Une après-midi de libertinage pour femmes mariées
Category:Accompagnateur,candaulisme,triolismeUne après-midi de libertinage pour femmes mariées. Madame arriva la première, fuma plusieurs cigarettes avant que son mari entre dans le bar. Il était en retard, elle ne lui en voulait pas, c’était bien qu’il soit venu, elle avait toujours eu confiance en lui et il partageait tout de leurs aventures.
Son mari arriva essoufflé, l’embrassa ; elle était attablée devant un café. Ils commencèrent à discuter. Cette fois, pourtant, son mari savait que c’était différent.
Madame mit un certain temps à se confier, elle tournait autour du pot. Enfin, elle avoua qu’elle l’avait, la veille, pour la première fois, trompée.
— En plus, j’y ai pris du plaisir !
— Tant mieux ! répondit son mari. J’adore que tu te donnes à un autre homme
Madame raconta à son mari, dans les moindres détails, sa « première fois ».
— Hier après-midi, je marchais dans la rue, j’ai senti qu’on me suivait. A plusieurs reprises, je me suis retournée. Il y avait un homme, il m’a souri. Je n’ai pas répondu, je ne me suis pas arrêtée.
— Continue !
— Il est arrivé à ma hauteur, je me suis arrêtée, il m’a proposé d’aller prendre un verre. J’ai hésité, puis j’ai accepté, ensuite il m’a draguée.
— Comme ça, dans la rue ?
— Non, dans le bar !
— C’est un rapide !
— Au bout de quelques minutes, il m’a proposé de l’accompagner dans un hôtel proche, j’ai dit non. J’étais stupéfaite par une telle demande, pourtant mon corps disait oui. L’homme était plutôt pas mal et me plaisait.
— Pour un rapide, c’est un rapide !
— Finalement, il a su me convaincre. J’avais quelques heures devant moi, lui aussi ; alors, je l’ai suivi. C’est lui qui a choisi l’hôtel, il avait l’air de connaître !
— Tu m’étonnes !
Madame expliqua à son mari qu’arrivés à l’hôtel, il y avait un homme au comptoir du hall d’entrée ; elle en fut gênée, certaine que la honte se lisait sur son visage. Pourtant l’employé avait à peine levé la tête quand elle était passée devant lui.
L’inconnu paya la chambre en liquide.
— Normal, observa son mari, c’est lui qui t’avait invitée. Et quel est son prénom ?
— Je ne sais même pas !
— Tu ne lui as pas demandé ?
— Je n’ai pas osé, j’étais tellement mal à l’aise !
— Alors, quand vous êtes arrivés dans cette chambre ?
— Je tremblais, lui, il avait l’air très à l’aise. Il m’a prise dans ses bras, j’ai fermé les yeux, il m’a embrassée puis il a commencé par me déshabiller. Entièrement. Nous étions debout près du lit ; il a pris ma culotte, l’a reniflée. Tu te rends compte !
— Oui, très bien !
— C’était excitant. J’étais nue, il était encore habillé, en train de respirer ma culotte… troublant, non ?
— Peut-être un fétichiste des culottes !
Madame n’en finissait plus, à la fois émerveillée et honteuse, de raconter à son mari ce qu’elle avait vécu dans la chambre d’hôtel.
— Il a pris ma main, l’a posée sur son sexe par-dessus son pantalon… il bandait.
— Tu étais comment à ce moment-là ?
— Toujours debout, nue… de plus en plus fébrile !
— Normal !
— Il s’est déshabillé, je ne bougeais pas. J’ai vu son sexe, j’ai regardé, je suis tombée à genoux. Je mouillais comme une folle, j’ai pas eu besoin de glisser un doigt dans mon vagin pour vérifier.
Madame décrivit à son mari comment elle s’y était prise pour tailler une pipe à l’inconnu. Elle lui raconta ce qu’elle avait vu dans la glace de la chambre :
— Une femme à genoux avec le sexe d’un homme dans la bouche. J’ai trouvé cette femme bestiale… cette femme, c’était moi !
Curieux, son mari continuait à poser des questions, Madame répondait :
— Il m’a demandé de m’allonger sur le lit, s’est agenouillé entre mes cuisses, j’avais les jambes écartées.
Elle releva la tête, resta un instant sans rien dire.
— Et alors ?
— Il a plongé son visage et m’a léchée… jamais encore un homme ne m’avait aussi bien léchée !
Elle ne négligeait aucun détail :
— Il a relevé la tête, je n’avais pas encore joui, mais j’étais au bord de l’orgasme. Il ne parlait pas, il me fixait. J’étais allongée, lui à genoux. Il m’a regardée droit dans les yeux, l’air de me dire : « Tu vois, j’avais raison de te draguer, tu en crevais d’envie ! »
— Il n’avait pas tort !
— Puis il a rebaissé la tête, replongé son visage entre mes cuisses et reposé sa langue sur mon clitoris. J’ai senti une nouvelle dose d’adrénaline remonter dans tout mon corps. Alors, il m’a léchée encore plus violemment et plus intensément. Je ne savais plus où j’étais !
— Dans une chambre d’hôtel ! rétorqua son mari.
— Il m’a léchée encore un peu avant d’engouffrer un puis deux doigts dans mon vagin. Cette fois, je n’en pouvais plus, je me suis abandonnée… j’ai joui. Allongée sur le lit, je croyais en avoir fini, mais il en voulait plus !
— C’est un costaud !
— Oh oui, alors ! Il m’a soulevée puis retournée, il m’a agenouillée et sans même que j’aie eu le temps de dire quoi que ce soit, j’ai senti sa grosse queue raide qui glissait dans mes fesses… il avait mis un préservatif !
— C’est la moindre des choses !
Madame parlait de plus en plus fort, elle n’en avait pas conscience.
— Plus doucement, dit son mari, on pourrait t’entendre… au fait, il t’a trouvée ?
— Ouais, j’ai écarté mon sexe, j’ai posé mes mains de chaque côté, et je lui ai offert mon cul !
— Eh bien !
— Il m’a prise en levrette, par le vagin. J’avais honte, mais c’était bon, il m’a obligée à me caresser… même ça, je ne le fais pas devant toi ! Alors, il m’a baisée jusqu’à ce qu’il jouisse, j’ai senti que son sexe se contractait car il était si gros qu’il écartait les parois de ma chatte. Puis au moment de jouir il s’est retiré a enlevé le préservatif et à déversé son sperme chaud et gras sur mon cul ; en même temps, je me caressais.
Madame avait beau être une nature réservée, elle balançait tout à son mari :
— Il venait de jouir ; alors, j’ai joui pour la seconde fois, c’est incroyable, puis nous sommes retombés sur le lit, j’en pouvais plus !
Elle avait terminé de baiser sur le lit, c’est encore ce qu’elle croyait à cet instant précis. Son mari ne disait rien, il attendait qu’elle reprenne la parole.
— Ensuite, nous sommes allés prendre une douche, l’endroit était exigu, nous étions collés, l’eau coulait d’une pomme sur le mur. Il m’a caressée, a passé une main entre mes cuisses… il massait mon anus. Il a enfilé un nouveau préservatif. Quand il a enfilé sa queue dans mon petit trou, je n’ai pas été surprise, je n’ai pas eu mal, j’ai à peine sursauté.
— C’était la première fois que je me faisais sodomiser.
— En général, les femmes n’apprécient pas trop !
— Ça s’est bien passé. En plus, il a glissé une main, a trouvé mon clitoris… il branlait mon bouton en même temps qu’il m’enculait.
Madame utilisait des mots de plus en plus crus, sans s’en rendre compte.
— Il a largué son jus dans le préservatif alors que son sexe se contractait en écartant mon anus, il a terminé de masser mon clitoris, et j’ai joui… pour la troisième fois !
— Eh bien, dis-moi…
— Je suis restée seule un moment sous la douche. Quand je suis sortie, il s’était déjà rhabillé. Il est parti sans rien dire, m’a laissée là toute seule. J’avais le corps humide… j’aurais voulu rester encore un peu, discuter avec lui… mais non, il m’avait baisée, il s’en était allé !
— Les hommes, il ne faut pas trop leur en demander. Peut-être qu’il est marié, qu’il culpabilisait.
Elle termina de tout lui raconter : elle avait quitté l’hôtel, seule, encore plus honteuse que quand elle y était entrée. Sur le trottoir, elle s’était retrouvée titubante tant le soleil éblouissait. Surtout, elle se sentait ivre de ce qu’elle avait vécu, au point qu’une femme vint vers elle, lui demanda si elle se sentait bien.
« C’est bon, madame, je vais bien ! » avait-elle répondu.
Puis elle s’en était retournée chez elle, ahurie comme si elle était une autre femme. Elle ne pensait qu’à une seule chose : en parler à quelqu’un pour se décharger du poids trop lourd. C’est ainsi qu’elle avait téléphoné à son mari, ne voyant personne d’autre à qui raconter l’aventure.
Durant près de deux heures, dans leur bar habituel, elle venait de tout raconter. Elle se sentait mieux à présent. Déculpabilisée.
Son mari lui était heureux d’avoir organisé cette expérience avec un escort boy pour le plaisir de sa femme et aussi pour le sien.
Elle fuma quelques cigarettes, prit une nouvelle consommation, avant de lancer :
— Je dois m’en aller, je te remercie d’être venu !
— Normal, répondit son mari, c’est à ça que sert la confiance dans notre couple !
Il se leva, Madame le suivit. Sur le trottoir, devant le bar, ils se quittèrent pour se retrouver le soir même et vivre ensemble cette fois leur plaisir.
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Jean
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