Le plaisir érotique avec un gentleman

Le plaisir érotique avec un gentleman

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Lorsque la sonnette retentit, Madame savait que le plaisir érotique avec un gentleman, sonnait à sa porte. Elle sentit son cœur s’emballer. Elle se leva et courut à la porte, sa robe de chambre lui frôlant légèrement ses cuisses. Elle posa l’œil sur le judas et aperçut son visiteur tardif.

Aussitôt, elle sauta en arrière, tira le loquet et ouvrit la porte d’un coup sec. Elle l’attrapa par le devant de sa chemise et l’entraîna à l’intérieur. Elle lui passa la main derrière la nuque et l’attira contre elle.

Leurs lèvres se rencontrèrent. Elle pressa sa bouche plus fort contre la sienne. Impérieuse. Il lui rendit son baiser, découvrant la saveur de ses lèvres et de sa langue. Il posa les mains sur son corps, puis la souleva et la plaqua contre le mur. Il se cala entre ses cuisses, sa virilité en érection dépassant de son pantalon.

Il glissa les doigts dans les replis de sa robe de chambre et l’ouvrit, la bouche toujours collée à la sienne. Il continua à l’embrasser avec passion, même en s’écartant d’elle pour la dépouiller de son léger vêtement d’intérieur et la laisser.

Ses mains se refermèrent sur ses seins, lui caressant les tétons. Elle renversa la tête en arrière contre le mur. Voilà ce dont elle avait besoin. Cette chaleur qui lui courait dans les veines. Ce désir ardent qui lui tiraillait le bas-ventre.

C’était tentant. Surtout quand il baissa la tête sur son sein droit et referma les lèvres sur son téton, le suçant, le titillant. Elle retint un gémissement en sentant le bout de ses dents frôler la chair sensible.

Il émit un grognement et recula. Puis commença à se déshabiller. Elle s’éloigna de quelques pas. Elle leva la tête et lui sourit. Elle se retourna. Il la suivrait, elle n’avait aucun doute là-dessus. Et elle l’attendrait sur le lit.

Madame courut en haut de l’escalier, ses pieds nus battant les marches. Elle entendit l’escort boy se précipiter derrière elle, affamé, le souffle court.

La lumière du couloir se répandait dans la chambre. Madame eut à peine le temps d’entrer dans la pièce avant de sentir des bras puissants la soulever du sol. L’escort boy la porta jusqu’au lit et s’y laissa tomber avec elle.

Il lui bloqua les bras au-dessus de la tête, les retenant d’une main tout en l’embrassant de plus belle. Son autre main glissa sur son ventre et se faufila entre ses jambes. Il la trouverait humide et chaude, elle le savait. Un baiser de lui avait suffi.

Ça faisait si longtemps…

Toutes ces nuits à fixer l’obscurité. Seule. Mais pas ce soir. Mon dieu non, pas ce soir.
C’était peut-être mal. C’était peut-être trop rapide. C’était peut-être un million de choses…
Elle s’en foutait. Elle en avait assez d’être raisonnable. Elle avait fait de son mieux pour être une gentille fille, mais ce rôle n’était vraiment pas fait pour elle.

Du bout des doigts, il écarta les replis de son sexe. Il appuya le pouce sur son clitoris, et chaque muscle de son corps se raidit. Il avait toujours la main entre ses cuisses. Mais ce pouce contre son clitoris, ce n’était pas assez. Pas du tout. Elle voulait plus.

Il glissa deux doigts en elle. Puis les retira et les enfonça de nouveau. Plus profond. Il prit le bout de son sein entre ses lèvres. Le lécha. Le suça. La zone était si sensible que c’en était presque douloureux, mais le plaisir… oui, il était là, s’écoulant dans ses veines comme une chaleur liquide.

Elle libéra ses mains de son étreinte et fit glisser ses ongles le long de son dos. Il avait toujours son pantalon sur lui. Elle voulait qu’il l’enlève. Elle voulait qu’il en sorte sa grosse queue pour la pénétrer.

Il replongea les doigts en elle. Passa lentement le pouce sur son clitoris. Il descendit le long de son ventre. Il lui écarta les jambes. Il remonta jusqu’à sa bouche et l’embrassa dans un mélange de rage et de désir.

Elle attrapa le bouton de son pantalon. Elle ne pouvait pas retourner en arrière. C’était impossible. Cet escort boy. C’était lui qu’elle désirait.

Elle tira d’un coup sec, et sa braguette s’ouvrit. Il ne portait pas de sous-vêtements. Madame aurait souri si l’instant n’avait pas été aussi tendu. Elle avait toujours les jambes grandes ouvertes, la poitrine tendue et douloureuse.

Elle referma les doigts sur sa virilité tende et le caressa de bas en haut. Il était impressionnant. Long, épais, plus large que son poignet. Elle se passa la langue sur les lèvres.

Elle ouvrit le préservatif et le déroula le long de son membre durci. Elle en profita pour le serrer légèrement dans sa main : elle aimait la manière dont il retenait son souffle lorsqu’elle le caressait.

Son sexe palpitant ne pouvait lui mentir. C’était bien lui qu’elle désirait. Des muscles saillants. Un sexe massif. Des cuisses puissantes. Toute cette force dissimulée sous un costume de gentleman élégant.

Il l’attrapa de nouveau par les jambes et s’humecta les lèvres. Elle retint son souffle au premier contact de sa bouche, humide et chaude. Elle serra les doigts dans les draps et ferma les yeux.

Puis elle sentit le bout humide de sa langue contre son clitoris, et tous les muscles de son corps se contractèrent. Le souffle court, le cœur battant, elle se cambra contre sa bouche. Comme cet homme savait bien se servir de sa langue.

Puis elle sentit sa langue se glisser en elle. Madame murmura son prénom dans un gémissement. Puis une explosion brûlante, orgasmique, lui secoua tout le corps.

Il la laissa se convulser et remonta sur elle, pressant sa queue à l’entrée de ses cuisses. Les yeux plongés dans les siens, il la pénétra lentement. Ils s’épousaient parfaitement.

Après son orgasme, Madame sentait sa chair enflée et sensible. Il commença à se retirer. Probablement pour lui laisser le temps de s’ajuster. Elle lui entoura la taille de ses jambes.

Elle était avide de plaisir. Avec lui. Il plongea en elle. Plus loin, toujours plus loin. Le lit craquait tandis que les bougies projetaient sur eux une douce lumière. Il s’enfonçait. Se retirait. S’enfonçait de nouveau. Plus profond. Plus fort.

Juste comme elle le voulait. Madame le prit dans ses bras et se serra contre ses larges épaules, enfonçant ses ongles dans sa peau. Elle se cambra contre lui, haletante, le cœur battant à tout rompre.

Le plaisir était là, si proche. Elle resserra les muscles de son sexe autour du sien et frissonna, assaillie par tant de sensations. Elle allait goûter à cette jouissance dont elle rêvait chaque nuit, cette brutale explosion qui assombrirait sa vision, ferait trembler son corps.

Il roula soudain sur le lit, la laissant le chevaucher. Elle plaqua les mains sur son torse et cria son plaisir, les genoux s’enfonçant dans le matelas. Elle sentit les doigts de l’escort boy se serrer sur ses fesses.

Elle se levait et se rabaissait, prenant le contrôle du rythme. En haut, en bas. Encore, encore. Il leva les hanches à la rencontre des siennes, donnant des coups puissants qui la firent palpiter. Qui réchauffèrent son corps et lui serrèrent les entrailles.

L’orgasme approchant, ses muscles internes se mirent à convulser, et elle sentit le plaisir. Il la heurta de plein fouet, s’insinuant brutalement en elle et lui coupant le souffle. L’escort boy frémit sous elle, les pupilles dilatées, le visage rougissant. Son pénis enfla plus encore, et il grogna son nom.

Il explosa en elle avec passion, en un doux et brûlant apaisement. Elle en avait eu besoin pendant si longtemps. L’escort boy lui avait donné exactement ce dont elle avait besoin. Et plus encore.

Elle l’embrassa, mais avec plus de douceur à présent. Une simple pression des lèvres, la bouche ouverte contre la sienne. Leurs langues qui se caressaient. Un gémissement étouffé qui lui tremblait dans la gorge.

Puis elle le regarda. Passa le bout des doigts sur son torse. Elle ne savait que dire. Alors elle s’allongea sur lui. La tête posée contre son cœur, elle se contenta d’être là. Rien que pour un instant.

Un battement régulier lui résonnait au creux de l’oreille. Rapide d’abord, puis de plus en plus calme. Il l’entoura de ses bras et la tint serrée contre lui. Madame aimait le plaisir érotique avec un gentleman.