Escort boy Ile-de-France | Rencontre intime

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Escort boy Paris Ile-de-France | Rencontre intime pour femmes.

Les oiseaux piaillaient dans les arbres à côté de l’hôtel où elle avait donné rendez-vous à son escort boy, alors que Christelle quittait sa voiture et avançait sur le parking. Malgré son pull-over bien épais, elle sentait la fraîcheur de l’air.

En frappant à la porte, elle sentit une petite pointe de nervosité l’envahir. Elle ne pouvait s’empêcher de songer aux baisers de Jean dont elle rêvait chaque nuit depuis qu’elle avait lu son site web.

Elle soupira et commença à avancer dans le hall qui menait au plus long couloir qu’elle eût jamais vu dans un hôtel. De part et d’autre, les différentes portes étaient ouvertes, et elle ne put s’empêcher de jeter un coup d’oeil chaque fois qu’elle passait devant une pièce.

Comme elle atteignait le bout du couloir, la musique se fit plus forte. Jean devait être tout près. Elle jeta un coup d’oeil à la dernière porte et s’arrêta net. C’était la chambre numéro 7, celle de Jean. Et quelle chambre !

Le lit à baldaquin la fit rêver. C’était le style de lit sur lequel une femme pouvait être attachée, allongée au milieu de cet océan de coussins, et se laisser aller à la promesse de divins plaisirs à venir.

Sur le mur se trouvait une peinture abstraite qui suggérait deux formes de flamboyantes couleurs, mêlées l’une à l’autre. Christelle commença à se sentir excitée. Ce qu’elle avait sous les yeux lui suggérait deux amants entamant un ballet érotique. Deux amants qui ne pensaient qu’au plaisir.

Elle se retourna et découvrit Jean adossé dans le couloir à quelques mètres d’elle. La lumière qui provenait de la porte ouverte derrière lui dansait dans ses cheveux bruns.

Néanmoins, ce qu’elle éprouvait en cet instant, alors qu’elle gardait les yeux rivés aux siens, c’était du désir pur et simple. Rien d’autre. Jean s’approcha tout près d’elle. Durant un instant, aucun d’eux ne bougea, puis il tendit la main et l’entraîna à l’intérieur.

Jean s’approcha encore plus près. Elle avait l’impression d’assister à une scène de film. Pourtant, elle n’était pas dans un film mais dans la réalité. Et Jean se trouvait bel et bien devant elle, en chair et en os.

Ce fut comme si elle avait été transportée dans le tableau qu’ils venaient de contempler, et le désir s’empara d’elle, l’enflammant jusqu’au plus profond de son être. Elle se délecta de la chaleur de sa bouche et sentit ses bras l’envelopper.

Son escort boy embrassa ses lèvres, ses joues, son cou, la caressant et la dévorant à la fois. Elle sentait l’urgence de son désir. Bientôt, il glissa une main sous son pull pour caresser ses seins, qu’il trouva nus sous son caraco.

Elle sourit lorsqu’elle l’entendit pousser un soupir de plaisir, alors qu’il rencontrait ses tétons durcis. Elle brûlait d’envie de le sentir nu contre elle, et elle ne voulait penser à rien d’autre qu’au plaisir qu’ils pourraient se donner l’un à l’autre. Oui, elle allait faire l’amour avec le plus célèbre escort boy de Paris, et peu importait ce qui allait arriver ensuite.

Le plus important, comme disait une de ses amies, était de profiter du moment présent. Les rayons de soleil pénétraient dans la pièce par la porte entrouverte.

Jean l’avait plaquée contre le mur, et continuait à la caresser sous son pull. Elle était de plus en plus excitée. Lorsqu’il titilla son téton durci entre ses doigts, elle poussa un gémissement de plaisir.

Elle brûlait de le sentir nu contre elle. Elle tendit la main, sortit sa chemise de son pantalon et la lui fit passer par-dessus la tête. Puis, s’aidant de ses pieds, elle quitta ses chaussures, tout en continuant à caresser les épaules de Jean.

Jean tendit un bras vers elle et la souleva, puis il l’emporta vers le lit où il l’allongea. Avant même qu’elle ne s’en rende compte, il lui retira son jean, puis son pull et son caraco. Il s’écarta, puis ôta son propre pantalon qu’il jeta par terre, avant de s’allonger sur le lit, tout contre elle.

Soudain, Christelle eut l’impression que leurs deux corps étaient encore plus unis que ceux du tableau. Les mains de Jean semblaient courir partout sur sa peau, tandis que sa bouche suivait leurs traces.

Son gigolo prit l’un de ses seins dans sa bouche, le lécha et le suça jusqu’à ce qu’elle crie de plaisir et se cambre contre lui. Alors, il releva la tête pour la regarder, et elle vit qu’il avait les yeux lourds de désir.

Le gentleman reporta son attention sur son ventre, puis un peu plus bas. Là, il posa sa bouche sur son intimité secrète et, de nouveau, elle cria de plaisir. Elle écarta les cuisses pour lui et posa les mains sur ses épaules, l’attirant davantage contre son sexe. Jean tendit une main vers son sein gauche, dont il caressa la pointe durcie, tout en continuant à lui donner du plaisir avec sa bouche et sa langue.

Le corps en feu, elle se cambrait de plus belle contre lui, gémissant à chaque caresse.
Lorsqu’il glissa un doigt en elle, son plaisir sembla exploser. Elle s’entendit crier, sentit ses hanches onduler encore plus, et l’orgasme monta en elle avec la force d’un ouragan.

Elle ne retrouva son souffle qu’au bout de quelques instants, et Jean se redressa pour l’embrasser. Aussitôt, l’excitation la reprit. Cependant, c’était son tour à lui d’avoir du plaisir. Elle tendit la main vers son sexe dressé et le sentit frémir. Ainsi, elle était capable d’exciter le fameux Jean ! Elle était capable de lui faire perdre tout contrôle !

Glissant une main entre ses cuisses, elle caressa son intimité moite du plaisir qu’il venait de lui donner, puis fit aller et venir ses doigts humides sur son membre durci de désir, remarquant chacun de ses frissons, chacun de ses gémissements.

Jean l’embrassa avec passion, puis s’installa entre ses cuisses. Il baissa les yeux vers elle, et elle entendit le craquement d’un petit sachet. Quelques instants plus tard, son sexe se frottait contre son clitoris. Elle haleta de plaisir anticipé, puis, d’une poussée des hanches, Jean se glissa en elle.

Jamais elle n’avait connu de pareille sensation. Elle noua ses jambes autour de la taille de son escort boy, et l’attira plus profondément en elle. Alors, elle se mit à frémir, à se cambrer, à haleter, tandis que son partenaire la pénétrait de plus belle et qu’ils se laissaient tous les deux aller à l’orgasme.

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