Soirée de plaisir animale avec un gentleman
Category:Accompagnateur,escort boy,gentlemanL’escort boy avait rendez-vous avec un femme pour une soirée de plaisir animale avec un gentleman. Il se présenta à la réception de l’hôtel quelques minutes avant vingt heures. Le concierge appela la dame pour annoncer Monsieur Jean. Il lui indiqua le numéro de la chambre et l’étage. Jean prit l’ascenseur déjà excité à l’idée de retrouver cette femme qui l’attendait prête pour un séance de plaisir avec un gentleman inconnu.
Cette femme était une lionne, et il allait la dompter. Aucune entrée en matière, aucun préliminaire, aucune préparation. Madame se tenait debout devant lui, déjà nue. Une main posée sur la poignée de la porte, l’autre posée contre un retour de mur, elle lui barrait le chemin.
Un jambe légèrement en avant masquait à peine son intimité, alors que ses seins nus, durcis par l’atmosphère fraîche de la pièce climatisée, se tendaient en avant vers lui. Il eut à peine le temps de voir son visage : elle s’était maquillée comme pour un soir de fête : ses yeux, qui lui donnaient un air malade et faiblard tout à l’heure, étaient désormais habillés par un eye-liner noir et un mascara assorti, qui faisaient ressortir l’animalité de son regard.
Ses lèvres étaient enduites d’un baume rouge sombre, qui contrastait élégamment avec la blancheur pure de son teint de peau. Ses cheveux, savamment coiffés en hauteur, laissaient s’échapper quelques mèches récalcitrantes qui tombaient dans son dos et devant son visage. Il eut à peine le temps de capturer cette image dans sa mémoire avant qu’elle ne disparaisse : déjà, elle s’agenouillait devant lui, et empoignait sa virilité.
En quelques secondes à peine, celui-ci se retrouva de nouveau tout entier dans sa bouche, et elle le suçait avec avidité, tout en le regardant droit dans les yeux. L’homme n’en croyait pas ses yeux. Il était vingt heures pile, elle le pompait déjà, et il était toujours debout dans le couloir.
Il profitait avec délectation de cet instant comme suspendu dans le temps. Certes, il se souvenait qu’il était venu avec l’idée de la démonter ; mais, Quel mal y avait-il à la laisser d’abord prendre les rennes, le temps de le chauffer un peu ? Si cela lui faisait plaisir.
Et a priori, elle semblait en effet prendre du plaisir : elle maniait son manche à la perfection, sans fausse note. Peut-on réellement réussir aussi bien ce que l’on entreprend si l’on aime pas un minimum ce que l’on fait ? Il ne se posait même pas la question, bien trop occupé à savourer les va-et-vient de cette petite langue tiède sur lui. Il bandait bien, si bien que son corps était dans le couloir, mais que son gland, lui, était dans la chambre.
Debout sous les lumières chaudes, sur la moquette pourpre, dans cette allée remplie de moulures et de tableaux somptueux, il lui semblait que la nuit tombait alors qu’il fermait ses paupières pour mieux se concentrer sur ses sensations.
Il ressentait les caresses, humait le parfum, écoutait les bruits de succion, lorsqu’il entendit un bruit métallique dans le lointain. Il eut un mouvement pour se dégager de l’emprise de Madame, qui le stoppa, en compressant son sexe entre ses mains. Il attendit.
Un second bruit, plus fort, et il tenta d’avancer dans la chambre ; mais encore une fois, il ne put bouger. Il fit un pas en avant, et s’empala dans la gorge de la jeune femme, qui restait agenouillée là, comme plantée dans le sol. S’il ne pouvait pas s’enfoncer plus profondément en elle, il ne pourrait pas avancer davantage.
Il attendit. Il entendit des bruits de pas étouffés sur la moquette. S’il les entendait, c’est qu’ils étaient tout près. Il tourna la tête, et vit un homme, à peine quelques mètres plus loin, qui s’avançait vers lui. Alors qu’il se figeait, son sexe se raidit, et Madame tentait de l’assouplir avec davantage de vigueur.
L’homme avançait toujours, et lorsqu’il ne fut plus qu’à un mètre ou deux, il hocha la tête, marmonnant un « bonsoir » courtois. Le gentleman lui rendit son hochement de tête, mais fut incapable de prononcer le moindre mot, alors que son gland tapait contre la luette de la jeune femme.
L’inconnu remarqua la mine figée du gentleman, et ralentit le pas pour voir ce qu’il se passait. Il vit la scène toute entière, une fraction de seconde, avant que son élan ne l’entraîne derrière l’homme. Il se retourna après l’avoir dépassé, sans s’arrêter, mais ralentissant encore le pas. Il observait cette jeune femme splendide, en train d’offrir une fellation à celui qu’il imaginait évidemment être son compagnon.
Il y en a qui ont de la chance, pensa-t-il, en jetant un dernier regard à l’homme, avant d’être forcé de se retourner pour continuer son chemin. Ses pas l’emmenaient au loin, mais son esprit resterait là pendant des heures, des jours. Pourquoi jamais personne ne m’a sucé dans ce couloir ? Je viens ici souvent, pourtant.
L’escort boy lui aussi mit un certain temps à se remettre de cette scène étrange. Quelle était cette femme qui se laissait voir en pleine action par des inconnus ? Il regardait Madame faire son office, et elle soutenait toujours son regard. Elle savait qu’un homme était passé. Elle savait qu’on l’avait vue. Elle s’en fichait. Peut-être même que ça lui plaisait.
Est-ce qu’elle espérait justement être vue, pour que d’autres hommes se joignent à eux ? Pensait-elle qu’il ne suffirait pas à la combler ? Ses pensées divaguaient alors que le regard de Madame, intraduisible, était toujours plongé dans le sien, et cela commençait à le rendre fou. Cela faisait plusieurs minutes qu’elle le suçait sans discontinuer, et il commençait à perdre patience. C’était bon, mais il lui en fallait davantage.
Il empoigna la jeune femme par les cheveux pour la faire se relever. Il tenait à se faire bien comprendre : s’il avait esquissé un mouvement peu sûr de lui tout à l’heure, là, il ne tolèrerait pas de se faire à nouveau repousser. Madame le comprit, et elle se laissa faire. Il la tira en arrière tout en avançant, et l’embrassa.
Il bandait comme un taureau, et il plongea sa langue entre ses lèvres sans se demander comment elle aimerait être embrassée. Il remplit sa bouche de sa langue épaisse, de sa salive fraîche, tout en la maintenant en arrière. Il se penchait sur elle pour mieux la dominer, et elle se courbait en arrière pour mieux se soumettre.
Il sentait son sexe frotter contre les cuisses nues de sa proie, battant de droite, de gauche, à mesure qu’il s’avançait. Leur progression fut finalement stoppée par les mollets de Madame qui butèrent contre le cadre du lit, et qui bascula immédiatement sur le matelas. Elle l’entraîna dans sa chute, et il tomba lourdement sur elle, incapable de se retenir.
Son sexe saillant s’écrasa entre leurs ventres. D’un côté, le gentleman contractait ses abdominaux, et la bite congestionnée était repoussée de l’autre, entre les hanches fines et sur la peau laiteuse et souple de la belle, qui épousait sa forme. Comme si elle était posée sur un oreiller confortable, la queue s’enfonçait pour se lover dans la chair tiède.
L’homme appréciait ce confort, et entamait déjà un mouvement de fornication. Il faisait glisser sa verge toujours humide de salive sur le corps mince, presque frêle. Il devait faire au moins deux fois son poids, et n’avait aucun mal à agir selon son désir. Il s’avança sur le lit, et son sexe remonta le long du corps de Madame, pour désormais se frotter entre ses seins. Il donnait les mêmes coups de reins que ceux qu’il donnerait plus tard en elle ; ainsi, il baisait sa poitrine, et Madame ne bougeait toujours pas.
Jean remonta encore, pour planter une nouvelle fois sa queue dans la bouche abandonnée ; mais cette fois-ci, Madame, la tête coincée entre le lit et les hanches musclées, étant prisonnière de ses mouvements, c’était lui seul qui déciderait du rythme. Et il lui baisa la gorge.
Ses testicules tapaient sur le menton qui rougissait, les poils de son pubis râpaient le nez qui s’écrasait, et son sexe écartait la mâchoire, bloquait la respiration, et faisait abondamment saliver la jeune femme qui, sur le dos, se noyait presque dans ses propres flux. À mesure que Madame toussotait, crachait, l’homme éructait, râlait.
Au bout de quelques minutes, il fallut de nouveau changer de position : si les sensations étaient agréables et variées, elles restaient limitées, et des centaines d’idées se bousculaient dans son esprit. Alors, il recula, et se leva, pour faire face à Madame.
Madame se retourna pour se mettre à quatre pattes sur le lit, dans une position des plus langoureuses. Ses fesses tendues vers le ciel masquaient ses jambes qu’elle tenait serrées pour mieux relever ses hanches. Son corps plongeait sur le matelas, de sorte que ses seins étaient enfoncés dans la literie, masqués par les draps enchevêtrés.
Son visage qui retrouvait peu à peu ses couleurs lui faisait face, et ses yeux criaient famine. Ses bras tendus en avant l’appelaient à elle, comme dans une position de prière adoptée pour plaire à un être tout puissant. Il ne réfléchit pas davantage.
Le gentleman posa son sexe sur le cul tendu. Il luisait encore, mais n’était plus vraiment humide : il espérait que la jeune femme mouillait. Il cracha sur elle, et d’une main, étala sa salive jusqu’entre ses lèvres. La précaution avait été inutile, et ce constat le fit vibrer de plaisir. Il enfila un préservatif.
Madame s’était mise en position, et était trempée rien qu’à l’idée de ce qui allait lui arriver, sans savoir ce que ce serait. Alors, il la pénétra. D’un geste sûr, il entra tout entier en elle, sans même toucher le reste de son corps pour se guider. Il s’enfonça droit dans sa vulve sans difficulté, et ils gémirent de concert. Leurs sexes étaient affolés par tant de plaisir : la petite chatte se contractait sur le manche qui drainait à lui seul tout le sang du corps de l’homme. Celui-ci donna quelques légers coups de reins pour s’acclimater à ce nouvel habit qu’il enfilait, et, puisqu’il semblait parfaitement ajusté, s’immobilisa pour mieux se complaire en lui.
Madame se dandinait pour qu’il poursuive ces efforts tant attendus. Elle entendit dans son dos un souffle masculin. Jean prévoyait d’utiliser un lubrifiant pour mieux la pénétrer. Elle se trémoussait donc, avançant et reculant, pour satisfaire la soif de son vagin d’être pénétré.
Il se pencha en avant, pénétrant Madame au plus profond. Celle-ci soupira de satisfaction alors qu’elle sentait son corps sur elle, et que ses mouvements reprenaient. Madame gigotait, lui massant délicieusement le sexe. Elle aimait le plaisir que lui procurait la peau de l’homme contre la sienne.
Un râle d’homme continu se saccadait à chaque fois que le pénis arrivait en butée. Elle releva la tête. Elle vit l’homme, agenouillé entre ses jambes. Elle vit le chibre solide toujours planté dans son anus. Elle vit un sextoy disparaître sous son clitoris, entre ses lèvres. Elle cligna des yeux pour mieux voir, puis laissa basculer sa tête en arrière. Elle sentait le sextoy, modeler sa petite vulve sur son passage.
Elle sentait le jouet sexuel entrer en elle, toujours plus profond. Cela ne s’arrêterait-il jamais ? Alors que l’homme l’enfonçait toujours en elle, elle tentait de concentrer son attention davantage sur la bite, inerte dans son rectum, qui paraissait désormais bien moins à l’étroit.
Cette sensation là prise à part était bien plus agréable. Mais lorsque le sextoy fut entièrement entré, l’escort boy alluma les vibrations du sextoy et reprit en même temps son mouvement de va-et-vient. Il bourrait son manche dans son cul comme s’il était seul en elle. Il s’allongea sur Madame de tout son poids, et elle ferma les yeux. Il posa ses lèvres sur les siennes, et l’embrassa avidement.
Madame prenait en cet instant tellement de plaisir, car la langue de l’homme dans sa bouche, son énorme queue dans son anus, et le sextoy vibrant dans sa chatte représentaient trop de stimulations à la fois, et elle hurla. Rugissant comme une lionne prise par son mâle en rut. L’homme enfonça sa langue et son sexe plus profondément, et appuya son ventre sur elle pour comprimer le sextoy, et elle cria encore fort, emporté dans un orgasme qui lui fit perdre la vue pendant un instant. A cet instant l’homme déversa lui aussi son élixir en jouissant bruyamment.
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Jean
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