Attendre son escort boy à quatre pattes
Category:echangisme,tantriqueMadame la cinquantaine, les yeux bandés, est en train d’attendre son escort boy à quatre pattes sur le lit de sa chambre d’hôtel, elle tend son cul de femme . Son mari candauliste m’a donné des instructions ainsi que la clé et le numéro de la chambre. Monsieur veut que je sois seul avec sa femme. Il veut que je lui fasse vivre leurs fantasmes de plan à trois.
Je prends l’ascenseur et la rejoins dans la chambre, j’ouvre la porte et je m’avance vers le lit pour lui empoigner les fesses. Elles sont fermes et larges, elle n’a jamais été touchée par un autre homme que son mari. Elle frissonne nerveusement alors que je descends mes mains sur ses cuisses, je les écarte l’une de l’autre.
Sa chatte se révèle à moi, aussi juteuse et tentante qu’une pêche. Agenouillé sur le lit juste derrière elle, je caresse ses lèvres extérieures, je fronce les sourcils tant je suis concentré. Elle tourne la tête sans pouvoir me voir, se mordille la lèvre inférieure. Je ne dis pas un mot pour l’instant.
Elle essaie de ne pas faire de bruit, de faire semblant qu’elle n’a pas envie que je touche sa chatte, que je trouve son clitoris offert par son mari. Elle ne veut pas que je sache qu’elle est excitée. Mais le corps ne ment pas. Elle devient incroyablement humide et excitée alors que je joue avec sa chatte et masse son clitoris entre mes doigts.
En regardant sa chatte à ce moment précis, en caressant ses lèvres extérieures, je peux voir sa mouille. Elle ne peut pas me le cacher. Je ne suis pas intéressé par le fait qu’elle veuille ou non que je sache ce qui est si évident.
En me penchant en avant, sans la toucher d’aucune autre manière, je passe deux doigts sur la ligne de sa chatte et je trouve son clito. Elle baisse la tête et gémit doucement.
Le son de ses gémissements nourrit quelque chose de profond et de sombre dans mon âme. Ça me fait bander, et je pense aux bruits qu’elle va faire quand je la baiserai si fort qu’elle ne pourra plus marcher correctement.
Je fais des cercles autour de son clito du bout des doigts, en profitant du fait qu’elle se penche en arrière pour en avoir plus. Plus de contact, plus de friction. Son corps est gourmand, même si elle ne comprend pas encore pourquoi.
Elle fait des bruits de respiration, des petits oh de plaisir. Je jette la ceinture sur le côté et déplace mes doigts vers son entrée, la pénétrant d’un centimètre seulement.
— Oh-oh, oh mon Dieu, chuchote-t-elle. Je tends le cou pour regarder son visage et la voir se forcer à fermer les yeux. Elle est chaude et glissante contre mes doigts, et je réprime un gémissement.
Je me force à prendre mon temps, je veux lui donner envie de baiser. Quand elle voudra baiser, quand elle me suppliera de lui donner ma queue, là, ça vaudra le coup.
Je retire mes doigts et les enfonce à nouveau, plus profondément cette fois. Je les rentre et les sors, plus profondément à chaque fois jusqu’à ce que mes deux doigts soient aussi enfoncés que possible. Je croise les doigts à l’intérieur d’elle, en appréciant le son étranglé qu’elle émet.
Elle me recouvre la main de crème. Je sors de sa chatte, en me concentrant plutôt sur son clito. Elle s’agrippe au lit et se met à crier, mais je ne la laisse pas jouir. Je continue à la caresser lentement.
Je veux qu’elle soit au bord de l’orgasme, mais pas encore tout à fait. Je veux qu’elle en meure d’envie, qu’elle me supplie de mettre fin à ses souffrances. Et à en juger par la façon dont elle se mord la lèvre, rougissant et essayant de ne pas gémir, j’y suis presque.
— Je ne te laisserai pas terminer comme ça, lui dis-je, en lui pétrissant le cul avec ma main libre. Il n’y a rien pour moi là-dedans.
Elle me regarde, les yeux suppliants :
— Ah non ?
Je secoue la tête.
— Non.
En continuant mes caresses indolentes autour de son clito, je ralentis encore davantage la cadence. Elle émet un son contrarié.
— S’il vous plaît ? demande-t-elle.
— S’il vous plaît quoi ? Je demande, en me concentrant sur son cul parfait.
— S’il vous plaît, laissez-moi… ou faites-moi… dit-elle, trébuchant sur le dernier mot. Vous savez.
— Pas comme ça, je réitère.
— S’il vous plaît ? Je vais… Je vais vous aider…
Elle gémit.
— Quoi ? En me taillant une pipe ?
Je glisse à nouveau mes doigts dans son entrée, en la taquinant. Même si cela semble être une bonne idée, j’ai en tête quelque chose de bien mieux.
Je vois les pièces du puzzle se mettre en place.
— Vous voulez…
— Te baiser ? Oui. En pressant ma queue dure contre son cul, je nous fais gémir légèrement tous les deux. Je pensais que c’était évident.
Ses yeux se ferment quand je lui donne de nouveau des coups de reins dans le cul. Elle devient de plus en plus impatiente, comme je le voulais.
— Tu devrais te tourner à nouveau, pour que je puisse voir ton visage quand je vais te faire jouir, lui dis-je en baissant la voix. Je peux toucher tes nichons pendant que je défonce tout ton corps. Tu n’as qu’à dire oui.
Je lui enfonce mes doigts tout doucement en poussant ma queue contre son cul. Elle ouvre les yeux et me regarde. Je peux voir la douleur que je lui cause, affichée sur son visage.
Elle hésite pendant une longue seconde, puis me fait un petit signe de tête.
Oui. Ce petit mouvement, son signe d’acquiescement, est exactement ce que j’attendais. Je retire mes doigts de son corps et m’éloigne du lit, j’enlève ma chemise et je défais la fermeture éclair de mon pantalon.
Ma queue n’a jamais été aussi dure qu’en ce moment, à regarder cette femme soumise au désir de son mari. Sans vouloir attendre une seconde de plus, je l’attrape et la retourne sur le dos.
À genoux devant elle, je lui écarte les cuisses. Je saisis ses seins pendant une seconde, provoquant un petit piaillement des lèvres de Madame. Puis je baisse les yeux, je saisis ma queue et la place contre son entrée. Sa chatte humide et juteuse crie mon nom.
Je regarde le magnifique visage de Madame, la coloration de ses joues, la façon dont elle se mord la lèvre. J’enfile un préservatif et j’appuie le bout de mon énorme gland contre sa chatte, je l’enfonce juste un peu. Je serre les dents tandis que sa chatte s’agrippe à ma queue.
— Putain ! dit-elle, le souffle court et les yeux écarquillés.
Je me retire et m’enfonce à nouveau, cette fois-ci jusqu’au fond. Elle fait un bruit étouffé, mais elle ne bronche pas. Sa chatte est comme de la soie chaude, elle trait déjà ma queue au maximum.
Je fais des va-et-vient en pétrissant un de ses seins. Elle ronronne sous le poids de mon corps, sa main vient se poser sur mon dos. Je lui remonte les jambes, ce qui rend sa chatte encore plus serrée. Je me penche en avant et lui mordille le cou, la faisant ainsi légèrement descendre du lit.
—Oh, chuchote-t-elle. Oh… n’arrête pas…
Je prends mon temps car je veux que Madame apprécie ce moment et me supplie de la laisser jouir.
Surtout parce que je veux qu’elle sache que nous avons baisé uniquement parce qu’elle a accepté… mais aussi parce que je ne veux pas que ce soit la seule fois où nous baisons. Je veux qu’elle implore son mari de venir chez eux, en étant prête à me présenter sa chatte. Je veux qu’elle meure d’envie de se faire baiser.
Alors, je me penche en arrière et glisse ma main entre nous, trouvant son clitoris. Elle devient encore plus réceptive lorsque je fais le tour de son clito avec le bout de deux de mes doigts.
Je la martèle avec ma queue et je commence vraiment à transpirer, ma respiration est saccadée.
— Oh… oh… oh, pitié, supplie-t-elle, en essayant de bouger avec moi pendant que je la défonce. Continue comme ça…
Je la sens s’enrouler comme un serpent prêt à frapper, sa chatte se contractant en rythme régulier avec mes coups de reins. Je lui pince le clito, et sa chatte convulse, son visage est euphorique.
Je lui donne une claque sur le cul avec ma main libre. Je la retourne pour qu’elle soit sur les coudes et les genoux, le cul en l’air. Je ne peux pas voir son visage de cette façon, mais je peux entendre le bruit qu’elle fait en respirant. En la regardant comme ça, son cul parfait si bien exposé, sa chatte ouverte.
Elle tremble devant moi, juste au bord de l’orgasme. Je m’approche d’elle, le bout de ma queue lui touche le cul. Elle gémit tandis que tout son corps se contracte.
— Tu vas jouir, maintenant. Tu es une très, très vilaine fille.
Elle reste immobile pendant une seconde comme si elle avait le choix. Puis elle commence à crier en jouissant:
— Oh… oh… oh mon Dieu… oh…
Aussi vite que cela, je perds le contrôle de moi-même, je la retourne et j’arrache mon préservatif pour faire gicler mon sperme sur son cul. Je me presse contre son cul à plusieurs reprises, en m’assurant que chaque goutte est bien sortie de ma queue. Enfin j’enfourne ma queue dans sa bouche pour qu’elle nettoie ma queue avec sa gorge.
Puis je rentre ma queue dans mon pantalon, en admirant les traces de sperme que j’ai laissées sur son cul. Je laisse les yeux encore bandés et je quitte la chambre pour retrouver son mari au bar. Il la retrouvera ensuite pour la souiller à son tour.
Madame confirmera ensuite à Monsieur qu’elle aime attendre son escort boy à quatre pattes avec la complicité de son mari.
♥️♥️♥️