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Escort boy pour femmes : experts de l’accompagnement sur-mesure

Escort boy pour femmes : experts de l’accompagnement sur-mesure. Marion n’aurait jamais cru qu’un escort boy puisse la désirer assez pour enfreindre son sens des convenances et ses tabous. Aucun gigolo avant lui ne l’avait désirée à ce point. Elle se leva et contourna la table pour le rejoindre, emplie d’une merveilleuse sensation de puissance de vivre une aventure libertine avec un homme escort à son total service.

Elle passa un bras autour de sa nuque et l’embrassa lentement, se contentant d’effleurer légèrement ses lèvres avant de faire courir la pointe de sa langue sur sa lèvre inférieure.

Jean la prit par la taille. Sans réfléchir, elle l’enjamba, s’assit sur ses genoux et pressa son entrejambe contre lui. Son sexe était dur et elle se frotta à lui.

Leur baiser s’intensifia et Marion se sentit soudain submergée par le désir. Jean passait la main dans ses cheveux pour serrer son visage contre le sien comme s’il avait voulu la dévorer. La puissance de son bras autour de sa taille était enivrante, la force du désir qui émanait de son corps viril, si grand par rapport au sien, la faisait se sentir délicieusement petite et désirable.

Marion prit appui sur le sol de la pointe des pieds et souleva le poids de son corps. Les bras de Jean relâchèrent lentement leur étreinte, elle s’écarta de lui et regagna sa place. Elle prit ses couverts en main, s’apprêtant visiblement à finir son assiette.

Son amant parcourut rapidement la feuille et son attention fut attirée par le script figurant au milieu. Jean n’avait jamais pratiqué d’activités sexuelles comportant un code de sécurité. Il croisa son regard et y lut une telle attente qu’il se souvint des efforts qu’elle avait déployés pour la réussite de cette soirée.

Elle sourit et l’incita d’un geste à se rendre dans la chambre. Une multitude de bougies éclairaient doucement la chambre, et le lit avait été converti en divan de pacha. Des étoffes aux teintes mordorées recouvraient le matelas, et des oreillers étaient entassés de façon à former les accoudoirs et le dossier d’un nid d’amour exotique. Sur un carré d’étoffe bleu roi, Marion avait déposé un turban de satin rouge orné d’un faux diamant et surmonté d’une petite plume dorée.

Jean souleva le turban, alla jusqu’au miroir et le planta sur son crâne. Il secoua la tête, regagna le divan et s’efforça d’adopter une position confortable, les bras posés sur le dossier, les jambes allongées devant lui, chevilles croisées.

L’homme de compagnie ferma les yeux pour s’abstraire du décor qui l’entourait, et une mélodie lui parvint depuis le salon. Il connaissait cet air. Au bout de quelques mesures, il mit un nom dessus. C’était l’air du jeune prince et de la princesse extrait du Schéhérazade de Rimski Korsakov.

Jean ouvrit les paupières au moment où elle s’élançait dans la chambre et atterrissait à quatre pattes au pied du lit. Son costume devint plus clair à ses yeux : un soutien-gorge et une culotte coordonnée fuchsia, auxquels étaient attachés plus d’une dizaine de foulards en soie.

Puis Marion se releva et se mit à onduler doucement au rythme de la musique. Elle leva les bras au-dessus de sa tête, se hissa sur la pointe des pieds et entreprit de tournoyer à travers la chambre, s’efforçant d’imiter des postures de ballet classique.

Elle se pavanait en cercle, puis s’arrêtait devant lui et faisait aller et venir ses hanches d’avant en arrière. Elle faisait serpenter ses bras autour d’elle, et les mouvements de son buste évoquaient un boa constrictor avalant un gros animal. Inventait-elle tout cela au fur et à mesure, ou bien avait-elle payé un quelconque professeur de danse ?

Son séducteur était sur le point de lui dire que le maître avait envie de passer à autre chose, quand elle dégrafa un foulard de son costume et le laissa tomber par terre. L’opération révéla un des bonnets de son soutien-gorge garni d’une ouverture centrale qui découvrait le mamelon.

Le regard rivé à ce mamelon émergeant de l’étoffe rose vif, Jean oublia de lui demander d’arrêter.

Un autre voile atterrit par terre, révélant une cuisse. La courbe du dos apparut, suivie des fesses. Marion dansait entre chaque effeuillage, et ses mouvements de plus en plus suggestifs émoustillaient Jean tout en prolongeant la révélation de son corps. Bientôt, elle ne porta plus rien d’autre que ses sous-vêtements, le voile qui masquait son visage et un foulard accroché à l’élastique de sa culotte qui recouvrait son entrejambe.

Le regard de Jean allait de ses mamelons à ce dernier pan de tissu, sans parvenir à décider ce qui était le plus excitant.

Finalement, elle décrocha le dernier voile et le laissa tomber par terre. La culotte était garnie d’un petit ruban, et Jean réalisa qu’elle s’ouvrait au niveau de l’entrejambe. Il suffisait de tirer sur le ruban pour qu’elle s’ouvre complètement. Marion effleura la culotte de sa main et il retint son souffle, prêt à la révélation finale.

Elle écarta sa main sans avoir défait le nœud.

Jean Escort boy pour femmes : experts de l’accompagnement sur-mesure présentait une splendide érection, et ce ruban était devenu une fixation. Il voulait qu’elle le dénoue. Il voulait qu’elle écarte la dentelle, qu’elle l’enfourche, qu’elle s’empale sur lui et le chevauche fougueusement. Il voulait sucer les pointes de seins qui dardaient des fentes du soutien-gorge, la sentir cambrer le dos et l’entendre gémir de plaisir.

Elle amena lentement la main au niveau de son entrejambe et saisit une des extrémités du ruban. Elle tira dessus et la boucle du nœud rétrécit. Lorsqu’elle fut sur le point de se dissoudre, elle s’arrêta et laissa retomber sa main. Elle fit basculer ses hanches en l’arrière dans un mouvement de pudeur.

Elle s’avança lentement et s’arrêta à un pas de lui. L’homme escort tendit la main et tira sur le nœud. Parfaitement immobile, Marion se laissait faire. La boucle se dénoua et Jean effleura du bout des doigts le mont de Vénus drapé de dentelle. La danse avait recouvert son corps d’un voile de chaleur moite. Il l’effleura encore et sentit le relief de la dentelle sous ses doigts.

Marion hésita, puis écarta légèrement les pieds, juste assez pour lui permettre de glisser deux doigts entre ses cuisses. Elle se pressa contre sa main et retint sa respiration. Ses doigts glissèrent vers la source de chaleur, remontèrent doucement, s’appliquant à écarter progressivement la dentelle pour s’immiscer en elle.

Marion haletait à présent, et son excitation ranima celle de Jean. Il appuya doucement la main sur son mont de Vénus, maintenant le bout des doigts au creux de ses lèvres, et ses hanches répondirent aussitôt. Un petit bruit étranglé remonta le long de sa gorge. Elle s’écarta soudain, puis recula de plusieurs pas. Jean prit appui d’une main sur le lit pour se lever, tout en retenant son turban de l’autre, et se lança à sa poursuite. Ses doigts frôlèrent les fesses nues de Marion lorsqu’elle franchit le seuil de la chambre.

Dans le salon, il l’attrapa par la taille. Elle s’immobilisa un instant, dos à lui, le souffle court, et l’autorisa à remonter les mains jusqu’à ses seins dont il pinça les pointes entre ses doigts. Une de ses mains glissa ensuite sur son ventre pour recouvrir son sexe. Marion ploya le buste en arrière. Jean glissa la main dans son soutien-gorge et caressa le galbe de ses seins, puis ôta la bretelle de son épaule pour le dévoiler entièrement.

Elle lui échappa une fois de plus, traversa la pièce comme une flèche et dégagea son bras de la bretelle. Elle se tourna vers lui et lui fit face, un sein à l’air, puis tenta une feinte vers la droite.

Jean suivit le mouvement et elle en profita pour fuir de l’autre côté, en direction de la salle de bains.

Il la poursuivit et encercla sa taille avant qu’elle ait pu atteindre ce sanctuaire. Elle pivota sur elle-même entre ses bras et le repoussa, feignant de vouloir lui échapper. Jean resserra son étreinte en plaquant une paume sur ses fesses et l’attira contre lui. Il fit glisser l’autre bretelle du soutien-gorge le long de son bras, passa la main dans son dos et le dégrafa. Le soutien-gorge tomba, révélant la pâleur de sa poitrine que les marques rose vif laissées par les bretelles intensifiaient encore.

Jean approcha la bouche du galbe de ses seins pour l’effleurer des lèvres. Elle se débattit et éleva un genou au niveau de sa hanche, comme si elle cherchait à échapper à son étreinte, livrant ainsi accès à son entrejambe. Les doigts de Jean entrèrent en contact avec la moiteur de son sexe et écartèrent habilement la dentelle. Il introduisit cette fois sans hésitation un doigt sur la moitié de sa longueur.

Elle se raidit, et les mains qui avaient cherché à le repousser s’agrippèrent fermement au tissu de sa chemise. Elle releva son visage voilé et ses grands yeux sombres s’écarquillèrent quand elle croisa son regard. Tout en faisant aller et venir son doigt en elle, mais sans chercher à l’enfoncer plus profondément, Jean soutint son regard. Il sentait son cœur palpiter follement dans sa poitrine et regardait ses longs cils s’abaisser lentement. L’effort de la poursuite avait accru son désir.

Elle lâcha sa chemise, serra les poings et les utilisa pour tenter de se dégager. Ils luttèrent un moment, mais les efforts de Marion étaient plus convaincants cette fois, et la crainte de lui faire mal força Jean à lui rendre sa liberté.

Jean courut derrière elle et franchit le seuil avant qu’elle en ait eu le temps, mais son turban se trouva déséquilibré dans la foulée et chuta lourdement sur le sol. Il tendit le bras pour attraper Marion mais elle s’éloigna, ramassa un foulard par terre et le lui lança.

Il le saisit au vol et avança vers elle. Tous deux respiraient bruyamment, à présent. Le voile qui dissimulait son visage faisait d’elle une créature inconnue, une femme qu’il n’avait jamais rencontrée. Il s’était complètement investi dans leur jeu et la course-poursuite à laquelle ils s’étaient livrés avait réveillé son instinct primitif. Toute lucidité l’avait abandonné, et il n’y avait plus que le foulard de soie qu’il tenait à la main pour lui rappeler ce qu’il avait à faire avant de la pénétrer.

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Lorsqu’elle vit que Jean était décidé à s’emparer d’elle coûte que coûte, Marion ressentit une violente poussée d’adrénaline.

Une sensation voisine de la panique l’envahit et elle éprouva l’instinct de fuir – le réflexe de la bête traquée. Elle savait qu’il suffisait de prononcer un seul mot pour l’arrêter, mais il y avait quelque chose de délicieux à être poursuivie. Elle voulait avoir peur, se sentir dominée et possédée – dans les limites du jeu auquel ils jouaient.

Il s’avança vers elle et son visage reflétait la satisfaction du loup qui a piégé sa proie. La gorge nouée, Marion tenta une sortie désespérée. D’un bras, Jean la saisit par la taille et la souleva. Elle chercha à se libérer de son étreinte, mais elle comprit qu’il était trop fort et qu’elle ne pourrait se libérer que s’il l’y autorisait.

La fermeté de sa prise augmenta sa panique et elle se mit à lui donner des coups de coude. Jean la relâcha. Elle s’échappa de la chambre. Elle alla se poster dans l’entrée, haletante, attendant qu’il se lance à sa poursuite, effrayée à l’idée qu’il le fasse.

Comme il ne se décidait pas à franchir le seuil de la chambre, elle retourna sur ses pas sur la pointe des pieds. Elle ne le voyait pas. La musique et le bruit de sa respiration l’empêchaient de le repérer à l’oreille. Elle s’approcha un peu plus et se pencha en avant pour inspecter la chambre. Pas la moindre trace de Jean.

Elle regarda par-dessus son épaule, certaine qu’il était derrière elle. Au même instant, une main se referma sur son poignet et elle émit un hurlement de terreur. Jean la poussa dans la chambre et avant qu’elle ait eu le temps de comprendre ce qu’il faisait, il avait attaché ses poignets avec le foulard. Elle amorça un geste de résistance, mais il la souleva dans ses bras, la déposa sur le divan et défit la boucle de sa ceinture.

Marion se retourna sur le ventre et rampa à l’autre bout du divan, escaladant les entassements de coussins et d’oreillers.

Elle sentit la poigne de Jean se refermer sur sa cheville et la tirer lentement vers le bord du lit. Elle étendit ses mains entravées, cherchant à s’agripper à quelque chose qui ralentirait sa glissade, mais les montants de cuivre étaient hors d’atteinte.

Il la tira jusqu’à ce que la moitié de ses jambes dépasse du lit et lui ôta sa culotte. Marion demeura immobile, les joues contre le matelas, les bras devant elle. Ses cheveux obscurcissaient son champ de vision, et elle ne parvenait à distinguer que les ombres projetées par la lueur des bougies et les oreillers qui se trouvaient près d’elle.

Les mains de Jean remontèrent le long de ses cuisses pour caresser ses fesses. Ses paumes flattèrent ses reins, ses hanches et la face interne de ses cuisses, jusqu’à pratiquement effleurer son sexe. Il la fit glisser davantage sur le lit et elle dut plier les genoux. Sa taille se trouvait à présent au niveau du bord du lit.

Elle sentit qu’il écartait doucement ses jambes et elle obéit à cet ordre silencieux. Un courant d’air frais passa sur son sexe offert et, gênée, elle ferma les paupières et blottit son visage au creux de son bras.

Les mains de Jean Escort boy pour femmes : experts de l’accompagnement sur-mesure se posèrent sur ses hanches et elle sentit l’extrémité de son sexe aller et venir le long de sa fente, de plus en plus moite. Il fit glisser son sexe entre ses lèvres humides sans la pénétrer, jusqu’à ce que ses hanches touchent ses fesses.

Un gémissement remonta dans la gorge d’Marion quand il régla chacune de ses poussées de façon que l’extrémité de son sexe effleure son clitoris. Elle bascula les reins en arrière et accorda son rythme au sien. Jean fit remonter sa paume pour lui caresser les seins.

Il recula, plaça un gros oreiller sur le lit et la fit allonger dessus, sur le dos. Il écarta ses cuisses et elle sentit qu’il la pénétrait lentement, la possédant par poussées progressives. Il s’y appliquait sans prononcer un mot, comme s’ils étaient de parfaits étrangers.

Lorsqu’il la pénétra, prenant appui sur ses bras tendus, Marion enroula instinctivement les jambes autour de sa taille et appuya la plante de ses pieds l’une contre l’autre pour lui permettre de la pénétrer plus profondément.

Jean murmura son prénom tout en la besognant, l’angle de son corps permettant à l’extrémité de son sexe de caresser son point sensible. Un miaulement jaillit de la gorge de Marion qui chercha vainement à accorder son rythme au sien. Elle ne pouvait rien faire de plus que s’agripper. Jean la dominait de toute sa puissance.

Pour la première fois de sa vie, un orgasme lié à la seule pénétration monta en elle, exactement comme elle l’avait souhaité. Jean était vraiment un homme à part, un Escort boy pour femmes : experts de l’accompagnement sur-mesure.

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