C’était une nouveauté de s’autoriser parfois un orgasme sans aucun sentiment.

C’était une nouveauté de s’autoriser parfois un orgasme sans aucun sentiment.

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Madame avait pensé à ce gentleman inconnu presque toute la nuit. Dès le matin, à peine levée, elle avait eu envie de lui en elle. Mais elle attendait avec impatience le rendez-vous qu’elle avait avec lui le soir même. Régulièrement au fil des heures, le désir montait, la surprenant au beau milieu d’un coup de fil, dans le métro alors qu’un inconnu glissait son regard sur elle, au restaurant lorsque assise, ses jambes se frôlaient l’une contre l’autre et s’attardaient pour lui rappeler qu’elle n’avait pas offert à sa féminité ce qu’elle lui avait demandé.

Ce n’était pourtant pas grand-chose, elle voulait juste un petit orgasme comme ça, juste pour le plaisir de se durcir, de couler et de sentir cette odeur qui lui rappelait qu’elle était bien vivante, qu’il n’y a pas d’âge pour jouir. Au contraire, elle remarquait ces derniers temps que cette envie la prenait de plus en plus souvent parfois si impérieuse que lorsque les circonstances le lui permettaient, elle devait s’offrir vite et fort cette jouissance sans importance.

C’était une nouveauté de s’autoriser parfois un orgasme sans aucun sentiment. Pressée d’en finir, impatiente de l’enfoncer en elle, curieuse de redécouvrir le plaisir sans l’amour, à peine arrivée à l’hôtel, elle grimpe dans la chambre que le gentleman pour femmes exigeantes a réservé pour elle, le prend et se jette sur lui. Allongée sur le dos, elle l’attire et le couche sur elle.

À peine le temps de la préparer et de mettre un préservatif, Jean va et vient sur son corps, juste à la limite de sa fleur. Précis et terriblement efficace, l’escort boy ne laisse aucun mouvement au hasard. Concentré sur l’essentiel, il se pose et s’appuie exactement là où son jardin secret le réclame. Intense, prévenant, à l’écoute de son moindre désir, l’escort boy bouge, se pousse, revient et se recueille à l’entrée de son petit bouton, juste là où il fait bon le sentir.

Immobile, calme, tendu et tout à elle, l’escort boy scrute le plus léger mouvement de son être pour l’épouser. Obéissant presque servile, il suit instinctivement ce que lui ordonnent ses lèvres gonflées.

Sur son monticule, juste à l’entrée, Jean s’attarde et fait monter le suc de la belle. Entièrement tendu vers elle, enserré dans ses cuisses nerveuses, l’escort boy attend qu’elle se reprenne. Il sait qu’elle ne veut pas tout de suite. Liquéfiée par son désir, elle le regarde, l’admire.

Tendre, amoureux et tout à elle, l’escort boy plonge son gland dans sa fente tandis qu’elle resserre ses jambes davantage. Elle aime le sentir au creux d’elle, juste au cœur de son suc. Lorsqu’elle réclame de l’émotion, il se déplace à peine, légèrement vers le haut. Un peu trop et il la perd ; pas assez et elle s’impatiente.

Pour se connaître et se pratiquer depuis longtemps ils savent l’un et l’autre soumettre son point G à la torture du désir sans la faire jouir. Ils adorent ça, reculer le moment de l’ultime ; prendre le temps, le leur celui du plaisir pur, simple, évident, dénué de toute implication ; repousser le meilleur au-delà du possible au risque de passer à côté.

Elle est sensible. Il le sait. Tout compte dans la montée de son orgasme. Sa position en elle, son rythme, ses changements de cap, son intensité. Parfois, il la brusque, histoire de voir si elle le rattrape pour le remettre en selle.

Parfois l’escort boy cède à son propre plaisir et accélère, conjuguant son envie d’elle et son besoin de se planter, impératif dans sa volonté de la voir jouir. Elle est si belle quand elle se tord, quand elle s’offre sans peur, sans aucun artifice. Lorsqu’il décide de ralentir, de reculer l’inexorable, il se détourne de sa fleur, plus bas, il cherche son autre cavité.

Trempé de mouille, ce côté obscur lui ment chaque fois, faisant mine de l’accueillir comme s’il n’attendait que lui, comme s’il était fait pour lui. Petit, serré, vierge, il se resserre apeuré, autour de sa virilité.

Confiant, sûr de son savoir-faire et persuadé qu’elle le veut, celui-ci tente de tracer son chemin doucement, en la réconfortant. Lorsque las d’attendre, l’escort boy fait mine de renoncer pour la laisser se détendre et revenir à l’assaut de plus belle, il retourne se poser sur son clitoris qu’il adore.

Douce, onctueuse, ouverte, elle déborde déjà de lui. Détendue, les jambes écartées, le regard rivé sur ce qu’il fait, elle l’observe s’emparer de sa chatte. Il la frôle à peine puis tout à coup, il plonge, dépassé par son propre désir d’elle. Mais c’est trop tôt encore. Il ne veut pas qu’elle jouisse, pas tout de suite, pas avant d’avoir exploré son autre trou qu’il aborde de nouveau, rapidement, furtivement, intensément.

Sans lui demander son avis, sans préambule, l’escort boy quitte sa vulve tétanisée pour retrouver son cul ouvert de lui. Surprise, elle se contracte, se resserre, se crispe autour de lui. Tranquillement il la rassure, se place doucement à l’entrée de son orifice et se frotte sans la pénétrer.

Rassurée, elle l’attire à lui : « Doucement, lui dit-elle, tout doucement ». Obéissant, l’escort boy progresse pas à pas. Entre appréhension et désir, elle le laisse venir puis se referme et s’ouvre à nouveau lorsqu’il fait mine de sortir. Crispé, tout son corps est cambré. Durs son ventre, ses jambes, ses seins sont dressés vers lui qui tente d’entrer en elle.

Pas besoin de plus pour qu’il comprenne. Jean s’éloigne d’elle pour rejoindre sa vulve gonflée d’attente. Pour distraire son attention et se donner le temps de souffler, Le gigolo porte un doigt à sa bouche, elle le suce et le lèche jusqu’à ce qu’il soit trempé puis le dirige doucement en bas, vers son petit clito qu’il trouve immédiatement planqué entre ses lèvres intimes.

Arrivée à bon port, l’escort boy se met à le caresser doucement, elle bouge son bassin pour s’exciter dans le regard de l’homme qu’elle voit les yeux fermés. Mouillée d’elle-même, concentrée sur le sexe de ce gentleman, sur ses grognements de bête en rut, sur sa langue lorsqu’il la lèche, sa vulve gonfle.

Jean enfonce davantage son doigt pour fouiller ce drôle de petit bouton, qui roule en dessous. Les jambes bien écartées, elle s’offre tout entière à lui.

Excitée par le bruit de sa mouille sous son doigt, l’inconnu exerce des pressions pour entendre les clapotis, déferler à son oreille. À cet instant, lui revient à l’esprit, son autre trou qu’il envahit de son doigt. Jean fait passer ses doigts un à un de son sexe à son cul. Seule au monde, elle en oublie sa queue rigide qui la guette.

La belle attend que Jean enfouisse sa queue dans son trou, n’importe lequel. Ce qu’elle veut c’est qu’il la remplisse, la prenne, la fouille, lui fasse tourner la tête. En amoureuse passionnée de lui, de son corps, de tout son être, elle imagine le désir qui rôde dans la queue de son amant d’un soir. Elle le sent gonfler. Les yeux fermés, elle le caresse de bas en haut, commence à la branler doucement. Elle le prépare pour elle.

Grosse, tendue, tendre, elle est comme elle aime, ni trop dure, ni trop molle, juste de cette texture qui la fait jouir lorsqu’elle va s’empaler et l’enfoncer au plus fond de sa chatte. Elle va jouir comme une folle, elle le sait mais l’escort boy se plaît à retarder l’instant.

Puis la main baladeuse de l’escort boy fait rouler la pointe de ses seins entre ses doigts, l’autre curieuse, en quête de son mont-de-vénus, elle se lèche les babines, se cambre, se met de profil, se retourne et revient face à lui. Impérieuse, elle donne l’ordre à Jean de la prendre comme ça tout de suite, très vite.

Un besoin urgent la saisit, elle n’en peut plus d’attendre. Elle le veut dans l’instant. L’envie de le sentir la prend au ventre, ça brûle, elle veut en finir, il veut jouer encore. Doucement, il part de son nombril et descend tout doucement en la frôlant. Impatiente, elle l’attire à elle. Vite.

Elle veut jouir, elle tremble. Des images dans sa tête lui apparaissent comme des flashs, des pensées d’un érotisme extrême parcourent son cerveau. Ses cuisses poisseuses se frottent l’une contre l’autre, l’odeur monte. Elle veut en finir pour mieux recommencer, se débarrasser de cet orgasme-là pour passer au suivant.

Ce soir, elle le sait, elle n’est que désir. Elle pourra jouir autant de fois qu’elle le souhaite comme lui a promis le gigolo.

Jean adore regarder son corps dans le désir. Elle ne saurait dire ce qu’il a de différent des autres, pourquoi il la met ainsi dans tous ses états, pourquoi même quand elle n’a pas envie, penser à lui la fait mouiller, mais lorsque cela arrive, il faut qu’il la prenne. C’est un ordre. C’est un jeu entre eux. Le jour, la nuit, elle a besoin de lui. Il lui fait un bien fou.

Lorsqu’il la fait jouir, l’escort boy la rassure, l’apaise et la réconcilie avec le monde entier. Depuis qu’ils se sont rencontrés, elle ne veut personne d’autre, ne désire aucun autre gigolo.

Mouillée par sa mouille, la queue de Jean exerce des cercles concentriques tout en douceur sur son clito aussi dur que ses pointes de seins qu’elle pince pour s’exciter d’avantage. Tendu et presque arqué tout son corps crie famine, elle veut la queue de son gigolo partout.

Madame regarde ce membre dressé pour elle, gémit. Tout son être tend à l’excès. Une faim d’absolu. Ses lèvres s’ouvrent sur son gland pour l’engloutir. Elle sent ta queue vibrer. Se tendre encore plus. Elle aime ça.

Sa queue tendue glisse doucement dans son vagin brûlant. Elle gémit, Jean s’enfonce au plus profond dans cette mer salée, si chaude, qui engloutit son sexe et lui fait perdre pied.

Elle repousse sa queue au bord de ses lèvres, le laisse pénétrer à peine afin de retarder la jouissance. L’escort boy alterne des mouvements brusques et profonds à ceux plus lents, restant à l’orée de son sexe.

Elle gémit de plus en plus fort, de plus en plus vite, savoure dans la moindre parcelle de son corps ébloui le plaisir qui l’irradie et la fait suffoquer.

Jean se retire d’elle, s’assit entre ses cuisses largement écartées. Jean voit et regarde son sexe déployé comme une fleur écarlate, luisante de sève, son clitoris gonflé de plaisir, son vagin ouvert comme un gouffre sans fin.

Le gigolo la prend par les hanches et descends son corps jusqu’à son sexe. Cette position lui donne encore plus d’ampleur et de vigueur. Elle le guide de sa main vers sa vulve, il t’enfonce doucement. Elle tremble, abandonnée à lui dans ses mouvements d’enfoncement.

Jean scrute son visage révulsé, la bouche ouverte. La jouissance monte en elle, l’orgasme la fracasse et se propage dans son corps. Ses spasmes resserrent sa verge et la noient. Les bras en croix, offerte comme jamais, le visage renversé, les yeux clos, elle soupire comme une damnée, transfigurée par l’extase qui envahit tout son être.

Un feu ardent la consume, la disloque, la liquéfie. lui aussi il jouit cognant sa verge dans son ventre brûlant. Ses râles s’échappent de ses lèvres comme une lente litanie, psalmodiant des mots torrides. Oui, elle a envie de baiser, de baiser cet escort boy sans interdit, sans quand dira-t-on, en toute liberté. De jouir sans attache.

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Comment oublier une rupture avec un escort boy ? Dans un moment de pure sensualité, dans les bras d’un vrai gentleman. Pourquoi vous privez vous de prendre du plaisir en compagnie d’un homme du monde qui vous traitera avec tout le respect que vous méritez et ne vous jugera pas d’avoir envie de tendresse et de plaisir après une rupture et vous aidera à vous tourner vers l’avenir.

Laissez moi vous transporter dans la magie érotique d’une soirée hors du temps en toute discrétion et en toute sécurité. Vous oublierez tous vos soucis et pourrez lâcher prise lors d’une expérience de divertissement pour adulte unique dans un respect mutuel avec protection.

Au plaisir de vous séduire, de vous faire rire, de vous divertir. Mais avant tout faisons connaissance autour d’un drink sans engagement et je vous dirai tout ce que vous brulez de savoir. Mais n’oubliez jamais que l’on ne vit qu’une fois…

Au plaisir de faire de cette rencontre. Jean

TEL/SMS/WHATSAPP: +33755186013
Mail: man.jean@yahoo.fr
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