Cela faisait des mois que le couple discutait de leur fantasme de triolisme

Cela faisait des mois que le couple discutait de leur fantasme de triolisme

Cela faisait des mois que le couple discutait de leur fantasme de triolisme. En fait, ils avaient pour habitude de s’avouer leurs fantasmes et de faire de leur mieux pour les réaliser un à un. Et ce soir, c’était son soir à elle. Son homme avait contacté Jean un gentleman escort boy qui proposait aux couples de réaliser leurs fantasmes.

Pamela se tenait devant le lavabo de la salle de bain et essayait de s’encourager à entrer dans la chambre, là où ils l’attendaient. Ce soir, son merveilleux et tendre époux allait l’aider à réaliser l’un de ses plus grands fantasmes : coucher avec deux hommes à la fois.

Jean était un gentleman escort boy qui avait de l’expérience dans les relations avec les couples, et il avait accepté de se joindre à eux ce soir. Si elle se lançait dans cela, ainsi que son époux, alors il leur fallait quelqu’un de professionnel avec de la classe et un niveau social suffisamment élevé pour savoir comment se comporter avec respect et protection , et en qui ils avaient entièrement confiance.

La dame était malgré tout nerveuse mais aussi excitée : elle avait toujours eu un petit faible pour les hommes élégants comme Jean, et elle se demandait comment ce serait de lui faire l’amour passionnément, de le recevoir en elle, et elle allait enfin avoir l’occasion de le savoir !

Plus besoin d’en rêver, plus besoin d’espérer. Toutes les femmes n’avaient pas la chance d’avoir un mari aussi ouvert d’esprit, prêt à accepter ce genre de fantasme et à le réaliser.

Ce n’était que pour une seule soirée. Une soirée qui permettrait à Pamela de découvrir un plaisir qu’elle ne connaissait qu’à travers ses rêves érotiques.

Et cette fois, c’était l’heure du show. C’était maintenant ou jamais, et elle ne voulait pas abandonner avant même d’avoir commencé. Elle ouvrit la porte et jeta un coup d’oeil dans la pièce. Les deux hommes étaient étendus sur le lit, chacun d’un côté, et ils se relevèrent rapidement lorsqu’ils la virent, leurs yeux remplis de désir tandis qu’ils admiraient son corps, ses courbes visibles dans sa lingerie fine.

Elle était complètement excitée à l’idée que les deux hommes la prennent, la touche, l’embrassent, lui fassent l’amour.

Son mari commença à l’embrasser tout en lui retirant sa lingerie, qu’il fit lentement glisser le long de son corps. Le contact de ses doigts était si doux, si émoustillant, qu’elle pouvait à peine tenir debout.

Jean s’approcha derrière elle, lui caressa la joue de la paume de sa main et se pencha en avant pour poser un baiser sur ses lèvres. Un baiser doux, sensuel, qui lui coupa le souffle.

Son époux s’agenouilla au sol devant elle et lui écarta légèrement les jambes. Il embrassa avec douceur l’intérieur de ses cuisses, depuis ses genoux et remontant le long de chaque jambe.

Tandis que son époux rendait hommage au bas de son corps, le gentleman était occupé plus haut et massait des deux mains les seins de Pamela, qui étaient lourds et rendus sensibles par l’excitation.

L’escort boy s’éloigna de sa bouche et descendit contre sa poitrine pour prendre l’un de ses têtons délicats et tendus entre ses lèvres chaudes, puis il suça et tourna sa langue autour.

Au moment où la bouche de Jean saisissait son autre têton, son mari ouvrit la bouche et se déplaça contre les lèvres de son jardin secret, dont il suça le jus qui en coulait sous l’effet du désir.

Le gigolo passa sa langue entre les deux lèvres intimes de la belle, ce qui la fit gémir de plaisir. Elle ne pouvait s’en empêcher, c’était tout simplement trop bon. Elle était submergée par les sensations qui traversaient son corps, par l’attention que les deux hommes portaient à des parties si sensibles et intimes de son corps.

Pamela empoigna les cheveux de son mari d’une main, la seconde agrippée à la nuque de Jean. Elle tenait les deux hommes aussi près d’elle que possible tant que leurs bouches rendaient hommage à son corps.

Jean posa sa main sur le sein délaissé de Pamela, qu’il caressa et excita, alors qu’au même instant Son mari glissait un doigt en elle. La bouche de son mari se retrouva contre son clitoris, qui commença à sucer puis qu’il lécha tandis que son doigt faisait des va-et-vient dans le sexe humide de la dame, juste avec le bon angle pour atteindre son point G.

Son mari la connaissait mieux que personne, et il savait exactement ce qui la faisait vibrer. L’apogée de son plaisir survint rapidement grâce aux nombreuses attentions que son mari et Jean lui prodiguaient, et elle cria leurs deux noms, suppliante, tandis qu’un orgasme puissant traversait tous les nerfs de son corps, la laissant faible, déboussolée, le souffle court.

Son mari se releva, écrasa ses lèvres contre les siennes et échangea avec elle un long baiser tandis qu’il la dirigeait sur le lit. Elle se déplaça lentement jusqu’au centre de celui-ci, et les deux hommes s’allongèrent à ses côtés.

Jean faisait délicatement glisser ses doigts contre sa peau, ce qui la faisait frissonner et laissait derrière son passage sa peau en feu. C’était agréable d’avoir ces deux hommes pour l’amener à l’extase comme jamais auparavant. Elle se sentait comme une princesse, dont on contentait les moindres caprices. Bien que ce ne soit que pour une soirée, c’était quelque chose qu’elle voulait ne jamais oublier.

Pamela se défit de leur étreinte et s’assit, puis se déplaça jusqu’à l’autre extrémité du lit. Elle voulait les satisfaire tous les deux avec sa bouche avant d’aller plus loin. Elle enroula chacune de ses mains autour du sexe des deux hommes, avec fermeté et douceur à la fois, avant de se pencher pour goûter à Jean.

Pamela savait déjà le goût qu’avait son mari, puisqu’ils commençaient toujours par du sexe oral avant de s’aventurer plus loin. Elle voulait découvrir le goût de Jean, il était salé, mais tellement bon. Sachant que ce serait la seule fois qu’elle en aurait l’occasion, elle prit son temps pour le savourer.

Elle lécha son gland, sur lequel elle dessina des cercles du bout de sa langue autour de son sexe. Puis, elle pressa ses lèvres fermement autour de sa large et chaude queue, qu’elle prit entièrement en bouche, et se pencha pour l’engloutir centimètre par centimètre.

Pamela engloutit la queue de Jean en la faisant glisser jusque dans sa gorge tout en le regardant dans les yeux avec quelques larmes.

Elle répéta le mouvement encore et encore, de plus en plus vite tout en étant appliquée à ses mouvements et en gardant la base de son sexe fermement entre ses doigts, qu’elle pressait délicatement chaque fois qu’elle descendait sur lui.

De l’autre main, elle caressait son époux, jouant avec son sexe, et imitait du poignet le mouvement de va-et-vient que sa bouche prodiguait à Jean. Elle savait que les deux appréciaient ce qu’elle leur faisait, rien qu’aux sons qu’ils produisaient. Les grognements qu’ils poussaient résonnaient dans la chambre, et leurs hanches donnaient des coups en avant pour glisser davantage contre son emprise.

Jean lui fit relever la tête de son sexe et elle lui sourit, puis se tourna vers son mari. Elle lui prodigua autant d’attention et de passion qu’à Jean, sa bouche faisait de lents va-et-vient sur son large sexe, et sa langue jouait sur son gland, ce qui lui permit de goûter le liquide séminal qui commençait à en couler. Elle suça ce jus dont elle raffolait.

Elle se retira et fit un clin d’oeil à son époux avant de s’agenouiller. Elle lécha un à un ses doigts pour récupérer la moindre goutte de leur jus qui aurait échappé à ses lèvres. Non, ils n’avaient pas encore joui, mais leur liquide séminal avait coulé à flot et elle refusait de le gâcher.

Son attrapa son poignet, qu’il tira doucement pour la faire vaciller en avant contre lui. Il se laissa tomber sur le dos, afin qu’elle soit au-dessus de lui, à califourchon. C’était la position qu’elle préférait.

Elle adorait être au-dessus, avoir un semblant de contrôle, bien que généralement il aimait reprendre ensuite les rennes. Il souleva rapidement ses hanches et glissa son sexe dans le sien, trempé de désir.

Il la remplissait totalement. Il attrapa ses fesses, qu’il agrippa fermement pour la soulever et la faire retomber brutalement sur lui, et il leva ses hanches au même moment pour l’empaler davantage.

Ils étaient en train de faire l’amour comme ils l’avaient toujours fait. Ils aimaient cette brutalité, ce combat pour le contrôle, pendant qu’il la pilonnait.

Alors qu’ils faisaient l’amour avec passion et vigueur, Jean caressait les seins de Pamela et les frôlait de ses lèvres, il les pinçait et les tirait, envoyant des vagues de douleur et de plaisir dans tout son corps.

Elle tendit la main et se saisit de son large sexe, enroula ses doigts autour puis entreprit un mouvement de va-et-vient le long de ce long membre qui pulsait contre la paume de sa main. Elle ne voulait pas qu’il se sente exclu. C’était la seule fois qu’elle aurait l’occasion de le toucher, de le connaître d’une façon bien nouvelle, et elle ne comptait pas passer une seconde sans le toucher.

Pamela se pencha en avant pour embrasser son époux, déversant tout son amour pour lui dans ce baiser. Tandis qu’elle embrassait son mari, Jean s’agenouilla derrière elle. Son mari fouilla alors la table de nuit et en sortit un tube de lubrifiant. Il le lança à Jean afin que celui-ci en mette sur son membre pour qu’il glisse dans cet étroit passage interdit.

Une fois son sexe couvert de gel, il caressa de ses doigts lubrifiés l’anus de la jeune femme. Personne ne pouvait imaginer à quel point elle avait rêvé de cet instant depuis qu’ils avaient décidé de se lancer. Et maintenant qu’elle y était, elle en mourrait d’envie. Elle ne serait pas satisfaite avant de les avoir accueillis en elle, tous les deux en même temps.

L’escort boy pour couples exigeants enfila un préservatif et pressa alors son gland contre le côté obscur de la belle et la pénétra lentement, centimètre après centimètre, jusqu’à ce qu’il se sente en elle jusqu’à la garde. La sensation était presque trop à supporter pour elle.

C’était si éprouvant de sentir élargie des deux côtés, de se sentir remplie par ces deux sexes, qu’elle pouvait à peine bouger. Après avoir pris le temps de s’habituer à la sensation de les avoir tous les deux en elle, elle commença à balancer doucement son bassin, non plus comme pour chevaucher son mari avec violence, mais plutôt pour tourner légèrement du place. Suivant ce signal de départ, les deux hommes commencèrent à faire de lents va-et-vient en elle. Lorsque l’un poussait des hanches en avant, l’autre, au contraire, reculait.

Pamela ne pouvait plus parler. Les sensations qui traversaient son corps étaient trop intenses et puissantes ; tout ce qu’elle pouvait faire, c’était gémir et soupirer de plaisir. Jamais auparavant, de toute sa vie, elle n’avait ressenti cela. La sensation d’être totalement remplie, que toutes les parties intimes de son corps soient taquinées et excitées…

Tout cela à la fois déclencha en elle l’un des plus brusques, intenses et incontrôlables orgasmes qu’elle ait connu. Elle rejeta la tête en arrière en hurlant de plaisir.

Tandis qu’elle se sentait partir, emportée par les vagues d’extase que faisait naître cet orgasme qui semblait n’en plus finir, alors que les deux hommes continuaient à aller et venir lentement en elle.

À peine les spasmes de l’orgasme se furent dissipés qu’elle était déjà prête à jouir à nouveau, et les deux hommes grognaient tandis que le plaisir les emportait à leur tour.

Le son et l’odeur du sexe régnait dans la chambre. Elle sentit leurs sexe pulser et gicler en elle, la remplissant de leur jus brûlant. Ils tremblaient tous les trois tandis qu’ils étaient en train de libérer leur semence à l’intérieur d’elle.

Elle retomba épuisée et éreintée sur son mari, qui lui embrassa le front tout en lui caressant le dos. Jean se laissa glisser sur le lit à côté d’eux, la main posée sur le bras de Pamela, qu’il caressa avec tendresse. Ils restèrent plusieurs minutes tous les trois dans cette transe après l’orgasme avant que Jean ne prenne un douche et retourne chez lui.

*

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Au plaisir de vous séduire, de vous faire rire, de divertir votre couple. Mais avant tout faisons connaissance autour d’un drink sans engagement et je vous dirai tout ce que vous brûlez de savoir.

Au plaisir de faire votre connaissance. Jean

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