Dîner érotique avec un gentleman
Category:divertissement,escort boy,ExperienceMadame voulait un dîner érotique avec un gentleman. Le repas n’avait pas encore commencé que l’escort boy bandait déjà comme un âne. Rien que d’imaginer le sexe de Madame posé à même sa chaise, sa virilité se dressait déjà.
Jean lui sourit, piqua un morceau de viande et enfonça la fourchette dans sa bouche. Comprenant qu’elle attendait avec hâte d’avoir son avis, il sourit de plus belle, mastiquant sa nourriture avec un soin tout exagéré.
— C’est… délicieux, fit-il.
Elle hocha de la tête pour accuser le compliment.
— Avez-vous soif, chère Madame ?
— Oui.
Le gigolo ignorait pourquoi, mais quelque chose dans la manière dont elle lui répondit lui fit comprendre qu’elle n’avait pas juste soif de boisson.
La verge parfaitement raide, il se leva, attrapa une excellente bouteille de vin qu’il avait apportée et qu’il lui servit. Tout en faisant cela, il remarqua qu’elle ne quittait pas son entrejambe des yeux, ce qui le ravit grandement.
— Oh, mince !
La malheureuse avait fait tomber la serviette en s’essuyant.
— Laissez ! lui ordonna-t-il.
Puis, il s’abaissa pour la ramasser. Et ce qu’il vit sous la table fit grand plaisir à ses yeux de gentleman pour femmes exigeantes.
La femme maintenait ses jambes nues croisées. Mais, dès que le gentleman se fut penché sous la table, elle les décroisa. Alors, il put apercevoir sa fente. Parfaitement lisse, elle présentait déjà des signes d’humidité évidente. Ses jolies petites lèvres l’appelaient en silence.
Soudain, il se sentit tellement à l’étroit dans son pantalon que cela lui faisait mal. Jusqu’à cet instant précis, Jean n’avait pas compris ce que bander comme un cheval voulait dire.
Il en détourna les yeux et se mit à chercher la serviette disparue, qu’il tendit à la dame.
— Merci, chuchota-t-elle avec une moue amusée des plus craquantes.
— Tout le plaisir était pour moi.
Dur comme du diamant, il regagna sa place et se remit à manger.
Sans qu’il en comprenne la raison, la dame battit des cils en affichant un sourire amusé. Puis, elle trempa son index dans la sauce à la crème. Le portant à ses lèvres, elle ouvrit la bouche, d’où un petit bout de langue tout rose dépassait. À la vue de cette jolie langue, la queue de Jean frémit, mais ce n’était rien comparé à ce qu’elle s’apprêtait à lui faire lors de ce dîner érotique avec un gentleman.
Avec une lenteur qui ne pouvait être que délibérée, elle introduisit son doigt dans sa bouche. Elle passa sa petite langue autour de l’index pour en lécher la sauce jusqu’à la dernière goutte et reproduisit l’opération à de nombreuses reprises sans jamais cesser de le regarder intensément.
— Voulez-vous que j’arrête ?
— Non, articula-t-il, difficilement. Continuez, je vous prie.
La diablesse aux allures de petit ange avait compris que de cette manière-là, elle tenait Jean dans la paume de sa main, et elle pouvait en faire ce qu’elle voulait.
— En êtes-vous certain ? Vous semblez… souffrir.
Il secoua la tête. Il la regarda faire entrer et sortir son doigt de sa bouche, et se dit qu’il aurait tout donné pour qu’elle fasse de même avec une toute autre chose dont la dureté commençait vraiment à devenir intolérable.
Jean la vit récupérer les dernières gouttes de sauce sur son index et le lécher langoureusement tout en le considérant.
— Vous êtes sûr que vous allez bien ? l’interrogea-t-elle à nouveau, non sans malice.
Alors, pour se donner une contenance, il voulut attraper son verre de vin, mais troublé comme il était, il renversa son verre. Immédiatement, le vin se renversa sur son pantalon. Agacé, il recula sa chaise pour se redresser.
— Attendez ! intervint Madame. Je vais vous aider.
Sans se départir de son magnifique sourire, elle se leva. Jean la regarda approcher, hypnotisé qu’il était par la beauté de sa nudité à peine masquée. Ses hanches arrondies, ses seins haut perchés, son pubis si lisse. Son sexe connut un nouvel élancement, anticipant très certainement ce qui allait se passer dans quelques instants.
La dame arriva à sa hauteur puis, s’accroupit, lui offrant une vue parfaite sur ses lèvres ouvertes et humides. Bon sang, comme il avait envie d’elle !
Elle inspecta le sol trempé de vin, ainsi que son pantalon, et secoua la tête en affichant une moue faussement réprobatrice.
— Eh bien, monsieur Jean, on peut dire que vous êtes un sacré cochon.
Tu n’imagines pas à quel point je peux l’être, pensa-t-il. Surtout en présence d’une dame et pendant un dîner érotique avec un gentleman.
Elle se pencha en avant, les reins bien cambrés dans une position très suggestive et commença à éponger le vin répandu sur le carrelage à l’aide de sa serviette. Puis, elle passa au pantalon de l’escort boy, remontant sa jambe du bas vers le haut. Alors qu’elle s’occupait de ses cuisses, son membre gonfla à un tel point qu’elle ne pouvait l’ignorer. Au contraire, elle le regarda avec envie avant de lui demander une seconde serviette.
Elle la prit en main et, très doucement, elle commença à en frotter l’entrejambe de l’escort boy, s’approchant de plus en plus de son érection.
— Voyez comme vous êtes sale, monsieur. C’est une horreur.
Il voulut rétorquer, mais il en fut bien incapable. L’excitation était telle qu’elle lui avait asséché la gorge, si bien qu’aucun son ne pouvait franchir ses lèvres. Il se borna à acquiescer.
Enfin, la dame passa sa serviette sur son membre si gonflé. À travers le tissu, il ressentit cette caresse comme la meilleure qu’il lui avait été donné de ressentir de toute sa vie.
— Voyons-voir jusqu’où vous êtes trempé.
Elle défit un premier bouton, puis un deuxième, pour finir par abaisser la fermeture éclair. Sa sucette palpitait si fort qu’il avait l’impression qu’il allait jouir d’un instant à l’autre si elle continuait comme ça.
Elle passa le bout de l’index sur le tissu de son boxer, suivant de contour de son membre.
— Regardez-moi ça, vous êtes vraiment tout sale.
Madame le faisait bander comme un taureau.
Alors, elle commença à l’éponger, toujours à travers le tissu de son boxer.
Tandis qu’elle effectuait des mouvements de va-et-vient de plus en plus prononcés, de plus en plus rapides, il ferma les yeux et rejeta la tête en arrière. C’était si bon, qu’il était sur le point d’en perdre la tête. Il ne devait pas lâcher prise. Pas maintenant. Il n’allait pas la laisser faire. Ils devaient faire l’amour. Ne voulant pas finir trop tôt, il rouvrit les yeux et, d’une main ferme, repoussa la dame.
— Attendons le dessert, voulez-vous, lui dit-il d’une voix rauque.
Puis, Jean se leva à son tour. Son membre était plus visible que jamais, fièrement dressé dans le tissu encore trempé de son jean. Enfin, il disparut dans le couloir, en direction de la cuisine.
Madame resta toute seule dans le salon, à quatre pattes sous la table et soudain, elle se sentit drôlement ridicule dans cette position. Le rouge aux joues, elle rejoignit sa place en silence et se remémora ce qu’elle venait de faire afin de comprendre la raison qui avait fait fuir Jean.
D’accord, elle l’avait chauffé à bloc, à l’instant. Elle s’en était donné à cœur joie, jouant les allumeuses.
Elle n’avait pas vraiment prévu d’aller aussi loin tout de suite. Lorsqu’elle s’était accroupie à ses pieds, elle n’avait pas l’intention de lui ouvrir la braguette. Néanmoins, c’est ce qui s’était passé. Elle savait qu’elle avait envie de lui.
Et lui, d’elle. Cela se voyait. Elle avait constaté son énorme érection de ses propres mains. Alors pourquoi l’avait-il rejetée ? Elle l’ignorait. Quel faux pas avait-elle commis ?
La repoussait-il parce qu’elle était allée trop loin en lui posant des questions indiscrètes ? Ces questions, elle les avait posées parce que, vraiment, elle se souciait de lui. Mais si cela venait de ça, il l’aurait repoussée avant. Il n’aurait pas attendue qu’elle se retrouve à quatre pattes sous la table en train de lui astiquer la verge. Ou bien ?
Ou alors, elle l’avait mal caressé. Depuis toujours, elle avait un rapport compliqué au sexe. En raison des événements traumatisants lors de son enfance. Elle avait déjà eu quelques amants par-ci par-là depuis, mais elle avait à chaque fois ressenti une sorte de blocage. Si ça se trouve, ce mal-être alourdissait ses caresses, les rendant insupportables pour quelqu’un d’aussi expérimenté que Jean. Mais à vrai dire, elle n’en savait rien.
Quand elle avait passé sa main sur son érection, quand elle avait effectué cette série de va-et-vient, elle avait bien senti sa verge palpiter contre sa main.
Alors, pourquoi diable la rejetait-il ?
La boule au ventre, elle repassait toujours les événements dans sa tête quand il revint.
Quand il la vit prostrée sur sa chaise, il se dit qu’il aurait peut-être dû lui expliquer la raison pour laquelle il l’avait rejetée. Il s’en voulait, car elle avait l’air d’en souffrir.
Il avait envie d’elle. Il la désirait tant qu’il avait peur de finir tout de suite à chacune de ses caresses. Mais si ses caresses étaient divines, il ne voulait pas pour autant se laisser aller. Il voulait se réserver pour elle. Il voulait la courtiser. Lui faire l’amour. Dignement.
Comme elle avait la tête baissée, elle ne remarqua pas qu’il avait retiré son jean trempé pour le déposer dans la machine à laver. Ainsi, il se tenait devant elle en chemisette et en boxer sans qu’elle ne se doute de quoi que ce soit. Tant mieux. Il allait lui donner une belle surprise.
Il posa les deux coupelles de fraises recouvertes de chantilly sur la table et lui fit glisser la sienne, qu’elle attrapa au vol. Elle saisit un fruit et l’enfourna dans sa bouche sans plus de fioritures. Où était passée la Madame sensuelle qui arrivait à vous faire bander comme un cheval avec des escalopes à la crème ? À sa place se tenait une fille recroquevillée, intimidée, qui avalait les fraises comme un ogre dans sa grotte. Et il allait remédier à cela.
— Madame, commença-t-il, sur le ton du reproche.
Intimidée, Madame leva la tête vers lui, lui lançant un regard à la fois terrifié et interrogateur. Elle avait l’air si innocente qu’il eut envie de courir jusqu’à elle pour déposer un tendre baiser sur sa bouche.
— Oui ?
— Ne savez-vous donc pas manger des fraises ?
Elle ouvrit des yeux grands comme des soucoupes et ouvrit la bouche.
— Je vous demande pardon ?
Visiblement, elle était interloquée. Très bien, c’était ce que Jean voulait. Il lui sourit et repoussant sa chaise en arrière, lui fit signe de se lever. Ce qu’elle fit après une brève hésitation.
— Venez par ici, dame.
Docilement, elle approcha. À cet instant, son ingénuité la rendait si belle que le cœur de Jean manqua un ou deux battements.
— Oui ? demanda-t-elle d’une toute petite voix en se postant en face de lui.
Pour toute réponse, il lui fit signe de s’asseoir sur ses genoux. Lorsqu’elle comprit ses intentions, le visage de la dame s’éclaira d’une lueur malicieuse. Elle allait lui faire payer tout ça.
Avec un sourire des plus craquants, elle obéit en s’installant sur les genoux de l’escort boy, mais choisit l’endroit le plus éloigné de sa verge qu’elle voyait gonfler dans son boxer.
S’il en fut déçu, il n’en montra rien.
Il lui présenta une fraise, qu’elle goba entièrement. S’il voulait de la sensualité, il allait devoir s’y mettre lui aussi.
Elle tendit son bras et saisit un fruit. Il était rouge et juteux. Elle le donna au jeune homme, qui le prit entre ses dents, laissant la moitié dépasser.
Vaincue, elle rit. Elle comprenait parfaitement où il voulait en venir.
— Très bien, monsieur, vous l’aurez voulu.
Alors, sans bouger ses fesses, elle se pencha afin de prendre entre ses dents la moitié de la fraise qu’il lui tendait. Quand elle la croqua, leurs lèvres se touchèrent. Très vite, elle avala le fruit.
Mais le jeune homme regardait sa bouche avec une telle intensité qu’elle en palpita dans sa culotte.
— Regardez-moi ce gâchis, murmura-t-il.
Et Jean se pencha, posant ses lèvres sur les siennes pour en lécher le surplus de jus. Le contact en fut si enivrant que la dame en vint très vite à en vouloir plus. Lâchant un soupir d’aise, elle écarta ses lèvres, laissant la langue de l’escort boy prendre possession de la sienne. Ce qu’elle fit sans attendre.
Leurs langues se rencontrèrent en un baiser torride. Elle le voulait. En elle. Elle le voulait tellement que, sans s’en rendre compte, elle avait changé de position. Dans cette étreinte passionnée, elle avait voulu se rapprocher de lui autant que possible. C’est ainsi qu’elle se découvrit assise sur lui, sa fente nue et humide contre sa verge, uniquement séparés par ce tissu si fin. Elle sentait son membre palpiter contre son sexe chaud et elle devait se faire violence pour ne pas le prendre dans la main pour l’introduire dans son vagin sans plus attendre.
Lorsqu’ils se séparèrent, ils étaient tous deux essoufflés. Alors qu’elle allait lui suggérer de passer dans la chambre tout de suite, il saisit une autre fraise.
Celle-ci était enrobée de crème chantilly. La dame sourit et ouvrit la bouche en grand pour recevoir le fruit. Il l’introduisit sans le lâcher. Alors, elle en lécha doucement la chantilly, mimant parfaitement la fellation. Du coin de l’œil, elle voyait les yeux de l’escort boy briller, ses pupilles se dilater. Contre son sexe, elle le sentait bander. Alors, elle croqua la fraise toute entière.
Du jus s’écoula de ses lèvres, longeant son long cou pour venir se nicher entre ses seins, sensuelle réplique de la tache de pêche du repas de midi. Cette fois, Jean n’y alla pas par quatre chemins. Du bout de la langue, il parcourut le chemin de cette goutte, buvant goulûment son jus. Cette fraise, mêlée à l’arôme de Madame, avait le meilleur goût qu’il lui eut été donner de tester de toute sa vie. Le dessert qu’il fallait au menu de ce dîner érotique avec un gentleman.
De son côté, Madame était en extase. De délicieux spasmes la secouaient toute entière au contact de sa langue qui se promenait délicatement entre ses seins. Sans s’en rendre compte, elle s’était mise à onduler du bassin, caressant la verge de l’escort boy avec son sexe humide. Elle les sentait tous deux palpiter d’envie l’un de l’autre.
Lorsqu’il commença à passer sa langue sur son sein gauche, elle crut qu’elle allait perdre pied. Il pinçait son mamelon droit entre l’index et le majeur, tout en s’occupant de son téton gauche avec ses dents. Les sensations électriques qui s’en dégageaient était tellement intenses !
Lascivement, elle continuait de se frotter intimement contre lui tout en passant ses mains dans ses cheveux. Dans le mouvement, le boxer de l’escort boy s’abaissa, si bien qu’elle se trouva en contact direct avec son membre.
Sans perdre de temps, elle le caressa de sa fente humide.
— Madame… gémit-il contre ses seins.
— Prends-moi. Maintenant.
Elle accentua son va-et-vient et, très vite, son envie de lui monta en flèche, si bien qu’elle était incapable d’attendre davantage.
— S’il te plaît.
Puis, elle se pencha de manière à ce que sa verge puisse entrer en elle.
Le jeune homme eut le plus grand mal à l’arrêter, mais c’est ce qu’il fit.
Prenant la dame dans ses bras, il la conduisit jusqu’à sa chambre où il la déposa sur son lit.
Elle lui sourit, car il restait debout. Soudain, une larme d’émotion lui échappa, et il l’essuya avant qu’elle ne la remarque.
— Tu es si belle, Madame, que c’en est douloureux.
Elle lui sourit et, pendant un instant magique, leurs yeux se rencontrèrent, échangeant un millier de promesses silencieuses.
Jean s’inclina pour saisir la rose posée sur le lit. Doucement, il en caressa la peau de la dame, qui frémit d’aise.
Elle se redressa pour s’asseoir sur le lit. De ses mains tremblantes, elle défit chaque bouton de sa chemise, déposant un baiser à chaque reprise. En extase, elle promenait ses paumes sur le torse de l’escort boy, se demandant inlassablement si tout cela était réel. Arrivée au bout, elle releva le menton vers lui. Il se baissa et écrasa ses lèvres sur les siennes. La dame enroula ses jambes autour de sa taille, enserrant sa verge contre sa fente. Ils basculèrent en arrière, corps à corps, sans cesser de s’embrasser.
Puis, il se recula. Avec un sourire malicieux, il lui écarta les jambes. Lorsqu’elle comprit ce qu’il allait lui faire, elle rougit jusqu’aux racines des cheveux. Jamais aucun homme n’avait entrepris pareille chose pour elle. Aussi, un peu gênée, elle serra ses genoux l’un contre l’autre. Et s’il n’aimait pas son goût ?
Alors, doucement, il entreprit de masser ses mollets. Elle n’aurait jamais imaginé que cette partie du corps puisse être érogène, mais compte tenu des élancements qui venaient converger de ses jambes à son intimité, elle l’était bel et bien.
Elle se détendit, et par la même occasion, se sentit mouiller pour lui.
— Madame, as-tu confiance en moi ?
Elle hocha la tête, les joues adorablement roses, et écarta ses jambes en une invitation silencieuse.
Il commença sa caresse par un chaste baiser sur le haut de son pubis si lisse. Puis, devant la réaction positive de la dame, l’escort boy descendit plus bas.
Il déposa un autre baiser sur sa fente humide. Elle redressa légèrement la tête pour l’observer, le regard terrifié. Elle ne s’attendait pas à un tel dîner érotique avec un gentleman.
Lentement, le jeune homme passa la langue sur ses propres lèvres pour en goûter le jus.
— Tu es terriblement délicieuse, Madame.
Le ton de sa voix était si rauque qu’elle en frémit. À cet instant, sa langue pénétra son intimité d’une telle manière que la dame ne put que laisser retomber sa tête en arrière. Quand elle sentit sa langue experte trouver son clitoris, elle arqua son dos, poussant un intense gémissement.
— Vous aimez ça, Madame ?
— Oui… Oui, Monsieur Jean, articula-t-elle, difficilement.
Il laissa sa langue se promener sur la petite cerise déjà gonflée de la dame, sentant la tension monter.
C’était tellement bon, pour elle, comme pour lui de vivre ces instants de plaisir lors de ce dîner érotique avec un gentleman.
Puis, il commença à suçoter, à aspirer son clitoris. Elle n’avait jamais ressenti ça !
Elle sentait le plaisir venir par vagues, de plus en plus intenses. Elles l’emportaient dans une mer déchaînée où, par une sorte de pudeur, elle refusait de se laisser aller. Puis soudain, elle lâcha prise. Le plaisir, comme un ouragan, la balaya entièrement.
Lorsque, enfin, elle revint sur la terre ferme, il la considérait avec une telle tendresse que son cœur bondit dans sa poitrine. Aussitôt, l’envie de lui revint. Elle venait à peine d’avoir un orgasme à l’intensité déconcertante et, déjà, elle en voulait plus. Mais que lui faisait-il ? Elle perdait définitivement la tête.
Il dut comprendre ses pensées, car il ouvrit un tiroir et en retira une boîte de préservatifs. Il en sortit un et entreprit de l’ouvrir, mais la dame l’arrêta dans son élan.
— Attends ! le pria-t-elle.
Elle déchira l’emballage et en sortit la capote.
Quand elle saisit la queue de l’escort boy, il faillit bien perdre la tête et se faire avoir comme un débutant. Sa petite main sur son sexe, c’était tellement bon…
Elle déposa un chaste baiser sur son gland, puis, elle mit le préservatif dans sa bouche. Alors, elle le déroula sur son membre dressé, se servant uniquement de ses lèvres et de sa langue. Il dut faire appel à tout son self-control pour ne pas se laisser aller.
Puis, elle se coucha sur le lit, le considérant avec adoration.
— Prends-moi, demanda-t-elle.
Il n’eut guère besoin de se le faire répéter deux fois. Il s’abaissa sur elle, se positionna entre ses jambes et, sans cesser de la regarder dans les yeux, la pénétra.
La sensation était si bonne ! Son vagin étroit le serrait si bien qu’ils s’emboitaient parfaitement.
Jean commença à donner des coups de reins, la faisant gémir. Il voulait faire durer le plaisir, mais les sensations étaient telles qu’il ne le pouvait pas. Aussi, il accéléra ses mouvements, s’autorisant à la pénétrer plus profondément.
Lorsqu’il fut sur le point de jouir, elle l’interrompit.
— Laisse-moi venir sur toi !
Il obtempéra. Saisissant ses fesses fermes, il la fit basculer sur lui sans sortir d’elle. Alors, leurs places s’échangèrent. Elle sur lui, lui sous elle.
Elle se trémoussait sur lui, de plus en plus vite, de plus en plus profond, en amazone, tandis qu’il lui caressait les seins.
Il la sentait venir, petit à petit. Alors, il lui pinça les mamelons et elle fondit littéralement sur lui.
Sans perdre de temps, Jean la fit basculer. Cette fois, il était derrière elle. Mais il n’en pouvait plus. Lorsqu’il jouit enfin en elle, il fut secoué d’une myriade de spasmes. C’était de loin, le meilleur orgasme de toute sa vie lors d’un dîner érotique avec un gentleman.
Couchés l’un contre l’autre, ils se regardaient dans les yeux. Cela devait bien faire un moment qu’ils échangeaient des baisers, même si tous deux ignoraient depuis quand ils faisaient cela, ayant, l’un comme l’autre, perdu la notion du temps.
La suite du dîner érotique avec un gentleman à vivre avec vous Madame.
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