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La femme gémit doucement alors que son fantasme prenait une tournure inattendue et très excitante.

La femme gémit doucement alors que son fantasme prenait une tournure inattendue et très excitante. Elle était au milieu sur un lit et les mains d’un homme retenaient ses poignets et les attachaient au barreau. Ses chevilles furent ensuite attachées et elle était maintenant incapable de bouger.

Une douce brise chatouilla et taquina sa chatte qui s’humidifiait. Elle gémit plus fort. Elle sentit les mains sur elle à nouveau, cette fois sur ses seins, pinçant ses tétons, les transformant en de durs et longs bourgeons. Elle gémit encore plus fort cette fois.
Elle était nue. Elle cria, son coeur battant la chamade dans sa poitrine tandis qu’elle tirait sur ses liens et ses yeux s’ouvrirent. Elle haleta. L’obscurité était totale. Le contact du ruban autour de sa tête et qui gardait le bandeau serré sur ses yeux le lui confirma.

Elle sentit le poids de Jean quand il s’assit sur le lit à côté d’elle. Elle attendit, retenant sa respiration. Soudainement, elle sentit quelque chose de doux, une plume, caresser sa clavicule, puis descendre doucement entre ses seins, sur son ventre puis sur son mont de Venus.

Jean glissa un doigt entre les lèvres douces de son jardin mouillé et qu’il fit courir son doigt le long de sa fente, de ses fesses à son clito. Il lui écarta les jambes, se pencha et envoya un souffle doux d’air chaud le long de son entrée humide.
Elle gémit à nouveau et un feu s’alluma en elle. Le pourquoi et le comment n’avaient plus d’importance. Tout ce qui comptait, c’était les sensations qui la parcouraient.
Elle voulait sentir son corps de gentleman. Elle voulait le toucher, faire courir ses doigts sur les contours des muscles de son torse et de son dos.

L’escort boy donna des coups de langue sur son clito gonflé puis le prit dans sa bouche, suçant avec ardeur. Elle cria à nouveau, ses poings serrés en boule.
Elle se tortilla inconfortablement comme sa chatte se contractait et que l’humidité entre ses jambes commençait à devenir gênante.

Jean la lécha le long de sa fente, lapant son essence, avant de balancer deux doigts profondément en elle. Elle cria à cette invasion soudaine, se ruant contre sa main. Elle voulait le toucher et le voir pendant qu’il suçait et taquinait son clito. Il la rendait folle. Et elle aimait ça !

Il continua à la caresser à l’intérieur, causant des ricochets de plaisir dans tout son corps. Elle se rapprochait encore et encore de son extase, et ce à un rythme rapide. Elle se débattit en vain contre ses liens, mourant d’envie de l’amener contre elle et qu’il plonge sa belle et grosse queue dans son antre humide.

Jean s’arrêta abruptement, glissant ses doigts hors d’elle, se tenant debout. Elle se sentit vide. En manque. Sa chatte était prise de pulsations et son ventre était douloureux du besoin d’une délivrance.

Il posa sa main sur son mont, et le caressa. Elle gémit et elle mouilla encore plus.
Elle se rua contre sa main qui lui caressait la chatte. Elle s’attendait à le sentir entrer en elle, mais au lieu de ça, il retira sa main et sans prévenir, sa main revint comme il claqua son jardin secret humide. Un son mouillé retentit dans la pièce.

Elle le supplia, haletant ardemment, et ses seins dansaient à chaque respiration.
Il ne répondit pas mais lui envoya une autre claque. Elle glapit et gémit, voulant encore plus de cette délicieuse brûlure. Et une autre. Il continua à assaillir sa chatte jusqu’à ce que sa chatte rosée tourne au rouge et qu’elle se tortille violemment sous lui. Elle n’avait jamais autant eu besoin d’un homme qu’en ce moment-là.

Jean arrêta et écarta ses plis doux et trempés de sa propre essence. Il lapa l’évidence de son excitation, d’un long coup de langue, passant un instant sa langue sur son cul avant de la faire glisser le long de sa fente jusqu’à son clito.

L’escort boy lui attrapa les jambes et les rapprocha l’une de l’autre. Puis d’un mouvement rapide qui la fit glapir, il la retourna sur son ventre, laissant ses mains attachées au-dessus de sa tête.

Ses grandes et fermes mains l’attrapèrent par la taille et lui mirent le cul en l’air. Sans prévenir, il plongea deux doigts dans sa chatte, et les enfonça jusqu’à la deuxième articulation. Sa chatte se serra autour de ses doigts, demandant plus, le suppliant d’y mettre sa queue.

Après l’avoir taquinée au point de la faire exploser sur sa main, il retira ses doigts et elle les sentit immédiatement remplacés par un vibromasseur qui se pressait contre l’entrée de sa chatte. De douces vagues de plaisir déferlèrent en elle comme l’engin bourdonnait contre elle. Il le poussa doucement à l’intérieur et sa chatte s’étira plus qu’elle n’en avait le souvenir afin de pouvoir s’ajuster à cette invasion massive.
Elle gémit bruyamment, se ruant contre cet intrus, essayant de l’engloutir profondément en elle.

Elle grogna à nouveau et le son fut étouffé par le coussin dans lequel elle avait enfoui son visage. Encore, ses poings se serrèrent, et elle essaya de se calmer alors que le vibromasseur alimentait le feu qui se déchaînait entre ses jambes.

Jean lui glissait maintenant un doigt dans son côté obscur et serré et se plongeait bien profond en elle, provoquant une autre vague de chaleur en elle.

Elle voulait qu’il la sodomise, elle en avait envie, et la confession qu’elle lui avait fait dans son email n’allait pas rester vaine.

Son ventre, maintenant plein de nœuds, la belle se pressa contre lui, jusqu’à ce que son doigt soit profondément dans son anus. Le vibromasseur dans la chatte et le doigt qui lui baisait le cul étaient une combinaison tellement plaisante qu’elle ne voulait pas que ça finisse. Mais vu la vitesse à laquelle elle se rapprochait de son orgasme, elle savait que se serait bientôt terminé.

Il entra un second doigt dans son cul et les bougea de façon à élargir le trou afin de pouvoir y entrer son membre généreux.

Sortant ses doigts de son cul, il lui claqua la croupe. La claque la brûla et elle cria, mais tout ce que la claque avait fait était de lui faire désirer Jean encore plus. Il plaça rapidement la tête de sa queue épaisse emballée dans le latex contre son entrée et poussa ardemment en elle.

Elle grogna comme sa virilité lui étirait son petit trou. Ca la brûlait, alors qu’il se plongeait plus loin en elle, mais les douces sensations que le vibromasseur envoyaient en elle prirent le dessus sur la légère douleur provoquée par l’intrusion de sa queue.

S’accrochant fermement aux hanches de la belle, il grogna bruyamment tandis qu’il se plongeait complètement dans son cul, étirant son anus serré et la remplissant plus qu’elle ne l’avait jamais été auparavant.

Elle cria comme sa queue se cognant en elle la fit tourbillonner dans un orgasme. Mais il refusa de lui donner le temps de récupérer et de savourer cet incroyable orgasme. Il commença à la marteler sans pitié, excité par ses geignements et ses gémissements.

La belle serra les poings plus fort comme elle répondait à chacun de ses coups par ses mouvements. Elle voulait le toucher, le voir, mais elle ne pouvait pas. Tout ce qu’elle pouvait faire, c’était écouter ses grognements et ses paroles devenir plus bruyants et vulgaires et le bruit de ses boules se cognant contre sa chatte humide.

Elle était à quelques secondes de se perdre dans le plaisir de ce que sa queue et le vibromasseur lui faisaient. Elle pouvait se sentir voler vers un autre orgasme, et ce en un temps record. Cela n’avait jamais été comme ça avec lui auparavant : si vif et si intense. Et elle aimait ça !

Elle était proche, si proche d’un autre orgasme fantastique, sa chatte se serra contre le jouet vibrant alors que le feu en elle menaçait de la consumer. Quelques coups supplémentaires et il la ferait jouir une seconde fois.

Elle cria, alors que son corps se crispait et que sa chatte explosa sur le jouet, la laissant épuisée et étourdie. Quelques secondes après qu’elle eut joui, les mains de Jean s’agrippèrent douloureusement à ses hanches, ses doigts plantés dans la chair douce et il se rua en elle si sauvagement qu’elle en tomba sur le ventre. Il déchargea plusieurs jets de son élixir chaud en elle.

Jean s’effondra sur elle, retenant son poids pour ne pas l’écraser. Il retira doucement son membre de son côté obscur.
S’asseyant à califourchon sur son dos, il lui retira le bandeau de ses yeux et se pencha pour défaire les liens qui retenaient ses poignets aux montants du lit au-dessus de sa tête. Une fois qu’elle fut libérée, il plaça les objets sur la table de nuit et se mit à côté d’elle.

La belle roula sur le côté et lui fit face. Ses yeux plein de plaisir rencontrèrent les yeux de Jean. Epuisée, elle ferma les yeux et plongea dans le sommeil, entourée de ses bras forts et protecteurs.

***

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