Le gentleman embrassa sa compagne avec passion
Category:amant,escort boy,ExperienceLe gentleman embrassa sa compagne avec passion, afin de savourer la douce chaleur de son corps pressé librement sur le sien, content d’explorer la douce chaleur de sa bouche qu’il pouvait prendre comme il le voulait.
Jean s’assura que chaque caresse était languissante. Il laissa l’urgence en elle s’accroître, lui permit de se réchauffer, laissa sa peau s’enfiévrer, ses baisers devenir de plus en plus exigeants.
Il s’enfonça dans les oreillers et la laissa prendre les rênes, du moins, il le lui fit croire. A moitié sur lui, elle l’embrassait passionnément et se tortillait, la chair surchauffée, comme une enveloppe de soie pressant une caresse intime après l’autre sur lui.
L’escort boy lui maintenait les mains en hauteur, entrelaçant ses doigts avec les siens pour l’empêcher de précipiter les événements, événements qu’il comptait pleinement orchestrer.
Enveloppée dans l’obscurité tiède, Madame s’abandonna à la nuit, à ses désirs les plus profonds et se donna à lui. C’était la dernière nuit qu’ils partageraient, elle était déterminée à la remplir de plaisir, tant au niveau émotionnel que physique. Les sensations physiques étaient un pur bonheur, mais la joie émotionnelle quelle trouvait dans leur union, elle serait prête à vendre son âme pour lui.
Presque aveugle dans l’obscurité dense, elle pouvait le voir seulement comme une ombre foncée, fermant les yeux, elle pouvait le sentir plus clairement. Se passant de la vue, elle explora, avec le toucher, par impression tactile alors qu’elle s’allongeait sur lui.
Les mains enfermées dans celles de Jean, elle était intensément consciente des sensations ressenties à travers la peau douce de ses seins, de son abdomen et de son bas-ventre. Madame se tortilla, lentement, sensuellement. Remplissant son esprit, faisant le plein de souvenirs.
Entre eux, la chaleur montait, enflait et s’intensifiait.L’escort boy semblait satisfait de se laisser ballotter dans la vague de chaleur; avec un grognement intérieur, elle tira pour libérer ses doigts des siens, elle encadra son visage et l’embrassa voracement.
Avec avidité. Elle plongea dans le baiser, prise dans l’éclat soudain comme sous une tache solaire, ses membres réchauffés le devenant davantage jusqu’à ce qu’elle fonde contre lui. Qu’elle veuille fondre sous lui, le voir fusionner avec elle. Glissant les doigts dans la chevelure de Jean, elle se mit en devoir de le torturer, de le défier avec ses lèvres et sa langue. De le pousser à agir.
Malgré sa réaction ardente, il resta allongé sur le dos sous elle. Ses bras se refermèrent sur elle, lourds et chauds sur sa taille, la privant d’explorer plus bas. Non qu’elle ait besoin de le toucher là : il était déjà en pleine érection. La force dure comme l’acier de Jean montait sur sa hanche, chaude et urgente.
Changeant de position, elle s’allongea entièrement sur lui, installant son érection entre ses cuisses. Elle fit rouler ses hanches, expérimentant jusqu’à ce qu’elle trouve le glissement particulier qui le caressait de la manière la plus évocatrice. Et elle sentit les muscles de ses bras remuer, se tendre, se détendre, puis se tendre encore, comme s’il n’arrivait pas à se décider.
Madame retint ses lèvres prisonnières avec les siennes, puis elle mit son cœur et son âme dans une lente ondulation bien pesée de ses seins, ses hanches et ses cuisses, même les bouclettes à la base de son ventre entraient en jeu. Délibérément suggestive, elle l’appela. Et il répondit. Elle sentit la vague de réaction dans son corps, sentit le besoin quelle appâtait s’enflammer et enfler. Elle sentit que sa dureté le devenait davantage, sentit que ses muscles contractés se tendaient.
Sur un halètement de soulagement, de plaisir anticipé , elle arracha ses lèvres aux siennes et descendit à moitié en se tortillant et à moitié en glissant. Comme une marionnette, le corps de Jean suivit; alors qu’elle se tournait sur le dos, elle saisit le haut de son bras, le tirant par-dessus elle.
Les rênes de son désir fermement tenues dans une poigne de fer, Jean suivit son exemple et il lui permit de changer de position, de tirer. Jean lui laissa croire qu’il suivait aveuglément ses directives alors qu’elle le pressait de se caler sur elle. Il obéit, bougeant avec lourdeur, sans hâte.
Pendant qu’elle haletait, excitée. Consumée par la passion. À son contact, les cuisses de Madame s’écartèrent. Il balança lourdement son corps sur elle, puis il se laissa délicatement tomber entre ses jambes, puis il prit son temps pour s’installer et positionner Madame. Impatiente, elle s’arqua et il sentit sa chaleur le brûler, toucher et s’accrocher à cette partie la plus délicieusement sensible de son anatomie.
Il retint son souffle et il sentit quelque chose bouger, puis se verrouiller en place dans sa poitrine. Avec un halètement doux et pressant, elle s’arqua encore et il s’enfonça doucement en elle.
Lentement. Savourant chaque centimètre de sa douceur chaude alors qu’elle s’étirait pour l’accommoder, se délectant du subtil amollissement de son corps alors qu’elle l’acceptait en elle.
Elle soupira quand il plongea jusqu’au bout, puis ses mains, tendues sur les bras de Jean, se détendirent. Et parcoururent ses flancs avec légèreté.
Le courtisan prononça un mot dans un souffle sur les lèvres de Madame au moment où il s’installait sur elle de tout son long. Il trouva ses lèvres et s’en empara, il prit sa bouche, puis il poussa plus loin en elle.
Il but son halètement instinctif, un halètement de pur plaisir. Souriant pour lui-même, il recula, puis il s’enfonça de nouveau et il sentit naître sa réaction éclatante. Il se mit en devoir de la nourrir.
D’alimenter sa passion, de la faire chavirer. Encore plus qu’elle ne l’avait jamais fait. Avec chaque coup de hanches lent et mesuré, les flammes s’élevèrent plus haut en elle ; il conserva un rythme chaloupé régulier jusqu’à ce qu’elle brûle. Jusqu’à ce que, chaude et passionnée, inondée de désir, elle se lève sous lui, rencontrant chaque coup, son corps caressant le sien, s’accrochant à lui, collant à lui. Jusqu’à ce qu’elle s’enflamme, pressée dans son désir, capable de tout dans son besoin.
Chavirée. Emprisonnée dans la chaleur, Madame remua les doigts, essayant de les glisser hors de la prise de Jean, voulant désespérément le tenir dans ses bras, l’attirer vers elle, souhaitant atteindre le sommet aveuglant du pur bonheur physique qui planait à l’horizon.
Profondément enfoncée dans le matelas, elle se tortilla et haleta, tentant de combler le dernier centimètre de distance entre eux, s’efforçant de lui faire franchir cette ultime fraction de centimètre au fond d’elle. Les doigts de Jean, serrés sur les siens, ne cédaient pas, mais, à son immense soulagement, devant son attente montante, il leva légèrement le torse, juste assez pour que ses seins douloureusement contractés le frôlent. Afin qu’ils soient effleurés par son torse.
Un cri enfla dans sa gorge ; s’efforçant de soulever ses paupières lourdes, elle le ravala alors qu’il se levait plus haut, interrompant leur baiser. Il ressemblait à une ombre dense apparaissant indistinctement au-dessus d’elle, des épaules et un torse se mouvant à un rythme lent et puissant, un rythme quelle pouvait sentir dans son être.
Dans sa matrice. Avec les mains toujours ancrées, une de chaque côté de sa tête, elle agrippa ses côtes avec ses cuisses, haletant, s’arquant pendant qu’il poussait plus fort, plus profondément.
Ensuite, il recula encore plus loin ; lèvres entrouvertes, les sens pris de vertige, elle attendit, tremblante, le prochain coup qui allait l’empalée. Seulement pour le sentir osciller légèrement, la pénétrer uniquement avec la pointe de la longueur dure qu’elle voulait enfouie au fond d’elle.
Elle ouvrit les lèvres pour protester, au lieu, elle eut de nouveau le souffle court quand, penchant la tête, il prit un mamelon ruché dans sa bouche. Ses hanches se balançant doucement, de manière provocante, il se régala de ses seins gonflés jusqu’à ce qu’elle soit trempée par une mer sans fin. Une mer de plaisir pur.
Jean prit une profonde inspiration; ses doigts s’enfonçant dans les hanches de Madame, il l’ancra sur place et plongea au fond. Encore et encore, la poussant plus haut, la propulsant plus rapidement vers l’orgasme bouleversant qu’il avait délibérément conçu pour elle.
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Jean
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