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Voyage érotique pour le plaisir de la femme

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Madame rêvait d’un voyage érotique pour le plaisir de la femme. Arrivée dans son immeuble, Madame sourit, elle savait qu’il l’attendait. Elle grimpa plus vite que d’habitude les marches de l’escalier.

— Oh… tu es déjà là… ! dit-elle en apercevant son gentleman assis sur les marches.

Il se leva d’un bond, et ils se rejoignirent sur le palier devant la porte de l’appartement de la belle.

— Déjà essoufflée ? se moqua-t-il gentiment en constatant sa respiration accélérée après sa montée rapide.

Madame ne put que rougir à cette remarque anodine mais chargée de sous-entendus, pronostiquant d’autres essoufflements à venir pour elle, mais de toute façon elle n’aurait rien pu dire pour répliquer, sa bouche recouverte par celle du gentleman qui l’embrassait avec avidité comme s’il ne s’était pas vu depuis des semaines.

— Attends… ! Mais attends… ! Laisse-moi rentrer… ! A l’intérieur… ! protesta-t-elle, amusée de sentir déjà les mains de son escort boy se faufiler sous son manteau mais craignant aussi de se faire surprendre par un voisin.

Il lui laissa à peine le temps de refermer la porte avant de reprendre les assauts de ses mains. Heureuse d’être l’objet des sollicitations excessives d’un homme aussi charmant que lui, Madame laissa tomber son sac à main au sol, adossée à la porte d’entrée, et elle n’avait pas encore repris son souffle que son manteau avait rejoint son sac, et que la moitié de son chemisier était déjà déboutonné.

Mais quelle furie ! apprécia-t-elle, émerveillée d’être la cible de toutes les caresses de son escort boy dont les mains parcouraient son dos nu, dégrafant son soutien-gorge avant de venir glisser dans son dos et de s’insinuer derrière la ceinture de son pantalon.

Il la caressa ainsi durant de longues minutes - escort boy paris

Il la caressa ainsi durant de longues minutes – escort boy paris

Il ne va pas me refaire le coup ! Au milieu du couloir en plus ! réagit-elle en redoutant de se retrouver à nouveau nue avant que lui-même n’ait ôté le moindre de ses vêtements. Mais se défendre s’avéra moins facile que ce qu’elle avait prévu, les bras de son escort boy bien plus prompts et plus agiles à la dénuder que ses mains à elle, hésitantes à faire preuve d’impudeur.

Madame alla donc à l’essentiel, se concentrant sur la braguette de ce mâle pendant que lui la tourmentait de toute part, affolant son cou, titillant son oreille avec sa langue, caressant ses seins gonflés. Elle réussit à extirper sa virilité, provoquant un grognement de satisfaction expressive chez son propriétaire quand elle commença à l’enserrer et à le branler fermement entre ses doigts pendant qu’elle nouait sa langue avec la sienne dans ce baiser sans fin.

— Non ! dit-elle d’un ton autoritaire lorsqu’il voulut se baisser à genoux devant elle.

Et pour s’assurer qu’il n’allait pas désobéir, elle le retint encore plus fort, broyant la queue entre ses doigts, ce qui eut pour effet de la faire durcir encore plus, mais empêcha au moins Jean de se jeter à ses pieds. Elle prit son temps pour sortir ses pieds de son pantalon qu’il avait fait glisser à ses pieds, et pendant ce temps, elle rattrapa son retard, le débarrassant de sa chemise pour qu’il soit torse nu, et le laissant se débrouiller comme il pouvait, comme elle, pour se déshabiller du bas.

Je dois être folle ! pensa Madame avec un sourire béat lorsque, nus tous les deux, ils s’enlacèrent bouche à bouche debout dans le couloir, sa poitrine écrasée sur le torse de son amant dont la virilité dressée formait un sucre d’orge imposant.

— Viens… ! dit Jean.

Au lieu de s’avancer vers le fond du couloir, il partit tout de suite à droite, l’entrainant à sa suite vers le salon. Ici ? se demanda-t-elle, prise au dépourvu. Mais déjà il la faisait tournoyer de nouveau contre elle, l’emmenant dans le tourbillon de son humeur jovial, lui communiquant une partie de son désir intrépide qui se manifestait dans sa virilité dressée qui oscillait ostensiblement à chacun de ses mouvements. Sur la table du salon, le bouquet encore frais trônait paisiblement, répandant son odeur parfumée dans la pièce.

Elle était debout devant le canapé, et Jean se colla derrière elle. La tête par-dessus son épaule, il chercha sa bouche et elle tourna son cou vers son sourire franc et intense, tandis que les mains baladeuses reprenaient leur danse érotique sur son corps prêt à s’enflammer. Il caressa ses seins en une profusion d’effleurements, cajolant, palpant, triturant, agaçant ses tétons durcis, excitant ses aréoles qui se chargèrent d’une couleur brune d’un désir sanguin qui montait dans tout son torse.

— Mmmh… ! gémit-elle quand il fit rouler dans ses doigts un téton.

Délicate et sensible, elle sentit ses jambes vibrer d’excitation lorsqu’il appuya entre ses doigts sur la pointe de son mamelon, savourant la texture granuleuse qui faisait trembler son amante, envoyant son autre main en une expédition périlleuse vers l’objet de sa convoitise lubrique. Doigts écartés, il franchit l’obstacle de sa toison pubienne sans s’emmêler et découvrit pour la première fois avec ses doigts les contours de son jardin secret détrempé, affolé par l’excitation.

Jean la caressa ainsi durant de longues minutes, jouant d’un sein puis de l’autre et masturbant ses chairs labiales de ses doigts, sans finesse mais avec une application prudente qui suffisait à garantir une redoutable efficacité à ses caresses. Sur la fente enflammée et moite, il partit dans des explorations hasardeuses et alambiquées, Madame lui laissant un accès sans entrave à son sexe qu’il parcourait de long en large, et la respiration de la belle quarantenaire devint haletante, enveloppée entre les bras puissants qui se refermait autour d’elle.

Un moment de sensualité unique

Un moment de sensualité unique

Plus tard, elle se trouva bien naïve de n’avoir pas compris dès le début ce qui allait lui arriver. Pourtant, c’est avec un cri de surprise sincère qu’elle réagit lorsque, délaissant son intimité échaudée, il la poussa lentement à l’épaule jusqu’à ce qu’elle bascule vers l’avant.

— Ooh ! s’exclama-t-elle en se rattrapant des deux mains sur le dossier du canapé pour ne pas perdre l’équilibre.

Elle tourna son visage surpris vers lui, mais Jean était en train de lui prendre un genou dans la main, puis le deuxième, et elle se retrouva à genoux sur le canapé, sa croupe arrondie offerte avec son amant à la virilité dressée idéalement placée derrière elle. En levrette bien sûr ! Quelle énorme queue ! réalisa Madame, effarée n’avoir rien vu venir jusque-là.

— Aaah… ! Mmmh ! fit-elle en se mordant la lèvre lorsqu’il entra en elle après avoir enfilé un préservatif.

Il avait visé juste, pénétrant sa fente huileuse sans le moindre mal, enfilant l’intégralité de sa virilité dès la première poussée de ses reins, et Madame en apprécia chaque instant, chaque centimètre de cette avancée si rapide par laquelle il la possédait totalement. Elle bascula la tête en avant entre les épaules et se mit à pousser de petits gémissements entrecoupés d’onomatopées lorsque, la saisissant fermement par les hanches, son amant passa à la vitesse supérieure et laissa libre cours à toute la fougue impétueuse de sa virilité. Elle se faisait éperonner à chaque assaut, et elle abandonnait sans réticence sa croupe à l’invasion phallique qui la perforait, presque honteuse de sentir combien sa fente se faisait naturellement huileuse et liquide pour faciliter ces intromissions ardentes.

— Aahh… ! Aaah… ! gémissait-elle, et à chaque coup de rein elle sentait son sexe se mouiller encore en prévision de la prochaine intrusion.

Jean la pilonnait merveilleusement, sa queue raide coulissant dans la fente si accueillante, encouragé par les cris et les soupirs qu’il lui arrachait quand il venait heurter sa croupe et faire vibrer les de son amante avec le choc de ses reins, percutant ses cuisses contre les siennes, écrasant son pubis pour faire entrer jusqu’au dernier millimètre de sa belle virilité dans l’antre détrempée.

Inlassablement il revenait à la charge, remontant en elle jusqu’à la garde, s’enivrant du parfum de son eau de toilette mais aussi des suaves effluves de femme qui émanait de son sexe ouvert dont les chairs roses et malléables se gorgeaient d’une excitation sanguine débordante.

— Aaah… ! Mmmh ! gémit-elle lorsqu’il délaissa ses hanches pour la prendre par les épaules.

Il appuya fort sur ses épaules pour l’attirer vers lui et elle cambra le dos, contribuant à se faire empaler au plus profond de ses entrailles, bouleversée de ce désir pour elle qu’elle ressentait chez lui et qu’il imprimait si intensément dans son orifice, qu’il lui transmettait par l’excitation palpitante de son phallus généreux et travailleur.

Il passa ses deux mains sur sa colonne vertébrale arquée, enfonçant ses pouces en lui parcourant l’échine jusqu’à reprendre possession de ses hanches avec la paume brûlante de ses mains puissantes, et elle frissonna dans tout son être de se faire ainsi posséder comme s’il venait marquer son territoire sur sa peau.

Jean changea de position, et Madame perçut immédiatement la différence. Il venait de mettre ses genoux à l’intérieur des siens, et, petit à petit, agrandissait l’écartement de ses cuisses, la faisant s’ouvrir et s’offrir à son maximum.

— Ooh ! gémit-elle dans un souffle saccadée, emportée par son plaisir qui montait inexorablement.

Il acheva de glisser complètement sous elle et contre elle, et quand il lui attrapa à nouveau les épaules, il l’invita à se redresser totalement pour venir vers lui. Elle dévissa son cou pour venir l’embrasser, acceptant surtout de renoncer à l’appui de ses propres jambes trop écartées qui ne lui laissait d’autre choix que de s’empaler sans retenue sur le chibre raide qu’il emmanchait en elle.

Elle eut presque honte de l’avidité avec laquelle elle alla chercher sa bouche, espérant masquer à quel point elle sentit son sexe mouillé d’être aussi ouvert par son amant, aussi intégralement embrochée.

— Hiiii… ! Ouiiii… ! gémit-elle.

Il n’eut aucun mal à la faire jouir une fois qu’elle eut accepté de venir dans ses bras, piège et refuge quand il se remit à lui caresser le sexe et à venir lui agacer le clitoris. Il la caressa efficacement, frôlant les lèvres gorgées de plaisir et noyées d’un voile huileux qui donnait un aspect luisant à son intimité fendue, les doigts contournant la virilité et comprimant le sexe harassé jusqu’au point de non-retour.

— Ouiiii… ! explosa-t-elle dans un cri qu’elle étouffa dans la bouche sensuelle de son amant.

Elle jouit fort, d’un orgasme intense, enlacé entre ses bras robustes qui la soutenaient tout en la faisant chavirer dans l’extase, son cou tourné vers lui pour mieux l’embrasser et lui faire partager l’embrasement de ses sens. Il la laissa savourer son orgasme qui se diffusa dans tout son corps tendu vers le plaisir, depuis ses cuisses repliées sur le canapé jusqu’à la pointe de ses seins tendus, le rouge au front et le souffle court contre la bouche de son amant.

Le plaisir d'un homme qui sait donner du plaisir

Le plaisir d’un homme qui sait donner du plaisir

Jean pivota sous elle, s’asseyant dans le canapé où il put enfin prendre appui et soulager ses cuisses contractées par le poids du corps voluptueux de son amante qui jouissait superbement, et Madame se laissa choir sur lui, s’empalant une nouvelle fois de tout son poids sur la virilité tendue en elle, qu’elle sentit palpiter et se mettre à vibrer quand elle procura involontairement le plaisir ultime à l’homme simplement en affaissant sur lui son corps épuisé par l’excitation.

Madame vint se blottir contre lui, au creux de son épaule, son oreille pulsant à chacun des soupirs rauques poussés par l’homme, à chaque passage du flux sanguin dans les veines saillantes du cou, gonflées par l’effort et le réconfort qui l’envahissaient simultanément.

Et entre ses cuisses, elle sentit la virilité qui perdait sa dureté, cessant peu à peu d’occuper toute la place dans son orifice repu, leurs corps enlacés par les caresses incessantes de leurs mains avec lesquelles ils semblaient se redécouvrir inlassablement. Un merveilleux voyage érotique pour le plaisir de la femme

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Jean

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