Le triolisme : comment assouvir ce fantasme quand on est en couple avec un escort boy
Category:candaulisme,Couple,triolismeLe triolisme : comment assouvir ce fantasme quand on est en couple avec un escort boy. Ce soir, mon mari et moi sommes partis à l’assaut de la piste de danse. Il y a trop longtemps que je ne suis pas sortie en boîte et que je n’ai laissé mon corps s’exprimer. J’ai envie de me jeter dans la foule et de sentir les corps se frotter contre le mien. Et si je trouve un deuxième mâle à mon goût… pourquoi pas ?
Mon mari va s’assoir et me regarde de loin danser sur la piste. Il fait chaud, mais je me trémousse comme si j’avais le feu aux fesses. J’aime sentir la musique qui vibre en moi et la façon dont ma jupe se soulève lorsque je pivote. L’air frais entre mes cuisses est une bénédiction.
Tous ces danseurs en sueur m’excitent et je ne suis pas mécontente de sentir un corps se coller au mien. Un gentleman se frotte par-derrière. Même si les mouvements sont furtifs, j’imagine son érection contre ma croupe et je retiens ses mains lorsqu’elles se posent sur ma taille.
Je me déhanche davantage et frotte mon postérieur contre lui. Cette fois, ce n’est pas mon imagination qui me joue des tours. Il y a bel et bien une tige dure contre le haut de mes fesses.
Je recommence à bouger lascivement, reviens vers lui et il me serre dans ses bras. Le rythme ne se prête pas à ce genre de danse, mais j’ai envie de sentir son érection, encore. Il se déhanche, se frotte contre moi et de sentir son sexe érigé me donne envie de bouger davantage.
Subtilement, je déplace mes mains, puis le caresse furtivement sur le torse, descends jusqu’à son ventre et reprends mon geste dès que je frôle ce qui déforme à peine son jeans. Ses mains sur mes hanches se raidissent, puis me serrent Le corps en feu davantage contre lui.
Sa bouche se glisse dans mon cou, m’embrasse de façon délicieuse alors que son bassin donne de petits coups prometteurs contre moi. Ma parole, il le fait exprès ! Dans une tentative forcée pour garder la tête froide, je reporte mon attention sur lui.
Ses bras me ramènent contre lui et il frotte délicatement son nez contre le mien avant de dire. Il me propose de boire un verre et j’accepte sans hésiter. D’abord parce que j’ai soif, mais aussi parce que j’espère qu’il me proposera d’aller le boire ailleurs. Chez lui, par exemple, en position horizontale. Ou verticale. Qu’est-ce que je m’en fiche ! Je suis même un peu déçue qu’il m’entraîne dans le fond de la salle, loin de la sortie, et à une table où mon mari est déjà là, en train de siroter une bière.
A cet instant, je comprends que mon mari a organisé cette sortie pour me faire vivre un expérience de triolisme avec un escort boy dont il m’avait parlé quelques semaines auparavant et cette idée m’avait alors beaucoup plus.
En moins de trois secondes, je me retrouve en sandwich entre deux hommes dont l’un des deux est mon mari et je suis la première surprise lorsque la main de l’escort boy se glisse entre mes cuisses. Autant j’en avais envie, autant ça me gêne qu’il le fasse alors que mon corps est contre celui de mon mari qui ne m’a pas dit le moindre mot.
Avec un visage souriant, il me fixe tout en remontant sa main vers mon jardin secret, se met à le caresser à travers la culotte. Pour le principe, je pose ma main sur son avant-bras, mais en réalité, je ne le retiens pas du tout.
Surtout lorsque je sens le plaisir se faufiler dans mon bas-ventre. En fait, je crève d’envie qu’il contourne le tissu et qu’il me fasse jouir ici. Pourquoi est-ce qu’on irait ailleurs, après tout ?
À son tour, mon mari m’enlace et je me retrouve dans les bras de mon mari pendant qu’un homme inconnu me tripote sans hésiter. Ça me plaît, deux hommes. L’escort boy ralentit ses caresses sur mon jardin secret en feu.
Je ferme les yeux. Mon corps s’abandonne à eux. L’un qui m’embrasse dans le cou, l’autre qui me fait grimper au paradis. C’est rapide. Probablement parce que je ne retiens rien du désir qui m’anime et de cette envie de perdre la tête qui me ronge depuis que je suis là.
Une bouche s’écrase sur la mienne pendant que je gémis et les bras qui m’enserrent la taille se raffermissent. Je suis délicieusement coincée entre deux hommes et je viens de jouir à la vue de tous. Pourtant, quand j’ouvre les yeux, je vois que personne n’a eu le loisir d’admirer le spectacle.
Retirant ses doigts de ma chair vive, Jean pousse une bière vers moi. Celle de mon mari, je crois, mais je m’en fiche. Je la prends et cale ce qui en reste d’un trait. Ça me fait un bien fou et je le remercie du regard.
D’habitude, mon mari me laisse me taper des femmes à l’occasion, mais ce soir, il avait envie de… de voir. Ou peut-être d’essayer. Il ne sait pas trop, en fait.
L’escort boy me demande si je veux qu’il me fasse l’amour devant mon mari et peut-être que mon mari voudra jouer avec nous. Je suis sûr qu’il ne dirait pas non à une jolie bouche sur sa queue.
Pour le principe, je fais mine de réfléchir, mais mon bas-ventre m’indique qu’il est plus que d’accord à l’idée d’être baisée devant un mon mari.
Dix minutes plus tard, nous retournons à notre appartement du centre-ville. Je me sens bizarre d’être là, avec deux hommes, mais je n’ai pas peur. Ou sinon de ne pas jouir à ma faim. Mais les doigts de Jean m’ont déjà convaincue qu’ils savaient mener une femme au septième ciel. De ce fait, je ne m’inquiète pas trop.
Mon mari nous propose de quoi boire, visiblement nerveux d’être là, mais je m’avance vers la baie vitrée avant de me tourner en direction de Jean, une main nonchalamment posée entre mes seins. Ni une ni deux, il écrase sa bouche sur la mienne et fait glisser les bretelles de ma robe sur mes épaules, tire mon vêtement vers le bas, dévoile ma poitrine, menue il est vrai, mais ferme. Enfin, il s’agenouille pour me retirer le tout.
Personnellement, la technique aurait été plus simple s’il avait glissé la robe vers le haut, mais un homme à mes pieds, ce n’est pas pour me déplaire. En plus, ça lui permet de me retirer ma culotte qui est plutôt bien trempée. Dans sa position, il remonte une main entre mes cuisses. Je me régale, puis je regarde mon mari qui nous observe assit sur le fauteuil.
Jean se penche pour retirer le reste de ses vêtements. Mes yeux sont décidément très sollicités. D’abord vers le sexe bandé de l’homme devant moi, mais aussi sur le visage souriant de mon mari qui se délecte de cette situation un peu à l’écart. Je donnerais cher pour les avoir tous les deux à mes genoux.
Décidément, ce jeu me fait mouiller comme une folle. Assez pour avoir envie d’attirer mon mari dans le jeu. Avec un peu de bonne volonté, il va se masturber devant moi ou me laisser sucer sa queue pendant que l’escort boy s’occupera de me pilonner à bon rythme. il faut que je me calme, autrement je ne pourrai pas me concentrer et je vais perdre la tête en trois secondes.
Jean me ramène vers lui, pose un baiser délicat sur ma bouche, comme pour vérifier que ça ne me dérange pas qu’il m’embrasse. Au contraire !
S’il pouvait le faire un peu plus bas, ce serait même parfait ! Je réponds à ses lèvres qui se mettent à me dévorer. Son excitation est vive et pas seulement dans son baiser. Son sexe se frotte sur moi et je le saisis d’une main. Comme lui, il est long et lisse.
De quoi me faire passer une très belle nuit. Je gémis en le masturbant doucement, puis je me souviens de ses paroles au club et à la possibilité d’avoir la queue de mon mari dans ma bouche en prime. Sans attendre, je me laisse tomber sur le sol pour commencer une fellation. J’y mets toute ma détermination pour le rendre fou. Plus il jouira fort, plus notre spectateur voudra se joindre à nous. Et moi, juste à cette idée, j’y investis toute mon énergie.
J’empoigne ses fesses bien fermes et les pousse vers moi. Sa queue gonfle sur ma langue, se gorge de sang et ne demande qu’à jouir. Je le sens.
Quand il se met à grogner comme un animal, je retiens mon rire, mais je ne peux m’empêcher de jeter un œil en direction de mon mari qui s’est approché de nous, la queue dans une main et l’astiquant à bon rythme. Je me détache de Jean et je fixe la seconde verge.
Je ne sais pas si c’est une invitation, mais il se laisse tomber sur le canapé et relâche son sexe. Délaissant Jean, je me jette sur l’autre queue, à peine moins longue que la première, mais plus épaisse. Dans ma bouche, j’avoue qu’elle occupe un espace considérable et qu’il ne me déplairait pas de la sentir autre part.
Les doigts de l’escort boy reviennent en moi, me caressent vite et pourraient probablement me faire jouir en quelques secondes, puis je l’entends qui me questionne à voix basse, les doigts complètement au fond de mon sexe. Il me demande si je veux qu’il me prenne.
Mon corps lui répond en se mettant à couler sur lui, puis je gronde en faisant danser ma croupe, la verge de mon mari toujours entre mes lèvres. Du coin de l’œil, je le vois qui s’éloigne et il jette une boîte de condoms sur le sol, près de moi, avant d’en enfiler un. Je m’écarte.
De moins en moins capable de me concentrer sur la fellation que je prodigue à mon mari en sachant que je serais de bientôt prise en sandwich. Quand Jean s’agenouille derrière moi et me pénètre d’un coup, je gémis. Une main se pose sur ma taille, une autre sur ma tête.
Ma voix s’emporte sous le plaisir, la sienne se fait entendre. Contrairement à Jean qui jouit en grognant comme un animal, mon mari a un souffle bruyant, comme s’il retenait le son qui pourrait s’échapper de sa bouche. Moi, je n’ai pas ce problème, en ce moment, puisque j’ai la bouche bien remplie.
Je change parfois de technique pour vérifier s’il préfère quand je caresse ses testicules ou quand je fais glisser ma langue sur son gland. Derrière moi, l’escort boy s’active et commence à me faire perdre la tête. Jouir la bouche pleine, j’avoue que ça ne m’est pas arrivé souvent, alors je peine un peu à garder le rythme de ma fellation, finit par tout arrêter pour reprendre mon souffle, puis me mettre à gémir comme une folle en espérant que mon amant ne s’arrête pas maintenant.
Mon mari, que j’ai cessé de sucer, se met à se masturber, le regard rivé sur moi et la bouche grande ouverte. Lui, c’est un voyeur et de me voir jouir ainsi, ça lui plaît, j’en suis sûre. Quand j’explose, je serre les cuisses de mon mari entre mes doigts et hurle comme le ferait un loup à la lune.
Un jet de liquide me gicle en plein visage et un râle se fait entendre. Mon mari décharge sur moi en retenant son cri. Je souris devant sa perte de contrôle, mais je reporte rapidement mon attention vers l’arrière où Jean s’active de plus en plus vite. Lui, il a vraiment une voix bestiale quand il crie, mais il est comme moi : il ne se retient pas et s’enfonce complètement pour venir en moi.
Je sens sa barre de fer qui pulse, mais je ne suis pas mécontente qu’il ait mis une capote. Puis Jean m’étend sur le sol et m’écarte les cuisses devant mon mari. Je suis bien, calmée par mon précédent orgasme, et prête à subir tous les coups de langues qu’il voudra bien me donner, quoique je préfère les coups de queue, ça, je ne mentirai pas là-dessus. En même temps, j’avoue que ça m’excite de sentir le regard d’une tierce personne sur moi, alors que je suis dans une position pareille.
L’escort boy a une bouche de rêve. À voir, à embrasser, mais bien plus agréable quand elle est sur mon sexe. Il sait comment lécher une chatte, ça, je ne peux pas le nier. Sait-il autant y faire avec une queue ? Je ferme les yeux, savoure son coup de langue et je gémis pour lui montrer que ses doigts ont tout à fait leur place dans mon ventre.
Je me concentre sur les sensations plutôt que sur les explications de Jean. Des doigts me palpent, entrent en moi, touchent mon jardin secret, parfois doucement, parfois de façon rude. Enfin, ils passent aux choses sérieuses. L’escort boy recommence à embrasser mon intimité et sa langue me titille agréablement. J’avoue que je perds le fil de ce qui passe, mais je sens que mon mari prend le relais. Il est gauche et plutôt maladroit, mais d’une main sur sa tête, je le guide. Ses lèvres sont fermes et quand il frôle mon jardin secret de sa langue ferme, je frissonne en gémissant.
La bouche entre mes cuisses, mon mari se démène. Une chose est sûre : il apprend vite ! D’autres doigts se joignent aux miens sur sa tête, l’écrase Le corps en feu sur mon sexe et je me cambre de plaisir. L’escort boy se glisse à mes côtés et me sourit.
Il se met à m’embrasser avec fougue. Sa main se pose sur ma poitrine, puis griffe délicatement mon ventre. Toutes ces bouches sur moi, ça me rend folle. Je sens que je vais perdre la tête. Mon corps se met à se tortiller et je noue machinalement mes bras autour du cou de Jean pour le serrer contre moi. Notre baiser devient rapidement une plainte et je jouis sans retenir le plaisir que mon mari me donne. Je veux qu’il entende tout ce qu’il provoque en moi. Et je songe, non sans une petite pointe de triomphe, qu’un homme vient de me lécher mon pistil d’amour jusqu’à l’orgasme.
L’escort boy ne cesse plus de m’embrasser, puis mon mari apparaît de l’autre côté et je me jette sur lui à son tour, dévore sa bouche. Même en rêve, je n’aurais espéré apparaître ainsi, entre deux hommes, mais chacun paraît content de son sort. Moi la première ! Jean caresse délicatement mon jardin secret, puis fait chanter mon sexe avec le bout de ses doigts qu’il trempe à l’intérieur.
L’intermède se termine et je vérifie du côté de mon mari qu’il a envie de me prendre, lui aussi. Mon mari ne répond pas, mais je lui fais signe de venir devant moi, déterminée à le sucer pendant qu’il patiente. Il marche à genoux jusqu’à moi, mais au lieu de rester debout, il s’étend sur le dos et je grimpe sur lui pour plonger son sexe dressé entre mes lèvres. Derrière, j’entends le sachet du préservatif que l’on déchire et je suis concentrée sur ma tâche lorsque Jean me prend doucement.
Moi aussi, j’adore, mais je ne peux pas lui répondre puisque je dévore une jolie queue et tente, difficilement, de me concentrer sur la jouissance que je provoque chez mon mari. Embrochée de toute part, je me sens fébrile. Mon corps est hyper sensible et j’ai la sensation que mon sexe frétille chaque fois que Jean me pénètre. Peut-être que c’est la situation qui me rend aussi excitée ou juste le fait d’avoir eu mon lot d’orgasmes, ce soir.
Pourtant, je n’ai pas envie que ça se termine. Quand je m’empale sur la queue de mon mari, large, je ne retiens pas mon râle de satisfaction. Surtout que le corps de l’escort boy se colle au mien, par-derrière, et qu’il m’empoigne la poitrine.
Ses mains me touchent et je sens celles de mon mari qui enserrent mes cuisses. Quand il remonte son bassin, je hoquète de surprise et de plaisir. L’escort boy cherche à trouver mon jardin secret et je suis tellement prête à jouir que c’est à peine si je l’entends dire à mon mari d’attendre un peu.
Pourquoi ? N’est-ce pas un peu cruel de le brimer ainsi alors qu’il se fait prendre par sa femme ? Ah et puis, qu’est-ce que je m’en fiche, au fond. L’important, c’est que moi, j’explose. Et je le fais dans un cri qui m’irrite la gorge, en sautillant sur mon mari comme une furie, arquée vers l’arrière.
Je retombe vers l’avant, enlacée par les bras de mon mari, mais Jean me fait tomber sur le côté et je me retrouve à nouveau en sandwich entre deux hommes adorables. Ils m’embrassent pendant que je recouvre mes esprits. L’un sur la bouche et l’autre dans mon cou. Des mains se promènent sur moi. Je suis un jouet pour eux et je les laisse me toucher sans rechigner.
Mon mari sourit sous mes lèvres et je sens ses doigts qui viennent se loger en moi, puis titiller mon jardin secret. Ah oui, il apprend vite ! Pendant que je me laisse bercer par ses caresses, je sens Jean qui caresse mon petit trou.
Malgré moi, je me raidis. Pas que ça ne m’est jamais arrivé, mais je ne peux pas dire que j’apprécie ce genre de pratique plus qu’il n’en faut. Percevant mon hésitation, il cesse de bouger son doigt.
Je n’ose pas lui dire que les deux fois où c’est arrivé, j’étais complètement saoule et que, la première, c’était loin d’être une partie de plaisir. Et là, deux hommes allaient y passer ? Mon regard se pose dans celui de mon mari et je soupire, chassant les réserves qui m’animent.
Il recommence à bouger son doigt, puis en ajoute une deuxième. Probable qu’il a raison, car je ne ressens aucune douleur. Enfin… de ce côté-là. En réalité, ce sont les caresses de mon mari qui s’intensifient sur mon jardin secret qui accaparent mon attention.
L’escort boy demande la permission à mon mari de me prendre par derrière, celui-ci hoche la tête. Mais au lieu de me prendre, il glisse sa langue entre mes fesses et se met à me lécher. C’est très étrange et pendant un moment, même si je ne dis rien, j’avoue que ça me gêne.
Jean se glisse devant moi, à la place où se trouvait mon mari, il n’y a pas deux minutes, puis je le vois qui récupère un préservatif. Bordel, la boîte est presque vide.
Heureuse de ne plus avoir à penser à ce qui se passe de l’autre côté, je me glisse vers sa verge et me fais une joie de le reprendre entre mes lèvres.
L’avantage d’avoir deux hommes, c’est de toujours avoir une queue sous la main. Les yeux empreints de désir, il me fait signe de venir m’empaler sur lui, ce que je fais sans attendre. Ses bras me serrent et je sens le corps massif de mon mari se frotter contre le mien. Pendant que je chevauche Jean, il me glisse deux doigts derrière et soupire.
Je ne sais pas pourquoi, je frétille d’envie. La voix de mon mari me semble empreinte de désir et moi, je me sens complètement offerte à leur plaisir. Je n’ai rien à faire à part me déhancher et les laisser faire tout ce qu’ils veulent de moi. Même si je tente de me contracter, je sens que tous mes orifices s’ouvrent et plus il me doigte, moins je sens ma peau s’étirer.
Puis les mains de Jean me guident pour me sodomiser dans cette position. Je le fixe sans comprendre, légèrement anxieuse d’être au-dessus de lui. Contre toute attente, je glisse sans difficulté sur sa queue et son sourire s’affirme aussitôt.
Jamais sexe ne m’a parut aussi gros qu’à cet endroit. Selon l’angle dans lequel je me trouve, ça tire un peu, mais ce n’est jamais très désagréable.
Par précaution, j’évite de m’empaler complètement dessus. Je ne sais pas pourquoi, ça m’effraie. Pourtant, c’est plutôt doux comme pénétration. Rien à voir avec mes autres expériences.
Même si Jean me guide, j’expérimente. Tantôt penchée vers l’avant, puis cambrée vers l’arrière. J’avoue que je suis un peu déséquilibrée par ma position, mais quand je me dresse un peu plus et que mon bassin donne un petit coup sec pour se replacer, les mains de Jean me retiennent en place.
Je reprends le mouvement et je ferme les yeux, intriguée de sentir une petite vague de chaleur agréable qui se faufile en moi. Je suis loin de l’orgasme, mais je vais peut-être y prendre du plaisir. C’est déjà ça ! Sans réfléchir, j’accélère, cesse d’avoir peur de le prendre tout en moi et je fais semblant que je baise comme d’habitude. Je me mets à le chevaucher.
Doucement, d’abord, puis de mieux en mieux. Je ferme les yeux, légèrement étourdie par les sensations qui grimpent en moi. Je n’y arriverai jamais, mais soudain, ça me paraît possible de jouir ainsi. Quand le plaisir apparaît, je deviens complètement folle.
Je galope sur mon cheval et je sens mon membre qui se gonfle chaque fois qu’il se frotte sur la chair de Jean. Lui, il gémit de plus en plus fort, toujours comme un animal, d’ailleurs, jusqu’à ce qu’il perde la tête. Trop tôt pour moi, mais je suis tellement avide de poursuivre que je continue de me déhancher tant que son érection n’est pas complètement disparue.
Derrière moi, mon mari se manifeste à son tour et me pousse vers l’avant, m’oblige à relever la croupe vers lui. La virilité de Jean s’échappe de mon corps, mais une autre, vigoureuse et prête à l’emploi, plus large aussi, vient m’embrocher. Dès la première pénétration, je lâche un cri.
Il me pénètre à nouveau. Doucement, puis fort, cognant son membre en moi et me faisant sursauter à chacun de ses passages. Je me mets à jouir, juché sur le corps de Jean, bien que sa présence disparaisse rapidement de mon esprit. Les coups de queue de mon mari vont me rendre folle. Tout ce que j’arrive à dire, ce sont des « oui » que j’espère suffisant pour ne pas qu’il s’arrête tant que je ne suis pas arrivée à destination.
Il me secoue en Le corps en feu grognant, puis s’acharne de plus en plus rudement sur mon postérieur. Je ne sais même plus quand l’orgasme me saisit tellement c’est rapide. C’est un feu qui gronde en moi et qui semble se répandre partout dans mon corps. Je crie.
À gorge déployée, la croupe emprisonnée sous ses mains, mais le dos cambré et la tête vers le ciel. Je reste là, prise dans l’ouragan qui vient de s’abattre sur moi quand la jouissance de mon mari me ramène à la réalité. Sous moi, L’escort boy m’observe, un bras replié derrière la tête et un sourire moqueur inscrit sur ses lèvres.
Je l’embrasse pendant que mon mari se retire, puis je sens d’autres bras qui me tirent sur le côté. Encore une fois, je suis prise en sandwich entre quatre bras qui m’étreignent. Je ferme les yeux. J’oublie tout. Je suis tellement bien.
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