par les cheveux. Madame se laissait faire avec un abandon qui n’avait rien à voir avec de la passivité. Il finit par poser sa bouche sur la sienne. Elle soupira un peu, comme s’il lui donnait enfin ce qu’elle attendait, et entrouvrit les lèvres. Leurs langues se mêlèrent. l’escort boy tira davantage sur ses cheveux : Madame était toujours dans la même position, mais sa tête était tournée au maximum vers lui. Elle gémit.
Assez joué. Il descendit du lit et s’agenouilla devant elle. Elle attendait son bon vouloir, le souffle court, les épaules rejetées en arrière, les yeux bandés. En la voyant ainsi à sa merci, consentante et abandonnée, l’escort boy sentit surgir en lui un sentiment aussi singulier qu’agréable : il se sentait responsable d’elle. Elle ne le connaissait pas et pourtant elle lui faisait confiance. Elle avait voulu qu’il la retrouve dans cette chambre d’hôtel pour se livrer à lui sans protester ni manifester la moindre crainte.
Son maître glissa les mains sur les fesses de la jeune femme puis posa les lèvres sur son téton droit, qu’il mordilla et lécha, doucement d’abord, puis de plus en plus fort. Il plaça le bras droit derrière sa taille pour l’immobiliser avant d’introduire trois doigts de la main gauche dans sa chatte trempée. Elle gémit et se cambra contre sa main. Il posa le pouce sur son clitoris et la doigta brutalement. Elle tenta d’onduler des hanches afin d’accompagner son mouvement, mais il la maintenait trop fermement pour qu’elle puisse bouger ne serait-ce que de quelques centimètres. L’escort boy sentait son sexe pulser au même rythme, raide et douloureux. Il la relâcha soudain et retira la main de sa chatte. Madame gémit plus fort, comme si elle protestait. Mais elle ne dit rien. Elle connaissait les règles d’un rendez-vous de soumission.
L’escort boy sortit un préservatif de la poche de sa veste, déboutonna sa braguette et libéra sa queue sans ôter son pantalon.
— Debout ! ordonna-t-il, le souffle un peu court, tout en enfilant un préservatif.
Elle obtempéra immédiatement.
Il l’attira violemment à lui, la retourna afin que son dos se retrouve contre son torse et la plaqua contre le mur près du miroir. Il glissa la cuisse entre les jambes de la femme, qu’il écarta d’une poussée. Il savait que, dans cette position, la différence de taille entre eux rendrait la pénétration malaisée, mais tanpis. Il maintint par une épaule son buste légèrement décollé du mur et, de l’autre main, guida sa grosse queue raide dans sa chatte, dans laquelle il se glissa d’une poussée. Les mains toujours liées dans le dos, Madame se cambra.
— Ne bouge pas, ordonna-t-il sèchement.
Elle s’immobilisa. Il posa une main à plat sur le mur, l’autre autour de la taille de la jeune femme pour la maintenir bien en place. Ses coups de reins, d’une régularité de métronome, devinrent de plus en plus brutaux et rapides. Entravée à la fois par la position, son bras et la ceinture, Madame gémissait de plus en plus fort.
Mû par une impulsion subite, l’escort boy posa la bouche sur son épaule et la mordit violemment. Elle poussa un cri de surprise, et il la sentit jouir. Il ne put résister davantage alors qu’elle contractait son vagin sur sa queue tendue en elle et se laissa emporter par la force de l’orgasme à son tour.
Il se laissa glisser au sol, Madame toujours dans les bras. Il défit sa ceinture, lui massa les poignets puis ôta le bandeau. Elle garda les yeux fermés, la respiration haletante. L’escort boy s’adossa au mur et l’attira plus étroitement contre lui. Elle se laissa aller contre son épaule et soupira. Elle était tellement heureuse de son rendez-vous de soumission.
Il lui caressa doucement les cheveux, attentif à la chaleur et au parfum de sa peau, à la fine pellicule de sueur qui s’était formée sur sa nuque, là où ses cheveux formaient de petits épis, au rythme de sa respiration, qui soulevait ses seins.
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