Tag Archives: triolisme

  • 0
Triolisme Candaulisme et Ménage à trois

Triolisme Candaulisme et Ménage à trois

Category:candaulisme,escort boy,triolisme Tags : 

Monsieur se réveilla lentement, réalisant qu’il faisait encore noir dehors et ne sachant pas exactement où il était. Il pouvait sentir sa femme contre lui, le dos tourné vers lui. Et, il y avait une troisième personne dans le lit avec eux, de l’autre côté de sa femme; elle était prise en sandwich entre eux. Ils venaient de vivre une nuit de triolisme candaulisme et Ménage à trois.

nuit de triolisme

nuit de triolisme

Au premier moment, Monsieur ne se souvenait plus qu’ils avaient fait la fête avec un escort boy la nuit précédente. Alors que ses yeux s’adaptaient à l’obscurité, il a vu que Jean avait un des seins de ma femme en coupe dans sa main. Elle était éveillée également, embrassant l’escort boy à pleine bouche. Tout est finalement revenu dans sa mémoire, son arrivée à leur appartement, leur trio au lit, l’escort boy qui prenait son épouse, et lui appréciant la vue de sa grosse queue massive poussant en elle.

La main de Monsieur a glissé entre les jambes jusqu’à sa chatte. Il pouvait sentir son humidité. L’escort boy l’avait baisée plusieurs fois qu’il n’avait pas compté pendant la soirée. Alors qu’elle avait sucé leurs deux sexes tout au long de la nuit, sa chatte a été explorée uniquement par l’escort boy. La virilité de ce gentleman du plaisir féminin alors qu’il s’enfonçait dans sa gorge profondément lui revint en mémoire.

Elle était complètement réveillée maintenant et Monsieur lui chuchota; « Bébé, joue avec lui, fais-le bander …. Bébé, fais-le, caresse sa bite jusqu’à ce qu’il soit dur, je veux le voir te prendre, encore et encore », susurra Monsieur. Elle a pris le sexe de son escort boy dans sa main et elle a commencé à le caresser. Il a durci rapidement, son sexe est devenu à nouveau énorme.

Mais revenons en arrière quand Madame et son mari ont décidé de vivre une rencontre sexuelle inoubliable avec un autre homme. Ils en avaient déjà parlé, ajoutant une troisième personne à leurs aventures sexuelles. Leurs conversations se concentraient généralement sur un autre homme. C’était l’un des fantasmes de Madame, avoir deux hommes pour la satisfaire, et elle savait que son mari était particulièrement excité à l’idée qu’elle apprécie la virilité d’un autre homme.

Plus récemment, Leur fantasme commune était devenu plus détaillé, l’autre homme étant un gentleman avec un sexe plus gros que celui de Monsieur. Ils commençaient souvent leurs ébats amoureux en se décrivant comment un tel scénario se déroulerait et, alors que Monsieur enfonçait son sexe dans la chatte implorante de Madame, il lui disait de fermer les yeux et d’imaginer que c’était un autre homme qui la baisait . Elle était toujours excitée à l’idée de baiser un professionnel du plaisir féminin. Tout comme pour son mari. Cela semblait toujours ajouter une secousse nécessaire à leurs ébats amoureux. Ils avaient vraiment envie de expérience de triolisme Candaulisme et Ménage à trois

Cette soirée était une nuit d’été particulièrement chaude à Paris. Madame venait de sortir de la douche, essayant de garder son calme. Elle s’est séchée et a tout aussi rapidement frotté un gant de toilette humide sur son visage et sur ses seins. Madame avait la cinquantaine, elle avait un grand corps rond avec un cul rond pour aller avec ces beaux seins. Quelques kilos en trop lui convenaient très bien.

Elle avait enfilé un soutien-gorge push-up noir, un haut transparent transparent et une mini-jupe en cuir, malgré la chaleur. Elle a terminé de s’habiller en complétant son ensemble avec une paire de culottes sans entrejambe, un porte-jarretelles, des bas et des talons compensés de dix centimètres.

Monsieur avait organisé la venue d’un escort boy à leur appartement afin de vivre ce fantasme en vrai, il savait que Madame se ravit de cette expérience dont ils parlaient si souvent.

Leur nouvel ami est arrivé avec un bouteille de champagne et des fleurs. Puis Madame a saisi sa main et l’a conduit dans leur chambre. Elle tenait la porte de la chambre ouverte et il a souri chaleureusement, alors qu’elle lui faisait signe d’entrer. Puis il a tiré Madame vers lui, prit ses deux seins en coupe avec ses mains et les a embrassé avec envie. Elle a répondu avec ses lèvres et sa langue. Ils sont restés dans l’embrasure de la porte de la chambre pendant quelques minutes, s’embrassant et se caressant. La main de Madame s’est dirigé vers l’entrejambe de l’escort boy et elle a senti le renflement dans son pantalon.

Madame s’est dirigé vers l’entrejambe de l’escort boy

Madame s’est dirigé vers l’entrejambe de l’escort boy

Elle semblait vraiment beaucoup plus grosse que celle de Monsieur et Madame poussa un soupir de contentement. Leur nouvel ami portait le prénom de Jean. L’escort boy allait pouvoir donner à Madame tout ce dont elle rêvait et plus encore. Si, ça te va. » J’ai hoché la tête oui, sachant quelle serait la réponse de Madame.

Il entrèrent dans la chambre et restèrent une minute à s’adapter à la pièce sombre. La seule lumière provenait de quelques bougies, sinon la chambre était dans l’obscurité. L’expérience de triolisme Candaulisme et Ménage à trois allait commencer.

L’escort boy avait un bras sur les épaules de Madame, l’autre jouant avec ses seins. De temps en temps, ils s’embrassaient. Madame décida de faire un petit spectacle pour son mari et a enlevé son chemisier et son soutien-gorge et lui a donné les deux. Elle se mordait les lèvres quand elle déboucla et enleva le pantalon de l’escort boy car sa grosse queue était tellement belle, grosse et dure.

Madame se mit à genoux, se pencha et agrippa le sexe l’escort boy des deux mains. Son mari avait une vue complète de ses seins, avec son cul et sa chatte à peine cachés par sa culotte. Sa mini-jupe remontait autour de ses hanches; son porte-jarretelles, ses talons hauts et ses bas accentuaient la situation.

Elle a pris le gland de l’homme qu’elle ne connaissait pas dans sa bouche. Il était si grand qu’elle se demandait si elle serait capable de le sucer complètement. Le gentleman a saisi sa tête avec ses deux mains et la força à se baisser davantage. Elle a failli s’étouffer, puis elle s’est détendu et a pris au moins la moitié de sa longueur dans sa gorge.

Monsieur observe sa femme en train de donner du plaisir à son escort boy

Monsieur observe sa femme en train de donner du plaisir à son escort boy

Son mari se penchait, pour mieux voir. Il lui a demandé d’écarter un peu plus les jambes pour mieux voir sa chatte mouiller. Elle a fait ce qu’il demandait, lui donnant une vue dégagée de sa culotte noire.

Son mari pouvait entendre son souffle dans des halètements rapides alors qu’elle continuait à sucer la grosse queue de son escort boy. Monsieur avait sorti sa verge et se caressait doucement. Les jambes de Madame étaient maintenant complètement écartées et sa jupe relevée avec l’ourlet presque autour de ses hanches. Monsieur regardait attentivement, il pouvait distinguer le mince rectangle de la chatte bien taillée de Madame. Il a senti sa verge se tendre. Il était tellement excité par ce spectacle hautement érotique qu’elle lui donnait.

Sa main glissa entre ses cuisses ouvertes et effleura la chatte de sa femme et il pouvait sentir la chaleur brûler ses doigts. Il devait aller plus loin. Un doux gémissement s’échappa des lèvres de sa femme. Il glissa ses doigts sous le bord de sa culotte et la tira lentement sur le côté, exposant sa chatte scintillante.

Son mari lui ordonna de se toucher. Elle l’ignora, tellement concentré avec ses deux mains pompant la tige de l’escort boy alors qu’elle continuait de le sucer. Son mari insista. Elle glissa une main vers sa chatte, son doigt effleurant doucement et frottant son clitoris en érection. Elle laissa échapper un gémissement silencieux en insérant deux doigts dans sa chatte.

À peu près à ce moment-là, l’escort boy a déchargé, dans la bouche de Madame. Elle n’avait jamais aimé sucer la virilité de son mari pendant qu’il jouissait mais son attitude avait changé avec cet escort boy qui l’excitait tellement. Elle a pompé plusieurs décharges dans sa bouche, qui ont coulé sur son visage et sur ses seins.

Madame était épuisée, ayant sucé la bite de son escort boy jusqu’à son terme, pas une fois, mais plusieurs fois. Puis elle a ramassé son chemisier et son soutien-gorge, Monsieur l’a accompagnée jusqu’à la salle de bain pour l’aider à se nettoyer.

Madame est sortie de la salle de bain, ses cheveux maintenant peignés et l’élixir du gentleman nettoyé de son visage et de ses seins. Son soutien-gorge et le chemisier était de retour.

Leur gentleman en avait profité pour ouvrir la bouteille de champagne et servi 3 verres. Ils parlèrent de tout et de rien. De la vie aventureuse de l’escort boy et de ses nombreuses rencontres. Son expérience de triolisme Candaulisme et Ménage à trois.

Puis les mains de l’escort boy se posèrent de nouveau sur le corps de Madame. Une main est allée à sa chatte; l’autre main glissa jusqu’à sa poitrine, la massant fermement. Elle tourna la tête vers lui et ils s’embrassèrent. Entre ses doigts, son téton se durcit lentement, passant à travers le tissu de son soutien-gorge et de son chemisier.

les mains de l’escort boy se posèrent de nouveau sur le corps de Madame

les mains de l’escort boy se posèrent de nouveau sur le corps de Madame

Elle déboutonna son chemisier et le laissa tomber au sol. Le soutien-gorge est venu ensuite. Ses seins émergèrent, pleins et mûrs et gonflés d’excitation, ses tétons durs comme la pierre. Vint la minijupe, puis sa culotte. Elle se tenait devant eux, nue, ne restait que son porte-jarretelles, ses bas et ses talons.

Jean complimenta Monsieur sur la beauté de Madame et sur combien il avait de la prendre de nouveau. Monsieur l’invita à poursuivre heureux que Madame lui plaise. Jean l’attira contre lui, le dos à lui, et glissa de nouveau ses mains sur son corps. Cette fois, il touchait la peau nue. Elle était un peu nerveuse mais il allait bientôt la réchauffer. Ses mains tournaient en rond, soulevant et abaissant paresseusement ses seins. Son mari imaginait comment ses tétons durs devaient se sentir lorsqu’ils effleuraient ses paumes.

L’escort boy posa ses mains sur ses épaules et la tourna pour qu’elle lui fasse face, dos à son mari. Il se déshabilla rapidement, jetant sa chemise et son pantalon. Son sexe était complètement rasé, dressé, raide..

Son mari n’avait jamais vu un sexe aussi gros auparavant. Il était au moins deux fois plus épais que le sien et il était long. À la base se balançaient deux boules lourdes qui étaient nettement plus grosses que les siennes.

Son mari voulait voir ce gentleman écarter la chatte de sa femme et plonger en elle jusqu’aux boules. Elle s’assit au bord du lit puis se coucha sur le dos. Quand l’escort boy monta sur le lit, la vue de leurs deux corps était électrisante. Un rêve de triolisme Candaulisme et Ménage à trois.

L’escort boy a pris les chevilles de sa femme dans ses mains et les a soulevées, les écartant largement et poussa ses genoux. Monsieur a regardé la chatte s’ouvrir à eux. Il pouvait voir son entrejambe suinter d’envie. Elle était allongée là à regarder son mari dans les yeux tandis que l’homme inconnu s’approchait, la respiration de Madame était de plus en plus rapide.

Son mari lui ai massé les seins, il s’est penché en avant et l’a embrassée, puis lui ai dit combien il avait envie de voir cet homme la prendre. Elle lui murmura qu’elle aussi. L’escort boy se baissa entre ses jambes écartées; son sexe lui effleura la cuisse et elle haleta. Alors qu’il se déplaçait complètement pour se mettre en position, il approcha son sexe de sa féminité. Il poussa ses hanches vers l’avant. Le bout de son énorme sexe s’enfonça, jusqu’à son point le plus large.

Madame prit une inspiration tellement elle avait besoin d’oxygène

Madame prit une inspiration tellement elle avait besoin d’oxygène

Madame prit une inspiration tellement elle avait besoin d’oxygène. Il a poussé plus loin. Le gland l’étirait de plus en plus. Elle gémit, et émit un cri de plaisir. Et puis l’escort boy s’enfonça en elle, sa chatte serrée autour de sa queue, tendue à sa limite.

L’escort boy se baissa sur ses avant-bras et commença à pousser, Madame d’avant en arrière. Chaque coup de boutoir faisait gémir Madame. Des gémissements de plaisir. Chaque fois qu’il poussait, ses seins rebondissaient et roulaient sur sa poitrine. Et à chaque poussée, il s’enfonçait un peu plus en elle.

Son mari regardait, poussée par poussée, sa femme était inexorablement remplie. L’escort boy bougea de nouveau ses mains, les mettant sur ses épaules, maintenant. Il poussa plus fort, plus vite, poussant de plus en plus en elle, ses seins rebondissant entre eux.

Les mains de Madame étaient frénétiques contre les draps, les saisissant et les tordant pendant qu’il la chevauchait. La queue du gentleman touchait des endroits qu’elle n’avait jamais ressentis auparavant.

Des endroits où son mari ne l’avait jamais touchée. Il devait vraiment l’étirer avec cette énorme queue. Il se pencha et l’embrassa dans le cou, la mordillant, et elle jeta sa tête sur l’oreiller. Il appuya son bassin contre le sien et elle laissa échapper un autre gémissement alors que son sexe bougeait en elle. Et puis il se recula un peu et la regarda, attendant.

Au début, elle resta allongée là, s’habituant à sa taille en elle. Puis il y eut un petit mouvement de ses hanches. Elle commença à haleter et à l’implorer de continuer sa pénétration.

Gentleman du plaisir féminin

Gentleman du plaisir féminin

Jean regarda son mari. Il n’avait rien à dire. C’était sa femme qui le suppliait de la baiser. Et il n’était que trop heureux de lui faire plaisir. Il déplaça ses mains sur ses seins, utilisant ses genoux pour ne pas l’écraser, et commença à les serrer alors qu’il la baisait. Il était un peu plus bestial avec elle que Monsieur ne l’aurait été, et son mari été choqué de voir le plaisir jaillir sur le visage de sa femme comme réponse aux assauts du gentleman.

Ses poussées n’étaient que de quelques centimètres au début, mais elles se sont rapidement allongées. Son mari la regardait, transpercé, cette longueur glissante s’éloigner d’elle puis repartir en claquant. Jean la baisa de toute la longueur.

Puis Madame poussa un cri aigu et sa tête roula en arrière contre l’oreiller, son visage regardant au plafond. Ses yeux se plissèrent, le plaisir la submergeait. La virilité de Jean claquait en elle, maintenant, poussée après poussée, ses grosses boules claquaient contre son cul à chaque coup. Ses doigts s’enfonçaient profondément dans la chair douce de ses seins, ses pouces frottant ses tétons. Monsieur regardait attentivement. Elle allait jouir.

Jean accéléra, le lit tremblait. Madame le resserra encore plus en elle. Madame, non seulement baisée par un amant inconnu, mais le tirant vers elle. Soudain son corps se raidit, ses jambes le serrant fermement. Un spasme a traversé son corps, sa colonne vertébrale se cambrant au passage.

L’escort boy continua de pousser et, à la fin de chaque coup, Madame poussait un petit cri de plaisir en se pressant contre lui. Le visage de Madame n’était qu’à quelques centimètres de celui de son mari. Une vrai expérience de triolisme Candaulisme et Ménage à trois.

C’était tellement bon pour elle comme pour lui de vivre cette expérience avec ce gentleman du plaisir féminin.

La virilité de Monsieur avait été dure pendant tout le temps. Il a finalement recommencé à la caresser. Le rythme de l’escort boy s’est accéléré, même Madame poussa de nouveau des cris, puis de nouveau, Jean se penchait d’une main et pétrissait ses seins.

Le rythme de l'escort boy s'est accéléré

Le rythme de l’escort boy s’est accéléré

Son mari se caressait lui aussi maintenant alors qu’il entendait le gentleman grogner. Monsieur était lui aussi sur le point de jouir. Madame se tordait et tremblait, son orgasme se prolongeait.

Puis la virilité de Monsieur gicla dans sa main, envoyant de longues trainées d’élixir brûlant sur le ventre de sa femme tandis que Jean se vidait dans le préservatif tout au fond d’elle.

Enfin, le gentleman se retira. La chatte de Madame était béante. Elle était allongée nue sur le lit, respirant fort. Tout son corps était recouvert d’une fine couche de sueur et, son ventre et sa poitrine était recouvert du plaisir de son mari. Son mari avait laissé un autre homme baiser sa femme, juste devant lui pour son plus grand plaisir de candauliste.

Monsieur et Madame proposèrent à l’escort boy de passer la nuit avec eux dans ce ménage à trois dont ils avaient tant rêvé. Madame savait que cette nuit serait magique et pleine de surprise.

Elle se tourna vers Jean, et ils commencèrent à s’embrasser. Monsieur s’est déplacé contre son dos et l’a embrassé dans le cou et sur les épaules. Cette soirée de expérience de triolisme candaulisme et Ménage à trois a été passionnante pour eux deux et la nuit serait sans nulle doute tout autant torride.

***

Avez-vous des fantasmes à explorer ? Beaucoup de couples rêvent de certaines situations érotiques sans pouvoir les vivre. Vous êtes tous en droit de profiter de la compagnie d’un gentleman pour une expérience de triolisme Candaulisme et Ménage à trois.

L’escort boy qui traitera votre compagne comme une lady et ne jugera pas votre envie de sexe et de plaisir à trois sans lendemain pour vivre un fantasme. Un gentleman qui vous transportera dans la magie d’une soirée hors du temps en toute discrétion et en toute sécurité. Vous oublierez tous vos soucis et pourrez lâcher prise lors d’une expérience de divertissement unique dans un respect mutuel avec protection.

Au plaisir de vous séduire, de vous faire rire, de divertir votre couple. Mais avant tout faisons connaissance autour d’un drink sans engagement et je vous dirai tout ce que vous brûlez de savoir.

Au plaisir de faire votre connaissance pour cette expérience de expérience de triolisme candaulisme et Ménage à trois. Jean

☎ +33755186013
@ man.jean@yahoo.fr
🌐 https://escortboy.org/fr/rendez-vous/


  • 0
Plan à trois escort boy paris

Triolisme – Tentez l’expérience du plan à trois

Category:candaulisme,echangisme,triolisme Tags : 

Triolisme – Tentez l’expérience du plan à trois. La voiture nous déposa devant l’immeuble. Le pas de mon gentleman était pressé jusqu’à l’ascenseur. À peine les portes refermées, il se colla contre moi, ivre de désir, le regard sombre, les mains avides de mon corps. Ses mains étaient sauvages, il les glissa sous la veste de mon tailleur, malaxa mes seins sous la fine soie de mon chemisier, plongea une main dans mon décolleté à jabot. Je rejetai la tête en arrière, lui offrant ma gorge à dévorer.

C’était un animal, je sentis ses dents sur ma peau. Son bassin collé contre moi en disait long sur le désir qui le tenaillait. Il me pressait contre la paroi de la cabine autant pour m’emprisonner que pour ne faire qu’un avec mon corps. Nos halètements emplissaient toute la cabine, la température s’éleva de plusieurs degrés. J’avais chaud tant notre désir était brûlant. Mes tempes étaient moites, la sueur humectait l’empreinte de l’ange, au-dessus de ma lèvre supérieure, et maculait mon front. Le corps fiévreux de mon gentleman me transmettait sa rage. Sa bouche mangeait la mienne ouverte, nos langues combattaient avec fougue et à plusieurs reprises nos dents s’entrechoquèrent.

Deux hommes et une femme

Deux hommes et une femme

La sonnette annonçant que nous étions parvenus au dernier étage retentit et les portes s’ouvrirent. Mon gentleman s’écarta de moi, les cheveux en bataille tant mes mains les avaient malmenés. Ses yeux fous me convoitaient tel un bijou précieux ou une montagne de gâteaux à la chantilly. J’y lus autant de gourmandise que d’admiration. Triolisme – Tentez l’expérience du plan à trois.

Me prenant la main, mon escort boy me tira hors de la cabine. Mais nous n’allâmes pas bien loin, car il me colla aussitôt contre le mur du hall et reprit son festin fébrile de ma bouche et de ma gorge. Puis d’un geste sec, il tira ma veste au bas de mes bras, les contraignant derrière mon dos dans les manches tirebouchonnées, et je me livrai, impuissante, à son investigation de ma poitrine qu’il libéra d’un autre geste bref en détachant mon soutien-gorge.

Le jabot de mon chemisier béait sur mes seins découverts qu’il tenait dans ses mains, se baissant pour m’en lécher les pointes et les suçoter en alternance. Je poussai un grognement de plaisir et basculai mon bassin vers lui, me cambrant pour qu’il puisse avaler mes mamelons tout entiers. Sa salive était fraîche sur ma peau autrement torride. Le contraste de température et ses dents faisaient pointer douloureusement, mais si délicieusement, mes seins.

Il releva le visage et appuya une main contre le mur, près de ma tête, son autre main toujours posée sur un sein, dont mon escort boy titillait la pointe entre le pouce et l’index. J’entrouvris les lèvres mais ne parvins qu’à expirer de contentement, les yeux révulsés de plaisir. Triolisme – Tentez l’expérience du plan à trois.

Un autre gémissement de ma part, mais un petit sourire satisfait se dessina également sur ma bouche. Puis il se redressa à nouveau et plongea son regard dans le mien. J’avançai mes lèvres de manière aguicheuse, battant des cils pour exprimer mon trouble.

Un plaisir trioliste

Un plaisir trioliste

Il pressa son ventre contre le mien et je sentis son érection évidente forcer contre le tissu de son pantalon. Je fis tanguer mon bassin contre son érection. Je me penchai en avant pour que mes lèvres effleurent les siennes.

Malgré la veste qui m’entravait toujours, je parvins à poser une main sur son sexe bandé au travers du tissu. Il me fixa sans rien dire une seconde, puis me prit par le bras et me tira à sa suite. Je lui emboîtai le pas, obéissante. Triolisme – Tentez l’expérience du plan à trois.

Je ne sais pas ce qui m’attend, mais j’ai comme l’impression que ça va me plaire. Il m’entraîna dans le salon et s’arrêta près du canapé en cuir noir. Il se retourna vers moi et finit de me défaire tout à fait de ma veste qu’il jeta par terre. Puis il se débarrassa de la sienne, dénoua rapidement sa cravate qui suivit le même chemin que ma veste et la sienne. Il déboutonna les boutons supérieurs de sa chemise. Balança ses chaussures de deux coups de pieds, puis les chaussettes disparurent également.

Il fit tout cela sans me quitter des yeux. Je me tenais debout devant lui et ne bougeai pas, comme s’il avait émis l’ordre implicite que je devais lui obéir au doigt et à l’œil. Et parce que j’étais follement amoureuse de cet homme et que je le savais tout autant épris de moi, cette situation ne m’offusquait pas. Je trouvais même plutôt excitant ce mode relationnel inédit entre nous.

Pieds nus, en pantalon et chemise déboutonnée, mon escort boy me fit face et procéda ensuite à mon effeuillement. Il finit de défaire les boutons de mon chemisier qui vola comme une voile de bateau à quelques mètres de là. Le soutien-gorge connut une trajectoire moins gracieuse. Puis les mains de mon gentleman s’attaquèrent à mon pantalon qui tomba sur mes pieds.

Le plaisir du couple

Le plaisir du couple

Il empoigna mes fesses dans ses deux mains, s’approcha plus de moi. Là, la poitrine nue devant lui, le pantalon en vrac sur les chevilles et juste un string de dentelle noire, je ne pouvais que lui appartenir et me soumettre à ses désirs.

Il me fit basculer en arrière, avec précaution, sur le canapé. Je me reposai contre les coussins épais et moelleux qui parsemaient le divan. mon gentleman s’agenouilla pour ôter mes escarpins et le pantalon froncé sur mes pieds. Puis il attrapa les côtés de mon string et fit lentement, si lentement, glisser la lingerie le long de mes jambes.

Je soupirai de désir sous son regard sérieux et possessif. Ses yeux parcouraient la moindre surface de mon corps et ses mains, tout à l’heure si voraces, se firent plus douces quand, remontant le long de l’intérieur de mes cuisses, il les écarta sur mon jardin secret vibrant de désir.

Mon ventre se crispa et, de moi-même, je lui ouvris plus largement la voie vers mon plaisir. Je rejetai les bras au-dessus de ma tête, m’abandonnant complètement à sa merci. Je savais ce qu’il allait faire et mon escort boy posa à peine ses lèvres sur mon jardin secret que je fus prise d’un frissonnement incontrôlable.

Il commença par embrasser mon jardin secret à pleine bouche, entrouvrant les lèvres comme si c’était un fruit qu’il dégustait. Puis sa langue entra dans la danse, pointant par intermittence entre ses lèvres pour effleurer mon intimité.

Comme c’est doux, comme c’est bon. Sans se concentrer sur ce point hypersensible de mon jardin secret, il se mit à me laper du plat de la langue, de bas en haut, lentement d’abord puis plus vite et plus fort, sa langue s’immisçant en début de course à l’entrée de mon jardin secret, me donnant envie de plus. Ses doigts de part et d’autre de mon jardin secret l’ouvraient davantage pour faciliter son festin et, secouée par ce plaisir lent comme une torture, je crispai mes mains sur celles de Jean.

Soudain l’orgasme tendit tout mon corps sur le canapé. Je repliai mes jambes, resserrant mes cuisses autour du visage relevé de mon gentleman qui observait la jouissance me dévaster sans que ses doigts quittent mon jardin secret ruisselant.

Le visage sur le côté, les yeux clos, je refaisais lentement surface, mes mains à présent dans les cheveux de Jean. Jamais un homme ne m’avait donné autant de plaisir. Puis il se releva et me redressa en position assise sur le canapé en me tirant par les deux bras. J’avais encore la tête qui tournait de cette jouissance violente et soudain, je me retrouvai nez à nez avec l’érection de Jean, toujours prisonnière de son pantalon.

Il n’eut pas le temps de réagir. Je ne savais même pas si c’était ce qu’il attendait de moi mais c’était en tous les cas ce que j’avais envie de faire. Mes mains défaisaient son ceinturon et baissaient son pantalon, puis son boxer gonflé par son désir. Je devinai qu’il se débarrassait de sa chemise qui faisait obstacle à sa vue plongeante sur moi.

Il posa sa main sur mes cheveux, amoureusement, comme pour ne pas perdre pied, quand je pris son sexe entre mes mains pour lui enfiler un bout de latex et je le glissais dans ma bouche, le câlinant de la langue, resserrant mes lèvres autour de sa barre de fer tendue.

Une jouissance nouvelle

Une jouissance nouvelle

J’avais faim de lui, encore, malgré cet orgasme qu’il m’avait volé alors que je ne préférais rien de plus que son sexe en moi, que nos corps entremêlés et collés l’un à l’autre dans les caresses, que nos jouissances vibrant jusque dans la chair de l’autre.

Ma main coulissait sur sa virilité, ma bouche le couvrait et nos gémissements de désir se rejoignaient dans l’appartement autrement silencieux. Il me fit passer du canapé à la table basse toute proche, puis me bascula sur le plateau qu’il débarrassa d’un geste de la main de ses livres et autres télécommandes. Il tomba à genoux entre mes cuisses, ses deux mains maintenaient mes bras au-dessus de ma tête, fermement mais pas brutalement.

Il resta quelques secondes ainsi, son sexe posé tout contre le mien, son regard rivé au mien, son torse se soulevant, malmené par sa respiration entrecoupée. Il me pénétra d’un coup et j’étais tellement excitée, par sa voix, par notre jeu, par mon désir de lui, que je perçus l’amorce d’un nouvel orgasme. Qu’il étouffa aussitôt par les assauts répétés de ses coups de reins en moi, ses yeux toujours rivés aux miens.

Je le sentais fort et vainqueur en moi. Sa possession de mon corps était incontestable et délicieuse. Chacun de ses élans virils m’emplissait davantage et je voyais à ces traits qui se tendaient plus chaque fois qu’il approchait de la jouissance. Il plissa les yeux, il allait capituler.Triolisme – Tentez l’expérience du plan à trois.

Il écarquilla soudain les yeux, lâcha d’un coup mes poignets pour s’accrocher à ma taille. Et mon escort boy plongea une dernière fois en moi en arquant tout son corps, lançant un rugissement féroce et animal qui me fit tourner la tête.

Son bassin ralentit brusquement ses mouvements et il resta fiché en moi, sa virilité encore gonflée et présente. Enfoncé ainsi en moi, il se pressa plus fort contre mon jardin secret sans réellement bouger et, brutalement, mon ventre épuisé décocha une dernière salve de soubresauts alors que Jean, immobile au-dessus de moi, m’observait avec tendresse.

Quand je réussis à reprendre mes esprits et mon souffle, Jean, toujours en moi, se pencha pour caresser mon visage et essuyer de sa paume la sueur qui coulait sur mon front. Je ne m’étais jamais sentie aussi femme et jamais je n’avais pris autant de plaisir avec un homme. J’émergeais lentement sous la pluie de baisers qu’il déposait sur mon visage.

***

Voulez vous vous donner du plaisir à votre femme ? Dans un moment de pure sensualité, dans les bras d’un masseur expert du plaisir féminin sur mesure. Pourquoi vous privez vous de prendre du plaisir entre les mains d’un homme du monde qui vous traitera avec tout le respect que vous méritez et ne vous jugera pas d’avoir envie de vous détendre et d’évacuer votre stress en lâchant prise.

Laissez moi vous transporter dans la magie érotique du triolisme. Tentez l’expérience du plan à trois lors d’un massage sensuel ou d’une moment hors du temps en toute discrétion et en toute sécurité. Vous oublierez tous vos soucis et pourrez lâcher prise lors d’une expérience de divertissement pour adulte unique dans un respect mutuel avec protection.

Au plaisir de vous séduire, de vous faire rire, de vous divertir, de vous masser. Mais avant tout faisons connaissance autour d’un drink sans engagement et je vous dirai tout ce que vous brulez de savoir.

Réservez un massage sensuel au plus vite car vous le valez bien.

Au plaisir de vous offrir ce massage. Jean

TEL/SMS/WHATSAPP: +33755186013
Mail: man.jean@yahoo.fr
website: https://escortboy.org


  • 0
Experience de triolisme avec un escort boy

Envie de partager votre femme

Category:candaulisme,escort boy,triolisme Tags : 

Madame se dirigea directement vers l’escort boy et l’embrassa avec fougue devant son mari aux yeux ébahis. Le gigolo se laissa faire et trouva ce baiser très excitant. Le spectacle de cette femme mariée si belle qui se donnait devant son mari candauliste plus âgé était surréaliste, mais son mari trouva que la scène était tellement excitante qu’il commença à se tripoter le sexe.

Madame continua d’embrasser son chevalier du plaisir et celui-ci commença à caresser ses énormes seins à travers son chemisier et son soutien-gorge. Elle poussa un petit cri étouffé. D’un geste, l’escort boy arracha son chemisier et on entendit le bruit des boutons tomber sur le sol.

Ma bouche vous explore devant votre mari

Ma bouche vous explore devant votre mari

Le soutien-gorge fut dégrafé avec autant de hargne laissant apparaître la poitrine opulente de cette femme dont les tétons se dressaient déjà. De sa main droite, il caressa l’énorme sein gauche de Madame. Le gentleman escort le palpait, le pétrissait, le malaxait et passait souvent sa paume sur le mamelon pour faire durcir un peu plus le bout du téton.

Madame gémissait de plaisir et son époux n’en perdait pas une miette. Le parfum mélangé du trio commençait à remplir la pièce. Jean descendait maintenant avec sa bouche le long du cou de la chaude épouse en déposant partout de petits baisers rapides.

Jean ne tarda pas à arriver sur le sein droit et prit le téton entre ses lèvres. Le petit cri de plaisir de la dame retentit. Elle n’avait jamais ressenti une telle sensation de plaisir. Bien qu’elle ait déjà fait l’amour avec d’autres hommes que son mari, elle ne s’était jamais laissé aller au plaisir avec un escort boy professionnel. En général, cette femme de caractère menait la danse avec son partenaire, mais là, se laisser faire par un homme plus jeune mais expert et viril était divin.

Elle voulait maintenant que son mari s’occupe d’elle aussi……Il lui baissa la robe et la culotte laissant apparaître sa chatte toute rasée de la veille. Madame s’assit confortablement sur le canapé en écartant les cuisses, et Monsieur son mari s’agenouilla face au sexe lisse et humide de sa femme. Il plongea sa tête dans l’entre-jambe et prit la chatte à pleine bouche.

Soyez désirée comme jamais

Soyez désirée comme jamais

De son côté, l’escort boy continuait à frotter la bosse qui était apparue sous son pantalon, il reluquait le couple et était comme hypnotisé. Il ouvrit sa braguette et sortit sa grosse queue la présentant à Madame. Elle empoigna sa verge déjà bien dure, et commença à le branler.

Les sexes des deux hommes étaient très différents, celui de Jean était plus long et plus large. Madame astiquait alternativement les deux queues cependant que Jean fouillait sa chatte ruisselante. L’escort boy plongea soudainement sa langue dans sa fente et l’enfonça au plus profond qu’il pouvait. Puis le gigolo lapa le sexe trempé de bas en haut pour finir sur le clitoris.

La dame gémit plus fort encore et fit écho aux râles de plaisir des deux hommes. Jean continua son exploration des profondeurs du sexe de Madame et aspira le petit bouton qui avait entre-temps durci et gonflé. Jean pouvait sentir le clitoris pulser entre ses lèvres au rythme des cris d’extase de la dame. Les deux hommes jetèrent un coup d’œil sur la belle ce qui les excita plus fort encore…

Madame branlait maintenant les deux queues, se relevant légèrement et approchant sa bouche du membre de Jean pour l’engloutir complètement. La sensation de cette bouche sur la queue de l’escort boy lui arracha un gémissement. Elle pompait et léchait fougueusement le gland qui luisait sous sa bave.

Parfois, elle passait sa langue de la base du sexe pour remonter jusqu’en haut et pour finir par avaler la virilité en entier. Puis, Elle releva la tête, tout en continuant de branler la queue de son mari, elle approcha ses lèvres du gland de Jean.

Elle cracha dessus et le filet de bave glissa le long du membre. Elle suçota le bout du membre tout en le masturbant de sa main droite. L’odeur de sexe avait maintenant envahie la pièce. Les bruits de sucions et les cris de plaisir remplissaient la chambre. Madame avait une virilité dans chaque main qu’elle léchait maintenant tour à tour. Elle faisait l’essuie-glace.

Madame décida de s’embrocher sur la grosse virilité de Jean et il entra bien profondément en elle. Son mari décida d’explorer son côté obscur car elle rêvait d’avoir ses deux trous bien remplis.

Le plaisir de deux hommes

Le plaisir de deux hommes

Les deux hommes qui s’imaginaient déjà la scène avait la queue qui se durcissait jusqu’à en souffrir. Madame se positionna à califourchon sur le sexe de Jean, puis s’enfonça doucement sur le pieu. Sa mouille inondait ses cuisses et le sexe de l’escort boy. Elle commença ses va-et-vient en appuyant de plus en plus son bassin sur la virilité épaisse.

Sans rien dire, son mari se plaça derrière Madame. Le côté obscur de Madame lui paraissait bien étroit, mais il savait que ce n’était pas sa première pénétration. C’était une candidate de haut vol. Il posa doucement son gland sur l’orifice puis poussa légèrement. Il fût surpris par la facilité à laquelle Le gland s’enfonçait.

Il poussa encore un peu plus et sa virilité fût avalée toute entière dans l’orifice maintenant bien dilaté. Pendant la manœuvre, Jean et Madame ne bougeaient plus. Une fois les deux membres en elle.

Les deux mâles commencèrent leurs va-et-vient en synchronisant leurs mouvements. Au début, ils bougeaient sans trop d’amplitude mais au fur et à mesure que le plaisir les envahissait, les secousses se faisaient de plus en plus rapides et Madame criait à chaque double-coup de butoir. Elle était remplie par ces deux grosses virilités et elle en éprouvait un plaisir divin.

Jouissez deux fois plus

Jouissez deux fois plus

Envie de partager votre femme: La vision était impressionnante. La chambre était remplie d’une odeur de sexe, mélangée aux parfums suaves et légers des femmes qui contrastaient avec l’odeur de sueur des deux hommes qui besognaient fougueusement Madame.

Son mari pouvait sentir la virilité de Jean à travers la paroi qui séparait le jardin secret de Madame de son côté obscur. Cette sensation était loin de déplaire à Monsieur. Après quelques minutes de baise fougueuse, Ils jouirent tous les trois presque en même temps.

♥️♥️♥️

Madame, Monsieur, si cette histoire vous a plu et que vous avez envie de la vivre avec un escort boy respectueux, viril et charmant, une envie de partager votre femme en toute sécurité avec un gentleman, de vivre une expérience de trio à la portée de tous avec un accompagnateur ayant de l’expérience et qui saura vous guider en douceur dans ce moment de libertinage intense, contactez moi.

Avez-vous des fantasmes à explorer ? Beaucoup de couples rêvent de certaines situations érotiques sans pouvoir les vivre dans la société qu’ils fréquentent. Vous êtes, Monsieur, en droit de profiter de la compagnie d’un gentleman qui traitera votre compagne comme une lady et ne jugera pas votre envie réciproque de sexe et de plaisir sans lendemain pour vivre un fantasme.

Monsieur, comment partager sa femme avec un autre homme ? Contactez moi et je vous expliquerai comment vivre cette expérience de candaulisme et comment votre femme ou votre compagne va aimer la vivre avec vous et pour vous.

Madame, jouissez deux fois plus dans les bras de deux hommes entièrement dédiés à votre plaisir.

Un gentleman qui vous transportera dans la magie d’une soirée hors du temps, en toute discrétion et en toute sécurité. Vous oublierez tous vos soucis et pourrez lâcher prise lors d’une expérience de divertissement unique dans un respect mutuel avec protection.

Envie de partager votre femme: Explorez des limites encore jamais franchis pour votre plaisir à tous les deux.

Au plaisir de vous séduire, de vous faire rire, de divertir votre couple. Mais avant tout, faisons connaissance autour d’un drink sans engagement et je vous dirai tout ce que vous brûlez de savoir.

Au plaisir de faire votre connaissance. Jean

☎ +33755186013
@ man.jean@yahoo.fr
🌐 https://escortboy.org

I love cunni I'm a gentleman

I love cunni I’m a gentleman


  • 0
Experience de triolisme avec un escort boy

Experience de triolisme avec un escort boy

Category:candaulisme,escort boy,triolisme Tags : 

Experience de triolisme avec un escort boy. Cela faisait presque dix an qu’elle était mariée avec, et elle ne faisait que commencer explorer ce dont son mari était capable. Accepter un plan à trois était déjà assez créatif. Mais orchestrer cette expérience avec un gentleman inconnu escort boy professionnel, depuis les talons hauts jusqu’aux rubans pour immobiliser ses bras. Jamais elle n’aurait cru ça de lui.

A genoux sur le lit, les seins et la taille compressés dans son corset, les bras attachés, Madame n’entendait que les battements de son cœur résonner à ses oreilles en rythme avec sa respiration brève et hachée, rendue plus pesante par le silence qui régnait dans l’appartement. Sans sa musique, sans les caresses de son mari qui l’ancraient dans l’instant présent, un mélange effrayant de sentiments tourbillonnait en elle.

La porte d’entrée s’ouvrit. Un rectangle de lumière apparut sur le sol de l’entrée, puis disparut tout aussi soudainement quand son mari referma la porte. Madame ne discernait pas ce qu’ils se dirent mais, vu le ton et la brièveté de l’échange, ils s’étaient salués, puis son escort boy avait posé une question du genre : « Où est Madame ? » En réponse, son mari prononça quelques mots d’une voix basse et ferme.

Madame distingua ensuite un murmure d’assentiment de la part de son escort boy, puis tous deux s’approchèrent de la porte de la chambre, son mari en tête. Il entra dans la pièce, mais son escort boy, lui, s’arrêta sur le pas de la porte.

Il l’observa un instant d’un air abassourdi. Du coin de l’œil, elle vit son regard passer de ses cheveux à sa bouche, puis de ses seins à la courbe de ses hanches, enfin à sa position agenouillée.

D’un mouvement de la tête, elle repoussa ses cheveux de son visage.

— Bonsoir, chéri.

Son escort boy fit un pas dans la pièce, se redressa de toute sa hauteur, et la contempla longuement, endossant cette fois son personnage.

Madame sentit son cœur battre de plus en plus fort dans sa poitrine. De lents coups qui prenaient peu à peu de la vitesse, comme un train quittant la gare. Son escort boy l’observait toujours, et son regard interrogateur disparut bientôt pour laisser place à un intérêt purement masculin. Son mari se tenait en retrait, les bras croisés, observant les frontières glisser dans le terrain sablonneux.

Mes deux hommes me caressent

Mes deux hommes me caressent

Son escort boy sourit, et Il s’avança vers le lit et tendit la main pour lui coincer les cheveux derrière son oreille, puis passa son pouce sur ses lèvres entrouvertes.

— Vous êtes charmante..

Ses mots, prononcés d’une voix douce firent monter le sang aux joues de Madame. Ou peut-être était-ce la caresse de son pouce sur la chair intime et sensible de ses lèvres, un geste à la fois tendre et possessif… Elle passa le bout de sa langue sur son pouce. En réponse, il frôla le bord de ses dents, et un sourire apparut sur ses lèvres quand elle mordit sans douceur le bout charnu de son pouce.

— Je sens que ça va me plaire ! dit-il.

Lorsqu’il se tourna vers son mari, avec dans ses yeux la question silencieuse : « Comment avez-vous envie de faire ça ? », Madame sentit quelque chose s’apaiser en elle.

Experience de triolisme avec un escort boy. Son mari s’approcha à son tour du lit et sortit un tissu de satin blanc. Quand il s’agenouilla sur le lit devant elle, elle comprit qu’il s’agissait d’un bandeau. Elle ouvrit de grands yeux interrogateurs, tout en s’efforçant de ne pas perdre l’équilibre alors que le matelas s’enfonçait sous son poids, et l’espace d’un instant tout se mit à flamboyer dans son esprit. Le corset et les bas, qui gainaient sa poitrine et ses cuisses. Les rubans, qui l’immobilisaient du coude au poignet.

Sa vulnérabilité face aux deux hommes. Un désir brûlant se mit à couler dans ses veines et vint se répandre dans les zones les plus intimes de son corps.

Attentif à l’expression de son visage, son mari glissa une main sous son coude afin de l’aider à retrouver l’équilibre. La douceur de ses gestes lui serra la gorge.

— Ça va ? demanda-t-il.

Elle hocha la tête en silence, de peur d’avoir perdu la voix. Il ouvrit la main pour lui montrer le bandeau.

— C’est trop pour toi ?
— Non, parvint-elle à répondre. Bien sûr que non.

Il haussa un sourcil pour lui signifier que sa bravade ne prenait pas.

— Tu me diras quand ce sera trop.

« Quand ». Pas « si ». Comme s’il savait d’avance comment elle allait réagir.

— Ça va aller, lui assura-t-elle.

Son escort boy suivit les indications de son mari et se plaça derrière elle, attentif à la réaction de Madame quand le matelas s’enfonça sous son poids. Elle se raidit imperceptiblement quand la paume de sa main se posa sur sa peau nue, comparant machinalement sa caresse à celle de son mari.

Même paume tiède et sèche, bien qu’un peu moins rugueuse. Les mains d’un homme en révélaient toujours beaucoup sur son mode de vie. Lorsque les doigts de son escort boy caressèrent l’intérieur de son bras, remontèrent vers son épaule, puis se glissèrent sur sa joue afin de repousser ses cheveux derrière ses oreilles, elle devina les gestes patients et habiles d’un homme expérimenté.

Et, lorsqu’il plaça ses longs doigts de chaque côté de sa mâchoire pour lui maintenir la tête pendant que son mari plaçait le bandeau sur ses yeux et fixait le bandeau, elle sut qu’il pouvait également se servir de son grand corps pour mener une femme le long d’un chemin bien plus sombre et plus brûlant.

Experience de triolisme avec un escort boy. La dernière chose qu’elle aperçut avant que le bandeau ne la prive de lumière fut le visage de son mari. Ses yeux alourdis de désir, ses cheveux bruns illuminés par la pâle lueur de la lune. Perdre la vue décupla instantanément tous les autres sens, intensifiant le silence vibrant qui régnait dans la pièce. Ainsi isolée, elle eut largement le temps d’anticiper la suite des événements. Le scénario le plus évident pourrait se résumer par quelque chose comme « femme innocente débauchée par deux mâles lubriques ».

Elle s’attendait à entendre des braguettes s’ouvrir, à percevoir des souffles haletants, à sentir des mains dans ses cheveux… Elle s’attendait à se laisser très vite entraîner dans un univers de sexe chaud, moite et pantelant. Le matelas bougea de nouveau : ils se déplaçaient et commençaient à enlever leurs vêtements, à en juger par les bruissements qu’elle entendait. Leur silence quasi parfait ne fit qu’accroître son sentiment de solitude et acheva de la désorienter.

Devant mon mari

Devant mon mari

C’était encore mieux. Ne sachant qui était qui, elle pourrait prendre du plaisir sans se poser la moindre question. Cette petite aventure était une distraction pour oublier la période des fêtes qui s’approchait, rien de plus.

Et elle avait besoin de cette distraction. Elle devait combler ce terrifiant silence. Soudain, elle sentit une bouche se poser sur sa joue et une autre sur son épaule. Un souffle chaud sur sa peau, suivi d’une légère morsure. Les pointes de ses seins durcirent aussitôt dans le corset, et elle gémit.

Une bouche remonta le long de sa clavicule, tandis que l’autre repoussait ses cheveux de côté afin d’exposer sa nuque et son dos à une série de coups de langue, de mordillements et de baisers. Un petit rire vibra dans son dos lorsque la bouche trouva un endroit particulièrement sensible qui la fit frissonner. Une main l’obligea à pencher la tête sur le côté, puis la bouche lança un assaut sans pitié sur sa zone sensible. Une chaleur torride courait dans tout son corps. Dans le silence, les sensations étaient décuplées.
Le silence.

Ils ne parlaient pas. Pas d’ordres donnés, pas de paroles droit sorties d’un mauvais porno. Ils ne parlaient même pas entre eux par-dessus elle, à côté d’elle, à propos d’elle, comme si elle était leur jouet. Un silence pas naturel, et c’était terrifiant. Etait-ce la consigne que son mari avait donnée à son escort boy dans l’entrée ? « Ne dis rien. » Ils pouvaient se voir, communiquer par gestes et la laisser sans la moindre information à laquelle se raccrocher.
Pas de distractions. Seulement du plaisir, qui fleurissait, éclatant, brûlant, sous les mains et les bouches qui l’assaillaient dans la pièce feutrée.

L’homme devant elle tira sur le corset afin d’exposer sa poitrine, et un grognement satisfait se fit entendre lorsque deux mains chaudes et rugueuses se posèrent sur ses seins pour en pincer les pointes durcies. Aussitôt, une nouvelle vague de chaleur la traversa. Elle se mit à onduler sous les caresses, écartant les jambes et se cambrant en une invitation muette.

Des dents se refermèrent sur sa nuque à l’instant précis où deux mains se posaient à l’intérieur de ses cuisses pour écarter ses jambes encore un peu plus. Elle s’immobilisa, comme une proie face à un prédateur. Sa réaction était à la fois une reddition et une invitation. L’homme devant elle posa sa bouche chaude et grande ouverte sur sa clavicule avant de remonter dans son cou, poussant sa tête en arrière contre les larges épaules nues qui se trouvaient derrière elle. Une barbe rugueuse, des lèvres chaudes et douces, la sensation humide d’une langue contre sa gorge offerte, puis des dents qui se refermèrent sur sa mâchoire.

Un glapissement résonna dans le silence, aigu, alarmé, féminin. Une partie de son cerveau savait que c’était elle qui avait crié, mais elle ne s’en était pas rendu compte. Les mains entre ses cuisses se déplacèrent sans hésiter vers les bords élastiques de sa culotte pour étreindre ses hanches. Il la poussa à se redresser, fit glisser sa culotte jusqu’à mi-cuisses et écarta doucement les replis de son jardin secret.

Elle ne s’était pas encore rendu compte à quel point elle était mouillée, jusqu’à ce qu’un doigt s’enfonce profondément en elle avant de glisser sur son clitoris. Lorsqu’il se mit à caresser le petit bourgeon de sa fleur gonflé de désir, elle sut que c’était son escort boy qui se trouvait derrière elle. C’était son escort boy qui la touchait si intimement. son mari, plus au fait des réponses de son corps, imprimait toujours à ses doigts un mouvement circulaire, avec des pressions intermittentes qui prolongeaient la tension au point d’en devenir presque insoutenable.

C’était donc la bouche de son mari qui la mordillait sous l’oreille et traçait une ligne de baisers brûlants jusqu’au coin de sa bouche. A présent, elle savait. A présent, elle pouvait se laisser aller dans l’oubli que lui offrait le plaisir. Mais, lorsqu’elle tourna la tête pour venir à la rencontre du baiser qu’elle attendait, l’homme recula hors de sa portée et se pencha pour embrasser ses seins, puis glissa une large main sous ses fesses.

Je suis leur princesse

Je suis leur princesse

Un frisson d’anxiété la traversa. Ce n’était peut-être pas son mari. Peut-être avait-il établi des limites. son escort boy pouvait la baiser, mais pas l’embrasser. Les mains l’immobilisaient, une sur ses fesses, l’autre entre ses jambes, tandis que ce doigt unique la caressait et faisait monter un désir presque douloureux. Mais elle ne pouvait se laisser aller tant que cette grande question occupait son esprit surchauffé. Etait-ce son mari ?

Experience de triolisme avec un escort boy. Lorsque l’homme derrière elle ajouta un deuxième doigt au premier, les glissant de chaque côté de son clitoris gonflé, elle poussa un cri de frustration. Une supplique. Elle voulait un geste, un indice, quelque chose à quoi se raccrocher dans cet abysse en fusion. Deux doigts se glissèrent en elle et trouvèrent aussitôt le faisceau de nerfs si sensibles dissimulé au plus profond d’elle-même. Au premier coup, parfaitement synchronisé avec la caresse des doigts sur son clitoris, elle devint parfaitement rigide.

Au deuxième, elle poussa un cri éraillé. Quand elle se cambra, l’homme placé devant elle glissa sa main libre dans ses cheveux pour la maintenir en place. Leurs bouches n’étaient séparées que par un souffle, mais, elle eut beau se tortiller et pousser des gémissements de plus en plus désespérés au fur et à mesure que le plaisir se resserrait dans son sexe, il refusa de l’embrasser. Elle n’entendait qu’un souffle haché tout contre son oreille, ses propres halètements alors qu’elle approchait de l’orgasme, et le silence qui les enveloppait dans un espace brûlant.

L’orgasme explosa en elle, alors qu’attachée, impuissante, elle suppliait en silence qu’on lui accorde cette chose qu’elle avait crue acquise : le baiser de son mari. Une chape de plaisir se referma sur elle, enserrant tout son corps, resta là un instant, puis un autre, et se rouvrit d’un coup. Madame se cambra alors, son sexe se resserrant par spasmes sur les doigts qui la pénétraient toujours, et des vagues de plaisir se mirent à déferler à travers le vide, jusqu’aux limites de sa peau et au-delà.

Quand elle revint à la réalité, les yeux fermés derrière le bandeau, les mains la maintenaient toujours. Vaincue, elle se tourna vers la joue chaude qui frôlait la sienne.

— S’il te plaît, murmura-t-elle.

Sa bouche avait besoin du baiser de son mari, de sa langue sur la sienne, de cette étrange connexion qu’elle avait crue acquise. Cette connexion qui se faisait lorsque leurs lèvres se frôlaient. Mais l’homme devant elle ne l’embrassa pas.

Au lieu de ça, il lui enleva sa culotte avant de réarranger leurs positions sur le lit, si bien qu’elle se retrouva à chevaucher les hanches nues d’un homme appuyé contre la tête de lit, tandis que l’autre se collait de nouveau derrière elle. A présent, elle était véritablement perdue dans le vide.

L’homme qui lui faisait face la tira en avant pour que son front repose sur son épaule, puis attrapa ses fesses à deux mains pour les écarter à l’intention de l’autre. Le bruit d’un préservatif qu’on déballe se fit entendre derrière elle, puis celui d’un flacon de lubrifiant qu’on ouvre. Enfin, elle sentit un doigt se presser contre sa bouche intime. Ses cheveux retombèrent sur son visage tandis que le doigt s’insinuait en elle, l’élargissant, la srimulant jusqu’à la faire gémir.

A cet instant, la paume d’une main se pressa sur son clitoris toujours sensible et, lorsqu’un deuxième doigt rejoignit le premier derrière elle, elle se serra contre la main, avide de sensations. Quand la large extrémité d’une queue de mâle se présenta contre sa bouche intime, insistant, l’homme qui lui faisait face remplaça la paume de sa main par un doigt qui vint titiller son clitoris, encore et encore.

La limite entre plaisir et douleur se brouillait, mais Madame respirait du mieux que son corset le lui permettait. Elle avait déjà vécu ça. Etre suspendue au-dessus d’un abîme de plaisir, tandis que son mari caressait son clitoris et la pénétrait. Une fois passée la douleur initiale, les choses devenaient très vite torrides. Après une sensation d’étirement presque insoutenable, le pénis la pénétra enfin.

L’espace d’un instant, tout sembla se figer tandis que Madame s’ajustait lentement. Le doigt posé sur son clitoris la caressa de plus belle, envoyant des étincelles le long de ses nerfs électrifiés. Elle poussa un soupir tremblant. Une main rassembla les cheveux qui cachaient son visage et les replaça derrière ses oreilles.

Le sexe la pénétra jusqu’au bout, et des hanches se serrèrent contre ses fesses. Un long bras l’enlaça et agrippa son épaule pour la soulever, l’exposant à l’homme devant elle qui la caressait toujours. Jamais elle ne s’était sentie aussi vulnérable. Les yeux bandés, les mains attachées dans le dos, pénétrée par un homme et offerte à un deuxième pour que lui aussi prenne possession de son corps. Et, alors qu’elle vibrait de plaisir dans l’obscurité silencieuse de son bandeau, elle prit conscience d’un nouveau désir.

Elle ne voulait plus de cette distance anesthésiante qu’elle avait tant recherchée. Elle voulait une connexion. Le souffle des deux hommes résonnait fort à ses oreilles, rapides, heurtés, chargés d’un fort pouvoir érotique, et une révélation la transperça soudain comme une épée. C’était torride. C’était charnel. Mais ça ne lui suffisait pas.

Elle devait savoir qui était qui. Etre incapable de nommer celui qui la touchait, celui qui la possédait, celui qui la pénétrait, créait une distance entre elle, entre eux tous, et ce qui se passait. Elle voulait embrasser son mari pendant que son escort boy la baisait, elle voulait le regarder dans les yeux pendant que le plaisir la submergeait. Elle voulait qu’il la voie jouir.
Elle voulait son mari.

Le désir en elle, celui qui était resté sombre et incertain pendant si longtemps, avait à présent un nom. Elle avait besoin de leur relation, de leur connexion. Besoin qu’il soit en elle, qu’il soit une partie d’elle.

Eux. Elle avait besoin d’eux. D’elle et de lui. Après plus d’un an passé à se sentir morte de l’intérieur, quelque chose avait soudain de l’importance pour elle. Soudain, les rubans qui l’attachaient devenaient synonymes de deuil. Elle devait se libérer. Elle devait enlever ce bandeau et le voir. Elle devait savoir.

— Arrêtez ! cria-t-elle.

Aussitôt, tout se figea. Le mouvement, les souffles, les mains sur ses hanches. Tout. Comme si son intervention les avait changés en statues de glace.

— Détachez-moi.

L’homme derrière elle devait être doué avec les nœuds, car en quelques secondes ses poignets étaient libres. Elle ne toucha pas au bandeau qui lui couvrait les yeux. Des mètres de ruban coulant de ses poignets, elle posa les mains sur le visage de l’homme qui lui faisait face. Un menton rugueux, des pommettes angulaires. Puis elle passa ses pouces, l’un après l’autre, sur une bouche aux lèvres pleines.

Et elle sut.

Toujours aveugle, elle se pencha en avant pour embrasser cette bouche sensuelle. Sans hésiter, sans réserve, elle l’embrassa et sut qu’il s’agissait de son mari à la manière dont il lui attrapa l’arrière de la tête et inclina sa bouche en travers de la sienne. Toute l’intensité passionnée qu’avaient contenue les rubans et le bandeau se déversèrent soudain en elle, et en lui.

Un frisson parcourut son grand corps et se transmit au sien. Un gémissement monta dans l’air. Haletante, la bouche humide, elle caressa son torse musclé, tandis qu’une main lui enlevait le bandeau.

Son mari la regardait, les yeux brillants d’excitation et de triomphe.

— Je voulais que ce soit toi, dit-elle d’une voix presque inaudible.
— Seulement moi, répondit-il.

Il passa la main entre leurs deux corps et éloigna de son ventre son membre gonflé. Madame posa les mains sur ses épaules pour se soulever et se placer au-dessus de lui. Puis, le regard plongé dans le sien, elle se laissa descendre sur son sexe jusqu’à l’enserrer tout entier, chaud, dur, nu. Le contact peau contre peau lui arracha un petit gémissement, mais elle s’obligea à ouvrir les yeux pour les plonger de nouveau dans ceux de son mari.

— Ça va, chérie ?

Le petit nom recélait à présent plus d’affection que de moquerie. Il semblait réellement s’inquiéter pour elle. Elle se sentait pleine comme jamais, une sensation que la pression du corset ne faisait qu’accentuer. A chaque inspiration, une vague de chaleur la parcourait. Elle pencha la tête en arrière et gémit lorsque le mouvement de ses hanches pressa son clitoris contre le bassin de son mari.

Un moment de passion avec un inconnu et son mari

Un moment de passion avec un inconnu et son mari

Son escort boy resserra son bras sur sa taille. En réponse, son sexe et son côté obscur se resserrèrent sur les deux érections qui la pénétraient, et les deux hommes grognèrent à l’unisson.

Elle jeta un regard à son escort boy par-dessus son épaule. Les paupières lourdes, il regarda ses yeux, puis sa bouche. Elle se retourna alors vers son mari. La passion soulignait les lignes dures de ses pommettes et de sa mâchoire, et ses yeux bleus brillaient d’un air victorieux. Il se délectait de ce qu’ils venaient de créer ensemble.

A cet instant, la réponse à sa question lui apparut, simple :

— Oui, ça va.

Son mari enroula autour de ses poings les bouts des rubans toujours liés à ses poignets, puis posa les mains sur ses hanches.

— Doucement, dit-il à son escort boy.

Derrière elle, son escort boy se retira, marqua une pause, puis la pénétra de nouveau. Madame ferma à demi les yeux, concentrée sur ses mouvements lents et réguliers, son attention divisée entre les sensations exquises qu’elle ressentait et le visage de son mari qu’elle observait.

Ce dernier resta immobile en dessous d’elle. Poussée par un instinct qu’elle n’osa pas nommer, elle se pencha sur lui pour l’embrasser de nouveau. Leurs langues se rencontrèrent en une lente et chaude danse qui la laissa pantelante.

Puis son mari resserra sa prise sur le ruban qui emprisonnait un de ses poignets afin de l’obliger à passer un bras autour de son cou. Il l’attira ainsi tout contre lui, l’ouvrant encore un peu plus aux assauts profonds de son escort boy.

— Tu es si serrée autour moi, murmura-t-il à son oreille. Je sens le moindre frisson. Ça va être tellement bon quand tu vas jouir !

Son érection, dure comme l’acier, étirait les parois enflées de son vagin. Rien ne les séparait. Cette simple pensée fit se resserrer son sexe davantage sur le sien, et elle passa la langue sur la peau moite de son cou. Elle le mordilla, goûtant le sel de sa sueur. Puis elle souleva les hanches alors que son escort boy se retirait. Lorsqu’il s’enfonça de nouveau en elle, elle se laissa retomber sur le sexe de son mari.

Deux homme à satisfaire

Deux homme à satisfaire

Le mouvement arracha à son escort boy un grognement, et son mari resserra sa prise sur sa hanche et son avant-bras, tandis qu’un gémissement désespéré s’échappait de la gorge vibrante de Madame.

La stimulation était telle qu’elle aurait pu la catapulter dans la démence, mais la présence de son mari l’ancrait dans le présent. Lui faisait ressentir des choses. Son odeur, ses mains sur elle, ses mots murmurés à son oreille. « Oh mon dieu… C’est si bon. Ne t’arrête pas. Si… oh… si bon. » Son torse se soulevait contre sa poitrine tandis que son escort boy la pénétrait plus fort, toujours plus fort… jusqu’à s’arquer au plus profond d’elle, parcouru d’un frisson.

Elle aussi tremblait, au bord de l’orgasme. A cet instant précis, son mari souleva les hanches et s’enfonça en elle. Une lumière l’envahit, chaude, brillante, tumultueuse. Perdue dans les affres de la jouissance, elle ne voyait plus que le visage de son mari, ses yeux bleus étincelants et sa bouche chaude et douce. Sans la quitter des yeux, il se laissa aller à son tour et se déversa en elle.

***

Avez-vous des fantasmes à explorer ? Beaucoup de couples rêvent de certaines situations érotiques sans pouvoir les vivre. Vous êtes tous en droit de profiter de la compagnie d’un gentleman qui traitera votre compagne comme une lady et ne jugera pas votre envie de sexe et de plaisir sans lendemain pour vivre un fantasme. Un gentleman qui vous transportera dans la magie d’une soirée hors du temps en toute discrétion et en toute sécurité. Vous oublierez tous vos soucis et pourrez lâcher prise lors d’une expérience de divertissement unique dans un respect mutuel avec protection.

Au plaisir de vous séduire, de vous faire rire, de divertir votre couple. Mais avant tout faisons connaissance autour d’un drink sans engagement et je vous dirai tout ce que vous brûlez de savoir.

Au plaisir de faire votre connaissance. Jean

☎ +33755186013
@ man.jean@yahoo.fr
🌐 https://escortboy.org


  • 0
annonce pour toutes les femme

Annonce pour toutes les femmes

Category:candaulisme,escort boy,Femmes,triolisme Tags : 

Annonce pour toutes les femmes  qui ne veulent pas s’investir dans une relation sérieuse. Elles ont la possibilité d’avoir recours à un gentlemen courtisan, distingué et cultivé comme Jean qui saura les combler par sa bonne compagnie et toutes les gentillesses qu’elles méritent de recevoir d’un homme du monde comme Jean.

Annonce pour toutes les femmes qui veulent prendre rendez-vous avec gentleman comme Jean pour pimenter une soirée à l’abri des regards indiscrets. Enfin, une autre pratique est de solliciter un escort boy comme Jean pour un couple qui veut vivre le libertinage à deux en toute sécurité. Ceci afin de connaître le candaulisme ou le triolisme.

***

L’appartement de la dame était illuminé de plusieurs lampes de couleur. Nos corps s’étreignaient dans ce décor étrange. Madame était à genoux sur le sofa, les coudes appuyés au dossier. Son dos et ses fesses étaient offerts à mon bon plaisir.

La vue était magnifique. La dame attendait et j’étais immobile derrière elle, j’explorais son corps dans les moindres détails. Je me masturbais d’une main, et de l’autre, je caressais la dame. Je la pénétrais de mes doigts d’escort boy exigeants devant, prudents derrière, puis je passais ma langue sur ses fesses consentantes.

Finalement, j’enfilais un préservatif et je m’introduis en elle. Je pris mon temps, n’enfonçant qu’une petite portion de ma grosse queue de gigolo à la fois. La dame attendait avec impatience puis elle se poussa vers moi, me forçant brusquement en elle.

Nous synchronisions les mouvements de nos corps luisants, souples et déchaînés. Les seins de la dame se balançaient au rythme endiablé de ma frénésie et mon énorme queue bandée s’enfonçait plus profondément dans la dame à chaque coup de rein.

J’accélérais mon rythme et elle s’adaptait à ma vitesse. Elle tressaillait sous les coups de mes bourses de gentleman contre ses fesses. Je fis une pause en lui serrant les épaules et le cou, puis je m’emparais de ses cheveux, puis repris de plus belle. Nous avons joui en même temps.

Puis, je la fis s’asseoir au bord du lit pour la lécher avec effusion, et la faire jouir de ma langue d’escort boy cette fois-ci. La dame avait un corps magnifique. Je pouvais voir, sans peine, sa poitrine se soulever au rythme de sa respiration, deviner les frissons sur ses bras, ses épaules, son ventre.

Je remontais vers sa gorge et laissais enfin reposer mes mains sur sa poitrine, en un geste lent. Ses seins semblèrent apprécier ma caresse, leurs pointes se redressant davantage, afin de permettre à mes doigts de gigolo de les pétrir avec plus d’insistance.

Son attitude désinvolte, sensuelle, et son corps sublime firent naître en moi une excitation brutale. J’avais envie de la toucher, de faire l’amour avec elle, de la baiser comme une chienne en rût.

Elle prenait conscience de son corps, de sa soif de caresses particulières. Elle goûtait aux caresses d’escort boy que je lui infligeais. Mes doigts s’emmêlaient maintenant dans sa toison entre ses cuisses. Elle écarta les jambes et mes doigts s’enfoncèrent dans sa chatte chaude et humide.

Les doigts de ma main gauche écartèrent ses lèvres moites tandis que ceux de ma main droite s’humectaient de salive, ma langue et ma bouche la léchant doucement. Mes deux mains finirent par se rejoindre et entreprirent la conquête complète de son intimité.

Mes doigts s’affairaient très lentement, épousant les formes de son jardin secret que je sentais ruisselant, taquinant son pistil d’amour et l’entrée maintenant luisante de sa grotte magique.

Elle éprouvait quelque difficulté à suivre mon rythme lent, son excitation la rendant impatiente. Je voulais qu’elle prenne plus qu’une jouissance momentanée.

Madame prenait conscience des réactions de son corps à une stimulation douce et à une lenteur presque exaspérante. Elle poussa son pubis vers ma main, d’abord imperceptiblement, puis presque frénétiquement.

Son visage exprimait sans retenue ce qu’elle ressentait : son sourire avait fait place à un air de concentration intense pour ensuite se crisper. Elle arrêta soudain, forçant mes deux mains à retourner vers sa poitrine, les jambes bien serrées l’une contre l’autre.

Son visage se détendit presque aussitôt. Je me permis, après une brève pause, de reprendre graduellement mes caresses. D’un geste hésitant, je descendis de nouveau vers son ventre, puis plus bas, et recommençais à la caresser doucement.

Je savais qu’elle n’aurait pas pu jouir sans moi. Je continuais à la caresser pour la suivre dans son ascension, la regardant se mordre la lèvre inférieure, des gouttes de sueur recouvraient maintenant son corps. Je sentais mon ventre palpiter, sa jouissance était imminente et inévitable.

Quand ma langue glissa à nouveau sur son jardin secret, elle put à peine retenir son cri. Je la sentais tendue, prête à exploser. Sa tête se secouait d’un côté, puis de l’autre. Elle se releva et s’agenouilla sur la chaise, les jambes écartées, le dos arqué.

Je sentais qu’elle allait jouir d’une seconde à l’autre et je voulais partager cet instant avec elle. Elle s’abandonnait aux caresses urgentes de ma langue et m’implorait. Je remontais ma main vers elle et la pénétrais de mes doigts, laissant toujours sa chatte m’inonder de son elixir qui jaillissait comme une fontaine.

Quand je lâchais son sein magnifique pour laisser mes mains la faire basculer dans l’orgasme, elle jouit si fort que son ventre se secoua pendant ce qui me parut une minute entière. La dame était étendue de nouveau, frémissante.

Je ne pus attendre plus longtemps et j’entrais en elle, avec violence. elle s’empala de toutes ses forces, glissant ma queue tendue à l’intérieur de son corps sans résistance aucune et avec acharnement. Elle se souleva du sofa pour pouvoir s’asseoir sur moi, me guidant en elle et m’imposant son rythme.

Je m’engouffrais le plus profondément possible et restais là, sans bouger, laissant les muscles de son ventre me masser amoureusement la queue. Je la laissais faire un moment puis la renversais sur le sofa, ramenant ses jambes sur ses épaules. Puis je la défonçais sauvagement jusqu’à ce qu’elle explose en criant mon nom.

***

Annonce pour toutes les femmes qui veulent vivre des instants magiques avec un gentleman: écrivez moi: man.jean@yahoo.fr,  appelez moi ou envoyez moi un SMS/WHATSAPP au +33755186013

Au plaisir de vous faire plaisir. Jean


  • 0
Deux hommes et une femme pour expérience de triolisme

Deux hommes et une femme

Category:candaulisme,Couple,escort boy,triolisme Tags : 

Deux hommes et une femme allaient se rencontrer ce soir là dans un hôtel parisien, pour vivre une expérience  de plaisir hors norme à trois. Un couple et un gentleman escort boy expert dans le divertissement pour adulte.

J’étais debout devant elle, je lui présentais ma grosse queue dure et tendue devant son visage. Elle était encore plus grosse que celle de son mari. Comment allait-elle réussir à l’enfoncer au complet dans sa bouche ? Avant même qu’elle ne s’en rende compte, elle avait une queue dans chaque main et elle les enfonçait dans sa gorge à tour de rôle.

De voir deux hommes excités, ça l’excitait énormément. Après de longues minutes, elle avait le visage plein de salive et elle adorait ça. Elle se sentait chienne, elle avait envie de baise torride et elle avait deux males en rût rien que pour elle.

Puis une main attrape sa main et la met sur ma queue en érection. Prends la en bouche et suce la ?  Lui ordonne son mari. Elle obéit à ses ordres comme une petite salope soumise. Puis son mari s’approche, je tire sa tête en la prenant par les cheveux et la dirige vers sa queue pour la pousser à le sucer à son tour.

Elle n’a plus aucun contrôle, elle est là pour nous donner du plaisir et elle aime ça, elle est maintenant complètement à la merci de deux hommes qui ne veulent qu’une seule chose, c’est la baiser comme une vraie cochonne lubrique, ce sera son challenge de ne pas nous décevoir car nous voulons la voir jouir avant de jouir à notre tour.

Nous la bousculons sur le lit pour qu’elle se couche sur le dos. Nous passons nos quatre mains sur son corps en la massant avec de l’huile que j’ai apporté.

Des doigts entrent dans sa chatte qui est toujours trempée. On la doigte jusqu’à ce qu’elle sente qu’elle n’est pas loin de l’orgasme. Elle dégouline sur les draps. Soudain, ma queue emballée dans un préservatif bien dure la pénètre pendant qu’une autre force sa bouche. Elle se fait totalement prendre bestialement par deux hommes et elle aime ça. Deux hommes et une femme pour un plaisir intense.

Ses mains touchent nos mains, nos bouches, mais dans la pénombre elle n’a aucune idée de qui est qui. On la prend et on la retourne pour qu’elle s’installe à quatre pattes. Elle sent nos corps bouger autour d’elle. Soudainement, elle se fait pénétrer la gorge en même temps que je lui pénètre la chatte. Elle est comme dans une scène de « gang bang ».

Un de nous attrape son menton, lui soulève la tête et l’embrasse langoureusement. Son visage est couvert d’un mélange de salive, de sueur et d’huile. On continue d’inter-changer nos mains, nos bouches et nos sexes avec nos corps gluants. Elle s’agenouille sur le plancher comme le lui a demandé son époux. 

Son homme s’assoit sur le lit. Son sexe est encore raide. À quatre pattes, elle s’empresse d’aller vers lui. Elle entreprend de le sucer. La mouille coule le long de ses cuisses car elle sait que je suis derrière elle. Je colle ma bouche entre ses fesses et commence à lui bouffer le cul. Deux hommes et une femme qui veulent se donner du plaisir.

Puis nous échangeons les rôles et elle decide de s’empaler à cheval sur ma grosse queue d’escort boy alors que Monsieur entreprend de la prendre par derrière pour sa première double.

Madame écarte les cuisses avec ses mains aux ongles rouges pour faciliter la pénétration. Cette coquine est maintenant rempli par deux queues qui s’activent pour la baiser sans relâche. Elle sent monter la vague d’un plaisir nouveau avec son mari et son escort boy. Deux hommes et une femme vont jouir ensemble.

L’orgasme de ses deux trous qui jouissent ensemble. Son mari va jouir, il grogne car il sent monter la sève qui va bientôt inonder le cul de sa femme en chaleur. Et moi je continue de la limer pour lui exploser la chatte et enfin nous jouissons tous les trois dans un feu d’artifice de plaisir.

***

Toutes les couples ont besoin de vivre leurs fantasmes avec un gentleman comme moi qui les respecte, je suis disponible pour vous faire vivre des moments de bonheur sans risque. Je peux vous transporter dans la magie d’une soirée hors du temps en toute discrétion et en toute sécurité. Vous oublierez tous vos soucis et pourrez lâcher prise lors d’une expérience de divertissement unique dans un respect mutuel avec protection.

Triolisme – Tentez l’expérience du plan à trois avec un gentleman escort boy en toute sécurité. Deux hommes et une femme.

Au plaisir de vous séduire, de vous faire rire, de vous divertir, de vous faire crier de plaisir mais toujours avec respect. Mais avant tout faisons connaissance autour d’un drink sans engagement et je vous dirai tout ce que vous brulez de savoir. Contactez moi: man.jean@yahoo.fr ou +33(0)755186013


  • 0
Deux amies avaient décidé de rencontrer un escort boy

Deux amies avaient décidé de rencontrer un escort boy

Category:escort boy,triolisme Tags : 

Deux amies avaient décidé de rencontrer un escort boy pour femmes exigeantes qu’elles avaient trouvé sur internet. C’était un peu comme un défi qu’elles se faisaient.

Elles dansaient à présent autour de cet homme, se laissant toucher intimement tout en se déshabillant. L’une d’elle n’aurait su dire comment cela arriva, si c’était à cause de ce contact, si près de ses seins, ou bien du son de sa voix, mais elle ressentit comme un spasme, au creux du ventre, et elle retint son souffle.

L’autre amie commença à dénuder le gentleman. Elle finit par sortir sa virilité de son boxer. La femme ne pouvait en détacher les yeux, le trouvant imposant.

Elle regardait son amie caresser le gentleman, s’interrompre parfois pour lécher la paume de sa main avant de le saisir à nouveau, de le masser dans un va-et-vient tantôt rapide, tantôt plus lent.

L’instant d’après sur le lit, l’escort boy enfilait un préservatif et insinuait un genou entre les jambes de la dame pour les lui écarter et introduisit son énorme sexe en elle. Le gentleman allait et venait en elle en grognant, donnant de violents coups de reins tout en lui pétrissant les seins.

Sa partenaire enroula les jambes autour de ses hanches, et elle poussa un cri de plaisir, suivi d’un grognement presque animal. C’était une union primitive et bestiale.

Et tandis que Jean pétrissait les seins de son amie, Elle enleva sa chemise. La seconde d’après, tous ses vêtements rejoignaient sa robe. Elle rejoint les deux amants sur le lit bien décidée à participer à leurs ébats.

Jean embrassait maintenant les seins de son amie, se concentrant sur leur extrémité durcie, les aspirant entre ses lèvres. La dame gémit de plaisir quand Jean entreprit de presser les siens avec une de ses mains. Son amie se contorsionnait en caressant Jean.

Elle se laissa aller contre lui pour jouir pleinement de cette sensation délicieuse. La dame s’aperçut qu’elle avait fermé les yeux. Elle les rouvrit tandis que la main de Jean descendait vers son ventre.

L’escort boy était allongé sur le dos et son amie le chevauchait pendant qu’il lui pressait les fesses en contemplant ses seins. Adroitement, elle s’assit au dessus de son visage afin qu’il puisse lécher son jardin secret.

Entre ses cuisses, sa bouche entra au contact de son sexe brûlant et trempé. L’escort boy entama alors de longs mouvements de langue très doux. Effleurements. Pressions. Petits frottements. Elle cessa de penser tandis qu’une onde de feu la traversait.

Éperdue, la dame se cambrait pour aller à la rencontre de sa bouche. Prenant soudain conscience de son audace, elle rougit et voulut se rétracter, mais il la retint tout en continuant de la toucher.

L’escort boy pressa les pouces au creux de son sexe et, soudain, il en glissa un en elle. L’escort boy fit entrer son pouce dans toute sa longueur. Le souffle court, elle se raidit sans pour autant se dérober.

Pendant ce temps la, son amie ondulait sur Jean dans une sorte de va-et-vient lascif et impudique. Le gentleman enfouissait plus profondément son visage entre ses cuisses. Le cri de ravissement de son amie leur parvint.

Elles s’offraient à leur escort boy du plaisir, ce qu’il semblait particulièrement apprécier. Pendant ce temps, le pouce de Jean entrait, sortait, entrait, sortait dans la grotte secrète de la dame.

Ses doigts s’activaient de plus en plus librement. La dame ne savait plus ce qui lui arrivait. Elle se contracta instinctivement jusqu’au moment où elle lâcha prise.

Elle s’ouvrit alors plus largement à ses caresses, s’enhardissant jusqu’à ce que le plaisir lui arrache un gémissement. L’escort boy allait de plus en plus profond et c’était tellement bon.

Haletante, la dame ondoyait maintenant au rythme de sa main. La main de Jean continuait sa torture divine de plus en plus intimement. Une onde électrique la traversa soudain et elle retint un cri. La maintenant, il poursuivit sans relâche la danse de ses doigts. Jamais elle n’aurait rêvé caresses aussi osées, aussi magiques.

Tout à coup, il retira ses doigts et ses pouces entamèrent une valse lente là où c’était si bon. Les sensations explosaient en elle, les unes après les autres. L’escort boy écarta les pétales de chair qui dissimulaient sa fleur et approcha sa bouche, insufflant son souffle brûlant dans ce brasier humide.

En fait, elle ne voyait plus que son amie, à cheval, la tête renversée en arrière, s’empalant en jouissant frénétiquement tandis que Jean, le visage enfoui entre ses cuisses, se délectait.

Puis Jean se libéra de sa cavalière en la faisant basculer sur les coussins pour changer de préservatif et enfourcher son autre compagne. En une seconde, il la pénétra, lui arrachant un cri d’extase auquel d’autres firent écho à chaque coup de reins qu’elle reçut et lui rendit, cramponnée à lui.

La cavalière se leva pour à son tour donner son jardin secret au gentleman pendant qu’il pénétrait son amie sans répis, elle sentait maintenant la bouche de Jean remonter lentement le long de ses cuisses, jusqu’à ce que son souffle frôle son sexe ruisselant de son élixir.

Sa langue se mit en action, caressant, frottant le petit bouton si sensible. En réponse, elle ne put qu’écarter davantage les jambes pour lui laisser libre accès.

Sa langue se démenait dans ses replis secrets. Puis ses lèvres prirent le relais tandis qu’il la soutenait, les deux mains agrippées à ses hanches.

Elle en profitait pour contempler le sexe du gentleman entrer en son amie jusqu’à la garde, ressortir tout luisant, s’enfoncer de nouveau.

Et sous elle, Jean mimait le même mouvement avec les doigts pendant que sa bouche titillait ce point si délicieux. Elle allait à sa rencontre en se déhanchant.

Et sa langue entreprit soudain un mouvement circulaire parfait. Une vague de sensations délicieuses emporta La dame dans un tourbillon d’une volupté sans nom. Son corps se cambrait, s’arc-boutait à la recherche d’un sommet encore hors de portée, mais qu’elle voulait absolument atteindre. C’était primaire, presque sauvage.

Tout à coup, une convulsion lui fit perdre pied. Une explosion projeta son corps vers des hauteurs inouïes et le plaisir jaillit dans toutes les fibres de son être, si violent qu’un cri l’accompagna.

Jean ne la lâcha pas. Confusément, la dame vit son amie accrochée à Jean qui jouissait en criant son nom. Jean retira doucement ses doigts, mais sa langue continuait sa danse experte, l’explorant encore et encore, tandis que de nouvelles vagues divines la soulevaient.

Jusqu’à ce qu’un nouveau torrent l’emporte au contact de ces lèvres qui aspiraient maintenant le petit bourgeon lové au creux de sa féminité. Il lui sembla que son corps allait voler en éclats sous les assauts de ce plaisir affolant.

Jean faisait jouir les deux femmes simultanément, la bouche collée au sexe de l’une, le sexe enfoncé dans l’autre. Aspirant, lapant, léchant sans relâche tandis qu’elle se cambrait sans pudeur pour s’offrir pleinement à ses baisers diaboliques. Et soudain, la jouissance lui permit à son tour de les rejoindre dans leurs extases.

***

Voulez vous vivre votre fantasme en toute sécurité ? Dans un moment de pure sensualité et de plaisir enivrant. Pourquoi ne pas briser vos tabous et prendre du plaisir en compagnie d’un homme du monde qui traitera votre épouse avec tout le respect qu’elle mérite et ne vous jugera pas d’avoir envie de libertinage sans lendemain. Laissez moi vous transporter dans mon monde érotique pour une soirée hors du temps en toute discrétion et en toute sécurité. Vous oublierez tous vos soucis et Madame pourra se donner à un gentleman lors d’une expérience de divertissement pour adulte unique dans un respect mutuel avec protection.

Au plaisir de vous séduire, de vous faire rire, de vous découvrir tous les plaisirs que l’on peut prendre à trois. Mais avant tout faisons connaissance autour d’un drink sans engagement et je vous dirai tout ce que vous brulez de savoir. Mais n’oubliez jamais que l’on ne vit qu’une fois…

Au plaisir de faire de cette rencontre. Jean

TEL/SMS/WHATSAPP: +33755186013
Mail: man.jean@yahoo.fr
website: https://escortboy.org

website: https://escortboy.org


  • 0
candauslime à genoux

Soirée de candaulisme avec un gentleman

Category:candaulisme,escort boy,Experience,Femmes,triolisme Tags : 

Son mari servit les boissons sur la table du salon, puis se déshabilla aussitôt, pressé de se libérer du carcan de ses vêtements, pour être enfin nu, à l’aise…

Madame avait gardé sa robe panthère sur elle, tandis que ses cheveux flottaient autour de son visage, soulevés par le petit vent de printemps parisien qui entrait par la fenêtre.

Assoiffés, ils se désaltérèrent debout, enlacés avec bonheur. Il faisait bon, l’air était idéalement doux, comme une caresse sur la peau…

Cette soirée allait à nouveau leur procurer un cadre idéal pour un partage de sensualités. Madame avait envie de folies et de rires, son corps réclamait des mains masculines…

Elle leva les yeux et aperçut alors Jean, qui venait de rentrer dans le salon après avoir pris une douche et les regardait, debout, nu, les mains sur ses hanches, avec un sourire éclatant dans l’obscurité.

Son mari le vit aussi et murmura avec humour, ayant perçu ses envies naissantes. Voici l’étalon que j’offre à ma belle sauvage qui a besoin de ses services…

Madame sourit et regarda attentivement son compagnon pour vérifier son humeur. Rassurée, elle se pencha pour poser son verre, puis se dirigea spontanément vers le gentleman pour femmes exigeantes ou couples comme il aimait à le dire sur son site https://escortboy.org , marchant pieds nus, ondulant des hanches dans une invitation coquine, le regardant dans les yeux, un sourire explicite aux lèvres…

Il sembla fort apprécier la vue de ses formes mises en valeur par cette robe qui collait à son corps de manière provocante ; Madame s’arrêta devant ce mâle que son mari lui offrait, puis s’approcha tout près, son regard glissant de la tige virile en érection dressée vers elle, jusqu’au visage de Jean qui s’était un peu crispé, dans l’expression sans équivoque de son désir.

Il tendit les mains vers elle, les glissant de ses hanches à ses seins, puis redescendant à ses fesses avec des grognements de fauve affamé ; puis brusquement, il l’attira contre lui, tandis qu’elle s’appuyait de ses mains à ses épaules chaudes et douces, collant son visage près du sien, pour l’entendre murmurer à son oreille, une petite phrase coquine dont il avait le secret pour exciter les femmes.

Madame était devenu une vraie panthère ! Elle était terriblement excitée et excitante… Il mordilla doucement le lobe de son oreille, ajoutant des mots très coquins qui la firent tressaillir.

Elle avait réveillé la bête en lui, il sentait qu’il allait la prendre fort, la baiser comme elle le méritait devant son mari ! Il lui administra une claque à son cul qui la fit frémir, elle se sentit mouiller d’envies. Il prit alors ses lèvres, pour un baiser possessif, passionné, qu’elle lui rendit avec le même feu.

Elle sentait sur eux le regard de son mari, elle savait combien il aimait la voir prendre les devants en amour, et se comporter comme une femme sensuelle et intrépide, jouant à susciter les désirs d’un homme, ainsi que son goût pour la voir se comporter sans tabous : elle connaissait Jean et savait pouvoir lui faire confiance… Elle décida de se lâcher, d’oser se montrer animale, femelle, sexuelle.

Elle joua de son corps pour le mettre en scène sous les yeux de son mari, ondulant et se cambrant, renversant sa tête en arrière pour s’offrir à son amant, grondant sourdement comme une louve en chaleur sous les baisers qui dévoraient sa gorge. Jean ne se priva pas non plus d’en rajouter, sachant ce que voulait son mari !

Jean dévora Madame de morsures légères à son cou, puis à ses seins qu’il découvrit d’une main, la retenant contre lui de l’autre. Il releva sa robe sans vergogne.

Son mari restait derrière eux, souriant, les observant avec excitation. Il aimait voir Madame en pleine action, regarder comment son corps bougeait et frémissait, ainsi que ses sursauts et ses frissons nés sous les mains d’un autre. Il ne se sentait pas inquiet, il avait pu lui dire à loisir ses fantasmes d’être le troisième d’un trio, celui qui contemple sa femme se donner à un autre, et les admirer faire l’amour, pour les rejoindre ensuite. C’était un vrai « candauliste », un homme si amoureux de sa femme qu’il aimait la voir sans lui, pour encore mieux la savourer de dos ou de profil, pour la regarder se donner…

Madame prenait déjà du plaisir, sous ces mains robustes et douces qui la déshabillèrent rapidement, relevant le tissu souple de sa robe par-dessus sa tête pour la jeter derrière elle sur une chaise. Elle se retrouva nue contre le torse dur et brûlant de son amant, électrisée de sensations. Il l’entraîna vers le divan sur lequel il se coucha sur le dos, lui ordonnant à voix basse de le sucer.

Elle le toisa, puis avec un sourire, se mit à la tâche. Elle se baissa pour approcher de lui à genoux sur le divan, comme une panthère. Il la regardait avec excitation, son sexe frémissant…

Elle se frotta alors contre lui, caressant son corps de ses seins ou le balayant de sa chevelure ondoyante, pour de divines sensations. Elle passait et repassait autour de sa queue durcie, enroulant ses mèches autour de celle-ci pour les retirer doucement tandis qu’il râlait de plaisir, puis elle la faisait coulisser entre ses seins pour de savants va-et-vient qui le rendaient fou.

Il finit par attirer Madame à lui, la faisant se coucher complètement sur son corps, prenant sa bouche pour un baiser passionné, torride, sensuel, voluptueux, tandis que ses mains la caressaient à son tour, de la nuque aux fesses, des épaules aux hanches, avec feu et douceur, avec sensibilité et ardeur, pour la mener à un orgasme qui la fit se raidir et crier de surprise, la bouche toujours prise par la sienne dans un baiser de feu.

C’était la première fois que Madame éprouvait autant de plaisir amené seulement par des caresses et des baisers sur sa peau, sans que sa fleur ou son clitoris n’aient eu besoin d’être touchés… Ils se regardèrent mutuellement avec éblouissement, découvrant l’un par l’autre de nouveaux délices…

Ils continuèrent longuement leurs jeux, entre caresses voluptueuses et baisers, rythmés par les orgasmes réguliers de Madame, qui adorait décidément ce traitement de faveur. Jean contenait son érection, malgré le contact avec ce corps doux et chaud aux formes féminines qui était terriblement excitant, mais il était décidé à la contenter toute la nuit s’il le fallait…

Son mari approcha enfin, incapable d’attendre plus longtemps… Il se joignit aux caresses de Jean sur le corps de Madame qui se sentit aux anges, appréciant ces quatre mains masculines rien que pour elle…

Puis Son mari la fit se placer à cheval au-dessus de Jean pour qu’elle s’empale sur son membre durci, tandis qu’il lui présentait le sien, raidi et empressé d’être accueilli dans sa bouche gourmande…

Ils jouèrent ainsi tous trois, puis changèrent de position, Jean se plaçant derrière Madame pour la prendre en levrette, agenouillée sur le divan, le pieu de son mari toujours entre ses lèvres.

Les deux hommes la baisaient avec énergie, soufflaient et grondaient, enragés, contenant leur plaisir avec peine, tant la situation était jouissive ; ils restaient attentifs aux réactions de Madame pour s’adapter à ses ressentis, la prenant avec fièvre, avec force, sans aucun excès qui l’aurait gênée, la caressant sans cesse, pour plus de plaisir…

Madame gémissait et jouissait sans interruption, mouillant le sol de sa sève intime coulant à petits filets ininterrompus le long de ses jambes. Ils changèrent de place plusieurs fois, ne voyant pas le temps passer, dans une danse complice empreinte d’une communication intuitive des désirs et plaisirs de chacun…

Enfin, son mari après avoir pris Madame longuement, tandis qu’elle avait goûté au sexe de Jean, ressentit le besoin de jouir. Il l’attira de nouveau à sa queue raidie, tenant sa nuque d’une main exigeante, lui demandant le rythme particulier qui le mena à la jouissance, tandis que Jean muni d’un préservatif, explosait en elle…

Madame cria aussi, ressentant les plaisirs de l’un et de l’autre, pour un orgasme partagé à trois, qui les laissa pantelants, parcourus de spasmes, comme les répliques d’une secousse érotique qui les aurait parcourus…

Ils restèrent enfin allongés, les « uns contre les autres », se reposant, béats, souriant de satisfaction. Puis ils parlèrent de la vie et de l’amour, des hommes et de leurs sensations, des femmes et de leurs orgasmes, du candaulisme, d’érotisme et de plaisirs…

Ils apprécièrent ce moment intime plutôt exceptionnel d’une relation aussi positive entre trois personnes qui ne se connaissaient que depuis quelques heures, et se le dirent avec reconnaissance…

Ils eurent soif et se levèrent pour boire, puis ils se sentirent fatigués et se dirent bonne nuit, avec des regards complices. Les deux hommes se donnèrent une poignée de main, comme deux amis ; Madame embrassa Jean, comme un amant.

***

Voulez vous vivre votre fantasme en toute sécurité ? Dans un moment de pure sensualité et de plaisir enivrant. Pourquoi ne pas briser vos tabous et prendre du plaisir en compagnie d’un homme du monde qui traitera votre épouse avec tout le respect qu’elle mérite et ne vous jugera pas d’avoir envie de libertinage sans lendemain. Laissez moi vous transporter dans mon monde érotique pour une soirée hors du temps en toute discrétion et en toute sécurité. Vous oublierez tous vos soucis et Madame pourra se donner à un gentleman lors d’une expérience de divertissement pour adulte unique dans un respect mutuel avec protection.

Au plaisir de vous séduire, de vous faire rire, de vous découvrir tous les plaisirs que l’on peut prendre à trois. Mais avant tout faisons connaissance autour d’un drink sans engagement et je vous dirai tout ce que vous brulez de savoir. Mais n’oubliez jamais que l’on ne vit qu’une fois…

Au plaisir de faire de cette rencontre. Jean

TEL/SMS/WHATSAPP: +33755186013
Mail: man.jean@yahoo.fr
website: https://escortboy.org

website: https://escortboy.org

 


  • 0
trio avec ma femme et un escort boy copie

Le triolisme : comment assouvir ce fantasme quand on est en couple avec un escort boy

Category:candaulisme,Couple,triolisme Tags : 

Ce soir, mon mari et moi sommes partis à l’assaut de la piste de danse. Il y a trop longtemps que je ne suis pas sortie en boîte et que je n’ai laissé mon corps s’exprimer. J’ai envie de me jeter dans la foule et de sentir les corps se frotter contre le mien. Et si je trouve un deuxième mâle à mon goût… pourquoi pas ?

Mon mari va s’assoir et me regarde de loin danser sur la piste. Il fait chaud, mais je me trémousse comme si j’avais le feu aux fesses. J’aime sentir la musique qui vibre en moi et la façon dont ma jupe se soulève lorsque je pivote. L’air frais entre mes cuisses est une bénédiction.

Tous ces danseurs en sueur m’excitent et je ne suis pas mécontente de sentir un corps se coller au mien. Un gentleman se frotte par-derrière. Même si les mouvements sont furtifs, j’imagine son érection contre ma croupe et je retiens ses mains lorsqu’elles se posent sur ma taille.

Je me déhanche davantage et frotte mon postérieur contre lui. Cette fois, ce n’est pas mon imagination qui me joue des tours. Il y a bel et bien une tige dure contre le haut de mes fesses.

Je recommence à bouger lascivement, reviens vers lui et il me serre dans ses bras. Le rythme ne se prête pas à ce genre de danse, mais j’ai envie de sentir son érection, encore. Il se déhanche, se frotte contre moi et de sentir son sexe érigé me donne envie de bouger davantage.

Subtilement, je déplace mes mains, puis le caresse furtivement sur le torse, descends jusqu’à son ventre et reprends mon geste dès que je frôle ce qui déforme à peine son jeans. Ses mains sur mes hanches se raidissent, puis me serrent Le corps en feu davantage contre lui.

Sa bouche se glisse dans mon cou, m’embrasse de façon délicieuse alors que son bassin donne de petits coups prometteurs contre moi. Ma parole, il le fait exprès ! Dans une tentative forcée pour garder la tête froide, je reporte mon attention sur lui.

Ses bras me ramènent contre lui et il frotte délicatement son nez contre le mien avant de dire. Il me propose de boire un verre et j’accepte sans hésiter. D’abord parce que j’ai soif, mais aussi parce que j’espère qu’il me proposera d’aller le boire ailleurs. Chez lui, par exemple, en position horizontale. Ou verticale. Qu’est-ce que je m’en fiche ! Je suis même un peu déçue qu’il m’entraîne dans le fond de la salle, loin de la sortie, et à une table où mon mari est déjà là, en train de siroter une bière.

A cet instant, je comprends que mon mari a organisé cette sortie pour me faire vivre un expérience de triolisme avec un escort boy dont il m’avait parlé quelques semaines auparavant et cette idée m’avait alors beaucoup plus.

En moins de trois secondes, je me retrouve en sandwich entre deux hommes dont l’un des deux est mon mari et je suis la première surprise lorsque la main de l’escort boy se glisse entre mes cuisses. Autant j’en avais envie, autant ça me gêne qu’il le fasse alors que mon corps est contre celui de mon mari qui ne m’a pas dit le moindre mot.

Avec un visage souriant, il me fixe tout en remontant sa main vers mon jardin secret, se met à le caresser à travers la culotte. Pour le principe, je pose ma main sur son avant-bras, mais en réalité, je ne le retiens pas du tout.

Surtout lorsque je sens le plaisir se faufiler dans mon bas-ventre. En fait, je crève d’envie qu’il contourne le tissu et qu’il me fasse jouir ici. Pourquoi est-ce qu’on irait ailleurs, après tout ?

À son tour, mon mari m’enlace et je me retrouve dans les bras de mon mari pendant qu’un homme inconnu me tripote sans hésiter. Ça me plaît, deux hommes. L’escort boy ralentit ses caresses sur mon jardin secret en feu.

Je ferme les yeux. Mon corps s’abandonne à eux. L’un qui m’embrasse dans le cou, l’autre qui me fait grimper au paradis. C’est rapide. Probablement parce que je ne retiens rien du désir qui m’anime et de cette envie de perdre la tête qui me ronge depuis que je suis là.

Une bouche s’écrase sur la mienne pendant que je gémis et les bras qui m’enserrent la taille se raffermissent. Je suis délicieusement coincée entre deux hommes et je viens de jouir à la vue de tous. Pourtant, quand j’ouvre les yeux, je vois que personne n’a eu le loisir d’admirer le spectacle.

Retirant ses doigts de ma chair vive, Jean pousse une bière vers moi. Celle de mon mari, je crois, mais je m’en fiche. Je la prends et cale ce qui en reste d’un trait. Ça me fait un bien fou et je le remercie du regard.

D’habitude, mon mari me laisse me taper des femmes à l’occasion, mais ce soir, il avait envie de… de voir. Ou peut-être d’essayer. Il ne sait pas trop, en fait.

L’escort boy me demande si je veux qu’il me fasse l’amour devant mon mari et peut-être que mon mari voudra jouer avec nous. Je suis sûr qu’il ne dirait pas non à une jolie bouche sur sa queue.

Pour le principe, je fais mine de réfléchir, mais mon bas-ventre m’indique qu’il est plus que d’accord à l’idée d’être baisée devant un mon mari.

Dix minutes plus tard, nous retournons à notre appartement du centre-ville. Je me sens bizarre d’être là, avec deux hommes, mais je n’ai pas peur. Ou sinon de ne pas jouir à ma faim. Mais les doigts de Jean m’ont déjà convaincue qu’ils savaient mener une femme au septième ciel. De ce fait, je ne m’inquiète pas trop.

Mon mari nous propose de quoi boire, visiblement nerveux d’être là, mais je m’avance vers la baie vitrée avant de me tourner en direction de Jean, une main nonchalamment posée entre mes seins. Ni une ni deux, il écrase sa bouche sur la mienne et fait glisser les bretelles de ma robe sur mes épaules, tire mon vêtement vers le bas, dévoile ma poitrine, menue il est vrai, mais ferme. Enfin, il s’agenouille pour me retirer le tout.

Personnellement, la technique aurait été plus simple s’il avait glissé la robe vers le haut, mais un homme à mes pieds, ce n’est pas pour me déplaire. En plus, ça lui permet de me retirer ma culotte qui est plutôt bien trempée. Dans sa position, il remonte une main entre mes cuisses. Je me régale, puis je regarde mon mari qui nous observe assit sur le fauteuil.

Jean se penche pour retirer le reste de ses vêtements. Mes yeux sont décidément très sollicités. D’abord vers le sexe bandé de l’homme devant moi, mais aussi sur le visage souriant de mon mari qui se délecte de cette situation un peu à l’écart. Je donnerais cher pour les avoir tous les deux à mes genoux.

Décidément, ce jeu me fait mouiller comme une folle. Assez pour avoir envie d’attirer mon mari dans le jeu. Avec un peu de bonne volonté, il va se masturber devant moi ou me laisser sucer sa queue pendant que l’escort boy s’occupera de me pilonner à bon rythme. il faut que je me calme, autrement je ne pourrai pas me concentrer et je vais perdre la tête en trois secondes.

Jean me ramène vers lui, pose un baiser délicat sur ma bouche, comme pour vérifier que ça ne me dérange pas qu’il m’embrasse. Au contraire !

S’il pouvait le faire un peu plus bas, ce serait même parfait ! Je réponds à ses lèvres qui se mettent à me dévorer. Son excitation est vive et pas seulement dans son baiser. Son sexe se frotte sur moi et je le saisis d’une main. Comme lui, il est long et lisse.

De quoi me faire passer une très belle nuit. Je gémis en le masturbant doucement, puis je me souviens de ses paroles au club et à la possibilité d’avoir la queue de mon mari dans ma bouche en prime. Sans attendre, je me laisse tomber sur le sol pour commencer une fellation. J’y mets toute ma détermination pour le rendre fou. Plus il jouira fort, plus notre spectateur voudra se joindre à nous. Et moi, juste à cette idée, j’y investis toute mon énergie.

J’empoigne ses fesses bien fermes et les pousse vers moi. Sa queue gonfle sur ma langue, se gorge de sang et ne demande qu’à jouir. Je le sens.

Quand il se met à grogner comme un animal, je retiens mon rire, mais je ne peux m’empêcher de jeter un œil en direction de mon mari qui s’est approché de nous, la queue dans une main et l’astiquant à bon rythme. Je me détache de Jean et je fixe la seconde verge.

Je ne sais pas si c’est une invitation, mais il se laisse tomber sur le canapé et relâche son sexe. Délaissant Jean, je me jette sur l’autre queue, à peine moins longue que la première, mais plus épaisse. Dans ma bouche, j’avoue qu’elle occupe un espace considérable et qu’il ne me déplairait pas de la sentir autre part.

Les doigts de l’escort boy reviennent en moi, me caressent vite et pourraient probablement me faire jouir en quelques secondes, puis je l’entends qui me questionne à voix basse, les doigts complètement au fond de mon sexe. Il me demande si je veux qu’il me prenne.

Mon corps lui répond en se mettant à couler sur lui, puis je gronde en faisant danser ma croupe, la verge de mon mari toujours entre mes lèvres. Du coin de l’œil, je le vois qui s’éloigne et il jette une boîte de condoms sur le sol, près de moi, avant d’en enfiler un. Je m’écarte.

De moins en moins capable de me concentrer sur la fellation que je prodigue à mon mari en sachant que je serais de bientôt prise en sandwich. Quand Jean s’agenouille derrière moi et me pénètre d’un coup, je gémis. Une main se pose sur ma taille, une autre sur ma tête.

Ma voix s’emporte sous le plaisir, la sienne se fait entendre. Contrairement à Jean qui jouit en grognant comme un animal, mon mari a un souffle bruyant, comme s’il retenait le son qui pourrait s’échapper de sa bouche. Moi, je n’ai pas ce problème, en ce moment, puisque j’ai la bouche bien remplie.

Je change parfois de technique pour vérifier s’il préfère quand je caresse ses testicules ou quand je fais glisser ma langue sur son gland. Derrière moi, l’escort boy s’active et commence à me faire perdre la tête. Jouir la bouche pleine, j’avoue que ça ne m’est pas arrivé souvent, alors je peine un peu à garder le rythme de ma fellation, finit par tout arrêter pour reprendre mon souffle, puis me mettre à gémir comme une folle en espérant que mon amant ne s’arrête pas maintenant.

Mon mari, que j’ai cessé de sucer, se met à se masturber, le regard rivé sur moi et la bouche grande ouverte. Lui, c’est un voyeur et de me voir jouir ainsi, ça lui plaît, j’en suis sûre. Quand j’explose, je serre les cuisses de mon mari entre mes doigts et hurle comme le ferait un loup à la lune.

Un jet de liquide me gicle en plein visage et un râle se fait entendre. Mon mari décharge sur moi en retenant son cri. Je souris devant sa perte de contrôle, mais je reporte rapidement mon attention vers l’arrière où Jean s’active de plus en plus vite. Lui, il a vraiment une voix bestiale quand il crie, mais il est comme moi : il ne se retient pas et s’enfonce complètement pour venir en moi.

Je sens sa barre de fer qui pulse, mais je ne suis pas mécontente qu’il ait mis une capote. Puis Jean m’étend sur le sol et m’écarte les cuisses devant mon mari. Je suis bien, calmée par mon précédent orgasme, et prête à subir tous les coups de langues qu’il voudra bien me donner, quoique je préfère les coups de queue, ça, je ne mentirai pas là-dessus. En même temps, j’avoue que ça m’excite de sentir le regard d’une tierce personne sur moi, alors que je suis dans une position pareille.

L’escort boy a une bouche de rêve. À voir, à embrasser, mais bien plus agréable quand elle est sur mon sexe. Il sait comment lécher une chatte, ça, je ne peux pas le nier. Sait-il autant y faire avec une queue ? Je ferme les yeux, savoure son coup de langue et je gémis pour lui montrer que ses doigts ont tout à fait leur place dans mon ventre.

Je me concentre sur les sensations plutôt que sur les explications de Jean. Des doigts me palpent, entrent en moi, touchent mon jardin secret, parfois doucement, parfois de façon rude. Enfin, ils passent aux choses sérieuses. L’escort boy recommence à embrasser mon intimité et sa langue me titille agréablement. J’avoue que je perds le fil de ce qui passe, mais je sens que mon mari prend le relais. Il est gauche et plutôt maladroit, mais d’une main sur sa tête, je le guide. Ses lèvres sont fermes et quand il frôle mon jardin secret de sa langue ferme, je frissonne en gémissant.

La bouche entre mes cuisses, mon mari se démène. Une chose est sûre : il apprend vite ! D’autres doigts se joignent aux miens sur sa tête, l’écrase Le corps en feu sur mon sexe et je me cambre de plaisir. L’escort boy se glisse à mes côtés et me sourit.

Il se met à m’embrasser avec fougue. Sa main se pose sur ma poitrine, puis griffe délicatement mon ventre. Toutes ces bouches sur moi, ça me rend folle. Je sens que je vais perdre la tête. Mon corps se met à se tortiller et je noue machinalement mes bras autour du cou de Jean pour le serrer contre moi. Notre baiser devient rapidement une plainte et je jouis sans retenir le plaisir que mon mari me donne. Je veux qu’il entende tout ce qu’il provoque en moi. Et je songe, non sans une petite pointe de triomphe, qu’un homme vient de me lécher mon pistil d’amour jusqu’à l’orgasme.

L’escort boy ne cesse plus de m’embrasser, puis mon mari apparaît de l’autre côté et je me jette sur lui à son tour, dévore sa bouche. Même en rêve, je n’aurais espéré apparaître ainsi, entre deux hommes, mais chacun paraît content de son sort. Moi la première ! Jean caresse délicatement mon jardin secret, puis fait chanter mon sexe avec le bout de ses doigts qu’il trempe à l’intérieur.

L’intermède se termine et je vérifie du côté de mon mari qu’il a envie de me prendre, lui aussi. Mon mari ne répond pas, mais je lui fais signe de venir devant moi, déterminée à le sucer pendant qu’il patiente. Il marche à genoux jusqu’à moi, mais au lieu de rester debout, il s’étend sur le dos et je grimpe sur lui pour plonger son sexe dressé entre mes lèvres. Derrière, j’entends le sachet du préservatif que l’on déchire et je suis concentrée sur ma tâche lorsque Jean me prend doucement.

Moi aussi, j’adore, mais je ne peux pas lui répondre puisque je dévore une jolie queue et tente, difficilement, de me concentrer sur la jouissance que je provoque chez mon mari. Embrochée de toute part, je me sens fébrile. Mon corps est hyper sensible et j’ai la sensation que mon sexe frétille chaque fois que Jean me pénètre. Peut-être que c’est la situation qui me rend aussi excitée ou juste le fait d’avoir eu mon lot d’orgasmes, ce soir.

Pourtant, je n’ai pas envie que ça se termine. Quand je m’empale sur la queue de mon mari, large, je ne retiens pas mon râle de satisfaction. Surtout que le corps de l’escort boy se colle au mien, par-derrière, et qu’il m’empoigne la poitrine.

Ses mains me touchent et je sens celles de mon mari qui enserrent mes cuisses. Quand il remonte son bassin, je hoquète de surprise et de plaisir. L’escort boy cherche à trouver mon jardin secret et je suis tellement prête à jouir que c’est à peine si je l’entends dire à mon mari d’attendre un peu.

Pourquoi ? N’est-ce pas un peu cruel de le brimer ainsi alors qu’il se fait prendre par sa femme ? Ah et puis, qu’est-ce que je m’en fiche, au fond. L’important, c’est que moi, j’explose. Et je le fais dans un cri qui m’irrite la gorge, en sautillant sur mon mari comme une furie, arquée vers l’arrière.

Je retombe vers l’avant, enlacée par les bras de mon mari, mais Jean me fait tomber sur le côté et je me retrouve à nouveau en sandwich entre deux hommes adorables. Ils m’embrassent pendant que je recouvre mes esprits. L’un sur la bouche et l’autre dans mon cou. Des mains se promènent sur moi. Je suis un jouet pour eux et je les laisse me toucher sans rechigner.

Mon mari sourit sous mes lèvres et je sens ses doigts qui viennent se loger en moi, puis titiller mon jardin secret. Ah oui, il apprend vite ! Pendant que je me laisse bercer par ses caresses, je sens Jean qui caresse mon petit trou.

Malgré moi, je me raidis. Pas que ça ne m’est jamais arrivé, mais je ne peux pas dire que j’apprécie ce genre de pratique plus qu’il n’en faut. Percevant mon hésitation, il cesse de bouger son doigt.

Je n’ose pas lui dire que les deux fois où c’est arrivé, j’étais complètement saoule et que, la première, c’était loin d’être une partie de plaisir. Et là, deux hommes allaient y passer ? Mon regard se pose dans celui de mon mari et je soupire, chassant les réserves qui m’animent.

Il recommence à bouger son doigt, puis en ajoute une deuxième. Probable qu’il a raison, car je ne ressens aucune douleur. Enfin… de ce côté-là. En réalité, ce sont les caresses de mon mari qui s’intensifient sur mon jardin secret qui accaparent mon attention.

L’escort boy demande la permission à mon mari de me prendre par derrière, celui-ci hoche la tête. Mais au lieu de me prendre, il glisse sa langue entre mes fesses et se met à me lécher. C’est très étrange et pendant un moment, même si je ne dis rien, j’avoue que ça me gêne.

Jean se glisse devant moi, à la place où se trouvait mon mari, il n’y a pas deux minutes, puis je le vois qui récupère un préservatif. Bordel, la boîte est presque vide.

Heureuse de ne plus avoir à penser à ce qui se passe de l’autre côté, je me glisse vers sa verge et me fais une joie de le reprendre entre mes lèvres.

L’avantage d’avoir deux hommes, c’est de toujours avoir une queue sous la main. Les yeux empreints de désir, il me fait signe de venir m’empaler sur lui, ce que je fais sans attendre. Ses bras me serrent et je sens le corps massif de mon mari se frotter contre le mien. Pendant que je chevauche Jean, il me glisse deux doigts derrière et soupire.

Je ne sais pas pourquoi, je frétille d’envie. La voix de mon mari me semble empreinte de désir et moi, je me sens complètement offerte à leur plaisir. Je n’ai rien à faire à part me déhancher et les laisser faire tout ce qu’ils veulent de moi. Même si je tente de me contracter, je sens que tous mes orifices s’ouvrent et plus il me doigte, moins je sens ma peau s’étirer.

Puis les mains de Jean me guident pour me sodomiser dans cette position. Je le fixe sans comprendre, légèrement anxieuse d’être au-dessus de lui. Contre toute attente, je glisse sans difficulté sur sa queue et son sourire s’affirme aussitôt.

Jamais sexe ne m’a parut aussi gros qu’à cet endroit. Selon l’angle dans lequel je me trouve, ça tire un peu, mais ce n’est jamais très désagréable.

Par précaution, j’évite de m’empaler complètement dessus. Je ne sais pas pourquoi, ça m’effraie. Pourtant, c’est plutôt doux comme pénétration. Rien à voir avec mes autres expériences.

Même si Jean me guide, j’expérimente. Tantôt penchée vers l’avant, puis cambrée vers l’arrière. J’avoue que je suis un peu déséquilibrée par ma position, mais quand je me dresse un peu plus et que mon bassin donne un petit coup sec pour se replacer, les mains de Jean me retiennent en place.

Je reprends le mouvement et je ferme les yeux, intriguée de sentir une petite vague de chaleur agréable qui se faufile en moi. Je suis loin de l’orgasme, mais je vais peut-être y prendre du plaisir. C’est déjà ça ! Sans réfléchir, j’accélère, cesse d’avoir peur de le prendre tout en moi et je fais semblant que je baise comme d’habitude. Je me mets à le chevaucher.

Doucement, d’abord, puis de mieux en mieux. Je ferme les yeux, légèrement étourdie par les sensations qui grimpent en moi. Je n’y arriverai jamais, mais soudain, ça me paraît possible de jouir ainsi. Quand le plaisir apparaît, je deviens complètement folle.

Je galope sur mon cheval et je sens mon membre qui se gonfle chaque fois qu’il se frotte sur la chair de Jean. Lui, il gémit de plus en plus fort, toujours comme un animal, d’ailleurs, jusqu’à ce qu’il perde la tête. Trop tôt pour moi, mais je suis tellement avide de poursuivre que je continue de me déhancher tant que son érection n’est pas complètement disparue.

Derrière moi, mon mari se manifeste à son tour et me pousse vers l’avant, m’oblige à relever la croupe vers lui. La virilité de Jean s’échappe de mon corps, mais une autre, vigoureuse et prête à l’emploi, plus large aussi, vient m’embrocher. Dès la première pénétration, je lâche un cri.

Il me pénètre à nouveau. Doucement, puis fort, cognant son membre en moi et me faisant sursauter à chacun de ses passages. Je me mets à jouir, juché sur le corps de Jean, bien que sa présence disparaisse rapidement de mon esprit. Les coups de queue de mon mari vont me rendre folle. Tout ce que j’arrive à dire, ce sont des « oui » que j’espère suffisant pour ne pas qu’il s’arrête tant que je ne suis pas arrivée à destination.

Il me secoue en Le corps en feu grognant, puis s’acharne de plus en plus rudement sur mon postérieur. Je ne sais même plus quand l’orgasme me saisit tellement c’est rapide. C’est un feu qui gronde en moi et qui semble se répandre partout dans mon corps. Je crie.

À gorge déployée, la croupe emprisonnée sous ses mains, mais le dos cambré et la tête vers le ciel. Je reste là, prise dans l’ouragan qui vient de s’abattre sur moi quand la jouissance de mon mari me ramène à la réalité. Sous moi, L’escort boy m’observe, un bras replié derrière la tête et un sourire moqueur inscrit sur ses lèvres.

Je l’embrasse pendant que mon mari se retire, puis je sens d’autres bras qui me tirent sur le côté. Encore une fois, je suis prise en sandwich entre quatre bras qui m’étreignent. Je ferme les yeux. J’oublie tout. Je suis tellement bien.

                                                        ***

Avez-vous des fantasmes à explorer ? Beaucoup de couples rêvent de certaines situations érotiques sans pouvoir les vivre. Vous êtes tous en droit de profiter de la compagnie d’un gentleman qui traitera votre compagne comme une lady et ne jugera pas votre envie de sexe et de plaisir sans lendemain pour vivre un fantasme. Un gentleman qui vous transportera dans la magie d’une soirée hors du temps en toute discrétion et en toute sécurité. Vous oublierez tous vos soucis et pourrez lâcher prise lors d’une expérience de divertissement unique dans un respect mutuel avec protection.

Au plaisir de vous séduire, de vous faire rire, de divertir votre couple. Mais avant tout faisons connaissance autour d’un drink sans engagement et je vous dirai tout ce que vous brûlez de savoir.

Au plaisir de faire votre connaissance. Jean

☎ +33755186013
@ man.jean@yahoo.fr
🌐 https://escortboy.org


Agenda

mai 2023
L M M J V S D
1234567
891011121314
15161718192021
22232425262728
293031  

Recherche