L’art de faire vibrer une femme
Category:AccompagnateurL’escort boy avait l’art de faire vibrer une femme. Il posa une main sur son genou, Madame le serra. Elle n’avait qu’une envie, c’était qu’il la prenne dans ses bras, qu’il la jette sur le lit et qu’il la fasse jouir encore et encore jusqu’à l’aube. Elle voulait se donner entièrement à ce mâle inconnu.
Après avoir vidé le contenu de son verre de champagne, il lui prit le sien, le posant par terre. Il glissa la main le long de sa mâchoire et dans ses cheveux, l’encourageant à se rapprocher. Elle ne le repoussa pas et elle ouvrit légèrement la bouche. Son souffle était imprégné de la saveur de l’élixir enivrant.
Léchant sa lèvre inférieure, il goûta le reste de champagne qui s’y trouvait avant de l’aspirer entre ses dents, la mordillant doucement, et avec un dernier pincement, il scella leurs bouches, intensifiant leur baiser.
Son érection se pressa impatiemment contre son pantalon, prête à plonger profondément dans sa chaleur moite, une fois de plus. Mais c’était plus que du sexe. Plus que baiser.
Il aimait par-dessus tout faire l’amour aux femmes, créer une connexion intime avec elle.
Il se leva, l’attira dans ses bras, puis la hissa par-dessus son épaule. Elle se tortilla et rit alors qu’il la traîna à travers la pièce et la jeta sur le lit. Elle atterrit en plein centre, rebondissant plusieurs fois avant de s’étirer de façon sexy devant lui.
Elle laissa échapper un rire guttural, un rire qui l’excita de la tête aux pieds. Il arracha ses vêtements et en quelques secondes, il se tint au bout du lit, nu comme au premier jour.
Elle se redressa et fit passer le pull en V qu’elle portait par-dessus sa tête. Elle l’envoya vers lui et il atterrit doucement à ses pieds.
Avec un sourire sensuel, il se pencha vers l’extrémité du lit pour retirer ses bottes de gentleman puis la regarda soulever les hanches et descendre sa jupe jusqu’à ses cuisses. Il attrapa le bout de la jupe, l’aidant à se débarrasser de ce vêtement.
Puis, elle s’allongea dans son ensemble de lingerie rouge sang. La couleur allait parfaitement avec le brun foncé de ses cheveux et sa peau légèrement bronzée. Il aurait pu la regarder éternellement. Mais sa queue n’était pas d’accord.
Il se ressaisit, et la regarda de haut en bas. De ses longs cheveux étalés comme un nuage autour de sa tête jusqu’à la longueur délicate de son cou, la courbe de son épaule, ses seins gonflés qui poussaient son soutien-gorge, la douce rondeur de son ventre, jusqu’à sa taille étroite qui s’élargissait au niveau des hanches. Elle avait des jambes longues et minces, comme celle d’une coureuse.
Il grimpa sur le lit et se mit à genoux pour remonter le long de son corps jusqu’à chevaucher ses cuisses.
Il tira les bonnets de son soutien-gorge vers le bas, laissant la chair douce et lisse déborder. Il laissa échapper un petit sifflement en regardant toute sa beauté avant d’aspirer un téton rose dans sa bouche, savourant le goût et la texture de sa peau. Tordant l’autre téton entre son pouce et l’index, il le pinça avec force, la faisant haleter.
Il se servit de sa bouche et de ses doigts jusqu’à ce qu’elle cambre le dos et se mette à crier. Son sexe dur et douloureux tressauta contre sa cuisse, relâchant une goutte.
Et avant qu’il ne puisse le souhaiter, elle le tenait dans sa paume, le caressant d’avant en arrière, étalant la goutte soyeuse autour du bout avec son pouce. Il sentit ses bourses se crisper et il se balança contre sa main. Juste un peu.
Il mordilla les courbes de ses seins avant de tendre les mains pour défaire son soutien-gorge. Elle l’aida à l’enlever et il le jeta, dévoilant ses seins voluptueux dans lesquels il avait envie d’enfouir son visage.
Il s’enfonça entre les doux monticules. Il frotta son nez contre elle, lui murmurant tout ce qu’il avait envie de lui faire contre sa peau chaude. Elle lui répondit par des ouiii, aaah et huuuum. De la musique pour ses oreilles. Elle s’ouvrit à lui. Il se servit de sa langue, de ses lèvres et de ses dents contre son ventre et chaque cuisse. Ses mouvements le délogèrent de sa paume, alors il glissa entre ses cuisses chaudes, ses doigts trouvant le haut de sa culotte.
Il voulait la lui enlever. Et il voulait le faire tout de suite. Il la tira, remarquant à quel point elle était mouillée. Ce détail l’encouragea encore plus à l’enlever immédiatement. Elle se tortilla par-ci par-là et il la jeta à l’autre bout de la pièce. Il positionna ses pieds sur ses épaules et poussa jusqu’à ce qu’elle ait les genoux pliés et pressés contre sa propre poitrine. Il s’arrêta pour apprécier ce qui lui était offert, toute cette beauté devant lui. Ses plis gonflés étaient rouges et son centre trempé. L’odeur de son excitation remplit ses narines et il laissa échapper un gémissement étranglé.
Avec ses deux doigts, il les sépara et ensuite, incapable d’attendre, il la goûta. Douce, délicieuse, soyeuse. Il promena sa langue entre ses plis jusqu’à ce qu’il s’arrête finalement sur son clitoris. Il suça le bouton sensible avec force, enfonçant deux doigts en elle, les courbant, cherchant son point sensible. Et quand il le trouva, il la caressa jusqu’à ce qu’elle devienne frénétique, ses hanches se balançant contre le lit, contre sa bouche.
Elle gémit, enfonçant les doigts dans ses cheveux. Elle tira sur ses cheveux et son cuir chevelu, criant pour qu’il ait pitié d’elle. Mais il ne l’écouta pas, il la baisa plus fort avec ses doigts lisses et suça brutalement son bout gonflé. Il était impitoyable. Il s’enfonça plus profondément, refusant d’arrêter tant qu’elle n’aurait pas joui. Elle se tordit contre lui, tirant douloureusement sur ses cheveux.
Puis, son corps se raidit. Elle contracta ses orteils contre ses épaules. Elle leva les hanches, le délogeant, et elle cria. Elle s’immobilisa, haletant, les yeux fermés. Et après un moment, elle redescendit ses hanches sur le matelas, relâchant ce qu’il lui restait comme cheveux et elle ouvrit les yeux, fixant aveuglément le plafond.
Il s’essuya la bouche du dos de la main et rampa jusqu’à ce qu’il baisse les yeux vers son visage. Les lèvres de Jean s’écartèrent en un sourire.
Jean se pencha par-dessus le lit et l’attrapa sur le sol. Il le mit à nouveau sur sa tête, le bord légèrement incliné vers l’avant, assez pour cacher ses yeux. Il lui fit un sourire malicieux.
A Suivre…
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Jean
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