Experience de triolisme avec un escort boy
Category:candaulisme,escort boy,triolismeExperience de triolisme avec un escort boy. Cela faisait presque dix an qu’elle était mariée avec, et elle ne faisait que commencer explorer ce dont son mari était capable. Accepter un plan à trois était déjà assez créatif. Mais orchestrer cette expérience avec un gentleman inconnu escort boy professionnel, depuis les talons hauts jusqu’aux rubans pour immobiliser ses bras. Jamais elle n’aurait cru ça de lui.
A genoux sur le lit, les seins et la taille compressés dans son corset, les bras attachés, Madame n’entendait que les battements de son cœur résonner à ses oreilles en rythme avec sa respiration brève et hachée, rendue plus pesante par le silence qui régnait dans l’appartement. Sans sa musique, sans les caresses de son mari qui l’ancraient dans l’instant présent, un mélange effrayant de sentiments tourbillonnait en elle.
La porte d’entrée s’ouvrit. Un rectangle de lumière apparut sur le sol de l’entrée, puis disparut tout aussi soudainement quand son mari referma la porte. Madame ne discernait pas ce qu’ils se dirent mais, vu le ton et la brièveté de l’échange, ils s’étaient salués, puis son escort boy avait posé une question du genre : « Où est Madame ? » En réponse, son mari prononça quelques mots d’une voix basse et ferme.
Madame distingua ensuite un murmure d’assentiment de la part de son escort boy, puis tous deux s’approchèrent de la porte de la chambre, son mari en tête. Il entra dans la pièce, mais son escort boy, lui, s’arrêta sur le pas de la porte.
Il l’observa un instant d’un air abassourdi. Du coin de l’œil, elle vit son regard passer de ses cheveux à sa bouche, puis de ses seins à la courbe de ses hanches, enfin à sa position agenouillée.
D’un mouvement de la tête, elle repoussa ses cheveux de son visage.
— Bonsoir, chéri.
Son escort boy fit un pas dans la pièce, se redressa de toute sa hauteur, et la contempla longuement, endossant cette fois son personnage.
Madame sentit son cœur battre de plus en plus fort dans sa poitrine. De lents coups qui prenaient peu à peu de la vitesse, comme un train quittant la gare. Son escort boy l’observait toujours, et son regard interrogateur disparut bientôt pour laisser place à un intérêt purement masculin. Son mari se tenait en retrait, les bras croisés, observant les frontières glisser dans le terrain sablonneux.
Son escort boy sourit, et Il s’avança vers le lit et tendit la main pour lui coincer les cheveux derrière son oreille, puis passa son pouce sur ses lèvres entrouvertes.
— Vous êtes charmante..
Ses mots, prononcés d’une voix douce firent monter le sang aux joues de Madame. Ou peut-être était-ce la caresse de son pouce sur la chair intime et sensible de ses lèvres, un geste à la fois tendre et possessif… Elle passa le bout de sa langue sur son pouce. En réponse, il frôla le bord de ses dents, et un sourire apparut sur ses lèvres quand elle mordit sans douceur le bout charnu de son pouce.
— Je sens que ça va me plaire ! dit-il.
Lorsqu’il se tourna vers son mari, avec dans ses yeux la question silencieuse : « Comment avez-vous envie de faire ça ? », Madame sentit quelque chose s’apaiser en elle.
Experience de triolisme avec un escort boy. Son mari s’approcha à son tour du lit et sortit un tissu de satin blanc. Quand il s’agenouilla sur le lit devant elle, elle comprit qu’il s’agissait d’un bandeau. Elle ouvrit de grands yeux interrogateurs, tout en s’efforçant de ne pas perdre l’équilibre alors que le matelas s’enfonçait sous son poids, et l’espace d’un instant tout se mit à flamboyer dans son esprit. Le corset et les bas, qui gainaient sa poitrine et ses cuisses. Les rubans, qui l’immobilisaient du coude au poignet.
Sa vulnérabilité face aux deux hommes. Un désir brûlant se mit à couler dans ses veines et vint se répandre dans les zones les plus intimes de son corps.
Attentif à l’expression de son visage, son mari glissa une main sous son coude afin de l’aider à retrouver l’équilibre. La douceur de ses gestes lui serra la gorge.
— Ça va ? demanda-t-il.
Elle hocha la tête en silence, de peur d’avoir perdu la voix. Il ouvrit la main pour lui montrer le bandeau.
— C’est trop pour toi ?
— Non, parvint-elle à répondre. Bien sûr que non.
Il haussa un sourcil pour lui signifier que sa bravade ne prenait pas.
— Tu me diras quand ce sera trop.
« Quand ». Pas « si ». Comme s’il savait d’avance comment elle allait réagir.
— Ça va aller, lui assura-t-elle.
Son escort boy suivit les indications de son mari et se plaça derrière elle, attentif à la réaction de Madame quand le matelas s’enfonça sous son poids. Elle se raidit imperceptiblement quand la paume de sa main se posa sur sa peau nue, comparant machinalement sa caresse à celle de son mari.
Même paume tiède et sèche, bien qu’un peu moins rugueuse. Les mains d’un homme en révélaient toujours beaucoup sur son mode de vie. Lorsque les doigts de son escort boy caressèrent l’intérieur de son bras, remontèrent vers son épaule, puis se glissèrent sur sa joue afin de repousser ses cheveux derrière ses oreilles, elle devina les gestes patients et habiles d’un homme expérimenté.
Et, lorsqu’il plaça ses longs doigts de chaque côté de sa mâchoire pour lui maintenir la tête pendant que son mari plaçait le bandeau sur ses yeux et fixait le bandeau, elle sut qu’il pouvait également se servir de son grand corps pour mener une femme le long d’un chemin bien plus sombre et plus brûlant.
Experience de triolisme avec un escort boy. La dernière chose qu’elle aperçut avant que le bandeau ne la prive de lumière fut le visage de son mari. Ses yeux alourdis de désir, ses cheveux bruns illuminés par la pâle lueur de la lune. Perdre la vue décupla instantanément tous les autres sens, intensifiant le silence vibrant qui régnait dans la pièce. Ainsi isolée, elle eut largement le temps d’anticiper la suite des événements. Le scénario le plus évident pourrait se résumer par quelque chose comme « femme innocente débauchée par deux mâles lubriques ».
Elle s’attendait à entendre des braguettes s’ouvrir, à percevoir des souffles haletants, à sentir des mains dans ses cheveux… Elle s’attendait à se laisser très vite entraîner dans un univers de sexe chaud, moite et pantelant. Le matelas bougea de nouveau : ils se déplaçaient et commençaient à enlever leurs vêtements, à en juger par les bruissements qu’elle entendait. Leur silence quasi parfait ne fit qu’accroître son sentiment de solitude et acheva de la désorienter.
C’était encore mieux. Ne sachant qui était qui, elle pourrait prendre du plaisir sans se poser la moindre question. Cette petite aventure était une distraction pour oublier la période des fêtes qui s’approchait, rien de plus.
Et elle avait besoin de cette distraction. Elle devait combler ce terrifiant silence. Soudain, elle sentit une bouche se poser sur sa joue et une autre sur son épaule. Un souffle chaud sur sa peau, suivi d’une légère morsure. Les pointes de ses seins durcirent aussitôt dans le corset, et elle gémit.
Une bouche remonta le long de sa clavicule, tandis que l’autre repoussait ses cheveux de côté afin d’exposer sa nuque et son dos à une série de coups de langue, de mordillements et de baisers. Un petit rire vibra dans son dos lorsque la bouche trouva un endroit particulièrement sensible qui la fit frissonner. Une main l’obligea à pencher la tête sur le côté, puis la bouche lança un assaut sans pitié sur sa zone sensible. Une chaleur torride courait dans tout son corps. Dans le silence, les sensations étaient décuplées.
Le silence.
Ils ne parlaient pas. Pas d’ordres donnés, pas de paroles droit sorties d’un mauvais porno. Ils ne parlaient même pas entre eux par-dessus elle, à côté d’elle, à propos d’elle, comme si elle était leur jouet. Un silence pas naturel, et c’était terrifiant. Etait-ce la consigne que son mari avait donnée à son escort boy dans l’entrée ? « Ne dis rien. » Ils pouvaient se voir, communiquer par gestes et la laisser sans la moindre information à laquelle se raccrocher.
Pas de distractions. Seulement du plaisir, qui fleurissait, éclatant, brûlant, sous les mains et les bouches qui l’assaillaient dans la pièce feutrée.
L’homme devant elle tira sur le corset afin d’exposer sa poitrine, et un grognement satisfait se fit entendre lorsque deux mains chaudes et rugueuses se posèrent sur ses seins pour en pincer les pointes durcies. Aussitôt, une nouvelle vague de chaleur la traversa. Elle se mit à onduler sous les caresses, écartant les jambes et se cambrant en une invitation muette.
Des dents se refermèrent sur sa nuque à l’instant précis où deux mains se posaient à l’intérieur de ses cuisses pour écarter ses jambes encore un peu plus. Elle s’immobilisa, comme une proie face à un prédateur. Sa réaction était à la fois une reddition et une invitation. L’homme devant elle posa sa bouche chaude et grande ouverte sur sa clavicule avant de remonter dans son cou, poussant sa tête en arrière contre les larges épaules nues qui se trouvaient derrière elle. Une barbe rugueuse, des lèvres chaudes et douces, la sensation humide d’une langue contre sa gorge offerte, puis des dents qui se refermèrent sur sa mâchoire.
Un glapissement résonna dans le silence, aigu, alarmé, féminin. Une partie de son cerveau savait que c’était elle qui avait crié, mais elle ne s’en était pas rendu compte. Les mains entre ses cuisses se déplacèrent sans hésiter vers les bords élastiques de sa culotte pour étreindre ses hanches. Il la poussa à se redresser, fit glisser sa culotte jusqu’à mi-cuisses et écarta doucement les replis de son jardin secret.
Elle ne s’était pas encore rendu compte à quel point elle était mouillée, jusqu’à ce qu’un doigt s’enfonce profondément en elle avant de glisser sur son clitoris. Lorsqu’il se mit à caresser le petit bourgeon de sa fleur gonflé de désir, elle sut que c’était son escort boy qui se trouvait derrière elle. C’était son escort boy qui la touchait si intimement. son mari, plus au fait des réponses de son corps, imprimait toujours à ses doigts un mouvement circulaire, avec des pressions intermittentes qui prolongeaient la tension au point d’en devenir presque insoutenable.
C’était donc la bouche de son mari qui la mordillait sous l’oreille et traçait une ligne de baisers brûlants jusqu’au coin de sa bouche. A présent, elle savait. A présent, elle pouvait se laisser aller dans l’oubli que lui offrait le plaisir. Mais, lorsqu’elle tourna la tête pour venir à la rencontre du baiser qu’elle attendait, l’homme recula hors de sa portée et se pencha pour embrasser ses seins, puis glissa une large main sous ses fesses.
Un frisson d’anxiété la traversa. Ce n’était peut-être pas son mari. Peut-être avait-il établi des limites. son escort boy pouvait la baiser, mais pas l’embrasser. Les mains l’immobilisaient, une sur ses fesses, l’autre entre ses jambes, tandis que ce doigt unique la caressait et faisait monter un désir presque douloureux. Mais elle ne pouvait se laisser aller tant que cette grande question occupait son esprit surchauffé. Etait-ce son mari ?
Experience de triolisme avec un escort boy. Lorsque l’homme derrière elle ajouta un deuxième doigt au premier, les glissant de chaque côté de son clitoris gonflé, elle poussa un cri de frustration. Une supplique. Elle voulait un geste, un indice, quelque chose à quoi se raccrocher dans cet abysse en fusion. Deux doigts se glissèrent en elle et trouvèrent aussitôt le faisceau de nerfs si sensibles dissimulé au plus profond d’elle-même. Au premier coup, parfaitement synchronisé avec la caresse des doigts sur son clitoris, elle devint parfaitement rigide.
Au deuxième, elle poussa un cri éraillé. Quand elle se cambra, l’homme placé devant elle glissa sa main libre dans ses cheveux pour la maintenir en place. Leurs bouches n’étaient séparées que par un souffle, mais, elle eut beau se tortiller et pousser des gémissements de plus en plus désespérés au fur et à mesure que le plaisir se resserrait dans son sexe, il refusa de l’embrasser. Elle n’entendait qu’un souffle haché tout contre son oreille, ses propres halètements alors qu’elle approchait de l’orgasme, et le silence qui les enveloppait dans un espace brûlant.
L’orgasme explosa en elle, alors qu’attachée, impuissante, elle suppliait en silence qu’on lui accorde cette chose qu’elle avait crue acquise : le baiser de son mari. Une chape de plaisir se referma sur elle, enserrant tout son corps, resta là un instant, puis un autre, et se rouvrit d’un coup. Madame se cambra alors, son sexe se resserrant par spasmes sur les doigts qui la pénétraient toujours, et des vagues de plaisir se mirent à déferler à travers le vide, jusqu’aux limites de sa peau et au-delà.
Quand elle revint à la réalité, les yeux fermés derrière le bandeau, les mains la maintenaient toujours. Vaincue, elle se tourna vers la joue chaude qui frôlait la sienne.
— S’il te plaît, murmura-t-elle.
Sa bouche avait besoin du baiser de son mari, de sa langue sur la sienne, de cette étrange connexion qu’elle avait crue acquise. Cette connexion qui se faisait lorsque leurs lèvres se frôlaient. Mais l’homme devant elle ne l’embrassa pas.
Au lieu de ça, il lui enleva sa culotte avant de réarranger leurs positions sur le lit, si bien qu’elle se retrouva à chevaucher les hanches nues d’un homme appuyé contre la tête de lit, tandis que l’autre se collait de nouveau derrière elle. A présent, elle était véritablement perdue dans le vide.
L’homme qui lui faisait face la tira en avant pour que son front repose sur son épaule, puis attrapa ses fesses à deux mains pour les écarter à l’intention de l’autre. Le bruit d’un préservatif qu’on déballe se fit entendre derrière elle, puis celui d’un flacon de lubrifiant qu’on ouvre. Enfin, elle sentit un doigt se presser contre sa bouche intime. Ses cheveux retombèrent sur son visage tandis que le doigt s’insinuait en elle, l’élargissant, la srimulant jusqu’à la faire gémir.
A cet instant, la paume d’une main se pressa sur son clitoris toujours sensible et, lorsqu’un deuxième doigt rejoignit le premier derrière elle, elle se serra contre la main, avide de sensations. Quand la large extrémité d’une queue de mâle se présenta contre sa bouche intime, insistant, l’homme qui lui faisait face remplaça la paume de sa main par un doigt qui vint titiller son clitoris, encore et encore.
La limite entre plaisir et douleur se brouillait, mais Madame respirait du mieux que son corset le lui permettait. Elle avait déjà vécu ça. Etre suspendue au-dessus d’un abîme de plaisir, tandis que son mari caressait son clitoris et la pénétrait. Une fois passée la douleur initiale, les choses devenaient très vite torrides. Après une sensation d’étirement presque insoutenable, le pénis la pénétra enfin.
L’espace d’un instant, tout sembla se figer tandis que Madame s’ajustait lentement. Le doigt posé sur son clitoris la caressa de plus belle, envoyant des étincelles le long de ses nerfs électrifiés. Elle poussa un soupir tremblant. Une main rassembla les cheveux qui cachaient son visage et les replaça derrière ses oreilles.
Le sexe la pénétra jusqu’au bout, et des hanches se serrèrent contre ses fesses. Un long bras l’enlaça et agrippa son épaule pour la soulever, l’exposant à l’homme devant elle qui la caressait toujours. Jamais elle ne s’était sentie aussi vulnérable. Les yeux bandés, les mains attachées dans le dos, pénétrée par un homme et offerte à un deuxième pour que lui aussi prenne possession de son corps. Et, alors qu’elle vibrait de plaisir dans l’obscurité silencieuse de son bandeau, elle prit conscience d’un nouveau désir.
Elle ne voulait plus de cette distance anesthésiante qu’elle avait tant recherchée. Elle voulait une connexion. Le souffle des deux hommes résonnait fort à ses oreilles, rapides, heurtés, chargés d’un fort pouvoir érotique, et une révélation la transperça soudain comme une épée. C’était torride. C’était charnel. Mais ça ne lui suffisait pas.
Elle devait savoir qui était qui. Etre incapable de nommer celui qui la touchait, celui qui la possédait, celui qui la pénétrait, créait une distance entre elle, entre eux tous, et ce qui se passait. Elle voulait embrasser son mari pendant que son escort boy la baisait, elle voulait le regarder dans les yeux pendant que le plaisir la submergeait. Elle voulait qu’il la voie jouir.
Elle voulait son mari.
Le désir en elle, celui qui était resté sombre et incertain pendant si longtemps, avait à présent un nom. Elle avait besoin de leur relation, de leur connexion. Besoin qu’il soit en elle, qu’il soit une partie d’elle.
Eux. Elle avait besoin d’eux. D’elle et de lui. Après plus d’un an passé à se sentir morte de l’intérieur, quelque chose avait soudain de l’importance pour elle. Soudain, les rubans qui l’attachaient devenaient synonymes de deuil. Elle devait se libérer. Elle devait enlever ce bandeau et le voir. Elle devait savoir.
— Arrêtez ! cria-t-elle.
Aussitôt, tout se figea. Le mouvement, les souffles, les mains sur ses hanches. Tout. Comme si son intervention les avait changés en statues de glace.
— Détachez-moi.
L’homme derrière elle devait être doué avec les nœuds, car en quelques secondes ses poignets étaient libres. Elle ne toucha pas au bandeau qui lui couvrait les yeux. Des mètres de ruban coulant de ses poignets, elle posa les mains sur le visage de l’homme qui lui faisait face. Un menton rugueux, des pommettes angulaires. Puis elle passa ses pouces, l’un après l’autre, sur une bouche aux lèvres pleines.
Et elle sut.
Toujours aveugle, elle se pencha en avant pour embrasser cette bouche sensuelle. Sans hésiter, sans réserve, elle l’embrassa et sut qu’il s’agissait de son mari à la manière dont il lui attrapa l’arrière de la tête et inclina sa bouche en travers de la sienne. Toute l’intensité passionnée qu’avaient contenue les rubans et le bandeau se déversèrent soudain en elle, et en lui.
Un frisson parcourut son grand corps et se transmit au sien. Un gémissement monta dans l’air. Haletante, la bouche humide, elle caressa son torse musclé, tandis qu’une main lui enlevait le bandeau.
Son mari la regardait, les yeux brillants d’excitation et de triomphe.
— Je voulais que ce soit toi, dit-elle d’une voix presque inaudible.
— Seulement moi, répondit-il.
Il passa la main entre leurs deux corps et éloigna de son ventre son membre gonflé. Madame posa les mains sur ses épaules pour se soulever et se placer au-dessus de lui. Puis, le regard plongé dans le sien, elle se laissa descendre sur son sexe jusqu’à l’enserrer tout entier, chaud, dur, nu. Le contact peau contre peau lui arracha un petit gémissement, mais elle s’obligea à ouvrir les yeux pour les plonger de nouveau dans ceux de son mari.
— Ça va, chérie ?
Le petit nom recélait à présent plus d’affection que de moquerie. Il semblait réellement s’inquiéter pour elle. Elle se sentait pleine comme jamais, une sensation que la pression du corset ne faisait qu’accentuer. A chaque inspiration, une vague de chaleur la parcourait. Elle pencha la tête en arrière et gémit lorsque le mouvement de ses hanches pressa son clitoris contre le bassin de son mari.
Son escort boy resserra son bras sur sa taille. En réponse, son sexe et son côté obscur se resserrèrent sur les deux érections qui la pénétraient, et les deux hommes grognèrent à l’unisson.
Elle jeta un regard à son escort boy par-dessus son épaule. Les paupières lourdes, il regarda ses yeux, puis sa bouche. Elle se retourna alors vers son mari. La passion soulignait les lignes dures de ses pommettes et de sa mâchoire, et ses yeux bleus brillaient d’un air victorieux. Il se délectait de ce qu’ils venaient de créer ensemble.
A cet instant, la réponse à sa question lui apparut, simple :
— Oui, ça va.
Son mari enroula autour de ses poings les bouts des rubans toujours liés à ses poignets, puis posa les mains sur ses hanches.
— Doucement, dit-il à son escort boy.
Derrière elle, son escort boy se retira, marqua une pause, puis la pénétra de nouveau. Madame ferma à demi les yeux, concentrée sur ses mouvements lents et réguliers, son attention divisée entre les sensations exquises qu’elle ressentait et le visage de son mari qu’elle observait.
Ce dernier resta immobile en dessous d’elle. Poussée par un instinct qu’elle n’osa pas nommer, elle se pencha sur lui pour l’embrasser de nouveau. Leurs langues se rencontrèrent en une lente et chaude danse qui la laissa pantelante.
Puis son mari resserra sa prise sur le ruban qui emprisonnait un de ses poignets afin de l’obliger à passer un bras autour de son cou. Il l’attira ainsi tout contre lui, l’ouvrant encore un peu plus aux assauts profonds de son escort boy.
— Tu es si serrée autour moi, murmura-t-il à son oreille. Je sens le moindre frisson. Ça va être tellement bon quand tu vas jouir !
Son érection, dure comme l’acier, étirait les parois enflées de son vagin. Rien ne les séparait. Cette simple pensée fit se resserrer son sexe davantage sur le sien, et elle passa la langue sur la peau moite de son cou. Elle le mordilla, goûtant le sel de sa sueur. Puis elle souleva les hanches alors que son escort boy se retirait. Lorsqu’il s’enfonça de nouveau en elle, elle se laissa retomber sur le sexe de son mari.
Le mouvement arracha à son escort boy un grognement, et son mari resserra sa prise sur sa hanche et son avant-bras, tandis qu’un gémissement désespéré s’échappait de la gorge vibrante de Madame.
La stimulation était telle qu’elle aurait pu la catapulter dans la démence, mais la présence de son mari l’ancrait dans le présent. Lui faisait ressentir des choses. Son odeur, ses mains sur elle, ses mots murmurés à son oreille. « Oh mon dieu… C’est si bon. Ne t’arrête pas. Si… oh… si bon. » Son torse se soulevait contre sa poitrine tandis que son escort boy la pénétrait plus fort, toujours plus fort… jusqu’à s’arquer au plus profond d’elle, parcouru d’un frisson.
Elle aussi tremblait, au bord de l’orgasme. A cet instant précis, son mari souleva les hanches et s’enfonça en elle. Une lumière l’envahit, chaude, brillante, tumultueuse. Perdue dans les affres de la jouissance, elle ne voyait plus que le visage de son mari, ses yeux bleus étincelants et sa bouche chaude et douce. Sans la quitter des yeux, il se laissa aller à son tour et se déversa en elle.
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