Son gentleman défit dans un premier temps les boucles de ses chaussures, une paire de Louboutin

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Son gentleman défit dans un premier temps les boucles de ses chaussures une paire de Louboutin dont le fermoir était en forme de fleur

Son gentleman défit dans un premier temps les boucles de ses chaussures, une paire de Louboutin

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Son gentleman défit dans un premier temps les boucles de ses chaussures, une paire de Louboutin dont le fermoir était en forme de fleur.

Le reste de sa tenue du jour était plus sobre, puisqu’elle ne portait qu’un tailleur et un petit haut en soie écrue dont l’échancrure dessinait un décolleté changeant.

Jean retira l’un, puis l’autre, conservant sur elle ses sous-vêtements, culotte et soutien-gorge finement ouvragés de dentelle, à travers laquelle on devinait ici ses auréoles brunes, là sa toison foisonnante.

Ses hanches, un peu trop larges. Ses cuisses et ses fesses au style oriental. Son ventre, affecté de ce petit rebond. Son corps était très attirant !

Son gigolo alluma quelques bougies et éteignit la lumière électrique ce qui plongea la pièce dans une pénombre traversée de rayons lumineux qui modelaient son corps de manière inédite.

Chaque membre, chaque rondeur, chaque volume prenait une forme nouvelle, plus douce, à la fois pleine et harmonieuse. Elle était exactement la même et, néanmoins, plus belle à taille et poids égal.

Elle constata soudain que la température avait été augmentée car, en dépit de sa nudité, elle ne ressentait aucun froid.

Le tressaillement qui la parcourait ne devait rien à l’atmosphère, mais bien à cette fébrilité intérieure, oscillant entre l’appréhension et l’excitation d’être avec un gentleman inconnu.

Le courtisan dégrafa son soutien-gorge d’une main plus preste que jamais. Il dégringola sur le sol, libérant ses seins lourds, qui manifestèrent leur plaisir d’être décorsetés par une palpitation puis un gonflement subit de leurs mamelons.

L’escort boy ‘effleura leur pointe du plat de la main, pour constater qu’ils ne s’étaient pas dressés sous l’action d’une quelconque fraîcheur ambiante. Ils étaient chauds, presque brûlants. Le va-et-vient de sa paume les faisait darder un peu plus sur le devant, assombrissant leur teinte cramoisie.

Sa culotte en coton, ajourée au niveau de sa toison de petites ouvertures brodées, glissa sans effort le long de ses jambes, rejoignant au sol le reste de ses vêtements. Plus rien, désormais, ne s’interposait entre le regard du gentleman et son intimité.

Elle ne s’était jamais montrée aussi crûment, avec autant d’indécence à aucun homme qu’elle avait connu. Elle n’eut pas le réflexe de poser la main sur son bas-ventre, là où les lèvres se joignent et esquissent la fente, dissimulée dans les boucles brunes.

Jean utilisa ses deux mains pour écarter les deux replis bruns et dévoiler enfin le jardin secret de cette femme qui venait à lui pour qu’il lui donne du plaisir.

Le gentleman passa de longues minutes à palper chaque recoin, en priorité ceux qui étaient luisants d’humidité, de la pulpe de son index.

En le passant enfin sur le capuchon rosé, la belle se mit à onduler doucement. Il massa celui-ci un moment, avec assez de ténacité pour provoquer quelques soupirs.

Elle ferma les yeux. Un balayage superficiel de son ventre, son cou, le haut de sa poitrine, le galbe de ses seins, lui confirma que ses efforts n’étaient pas vains, ni sa réputation usurpée.

Sa main se promenait avec plaisir, échauffant légèrement chaque région parcourue, appelée naturellement vers la suivante, jusqu’à descendre sur le bas de ses reins, sur ses fesses et, pour finir, l’intérieur velouté de ses cuisses.

Son contact flattait si bien ses lèvres gonflées, son clitoris embrasé, sa fente entrouverte et palpitante d’envie qu’il introduise sa virilité tendue de désir dans sa chatte humide et chaude. Son sexe, frémissant, prêt à tout ou presque… Affamé.

Les mains de l’homme couraient maintenant sur sa partenaire, pressant tel rebond charnu, filant sur tel golfe, un doigt s’immisçant au passage dans le sillon de ses fesses ou s’offrant une incursion entre ses lèvres brunes, congestionnées, boursouflées d’envie.

L’escort boy engouffra son visage entre ses cuisses. À chaque coup de langue, elle ondulait frénétiquement, ses fesses lévitant au-dessus du lit, les seins dressés vers lui.

La tête de Jean disparut soudain plus profondément encore entre ses jambes. Jean se fondait à son sexe, le nez perdu dans la motte sombre. Il suçait, il mordait, il ne se lassait jamais du moindre repli de chair palpitante.

Puis, ses gémissements furent, plus stridents, plus réguliers, il venait d’introduire sa langue en elle, tel un sextoy humain naturel et habile.

L’orgasme la saisit par surprise, cambrant son dos dans une improbable courbure, cassant sa nuque, contractant chacun de ses muscles. Puis elle s’effondra, comme électrocutée.

Sortant son visage de cet enfer si doux, il la contempla un instant, comme un artiste devant son chef-d’œuvre. C’est lui, le gentleman pour femmes exigeantes qui l’avait fait jouir, et lui seul.

Sa langue était son pinceau, son trait de génie. Ce triomphe ne suffit pas à le contenter car, d’autorité, il écarta à nouveau ses cuisses refermées et y glissa sa queue emballée dans un préservatif.

Sa virilité était devenue énorme d’excitation. Jean grogna puissamment en la pénétrant de face, elle exprima un plaisir reconnaissant, fouillant un moment ses fesses de son sexe pour trouver sa grotte détrempée, pour aller et venir en elle tout en agaçant son capuchon gonflé d’une main passée sous le ventre la belle.

La stimulation synchrone de ses zones les plus sensibles paraissait avoir raison d’elle. À chacun de ses entrées en elle, elle projetait sa chair palpitante en arrière, à la rencontre de son assaillant.

Elle grognait, maintenant, oui, elle libérait un feulement rauque, primitif, animal, hoquetant un plaisir qui sourdait visiblement de toutes parts, à en juger par les tressaillements incontrôlés de ses membres et de sa nuque.

Son deuxième orgasme la cogna comme un uppercut. Sa tête valsa sur le côté et, le temps d’un long spasme parcourant son échine, elle ne bougea plus. Elle était paralysée de désir inassouvi et trop longtemps contenu.

Les spasmes qui s’emparèrent de son vagin lui firent l’effet d’une tornade de plaisir. Elle se sentait déchirée, dévorée, chaque infime partie de son sexe broyée dans la mâchoire de l’orgasme le plus puissant qu’elle ait jamais connue.

Elle poussa un long cri silencieux, sa bouche gobant chaque seconde de plaisir, délice au présent et qu’elle aurait voulu sans fin.

Son escort boy venait de la faire jouir. Il l’avait possédée comme jamais ça ne lui était arrivé.

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