Etre accompagné dans sa pratique trioliste
Category:candaulisme,triolismeMonsieur voulait Etre accompagné dans sa pratique trioliste. Nous étions tous les trois dans le salon, assis sur les deux canapés se faisant face à face. Monsieur et Madame occupaient l’un, moi l’autre. Personne ne disait mot. Il y avait un peu de gêne. Pas un malaise, plutôt de la timidité. Les sourires et les regards échangés étaient à la fois complices et embarrassés.
Finalement, c’est Madame qui se montra la plus courageuse ou la plus motivée. Elle se tourna vers Monsieur et approcha ses lèvres de son oreille, lui murmurant quelque chose que je n’entendis pas. Sans doute une incantation secrète de couple interdite pour moi.
Sous l’effet des formules magiques de la shamane la tension perceptible quelques instants plus tôt s’était dissoute. Il ne restait plus que deux complices en train de rire bas en s’échangeant des secrets dont j’étais exclu.
C’était un bon départ. Très bon. Tellement bon même que j’en arrivai à me demander si c’était vraiment la première fois pour Madame. Elle continuait de murmurer à l’oreille de Monsieur, provoquant de petits rires.
Ces lèvres se rapprochant du visage de Monsieur, effleurant imperceptiblement son oreille, déposant un baiser furtif sur sa joue, un autre un peu plus appuyé dans son cou. Monsieur semblait ne s’apercevoir de rien.
Elle avait fermé les yeux et écoutait, laissant s’échapper de temps à autre un éclat de rire. Mais petit à petit, une nouvelle tension prenait forme, sans rien de commun avec celle initiale. C’était une tension électrique, érotique ; un courant circulait entre les deux corps, renforcé par chaque baiser de Madame.
Monsieur gardait les yeux clos. Ses bras le long du corps ne bougeaient plus. La respiration un peu plus rapide que d’habitude, il se laissait faire. Madame s’était tue. Ses baisers se faisaient aventureux, se rapprochant lentement de la bouche. Un premier aboutit sur le coin des lèvres, un autre pile dessus.
Madame répétait ses baisers sur des lèvres un peu crispées. Patiente, elle ne voulait pas forcer les choses et attendait une réponse à son appel. Quelques secondes de plus et elle arrivait à ses fins. Monsieur ouvrit ses lèvres, offrant un passage à la langue audacieuse.
C’en était fini de la passivité de Monsieur. En répondant aux baisers de Madame, tout son corps s’était animé. Sa main s’était détachée du canapé et glissée dans les cheveux blonds, collant un peu plus leurs visages l’un contre l’autre. Dans un assaut retenu jusqu’à présent, sa langue était partie à la rencontre de celle de Madame.
Des deux gorges montèrent des gémissements simultanés. Les deux corps allaient maintenant l’un vers l’autre, s’appelant au travers des vêtements. Monsieur caressait les cheveux de Madame tout en l’embrassant et en l’attirant un peu plus près de lui. Madame répondait avec autant de vigueur et d’enthousiasme. Les langues se touchaient, se mêlaient, se mélangeaient.
Madame changea de position afin de libérer une de ses mains qu’elle posa sur le ventre de Monsieur. Ses doigts se glissèrent entre deux boutons de sa chemise afin de caresser la peau nue dessous.
Son souffle devint un peu plus rapide. Mettant fin au baiser, il bascula la tête en arrière et l’appuya sur le rebord du canapé, le visage tourné vers un ciel imaginaire. Les lèvres de Madame entamèrent alors une lente descente, suivant le dessin de la joue de Monsieur en remontant jusqu’à l’oreille.
Elles longèrent la ligne de la mâchoire avant de parcourir le cou. Elles s’attardèrent là pour embrasser chaque morceau de peau accessible, dessinant des arabesques du bout de la langue. Libérant ses deux mains, Madame entreprit de retirer sa chemise.
Monsieur poussa un soupir de plaisir. La respiration de Monsieur se faisait plus rapide.
Madame dégrafa son soutien-gorge et libéra ses seins pour offrir son téton à la bouche de Monsieur qui s’empressa de le sucer. Le bassin de la belle amorça de lents allers-retours.
Ses cuisses s’étaient écartées, faisant remonter sa jupe. Quand Monsieur glissa sa main entre les cuisses ouvertes pour les remonter et se glisser sous le collant puis sous la culotte, la queue de Monsieur et la mienne se tendirent simultanément.
Au moment où la main de Monsieur s’était aventurée contre le sexe de Madame, elle s’était une nouvelle fois figée, le bassin collé contre Monsieur, le souffle bloqué, la bouche entrouverte. Ses yeux étaient clos mais plissés dans une expression de plaisir intense. Ce visage, c’était celui d’une jouissance imminente.
Sous la jupe, je devinais les doigts de Monsieur qui s’étaient arrêtés de bouger dans la fente humide afin de retarder l’orgasme et prolonger le plaisir. Madame reprit lentement sa respiration tandis que Monsieur lui mordillait le bout des seins et que sa main recommençait à la caresser.
Faisant une pause dans ses caresses, Monsieur s’agenouilla au pied du canapé, entre les cuisses de Madame, le visage tourné vers elle. Des deux mains il remonta sur les hanches la jupe, puis attrapa collant et culotte ensemble pour les faire glisser le long des jambes et les jeter à l’autre bout de la pièce. Le sexe humide surmonté d’un triangle de poils noirs apparut.
Monsieur saisit les deux cuisses et attira Madame à lui, l’installant dans une position plus confortable pour elle. Vautrée dans le canapé, le cul juste à la bordure, les genoux remontés au niveau de ses épaules, Madame exhibait sa chatte et son cul, sans retenue, dans une position d’attente. Sa respiration n’était plus qu’un long soupir de plaisir et d’impatience.
Monsieur contempla le sexe offert quelques secondes, puis sans hésiter en approcha ses lèvres, glissant sa langue aussi profond qu’il le pouvait.
A deux mains, Madame s’était emparée de la tête de Monsieur et la collait contre son sexe. De longs râles vibrants sortaient de sa bouche. Puis Monsieur se recula et retourna Madame pour la mettre à quatre pattes pour plus de confort. Il me fit signe de passer à l’action alors qu’il se plaçait devant Madame pour qu’elle puisse prendre sa queue en bouche.
Abandonnant mon canapé, je m’agenouillais derrière Madame. Saisissant le bord de son chemisier, je le fis remonter le long de son dos afin de dévoiler ses reins. J’y déposais des baisers appuyés.
Je glissai mes mains sous son ventre et remontais sous son chemisier jusqu’à sa poitrine. Elle ne portait pas de soutien-gorge, ses seins vinrent tout naturellement se poser dans mes mains.
La forme de ses seins, leur douceur, les tétons qui venaient gonfler et frotter contre mes paumes était un appel à la luxure et au plaisir.
Elle était toujours à quatre pattes, j’en profitais pour me coller derrière, frottant mon sexe contre son cul. Je ne lâchais pas ses seins pour autant, et continuai à embrasser son dos. Madame commençait à pousser de petits gémissements.
Avec précaution, je déposai un baiser sur chacune des fesses tendues. Je les répétais, insistant un peu, les appuyant davantage. Ma langue amorça une balade nonchalante, guidant son trajet sur l’étoile centrale.
Madame se cambrait un peu plus, m’offrant ainsi un meilleur accès. Du bout de la langue, j’effleurai le petit trou.
Un frisson parcourut Madame et elle laissa s’échapper un gémissement plus fort.
Autre coup de langue, même frisson, nouveau gémissement. Je m’enhardissais. De la pointe de la langue, je caressais les abords du petit trou, formant des cercles concentriques qui doucement me rapprochaient du centre. Les gémissements de Madame se faisaient plus fréquents, plus longs, plus profonds.
Ma langue devenait plus audacieuse. J’en enfonçai la pointe dans son cul jusqu’à sentir les muscles se contracter autour, la retirai légèrement, puis revenait à la charge pour m’enfoncer un peu plus loin.
Madame gémissait mais n’arrêtait pas de sucer la queue de Monsieur. Son corps tendu était cambré au maximum et son cul venait à la rencontre de ma langue dans l’espoir d’être pénétré plus profondément.
La situation devenait intolérable. Il fallait non pas que je la « sodomise », mais que je l’encule. La sodomie, c’était la froideur d’un acte médical, l’enculage c’était la libération des pulsions animales. Mais quel que soit le point de vue, il aurait été maladroit de la prendre aussi sèchement.
Tout en la baisant du bout de la langue, je tâtonnais sous le canapé à la recherche de mes jouets. Je trouvais ceux qui m’intéressaient, un tube de gel et un petit gode anal rose en latex accessoire indispensable aux explorations du côté osbcure des femmes.
Je l’enduisis d’une couche de gel et, après avoir retiré ma langue, l’approchai du cul de Madame. A son contact, elle arrêta de bouger une seconde, puis entama des mouvements de bassin, afin d’aider le god à se faire une place. le plug anal y réussissait d’ailleurs plutôt bien, aidé par les mouvements de Madame et par moi.
Je répétais le va et vient en insistant à chaque pression pour qu’il s’enfonce un peu plus. Après quelques instants, le cul de Madame l’avala jusqu’à sa base. Je le retenais d’une main tandis que Madame continuait d’aller et venir à sa rencontre, le faisant ressortir puis entrer un peu plus loin.
De mon autre main, j’avais enfin libéré le prisonnier de mon caleçon. Pour le féliciter de sa patience, je l’avais massé et enduit de gel. Si Monsieur ou Madame m’avaient effleuré à cet instant, j’aurais explosé. Mais je voulais me retenir, j’étais trop prêt du but pour me laisser aller maintenant.
Je retirai le plug anal. Le trou du cul de Madame était un peu ouvert, détendu, prêt à me recevoir. Saisissant la base de ma queue, j’en pressais contre l’orifice, forçant doucement le passage. Madame poussa un râle à mi chemin entre douleur et plaisir. Je prêtais plus d’attention à la partie plaisir.
J’allais et venais lentement, m’enfonçant un peu plus à chaque mouvement. C’était chaud, c’était étroit, c’était aussi bon que je l’avais espéré.
Quelque chose venait de cogner contre mes couilles : la main de Madame. Elle avait commencé à se caresser et les mouvements de ses doigts se faisaient de plus en plus rapides sur sa chatte.
En plus, elle jouait avec son anus, tour à tour le décontractant, puis le contractant le plus fort possible autour de ma queue, provoquant des sursauts de plaisir dans tout son corps. Elle n’allait pas résister longtemps dans ces conditions.
Elle allait jouir, je le savais. Tout son corps se crispa, elle se mit à sucer Monsieur comme un animal en rut. Tandis que de sa bouche avalait sa queue au fond de sa gorge, le cul de Madame se contractait autour de ma queue.
Elle ne bougeait plus à l’exception peut être de sa langue sur le sexe de Monsieur et de sa main qui allait incroyablement vite sur le sien. Un tremblement se mit à l’agiter et un long cri sortit de sa bouche.
Toutes deux jouissaient en même temps sous mes yeux. C’en était trop, tout simplement. Je me collai contre Madame et sentis le plaisir m’envahir alors que mon élixir jaillissait provoquant ma jouissance.
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