Les doigts magiques du photographe
Category:AccompagnateurLes doigts magiques du photographe effleurèrent délicatement son épaule. Madame avala sa salive, la bouche sèche. Elle ne savait que dire, que faire. C’est à peine si les doigts de l’homme touchaient sa peau, pourtant, elle lui semblait à vif, comme si ce feu qu’il allumait en elle l’avait brûlée.
Le trouble s’était aussitôt emparé d’elle. Et pas seulement le trouble. Son corps avait réagi violemment, en proie à un désir intense.
Elle avala vite une gorgée de vodka, affectant d’être plongée dans ses réflexions. Jean sourit. Une lueur amusée dansait dans son regard.
Sa vie sexuelle avec son mari n’était pas parfaite, mais le reste de leur relation l’était. Le mariage était affaire de compromis, non ? Elle ne pouvait s’accommoder d’une vie sexuelle tranquille. Elle voulait une passion débridée, le grand frisson, elle voulait vivre ses fantasmes.
Le professionnel de la photo de charme la regarda se déshabiller et elle sentit son corps réagir aussitôt. Son regard était posé sur elle, sensuel, professionnel, jugeant la façon dont sa peau accrochait la lumière, dont les ombres caressaient les courbes de son corps.
Elle tendit la main dans son dos et fit glisser la fermeture de sa robe. L’air frais de l’atelier effleura sa peau, la fit frissonner. Elle fermait les yeux et imaginait que c’était sa main qui venait de se poser, là, au creux de ses reins.
Elle sentait soudain comme un picotement au creux de ses reins, l’envie irrépressible qu’un amant vienne y poser ses doigts. Elle ferma les yeux.
Ella croisa les bras sur sa poitrine et saisis les bretelles de sa robe. Ce n’était pas nécessaire. Un seul mouvement aurait suffi à les faire glisser de ses épaules.
Mais elle avait besoin de ce contact. Elle le désirait ardemment, elle l’appelait de tout son être. Elle pressa ses bras contre ses seins, les caressait, troublée de sentir leur pointe se dresser, durcir contre sa chair tandis que sa robe tombait au sol.
Il était là, toujours debout, derrière elle, et il m’observait, mais elle sentait que son regard avait changé. Elle ne portait plus désormais qu’un slip de dentelle noire et des escarpins à talons hauts. Elle refermait ses mains sur ses seins, espérant qu’il ne verrait que pudeur dans ce geste. Mais de pudeur il n’était pas question et elle étouffait un gémissement de plaisir tandis que pressant la pointe de ses seins entre le pouce et l’index, elle les titillait, toujours de dos à lui.
Peut-être était-ce le fruit de son imagination. Dans l’état où elle se trouvait, les seins gonflés et durs, son sexe palpitant d’un désir qui irradiait son ventre, ses reins, elle doutait de pouvoir analyser correctement ce qui se passait autour d’elle.
Jean vint s’asseoir à côté d’elle et, posant la main sur son genou, il le pressa doucement. Un geste qu’il faisait tout le temps, mais qui, jamais encore, ne l’avait conduite, comme aujourd’hui, à la limite de l’orgasme. Elle étouffa un cri et se rendit compte aussitôt qu’elle n’avait pas dû être aussi discrète qu’elle le pensait, car Jean la regarda bizarrement.
« Otez votre slip, dit-il, mais gardez nos escarpins. Je veux que vous vous installiez sur la chaise, près de la fenêtre. La lumière y est parfaite ». Elle acquiesça d’un signe de tête et fit ce qu’il lui demandait Elle glissait les doigts sous l’élastique de son slip de dentelle et commençait à le faire descendre le long de ses hanches, mais elle ne s’arrêtait pas là.
Elle plongea lentement un doigt dans son sexe humide et chaud et pressa son clitoris. Elle ne pensait pas jouir. Elle fut la première surprise, car ce fut incontrôlable et elle se retrouvait chancelante, tremblant de la tête aux pieds. Elle savait qu’il avait vu. Elle savait qu’il savait. Cependant, il ne dit rien.
Enhardie, elle se caressait de nouveau, juste pour s’exciter et se débarrassa du petit slip. Elle l’abandonnait sur le sol et jeta un regard par-dessus mon épaule. Il était debout près de l’appareil photo, une cellule pour mesurer la lumière à la main. Son visage ne reflétait rien, impassible, très professionnel. Mais le désir brûlait dans son regard. Et elle sut qu’il avait envie d’elle.
Elle termina son verre de vodka d’un trait et toussa, les yeux soudain emplis de larmes. Elle avait trop bu et son esprit embrumé se représentait toute la scène. Le modèle, assis sur la chaise, les jambes largement ouvertes pour lui. La lumière venant caresser son sexe, son clitoris. L’appareil photo braqué sur elle. La femme faisait l’amour devant l’appareil, se caressait, se faisait jouir, puis elle se donnait à l’homme.
Jean pressa ses doigts sur ses tempes douloureuses. Un soupir de plaisir lui échappa. Déjà, elle ne songeait plus qu’à la caresse de ses mains.
Elle les imaginait sur son cou, sa gorge. Elle savait qu’elle aurait dû réagir, l’interrompre, briser la magie de cet instant. Mais elle en était incapable. Les doigts de son escort boy devenu photographe d’un soir accomplissaient des merveilles et c’était le fantasme qu’elle lui avait demandé de réaliser.
Son secret. Il l’ignorait et c’était très bien ainsi. De cette façon, elle pouvait s’abandonner sans vergogne à la douce pression de ses doigts sur sa peau.
Les mains de Jean avaient abandonné ses tempes, glissé jusqu’à ses épaules nues qu’elles massaient doucement. Il se pencha plus près, son visage tout contre son cou. Son souffle chaud effleura sa peau, le lobe de son oreille, caresse délicieuse. Il allait la rendre folle.
Jean sentit son cœur s’emballer. Il s’efforça de conserver son calme, d’empêcher ses mains de trembler. S’il manifestait la moindre émotion, si Madame repérait ne serait-ce qu’une once de désir chez lui, elle se replierait aussitôt dans sa coquille.
Il avait envie de la caresser, de presser sa chair ferme et douce, de sentir les pointes durcir sous ses doigts et le cœur de Madame s’emballer. Il avait envie de laisser sa main glisser plus bas.
Puis, lentement, de l’insinuer dans son triangle de boucles moites et douces. Il avait envie d’effleurer son sexe du bout des doigts, puis d’en glisser un entre les lèvres délicates et de le plonger en elle. Il avait envie de l’entendre gémir, de sentir sa chair humide et chaude se refermer sur lui.
Aussitôt, elle sentit une pression insistante entre ses cuisses et une moiteur tout à fait caractéristique qui lui donna envie de se caresser. Et plus elle se disait qu’il ne fallait pas que Jean s’en rende compte, plus son trouble croissait.
Le souffle lui manqua soudain et elle ferma les yeux, n’entendant plus que le martèlement de la pluie sur les vitres et le cliquetis de l’appareil photo. Jean supprima le flash. Désormais, elle n’était plus éclairée que par la flamme des bougies. Une lueur rouge orangée. La couleur du feu, du désir sous les doigts magiques du photographe.
La pointe de son sein était dressée et dure et l’aréole gonflée tout autour. Elle imagina Jean abandonnant l’appareil photo et s’approchant d’elle. Elle l’imagina posant ses lèvres sur sa peau, prenant son sein dans sa bouche tandis qu’il glissait une main entre ses jambes.
Un gémissement lui échappa. Confuse, elle laissa le peignoir glisser jusqu’à sa taille pour faire diversion. Jean poussa un petit grognement admiratif et elle entendit aussitôt l’appareil se déclencher, encore et encore, tandis qu’il prenait une série de photos en rafale. Elle entrouvrit les yeux et aperçut Jean qui se trouvait à quelques pas d’elle et bougeait, cherchant le meilleur angle, la lumière la plus favorable.
Cette pensée assaillit son esprit avec une telle soudaineté, une telle force, que ce fut un choc. Elle tenta de la chasser, mais plus elle s’y efforçait plus l’image de son corps soudé à celui de Jean, emporté dans le tourbillon de la passion, envahissait son esprit.
Elle faillit crier de frustration. Elle ne voulait pas se caresser. Elle voulait que ce soit lui qui la caresse. Elle voulait sentir ses mains sur sa peau, prenant possession d’elle… Mais l’idée de discuter, de refuser, ne lui vint même pas à l’esprit. Elle glissa ses mains entre ses cuisses, trouva son sexe et le caressa, les doigts aussitôt humides de sa sève.
Et elle se mit à bouger, lentement tout d’abord, tandis que ses doigts écartaient les lèvres gonflées de son sexe, trouvaient son clitoris et le pressaient. Elle serra les jambes, parcourue d’un frisson. Et elle bougea, bougea encore.
Soudain, la tension monta en elle, son pouls s’accéléra. Un gémissement lui échappa et elle intensifia la caresse, bougeant au rythme syncopé de ses hanches tandis que le plaisir s’annonçait, montait lentement au creux de ses reins. Arc-boutée, tendue, elle jouit brusquement, secouée d’un spasme.
Il prit sa main, tout doucement, et la conduisit jusqu’au canapé. Il l’installa à côté de lui, tout près, afin qu’ils puissent regarder ensemble les photos. Il les fit défiler sur l’écran, chacune lui rappelant un peu plus combien la voir faire l’amour devant l’appareil photo l’avait excité.
Parce que c’était exactement ce qu’elle avait fait. Et il avait failli perdre tout contrôle rien qu’en regardant la lumière caresser les courbes envoûtantes de ses seins. Lorsqu’il avait vu leur pointe se dresser, surpris cette expression de pure félicité sur ses traits, il avait su qu’il devait aller plus loin, la pousser à avoir un orgasme.
Il ne savait pas trop à quoi s’attendre en lui demandant de se caresser. Probablement à ce qu’elle refuse. Ce qu’il avait obtenu, à la place, c’était un fantasme devenu réalité et il lui avait fallu toute sa maîtrise pour ne pas jouir, lui aussi, tandis qu’il la photographiait.
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