Son mari se passa la langue sur les lèvres et alors que Jean remontait le soutien-gorge de sa femme par dessus ses seins.
Category:CoupleEn attendant l’heure du rendez-vous, Madame ressentait une pointe d’excitation. Sous son chemisier, ses seins pointaient. En fermant les yeux, sa chatte mouillait déjà en s’imaginant en train de se faire baiser par son mari et le gentleman qu’il avait contacté. Jean arriva à l’heure et son mari le fit entrer dans le salon. Ils prirent un coupe de champagne afin de se détendre.
À la façon dont le gentleman la regardait, elle devinait sans difficulté qu’il avait envie d’elle. D’ailleurs, elle en avait envie aussi. Elle avait envie de vivre cette expérience devant les yeux de son mari consentant.
Madame sentit une douce chaleur se répandre dans son corps. Elle avait des frissons dans le ventre. Elle avait appuyé ses fesses contre le bord du bureau du salon et Jean vint à côté d’elle, tout près. D’une main, il lui caressa les cheveux, défit avec douceur l’élastique qui retenait ses mèches blondes en queue-de-cheval.
Ses cheveux se répandirent sur ses épaules. C’était l’approche la plus directe et la plus sans gêne qu’elle avait connue. Il ne s’expliquait pas, ne cachait pas ses intentions comme s’il était sûr qu’elle allait se laisser faire. Et c’est d’ailleurs ce qui se passait.
Elle ne se reconnaissait pas elle-même. Son esprit commençait à s’embrouiller sous l’effet de l’alcool et de l’excitation. Son mari les observait avec délectation.
La main de l’inconnu passa de ses cheveux à sa cuisse. Il remonta sa jupe de quelques centimètres.
Le gentleman lui malaxait les seins à travers son chemisier. Il déboutonna son chemisier et l’ouvrit, dévoilant un soutien-gorge en dentelles noires. Son mari se passa la langue sur les lèvres et alors que Jean remontait le soutien-gorge de sa femme par dessus ses seins.
Il se remit à les malaxer l’un après l’autre et Madame gémit. Ses pointes étaient incroyablement dures. Son gentleman les fit rouler entre ses doigts. La jeune femme voulut l’attirer à lui pour l’embrasser mais l’homme repoussa avec douceur et fermeté ses bras le long de son corps.
Elle n’avait pas l’habitude qu’on la traite ainsi mais ça la chavirait de se transformer en poupée docile le temps d’une baise. Elle n’avait jamais fait ça de sa vie et ça commençait à la rendre folle.
L’homme avait repris ses seins dans ses mains et jouait avec, les soupesant l’un après l’autre comme s’ils étaient de la marchandise. Il gardait les yeux fixés sur eux et elle vit la bosse énorme qui déformait son pantalon.
Il lui ordonna de poser les mains sur le bureau. Frémissante, la jeune femme se tourna, posa les mains à plat sur le bureau. L’homme souleva sa jupe et la roula autour de sa taille, révélant son minuscule string noir ainsi que sa croupe ronde et ferme.
Il lui mit une claque sur les fesses qui la fit sursauter et pousser un petit cri. Il ne lui avait pas fait mal, son cri était un cri de surprise et d’humiliation. Elle se mordit les lèvres car elle n’avait jamais autant mouillé d’anticipation. Le mauvais traitement de l’homme aiguisait son désir, ses rêves inavoués de soumission et d’abandon.
Elle resta penchée, les mains sur la table, tête baissée, les fesses offertes et les seins sortis du soutien-gorge tandis qu’il promenait ses mains sur son corps.
Il l’explora et la regarda en toute tranquillité, prenant son temps, comme on évalue un objet dont on va se servir afin d’assouvir ses envies. Il lui pinça un mamelon, lui remit une claque sur les fesses, une autre sur les seins puis baissa son string.
Les yeux fermés, Madame lâcha un long gémissement quand l’homme glissa enfin une main entre ses cuisses. Elle était au-delà de la honte, absorbée par son excitation.
Elle mouillait énormément tellement cette situation était excitante alors que son mari les regardait en se caressant le verge qu’il avait sorti de son pantalon.
L’escort boy saisit son pubis, puis frotta sa main contre sa fente trempée, d’avant en arrière, répandant son humidité entre ses cuisses et ses fesses. La jeune femme ondula et tendit sa croupe en arrière, se cambrant le plus possible.
Il colla son pantalon contre elle et à travers le tissu, elle put sentir la dureté de son partenaire. Avec un frémissement, elle l’entendit défaire sa braguette. Il lui attrapa les cheveux, tira sa tête en arrière avec brutalité.
Il allait la fourrer comme une petite salope soumise par son mari. Il mit ensuite ses doigts dans sa bouche, l’obligeant à les lécher avant de recommencer à titiller les mamelons de la jeune femme. Sans retenue, il lui enfonça ses doigts dans la chatte et se mit à bouger en elle tout en caressant son clitoris du pouce.
Madame sentit une vague de plaisir l’envahir. Cette domination bestiale exercée sur elle lui faisait perdre tous repères et toutes limites. En cet instant elle n’avait plus aucune dignité, elle voulait juste que l’homme engagé par son mari la prenne et la fasse jouir.
Il cessa de la doigter pour enfiler un préservatif sur son membre énorme dressé pour elle. Il agrippa à nouveau la chevelure de la jeune femme pour lui faire voir l’emballage déchiré avant de le jeter sur la table sous son nez.
Le gentleman lui écarta les jambes du genou. Les fesses en l’air, elle se laissa coucher sur la table, la joue contre l’emballage du préservatif et miaula quand la queue de son amant taquina l’entrée de son jardin secret.
Il s’insinua en elle d’un coup, la remplissant et râla de plaisir lui aussi. Elle était bien serrée car la queue de Jean était longue et épaisse.
Il passa une main sous son ventre, recommença à lui agacer le clitoris tout en effectuant de lents va-et-vient. Les yeux mi-clos, plaquée contre la surface froide de la table, elle le vit regarder sa grosse bite lui rentrer dedans. Cette vision lubrique la mena sans qu’elle sache pourquoi au bord de l’orgasme. Elle haleta de plus en plus fort, emportée. Puis son mari s’approcha du couple en action.
La dame ouvrit les yeux et tenta de se redresser mais Jean plaqua une main contre sa nuque et s’allongea sur elle, sa queue toujours entre ses jambes.
Jean pressa un peu plus fort son clitoris, déclenchant une nouvelle montée de plaisir. Il lui lécha le cou et lui mordilla l’oreille avant de se relever.
Son mari s’approcha plus près, un sourire coquin aux lèvres.
Se faire baiser par un inconnu était déjà un fantasme inavouable mais elle savait qu’elle allait maintenant donner du plaisir à deux hommes en même temps ! Pourtant elle n’eut pas la force de se redresser. Comme elle ne réagissait pas, Jean recommença à empoigner ses hanches et à aller et venir dans sa chatte.
Sans se départir de son sourire, son mari effleura ses lèvres du doigt puis posa une main sur ses fesses. L’idée d’être manipulée et de servir leurs envies tel un jouet l’excitait au plus haut point. Ils allaient la rabaisser et la malmener jusqu’au bout et elle ne parvenait pas à lutter. C’était trop bon.
Malgré elle, la jeune femme recommença à gémir. Tandis que Jean continuait à la baiser, son mari commença à lui caresser les fesses, le dos et la nuque tout en la regardant se faire prendre. De sa main libre, il caressait sa verge.
La dame sentit l’orgasme monter. Elle s’abandonna complètement aux coups de reins de plus en plus violents de son amant et toucha le seuil de la jouissance quand deux doigts enfoncés dans son cul la firent redescendre un peu. Tout en commençant à se branler, son mari bougea ses doigts dans son anus avec un sourire vicieux. Il ne l’avait jamais touchée là. C’était sa toute première fois. La surprise la fit haleter de plus belle. Elle se sentait terriblement humiliée par cette intrusion, honteuse de se laisser faire et d’aimer ça.
Les doigts de son mari bougèrent lentement tandis que la bite de Jean la pilonnait à un rythme soutenu. Le contraste lui fit tourner la tête et elle ferma les yeux pour accueillir le plaisir qui grondait à nouveau. Mais avant qu’elle n’ait pu jouir, son partenaire se retira d’elle, ôta son préservatif et éjacula sur ses fesses dans un râle.
Tremblante, elle se laisse faire quand les mains de son mari prirent le relais. Il lui fit enlever son string jusque-là baissé à mi-cuisse, puis sa jupe. Les yeux rivés au sol, n’osant regarder aucun des deux hommes, elle obéit quand son mari lui intima de retirer sa jupe et de s’en servir pour s’essuyer.
Il saisit le bout de tissu souillé puis le posa sur la table à côté d’elle quand elle eut fini. Il lui déclara d’une voix froide qu’elle allait encore en avoir besoin. Après quoi, il la souleva sous les aisselles et l’aida à s’asseoir sur le bureau, cuisse grande ouverte.
Ainsi exposée et offerte, elle garda fermement les yeux baissés quand les deux hommes lui tripotèrent sans vergogne les seins et la chatte. Elle évitait leur regard et ne voyait que leurs mains sur sa peau de satin. Ils la doigtèrent l’un après l’autre, puis en même temps. Deux doigts dans le cul, deux doigts dans la chatte ; échangèrent en riant, en s’excitant mutuellement.
Les doigts noirs de son mari lui fouillèrent les deux entrées simultanément tandis que la main de l’escort byo lui claquait et lui pinçait la poitrine.
Maintenant si dur qu’il se sentait sur le point d’exploser, son mari saisit son épouse par les cuisses. Il la positionna à sa guise, ramena son bassin tout au bord du bureau et la pénétra. Comme Jean plus tôt, il observa sa verge aller et venir dans la petite chatte rose de sa cochonne de femme. On voyait bien les rondeurs de ses lèvres intimes car elle était parfaitement lisse en dehors de quelques poils blonds sur le pubis.
Il la tint par la taille pour bien lui rentrer sa bite à fond et les seins de la femme ballottèrent en rythme. Il sortit sa langue pour lui lécher les pointes à chaque fois qu’il s’enfonçait en elle.
Madame atteignit enfin l’orgasme sous l’œil des deux hommes. Les commentaires dégradants, la bestialité des ébats la poussaient au-delà de ses limites, de sa maîtrise habituelle. Elle découvrait la jouissance absolue, la liberté dans le fait d’être transformé en objet sexuel. Elle n’avait plus aucun effort à fournir, elle se contentait de se soumettre, de s’abandonner au désir de l’autre.
Trempée, elle se mordit la lèvre inférieure quand son mari se retira de sa chatte pour descendre un peu plus bas et se positionner à l’entrée de son anus. Jean lui caressa le ventre et les seins.
Jean lui mit un peu de gel pour la préparer et son mari enfonça sa verge de quelques centimètres entre les fesses de sa femme.
Elle poussa un petit cri. Son mari la pénétra en douceur, peu à peu, bougeant lentement pour qu’elle s’accoutume à lui et qu’elle n’ait pas mal. Alors que son mari faisait un effort pour contrôler la rapidité de ses allers et retours, Jean glissa sa main libre entre les cuisses de la jeune femme. Il lui mit un doigt dans la chatte avant de revenir titiller son clitoris.
Elle se laissa à nouveau aller, les cercles que traçait la main de son amant sur son intimité ranimaient son excitation.
Son mari grognait en lui bourrant le cul de plus en plus vite. Il la renversa sur la table, la forçant à se coucher à plat dos et lui releva les cuisses afin de mieux accéder à elle.
Son escort boy lui posa une main sur la gorge, serrant juste assez pour décupler les sensations de la dame et lui imposer une domination totale. Entre ses jambes, son mari passa de son anus à sa fente mouillée et commença à alterner, la baisant d’un côté ou de l’autre, à l’envie.
La jeune femme jouit une nouvelle fois tandis que son mari la relevait d’une main pour se finir sur ses seins. À bout de souffle, elle laissa le liquide crémeux couler sur ses mamelons et son ventre.
Une part d’elle aurait aimé que ce soit un simple rêve érotique afin qu’il ne puisse pas la juger. Mais c’était bien réel, elle se laissait sauter de la pire des manières par son mari et cet inconnu. Elle avait pris du plaisir comme jamais et remercia son mari et Jean de lui avoir fait vivre cette expérience hors limite.
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Au plaisir de faire votre connaissance. Jean
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