Escort Boy Pour Femme

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Mon Escort Boy Pour Femme me murmure des mots dans le creux de l’oreille puis il mordille mon lobe. Le sol va se dérober sous mes pieds, je suis si réceptive que je pourrais flancher et m’effondrer contre lui.

Il colle une main à ma taille, mon dos est contre son torse et je ressens pour la première fois son excitation derrière moi.

Il rit doucement, près de mon oreille, ce qui fait dévaler des frissons sur mon épine dorsale. Je tourne la tête, le regarde par-dessus mon épaule. Il est tout près, et je vois ses lèvres attrayantes, ses yeux perçants et profonds, je sens son parfum de cologne.

Ses doigts glacés courent sur mes joues, il enroule une de mes mèches rousses autour de son index sans rompre notre échange visuel.

— Déshabille-toi.

Mon cœur fait des loopings. Sa voix suave et doucement autoritaire me donne envie de céder. Céder à cette tentation qui me carbonise les os depuis si longtemps. Seulement, je me suis déjà mise à nu devant lui.

— Si tu le veux, tu n’as qu’à le faire toi-même.

Je décèle une lueur d’excitation dans ses yeux. Ses pupilles dilatées sont chargées de promesses charnelles. Jean est l’incarnation du danger, et le danger n’aura jamais été aussi beau et attirant. J’ai toujours pensé que la beauté et la puissance des uns étaient la malédiction des autres, parce qu’elles nous empêchent de reconnaître qui sont les vrais monstres.

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Cependant mon gentleman n’est pas un monstre pour moi. Il est celui qui subtilise des morceaux de mon cœur pour le remodeler dans une forme nouvelle, plus vive, plus résiliente.

D’un coup il agrippe mes bras, qu’il remonte au-dessus de ma tête. Il arrime le front au mien et son souffle chaud et mentholé enveloppe ma bouche. Cet assaut surprend mon cœur, qui bat de plus en plus vite.

Sa voix rauque me fait frémir, ses doigts s’ancrent dans ma chair ; il resserre son emprise sur mes bras, je ne peux plus bouger.

Jean me soulève dans ses bras. Il me porte comme si j’étais aussi légère qu’une plume. J’enroule les jambes autour de sa taille et je croise les mains derrière sa nuque.

Peu à peu le désir me gagne en guise de compensation émotionnelle. J’aimerais oublier, tout oublier. Les sentiments qui m’animent me prodiguent une langueur qui ne passe pas. La force aura beau me revenir, je reste hantée par les ombres de mon passé.

Je n’ai pas eu de relations sexuelles depuis si longtemps… Et maintenant je comprends que le sexe était une chose infecte avec mon ex. Il ne me donnait aucun plaisir. Peut-être au début, à cause de l’amour qui rend aveugle, mais par la suite tout a dégénéré. C’est pour ça que je ressens de l’envie, oui.

Je me redresse. Jean me tourne le dos et me scrute par-dessus son épaule. Un sourire se dessine sur ses lèvres et il finit par se retourner complètement vers moi.

Mon cœur caracole dans ma poitrine, je passe la main dans mes cheveux et laisse échapper un faible rire, gênée par ses mots. La distance entre nous se réduit doucement, à mesure qu’il avance vers moi. Il retire sa chemise et la jette sur une chaise contre le mur.

Sa main saisit la mienne alors qu’elle se trouve exactement au-dessus de son cœur. Mes yeux plongent dans les siens et une vague d’émotion me frappe. Il remonte mes doigts jusqu’à sa bouche et les embrasse sans me lâcher du regard.

J’ai besoin de son réconfort, de sa force, de la puissance si familière de ses mains sur moi. Je recule d’un pas en rompant tout contact physique avec lui et retire mon haut. Il esquisse un sourire narquois et jette un coup d’œil à ma poitrine enfermée dans un soutien-gorge en dentelle noire.

Escort Boy Pour Femme avale la distance entre nous, me fait basculer sur le lit et se retrouve sur moi, la main sur ma joue.

Sa langue me lèche les lèvres, ses prunelles sombres me contemplent avec un désir incandescent qui me brûle et me fait battre les paupières.

Et c’est là que les choses sérieuses commencent.

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Je m’arque effrontément contre lui lorsque ses lèvres effleurent ma joue. Je chuchote son nom en m’accrochant à sa nuque, tandis qu’il embrasse lascivement la courbe de ma gorge. Avec ses dents, il fait glisser une des bretelles de mon soutien-gorge, libère mon sein.

Sa langue dessine de petits cercles autour de la pointe turgescente. Ma peau tremble sous cet assaut et ma poitrine devient irrésistiblement sensible. Il dénude mon torse et jette derrière lui mon sous-vêtement en dentelle. Sa bouche chaude sur le galbe de mes seins renverse toutes mes défenses.

Mon corps se crispe de plaisir, je laisse mes doigts explorer les muscles veloutés de son dos ferme jusqu’à remonter à ses cheveux, que je saisis par poignées, brusquement, dès que sa langue se met à suçoter plus fort mon téton. Un grognement nous échappe à tous deux, il vibre contre mon cœur.

Il attrape mes poignets, qu’il plaque au-dessus de ma tête, contre le mur, dont la fraîcheur me surprend.

Jean se fige contre mon cou, arrête de m’embrasser et remonte jusqu’à mon visage pour me regarder. Ses pouces dessinent des cercles sur les paumes de mes mains.
Ses caresses sur mes mains me détendent peu à peu. J’aime ce qu’il fait, son geste est empreint de tendresse, source de réconfort. Ce qu’il me laisse alors découvrir de lui m’apporte une sensation lénifiante que je ne croyais pas possible.

Il esquisse un sourire en coin et exerce une faible pression sur mes mains.

J’aspire ma lèvre inférieure et plonge le regard dans ses prunelles marronnées. La lueur d’excitation que je lis dans ses yeux nourrit la flamme de mon désir ; je baisse les armes et laisse le plaisir écraser toute la colère qui reste enfouie en moi.

Sa bouche s’écrase sur mon lobe, il le mordille et sa langue flatte mon oreille. Je halète frénétiquement tandis que nos doigts s’entremêlent.

Mon cœur saute comme un fou dans ma poitrine. Mon regard trahit mon émotion et je m’en agace, persuadée que dans mes yeux il lit l’approbation. Je suis bien trop éprise, réceptive à ce qu’il est. Je perds le nord lorsqu’il m’analyse comme il le fait ; il guette le moindre de mes mouvements, le moindre changement d’humeur, veut constamment explorer les vestiges de mon passé, le tréfonds de mes pensées.

Et dans ses yeux je perçois sa patience à toute épreuve, sa confiance quand il a un projet en tête. Je devine aussi les secrets qu’il garde enterrés au fond de lui, et qui nourrissent son ambition aujourd’hui. Il renferme tant de mystères, tout est si nébuleux chez lui. Son regard parle pour sa bouche. Je lui ai demandé de m’embrasser, ses yeux m’ont soufflé qu’il n’était pas prêt.

Cependant, à son contact, j’ai appris la persévérance moi aussi, et ses mystères, j’accepte qu’il ne me les livre pas. Je me dis que ça peut attendre. Ce que nous partageons en ce moment est tout aussi fort.

Sans lâcher ma main droite, comme pour rester ancré à cette parenthèse que nous vivons tous deux, il détache la gauche de mes doigts. Les siens s’affairent à déboutonner mon jean puis ils plongent dans ma petite culotte, jouent avec mon bouton de chair trempé et je m’arc-boute pour rencontrer le renflement de son pantalon.

Mes hanches le supplient instinctivement et il enfonce délicatement un doigt en moi, puis le ressort avant de le faire pénétrer à nouveau. Ses yeux m’admirent tandis que je me cambre inlassablement contre lui, tâchant de réprimer la jouissance pour ne pas exploser trop vite. Jean enfonce un second doigt tandis que ses lèvres caressent ma joue avec sensualité.

Je gémis de plus en plus fort, au fur et à mesure que ses doigts s’engouffrent plus profondément en moi pour prolonger mon plaisir incandescent. Mon cœur bat à tout rompre et je me sens succomber à ses caresses.

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Soudain Escort Boy Pour Femme augmente la cadence du va-et-vient de ses doigts et mes hanches se déchaînent pour l’accompagner. J’ai besoin de lui, tellement besoin de lui. La soif de le sentir davantage en moi m’effraie mais en même temps me promet une puissance que je sais n’avoir jamais rencontrée. Cet homme m’a tant fascinée, il a tant avivé mes fantasmes que maintenant je veux lâcher prise avec un gentleman.

Abandonner ma colère, celle que je refoule et que je fais exploser sur un ring. Déposer les souffrances que j’ai endurées à cause d’un ex-fiancé violent. Lâcher prise… Oublier les chimères de mon esprit embrumé, les chaînes bouclées autour de mes chevilles.
Je veux lâcher prise.

Mais uniquement avec lui.

Je parviens à murmurer ces paroles alors qu’il se baisse vers mon entrejambe. Il me retire mon pantalon ainsi que le dernier bout de tissu qui me reste. Tendrement, il écarte mes cuisses et plonge la tête en direction de mon intimité. Son souffle chaud embrase ma chair mouillée. Je me cambre davantage tandis que ma respiration devient saccadée.

Ces mots s’achèvent dans un baiser qu’il dépose sur mon bouton de chair. Je gémis et attrape ses cheveux par poignées. Ses doigts s’ancrent dans mes cuisses, il les maintient fermement et sa langue suçote ma fente humide.

— Jean, Jean…

Mon plaisir est devenu sa mission. Avec lui le sexe est si différent, si agréable. Avec mon ex c’était une torture, avec Jean c’est la plus sensuelle des tortures. Sa langue se fraie un chemin entre mes lèvres mouillées, je pousse un petit cri et je ressens son rire rauque qui vibre entre mes cuisses. Je soulève mon bassin, l’invitant à s’enfoncer davantage, et il pince ma chair.

— mon Jean

Je ne le regarde pas, crispée par la vague de désir que sa présence déclenche. Dans ses bras, dans ses yeux je me sens spéciale moi aussi, comme si j’étais la première à gémir son vrai prénom. Tout le monde l’appelle Jean, sauf moi.

Il s’attaque ensuite à mon clitoris, le suçant si fort que je ne fais que tressaillir. Il me rend folle, folle, folle de lui. Je suis si folle de lui que je jouis sans plus me retenir et laisse mon plaisir intense se déverser de ma fente.

Mes muscles finissent par se détendre et ma poitrine monte et descend sous l’effet de ma respiration erratique. Jean me lèche l’intérieur des cuisses, remonte à mon ventre qu’il embrasse sensuellement et si lascivement qu’il éveille une nouvelle fois la flamme de mon désir. Il referme la bouche sur un de mes seins. Il l’empoigne et en lape la pointe férocement. Mes hanches cognent contre les siennes à la rencontre de la protubérance que contient à peine son pantalon.

— Je veux te toucher moi aussi…

Ses doigts cherchent ma main. Dès qu’il la trouve il la prend, la serre et m’embrasse sauvagement le cou. Il me mord la chair comme un félin le ferait pour sa femelle. Il me marque et je sais que demain je me réveillerai avec les traces de cette nuit torride.
Ma main libre se faufile jusqu’à son torse. Son nez effleure le mien et mon regard reste verrouillé à ses yeux magnifiques. Ses pupilles dilatées sont chargées de désir, un désir aussi ardent que le mien. Pourtant, quand je plonge le regard dedans, inlassablement un voile en diminue l’éclat. Je retrouve la poésie de sa force dans sa douleur silencieuse. Cette souffrance animée par des démons qui errent toujours en lui, et qui ne le quitteront que lorsqu’il sera devenu son propre démon.

Il frotte le nez contre ma tempe, sa main serre la mienne. J’aime ce contact car inexplicablement il m’est familier. Sa puissance est apaisante, son contact si intime, si rassurant. Mes doigts descendent jusqu’à son pantalon ; je le déboutonne et découvre la protubérance affolante qui se libère sous mes yeux. Inconsciemment, j’humecte mes lèvres et, me voyant faire, mon gentleman passe sa langue sur ma bouche et en mordille le coin férocement. Je pousse un gémissement rauque et prends en main sa queue. Il expire un coup sec dès que je commence à le caresser, les yeux rivés à mon expression excitée.

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Un grognement remonte de sa gorge. Je me mords la lèvre et laisse mes doigts se promener sur son membre chaud et épais. Il pulse sous ma main avec la même vivacité que mon désir dans mon sang. Bien que je ne parvienne pas à envelopper son membre tout entier, je lui imprime de lents va-et-vient. Jean se contracte tandis qu’un désir croissant l’envahit.

Je serre les cuisses dès que je sens les perles de l’excitation de mon partenaire suinter. Ses hanches se soulèvent tandis qu’il me dévisage. Sa main libre repousse des mèches de mes cheveux. Je raffermis mon emprise sur son sexe et brusquement il se crispe et tire mes cheveux.

Je me mords la lèvre et lui fais un clin d’œil. Il sourit et exerce une faible pression contre ma main, laissant son excitation couler entre mes doigts qui continuent d’effleurer son gland.

Une audace fougueuse me vrille les tripes, je relâche son sexe, fais remonter mes doigts sous ses yeux et les lèche sensuellement.

Mon gentleman me fixe, presque ébahi, avec cette lueur d’excitation dans le regard que je lui ai découverte aujourd’hui. L’espace d’une seconde, ses iris dérivent vers ma bouche emplie de sa saveur, ma bouche qui l’implore de m’embrasser avec toute la fougue dont il est capable. L’envie est impérieuse. Mon cœur encaisse et mes hanches se mettent à onduler contre les siennes. Son gland imbibé de semence rencontre ma fente irrésistiblement attirée par lui.

Ma main se dirige à nouveau vers son entrejambe. Je le saisis encore une fois et recommence mes mouvements de va-et-vient avec plus d’ardeur. Il serre ma main, la fait glisser plus haut dans un froissement de draps. Il niche la tête au creux de mon cou, son souffle incandescent déverse une adrénaline inouïe dans mes veines. Il mordille ma chair tandis que ses hanches ondulent contre ma main, accentuant l’amplitude de son orgasme.

Subitement, il retire mes doigts de sa queue et les remonte au-dessus de ma tête. Dans son poing il maintient mes deux mains, m’emprisonnant et me privant du moindre geste.

Je râle en grognant mais ravale mes protestations dès que son gland s’appuie sur ma fente. Il se penche vers sa table de nuit et tire du premier tiroir un préservatif dont il ouvre l’emballage d’un coup de dents. Puis il le déroule sur sa verge en me scrutant avec une intensité chauffée à blanc. Je prends une profonde inspiration, en même temps que lui.
Il est au-dessus de moi, une main recouvrant mes poignets, l’autre coincée dans mes cheveux emmêlés. L’éclat de désir qui brille dans ses yeux déverse dans ma poitrine un sentiment chaud et qui se répand partout en moi. Mon ventre se noue et une envolée de papillons le fait frémir.

Mon cœur bat si fort que je pense que mon gentleman l’entend aussi bien que moi. Il se penche sur moi, me mord la base du menton et s’enfonce lentement en moi. Je retiens mon souffle puis pousse un gémissement en chuchotant son prénom. Je ferme les yeux pour mieux savourer sa longueur. Mes doigts se crispent et je me cambre davantage, nos bassins se touchent, s’épousent, et Jean entreprend de lents mouvements en poussant un grognement guttural.

Nos souffles haletants se mêlent. Le plaisir augmente en même temps que la cadence qu’il imprime à ses va-et-vient. À chaque coup, tout s’intensifie, mon désir, mes sentiments, mes émotions. mon gentleman lâche mes mains et fait glisser les siennes derrière mes omoplates pour me maintenir pendant que j’entoure son cou d’un de mes bras et laisse les doigts de ma main libre épouser sa joue.

Mes yeux perdus dans les siens, avides de passion, partent à la recherche de ses rêves et de ses espoirs.

À l’orée de la jouissance, je crie son nom de plus en plus fort. Son front s’arrime au mien, nos bouches se frôlent et j’avale son effluve plein d’extase. Je ne pense plus à rien, ou du moins je ne pense plus qu’à lui.

Ses yeux à moitié fermés sont bordés par ses cils noirs. Mon pouce glisse jusqu’à sa bouche. Il l’embrasse avant de le mordiller. L’orgasme nous menace tous deux, Escort Boy Pour Femme capture peu à peu nos deux corps épris l’un de l’autre. Je le regarde perdre en même temps que moi le contrôle. Je n’ai jamais été aussi excitée. Nous cédons sous la pression écrasante de la jouissance. Plus rien ne compte.

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Jean

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