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Comment oublier une rupture dans les bras d’un escort boy ?

Le regard de Madame glisse sur le corps de son escort boy appuyé contre la porte de la chambre. Pieds nus, simplement vêtu d’un jean et d’un sweat, sa vision exquise réveille aussitôt certaines ardeurs frustrées depuis longtemps.

Florence le regarde avancer vers moi de son pas félin. Ses yeux brillent maintenant d’un éclat sensuel de gentleman qui se dirige vers sa proie. Le gigolo se penche sur elle. Des deux mains, elle attire son visage vers le sien.

Ses mains agrippent alors son cou, Jean l’embrasse longuement puis se recule et la fixe, ses beaux yeux plongés dans les siens.

Leurs bouches se cherchent et s’épousent un long moment. Attentif à ses réactions, Jean semble comprendre ce dont elle a envie : s’unir à lui tendrement.

A chaque fois que sa bouche l’effleure, elle se sent renaître. Un élixir de vie et de bonheur se met à couler dans ses veines et panse chacune des blessures et angoisses qui pourraient subsister après sa rupture.

Jean la dévore d’un regard coquin. Des orteils au sommet de son crâne, Florence a l’impression que sa chair s’enflamme partout où il pose les yeux, surtout quand il s’attarde sur son ventre, son sexe et la courbe de ses seins.

Ses dents mordillent ses lèvres et sa main chaude s’immisce sous le tissu, provoquant des envies fusionnelles immédiates, surtout quand le gigolo appuie son sexe contre sa cuisse. D’un mouvement de bassin, elle bascule vers lui, manifestant la réciprocité de son désir en frottant sans pudeur son corps contre le sien. Malgré ses vêtements, elle sent sa virilité tellement dure.

L’escort boy l’embrasse alors à la naissance du cou, là où son cœur semble s’être déplacé et y trépigner d’impatience. En réalité, toute la surface de son corps bat comme un cœur géant, rouge et gorgé de désir.

Après un regard qui en dit long sur son intention, Jean dénoue la ceinture du peignoir. Le gigolo l’entrouvre délicatement et pose un baiser sur sa peau. Florence voudrait déjà être complètement nue entre ses mains. Sa bouche chaude et humide parcourt sa poitrine et le haut de son ventre dans un tourbillon de baisers si délicieux qu’ils déclenchent brûlures, glaciations et fourmillements à la limite du supportable.

Sans la quitter des yeux, Jean dénude ses épaules une à une. Elle respire à peine…Ensuite, redressé sur un coude, le gigolo souligne du bout des doigts les rondeurs de ses seins. Elle frémit. Ses yeux brillent avec gourmandise quand Jean taquine ses pointes de sein tout en déposant des baisers autour. Son souffle chaud sur sa poitrine nue la rend folle. Nuque renversée et soupirs impatients, Florence ondule sous ses caresses à la lenteur maintenant exaspérante.

Ses seins appellent sa bouche qui enfin les happe et les agace sans répit. Sa poitrine s’épanouit sous les baisers, et ses hanches se tournent pour presser ostensiblement les siennes. Florence halète. Elle s’arc-boute à la recherche d’un contact plus intense. L’excitation et l’impatience effacent instantanément toute trace de faiblesse ou de douleur subsistantes : elle n’est plus que désir.

Ses doigts avancent vers son entrejambe tandis qu’elle retire sa chemise. Le souffle court, elle ne peut s’empêcher de palper la peau tiède de ses épaules. Sa main descend sur son jean. À travers le tissu épais, Florence sent sa virilité darder.

D’un geste rapide, le gigolo fait glisser sa culotte de dentelle sur ses hanches, qu’elle soulève pour mieux l’aider.

Son intimité gorgée d’impatience s’offre en réponse. Quand les doigts de Jean entrent dans les plis de sa chair, une douce onctuosité l’accueille. Jean alterne caresses profondes et effleurements de son jardin secret. Très vite, elle sent le plaisir monter, nerveux et presque irritant. Elle se tord sur elle-même, irradiée de zébrures de désir qui courent sous sa peau comme des rafales de l’ouragan Florence.

Sans cesser de la caresser, Jean recommence à embrasser ses seins, son ventre, puis son pubis. Ses lèvres s’attardent sur les chairs fines de l’aine, la faisant languir et soupirer davantage. Jean pose la bouche sur sa petite chatte humide pour un baiser très délicat. Sans retenue ni pudeur, ses reins se soulèvent pour mieux apprécier la caresse de ses lèvres. Quand sa langue pénètre son intimité, son sexe flamboie comme un astre, éclatant de sensations nouvelles.

Très vite, elle ne sait plus qui de sa bouche ou de ses doigts lui procurent le plus de délice, tout se mêle dans un feu d’artifice sensuel et fabuleux. Elle ne sent que son désir vibrant, son corps agité de tensions et soubresauts, son plaisir grimpant vers un point culminant incroyable.

Respiration hachée et muscles contractés, Florence s’agrippe à ses cheveux en se cambrant. Elle hurle quand la jouissance se déchaîne, violente et abrupte. Secouée de spasmes, elle réclame cette tornade qui l’emporte.

Jean obéit à sa supplique et un nouvel orgasme la surprend, encore plus intense et déchirant. Elle en reste pantelante, ravie et étonnée de découvrir un niveau supérieur dans le plaisir.

Mais avec Jean, elle sent que la jouissance peut atteindre des sommets insoupçonnés. Quand le gentleman l’embrasse ensuite, ses lèvres ont un goût de miel. Cherchant maintenant son sexe avec fébrilité, sa main se dirige sous son pantalon. Florence entame un mouvement de va-et-vient insistant sur son membre tendu. Très vite, le tissu entrave ses caresses. D’un mouvement, Jean retire jean et caleçon. Son sexe apparaît, dressé comme une promesse.

Madame commence à embrasser sa peau nue. Florence est douce et brûlante comme un fruit gorgé de soleil. Lentement elle descend jusqu’à la naissance de sa virilité. Son membre tendu lui paraît vibrer sous ses baisers. Ses lèvres suivent les renflements, les vallons et les collines, les chairs tendues et gonflées de désir, là où la chair est si fine qu’on y voit les veinules. Elle explore les volumes, les lignes, les renflements, les tensions et les sensibilités.

Puis Madame fait pénétrer sa queue énorme dans sa bouche. Les muscles des fesses de Jean se serrent et ses hanches basculent vers le ciel.

La recherche de sa satisfaction guide ses lèvres. Florence aime lui donner ce plaisir qu’elle n’a jamais offert à personne avant lui.

Au bout d’un moment, le gigolo la tire à lui pour la serrer dans ses bras avec tendresse. Elle se redresse au-dessus du ventre de Jean en accrochant ses épaules. Son ventre reste un instant posé sur le sien, ses seins effleurant son torse. Son sexe durcit davantage sous son pubis. Leurs chairs impatientes s’échauffent et se préparent à s’unir.

Quand Madame s’installe à califourchon sur son bassin, son sexe en érection se place naturellement à l’orée du sien. Elle sent sa tension, mais aussi sa force. Le gentleman enfile un préservatif.

Quand son gentleman la pénètre, elle réalise que jamais elle n’a senti un sexe en elle aussi intensément. On dirait que des milliers de capteurs de sensations ont été ajoutés dans et sur son corps et quand elle entend les râles de son escort boy à chaque fois qu’il pousse sa queue en elle, Florence comprend que lui aussi éprouve un plaisir colossal, démultiplié par la fusion subtile de leurs chairs.

Les mains serrées sur ses hanches, l’escort boy pour femmes exigeantes la fait aller et venir sur sa queue. Jean râle de plus en plus fort. La belle crie de plaisir au rythme de ses avancées. Plongeant son regard dans le sien, Jean accélère soudain la cadence. Ses coups de reins sont si violents que le souffle lui manque. Mais ses jambes s’ouvrent pour mieux le laisser l’emplir. Ses reins se creusent. Sa bouche s’ouvre pour gémir sans discontinuer.

Florence enserre son bassin avec ses cuisses tandis qu’il la soulève un peu plus à chaque fois qu’il s’enfonce, elle s’accroche à ses doigts, sa peau, ses cheveux, Jean la tient solidement arrimée sur son sexe, elle titube, elle s’agrippe, exulte.

Madame hurle des mots crus pour exprimer son plaisir. Le ventre en feu, Florence ondule sur la virilité de Jean dans une sorte de transe hypnotique où elle et lui dansent sur un volcan. Ses mains la retiennent. Ses muscles bandés lui servent d’amarres. Elle le fixe droit dans les yeux, et elle se laisse dériver vers le paradis, leurs corps ne faisant qu’un immense brasier qui illumine la chambre.

Soudain, la respiration de Jean se raccourcit, la sienne se précipite. Leurs paupières battent et leurs yeux s’affolent, embués de désir. Les mains de Jean écrasent ses épaules, son corps cogne fort sur le sien, ils font des étincelles.

Puis l’orgasme qui les emporte au même moment est unique : une explosion crue de plaisir. Sa chair paraît s’enflammer dans le creuset de la sienne en les faisant crépiter jusqu’au sang. Comme si mille orgasmes les secouaient en même temps.

Pendant un long moment, Jean la serre contre son torse. Son cœur cogne contre sa poitrine sans qu’elle puisse distinguer son battement du sien. Petit à petit, leurs corps reprennent leur souffle et leurs chairs, jusqu’alors fondues l’une à l’autre, retrouvent leurs frontières distinctes.

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Comment oublier une rupture avec un escort boy ? Dans un moment de pure sensualité, dans les bras d’un vrai gentleman. Pourquoi vous privez vous de prendre du plaisir en compagnie d’un homme du monde qui vous traitera avec tout le respect que vous méritez et ne vous jugera pas d’avoir envie de tendresse et de plaisir après une rupture et vous aidera à vous tourner vers l’avenir.

Laissez moi vous transporter dans la magie érotique d’une soirée hors du temps en toute discrétion et en toute sécurité. Vous oublierez tous vos soucis et pourrez lâcher prise lors d’une expérience de divertissement pour adulte unique dans un respect mutuel avec protection.

Au plaisir de vous séduire, de vous faire rire, de vous divertir. Mais avant tout faisons connaissance autour d’un drink sans engagement et je vous dirai tout ce que vous brulez de savoir. Mais n’oubliez jamais que l’on ne vit qu’une fois…

Au plaisir de faire de cette rencontre. Jean

TEL/SMS/WHATSAPP: +33755186013
Mail: man.jean@yahoo.fr
website: https://escortboy.org